vendredi 19 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 52

Madame Talouet s’accota au bureau de Colin et elle y posa ses fesses.
« Approche ! Ce n’est pas le moment de désobéir ! »
Lentement, mais inexorablement, Colin vint se mettre entre les mains de sa cheffe de service. Il aurait voulu que le chemin fût long, mais il n’y avait que trois pas à faire. Madame Talouet ne perdit pas de temps pour défaire le pantalon. Colin la laissa faire tant qu’elle s’affairait sur la ceinture. Il eut un geste de recul quand il sentit les mains de sa cheffe sur sa braguette. Bien qu’il y eût encore le tissu du pantalon et de la culotte pour faire écran avec sa verge, il réagit au contact qui lui sembla intime alors que Madame Talouet y était totalement indifférente.
« Tiens-toi tranquille ! »
Il fut remis en place fermentent et le déculottage se poursuivit. Il avait pourtant l’habitude que les mains de sa femme entrent en contact avec cette partie de son anatomie. Autant il appréciait les attouchements que cela engendrait quand il s’agissait de préliminaires à une relation sexuelle, autant il les redoutait quand c’était une punition qui s’annonçait. C’était encore pire maintenant qu’il s’agissait de sa cheffe de service. Il était parcouru de frissons et une boule grossissait dans son ventre. Il avait du mal à avaler sa salive.
La braguette déboutonnée, le pantalon tomba sur le bas de ses cuisses. Madame Talouet le fit passer en-dessous des genoux. Il eut un frémissement quand elle passa ses doigts sous l’élastique de la culotte, mais il s’en tint là. Le pire était à venir. Il sentit son sous-vêtement glisser le long de ses cuisses et l’effleurement des mains le long de sa peau. Il sentit son sexe se recroqueviller. Il ferma les yeux. Il ne voulait pas croiser le regard de ses collègues, il avait peur d’y lire de la pitié ou pire encore de la satisfaction, en réponse à la honte qu’il ressentait au fond de son estomac.
Madame Talouet ne lui laissa pas le temps de réfléchir plus avant sur sa nouvelle condition dans ce bureau. Elle passa son bras derrière son dos et enserra sa taille. Colin avait l’habitude de cette position. Il y était placé par sa femme plusieurs fois par semaine. C’est donc tout naturellement qu’il laissa Madame Talouet le placer de façon à mettre ses fesses nues commodément à disposition de la main qui devait le punir.
Madame Talouet le serra fermement contre sa hanche et elle le fit basculer en avant afin que seuls les bouts de ses pieds touchent encore le sol. Elle voulait que, pour cette première fessée, il se sente maintenu sous sa contrainte et qu’il soit clair que c’était sa volonté à elle qui le plaçait dans cette position disciplinaire. C’était l’occasion d’asseoir définitivement son autorité en le faisant déchoir de la position surplombante par rapport à ses autres collègues, ce qui laissait toujours un doute quant sa légitimité à elle, à diriger ce service.
Ayant publiquement mis au jour les corrections domestiques qu’il recevait et après l’avoir déculotté en présence de tous ses collègues, il ne lui restait plus qu’à démontrer que la fessée constituait une punition effective qui amènerait son collaborateur à se repentir de son attitude.
Pour Colin, le mal était fait. Il sentait bien que plus jamais il ne pourrait avoir de nouveau son statut de privilégié, opposant discret et non déclaré à sa cheffe, contestant son autorité par le doute qu’il distillait sur sa compétence à occuper le poste de responsabilité. Il serait maintenant regardé, malgré son âge, comme un garçon un peu immature qu’il convenait de punir pour le ramener à des meilleures dispositions.
Il se doutait qu’après l’autorisation et les encouragements de sa femme que sa cheffe venait de recevoir, elle ne s’en tiendrait pas à une seule fessée. Il y en aurait d’autres, sans doute au plus petit prétexte. Il lui faudrait maintenant faire attention à ce qu’il disait et à ce qu’il faisait. Il devrait montrer des gages de sa soumission à l’autorité de sa cheffe. Plus question d’insolences implicites, plus question d’insinuations suggérées mais non formulées. Il devrait changer d’attitude.
Il ne pouvait rien faire pour l’éviter. Il ne lui restait plus qu’en reliquat de sa fierté qu’il montrerait en subissant sa fessée sans montrer combien elle constituait une punition effective. Il avait décidé de rester stoïque quelle qu’en soit la sévérité. Il serra les dents, bien décidé à ne laisser échapper aucune plainte.
La première trentaine de claques que Madame Talouet répartit équitablement sur ses deux globes fessiers fut supportable. Il sentait l’échauffement monter, mais il avait déjà subi pire correction. Il avait failli rompre sa résolution au tout début de la fessée. Madame Talouet savait administrer un châtiment et les bruits qui couraient sur son expérience familiale en la matière étaient certainement vrais.
L’échauffement se transforma rapidement en une brûlure qui devint rapidement aiguë quand Madame Talouet accéléra le rythme et qu’elle décocha des rafales de claques cinq, six, dix fois au même endroit avant de passer à l’autre côté et de recommencer. Colin émit un gémissement qu’il réussit à étouffer entre ses dents.
Cette petite concession à la vigueur de la fessée ne contenta pas Madame Talouet. Elle s’appliqua à donner un maximum d’efficacité à chaque claque sans ralentir le rythme. Colin n’en pouvait plus. La douleur qui naissait sur ses fesses s’était emparée de tout son corps. Il sentait que des larmes remplissaient ses yeux, mais il arrivait, à grand peine, à ravaler les cris qu’il aurait volontiers laisser sortir s’il avait été dans un cadre plus privé.
Madame Talouet vécut cette situation comme un défi. Afin d’arriver complètement à son but, Colin devait craquer. La main n’y suffirait pas. Elle suspendit, pour un instant, la correction.
Colin eut une seconde d’espoir. Lui qui était sur le point de céder, il était parvenu à résister et à subir silencieusement la fessée sans extérioriser sa douleur. Malgré la fournaise qui embrasait ses fesses il souffla de soulagement.
 « Léa, s'il vous plait, pouvez-vous m’apporter la règle que vous avez sur votre bureau ? »
Colin mit quelques secondes à intégrer cette nouvelle information. Madame Talouet ne le relâchait pas et elle demandait une règle. Il ne pouvait y avoir qu’une raison : la fessée continuait. Tout son courage l’abandonna en un instant.
« Non, non, s'il vous plait, s'il vous plait… »
Le premier coup de règle interrompit sa plainte. Le hurlement de Colin finit en sanglots. Ils ne s’arrêtèrent plus. Madame Talouet continua malgré tout un petit moment. Elle voulait montrer à Colin quelles étaient les conséquences de son acharnement à laisser croire que recevoir une fessée lui était indifférent. Il fallait que la leçon fût cuisante. Madame Talouet et la règle qu’elle manipulait y arrivèrent sans difficulté.
Colin avait oublié la présence de tous ses collègues de travail. Il était bien trop focalisé sur ses fesses incandescentes et sur l’espoir que cette fessée était près de la fin. Madame Talouet prit son temps pour y arriver.
C’est un Colin qui respirait par saccade, entre deux sanglots, que Madame Talouet laissa se redresser.
« Bon ! Nous y sommes arrivés. Voilà qui devrait mettre les choses au point définitivement. Allez-donc vous mettre au piquet le long de ce mur. Vous y resterez jusqu’à ce que je vous autorise à en bouger. »
Colin ne demanda pas son reste. Il fila aussi vite qu’il le put, malgré son pantalon qui lui interdisait de se déplacer avec toute la célérité qu’il aurait souhaitée. Il se retrouva cependant le nez le long du mur très vite afin d’être certain d’éviter de provoquer une nouvelle fois le courroux de sa cheffe de service. Il ravala deux sanglots et il s’immobilisa.

Madame Talouet regarda Colin pendant quelques secondes. Ses épaules étaient soulevées, de temps en temps, par un sanglot qui restait silencieux. Sa chemise couvrait ses fesses dont on apercevait tout juste le bas.
« Ce n’est pas normal, songea-t-elle, quand j’ai mis une de mes collaboratrices féminines au piquet, c’était jupe relevé afin que tout un chacun puisse voir quels étaient les effets d’une correction. Il n’y a pas de raison qu’il en aille différemment pour les garçons. »
Elle s’approcha de Colin et elle releva sa chemise. Il frémit au contact des mains, mais il ne fit pas un geste pour quitter la position dans laquelle il était. Madame Talouet noua les pans de la chemise sur le ventre de Colin, dégageant les fesses jusqu’au-dessus de la taille. Ses fesses vermillon semblaient rougeoyer.
Du coin de l’œil, il apercevait ses collègues qui étaient placés sur ses côtés. Il avait parfaitement conscience qu’ils et elles avaient une vue imprenable sur ses fesses et son sexe, mais cela ne l’incitait pas à bouger pour autant. Il était puni et ce n’était pas une injustice.
Madame Talouet hocha la tête. Tout s’était parfaitement déroulé. Elle n’aurait pas pu rêver mieux que d’avoir à fesser Colin. Maintenant qu’il était mis au pas, elle n’en doutait pas, plus personne n’oserait contester ses décisions, même quand il serait question de fessée. Elle devait, dès maintenant confirmer son droit à corriger chacun de ses employés. Elle se tourna vers Clara.
« Montre-moi ce bon de commande, Clara ! »
La jeune fille se troubla. Elle savait que la remarque que Colin lui avait faite, était justifiée. Elle était préoccupée par une histoire d’amour débutant et elle n’avait pas la tête à son travail.
« Je vais le relire, Madame et je vous l’apporte.
– Non, je le veux tout de suite. Dans sa première version, sans que vous ayez eu le temps d’en rectifier les erreurs. »
Clara prit le document, elle contourna son bureau et vint mettre le papier dans la main de sa cheffe. Elle fit demi-tour.
« Restez-là. J’ai bien peur que nous ayons à discuter de la qualité de votre travail. »
Sans plus s’occuper de la jeune fille qui dansait d’un pied sur l’autre et qui se tortillait les doigts, Madame Talouet prit le temps d’examiner le document.
« Votre collègue avait raison. Ces trois références sont erronées. Que croyez-vous que notre fournisseur nous aurait livré ? De plus j’ai compté quatre fautes d’orthographe et une erreur de date. Tel que vous l’avez écrit, nous ne serons livrés que dans trois mois. Ennuyeux, non, pour une commande urgente, non ? »
Clara avait l’impression d’être grondée comme elle l’avait souvent été à l’école. Cela se déroulait devant tous ses collègues et malgré l’envie qu’elle en avait, elle ne pouvait disparaître.
« Pensez-vous avoir mérité une punition différente de vos deux collègues qui ont été aussi étourdies que vous ? »
Clara baissa la tête, mais elle resta muette.
« Je vous ai posé une question, Clara !
– Non Madame.
– Et quelle punition ai-je dû leur donner ? »
Comme Clara gardait le silence, les yeux de Madame Talouet devinrent noirs et menaçants.
« Une… une… une… »
Le mot n’arrivait pas à sortir.
« « Allons, Clara !
– Une… fessée Madame.
– C’est cela une bonne fessée déculottée. Puisque que vous avez mérité la même chose, venez donc ici pour la recevoir. »
Bien qu’elle ne voulût pas bouger, ses pieds obéirent à sa cheffe. Elle avança vers sa correction. Ce fut le chemin le plus long qu’elle avait eu à faire de toute sa vie, bien qu’il ne fît que quelques mètres. Madame Talouet leva le bras gauche et Clara baissa la tête pour engager sa tête dans l’espace ainsi ménagé. Ensuite, elle laissa sa cheffe faire, malgré l’effroi qu’elle ressentait de ce qui allait lui arriver.
Le bras de Madame Talouet se posa sur son dos, entoura son flanc et les doigts de la main s’écartèrent sur son bas-ventre. Chaque contact la brûlait. Elle eut envie d’écarter la main, bien trop proche de ses lèvres vaginales, mais elle savait que ce n’était pas à elle de décider de ce genre de choses. Madame Talouet se plaçait de la façon la plus commode pour elle.
Tout cela n’était rien. Quand l’autre main se posa sur ses cuisses, après avoir légèrement soulevé le bas de la robe, elle crut défaillir. Son cœur eut un raté et ses entrailles se nouèrent. Elle n’eut pas le temps de se poser plus de question avant que sa robe ne fût retroussée au-dessus de sa taille.
« Quelle culotte ai-je mise aujourd’hui, se demanda-t-elle en un éclair. Pourvu qu’elle ne soit pas trop petite, ni trop transparente. On va voir mes fesses. »
Madame Talouet confirma ses craintes.
« Je suis étonnée, Clara, que votre Maman tolère que vous mettiez ce genre de sous-vêtements. Regardez-moi ça ! Ça ne cache rien et on voit à travers ! Je vais en glisser deux mots à votre mère. »
Madame Talouet asséna deux claques bien pesées à la jonction des cuisses que la culotte ne recouvrait pas.
« Mais, j’ai vingt-huit ans, pensa Clara ! Je peux mettre ce que je veux ! »
Elle n’osa, évidemment pas, formuler cette protestation à voix haute.
« Dorénavant, Madame Talouet lui asséna une nouvelle claque, je ne veux plus te voir ici avec de telles tenues. Je vérifierai. Tu viendras me voir demain matin en arrivant que je regarde quels sous-vêtements tu portes. Je suppose que le soutien-gorge est à l’avenant ! Ce que je viens de te dire est valable pour lui aussi. »
Non, visiblement, elle ne pouvait pas porter les vêtements qu’elle voulait.
« Revenons à la fessée ! »
Madame Talouet baissa la culotte qui resta coincée entre les genoux de Clara. Il n’y avait effectivement pas beaucoup de tissu et maintenant qu’il pendait, chiffonné entre les jambes, on se demandait s’il s’agissait vraiment d’une culotte.
Clara sentit ses fesses se couvrir de chair de poule. Elle ne pouvait y croire : ses fesses nues étaient à la vue de tous ses collègues. Le début de la fessée lui coupa le souffle. Ce n’était plus le contact de sa peau nue avec la main qui occupait son attention, mais les conséquences de son application vigoureuse.
Il fallut moins d’une dizaine de claques pour que Clara retrouvât sa voix. Ce fut pour pousser des cris aigus qui ponctuaient chaque claque sur les fesses. Ils furent vite entremêlés de sanglots qui prirent rapidement toute la place. A peine si Clara soulevait un pied, puis l’autre quand la douleur était trop forte. Elle se soumettait à la fessée, sans protester, sans se débattre alors que celle-ci semblait, au vu de ses pleurs, particulièrement cuisante.
Les collègues qui regardaient ébahis cette scène, avaient le sentiment d’assister à un acte de justice, un châtiment administré en toute légitimité et dont la punie admettait le bien-fondé. Ni Clara ni aucun de ses collègues n’aurait pu penser qu’administrer cette correction relevait d’un abus d’autorité. Ce n’était pas l’impression que laissait ce qu’il voyait.
La couleur des fesses de Clara avait nettement foncé quand Madame Talouet la laissa se redresser.
« J’espère que cette fessée vous amènera à vous concentrer un peu mieux sur votre travail, jeune fille. Mais ne vous inquiétez pas, je recommencerai aussi souvent que nécessaire. Allez donc rejoindre votre collègue, le nez contre le mur et les mains sur la tête, pour réfléchir à tout cela. »
Clara regarda dans la direction où Colin avait été mis en pénitence. Elle fit deux pas dans cette direction avant d’être arrêtée par sa cheffe de bureau.
« Attendez une seconde, votre robe est retombée. Elle couvre vos fesses, cela ne va pas du tout. »
Madame Talouet roula la robe et fit passer le boudin ainsi formé sous la ceinture de la robe.
« Voilà ! Vous êtes apprêtée pour le temps que vous allez passer au piquet. Filez ! »
Une claque sur les fesses, bien qu’elle fût assez modérée, donna l’impulsion. Clara se hâta de rejoindre son collègue et de prendre la même position que lui.

« Bien, dit Madame Talouet en embrassant du regard les neuf personnes qui se tenaient devant elle, j’espère que tout le monde a compris que je n’hésiterai pas à recourir à la fessée avec n’importe lequel d’entre vous. »
Tous la regardaient, fascinés, comme une souris est hypnotisée par les yeux du serpent qui va fondre sur elle. Quatre personnes hochèrent la tête, confirmant que l’utilisation de la fessée était entérinée. Ni Audrey ni Yaëlle n’avaient besoin de confirmer ce qu’elles savaient déjà. Les trois qui restèrent immobiles n’eurent ni geste de protestation, ni mimique d’étonnement.
« Audrey et Yaëlle y ont déjà goûté… »
Ça y était. C’était dit publiquement, il n’y avait plus de secret, ce qui n’empêcha pas les deux femmes de rougir.
« Elles pourront vous expliquer tout le caractère désagréable de la chose pour ceux qui en douteraient. »
Il n’y avait pas grand monde dans cette catégorie.
« D’ailleurs, à ce sujet, Yaëlle, il est temps que nous passions à la deuxième fessée, celle que je vous avais promise. En venant me voir, passez donc prendre la règle. Je vais en avoir usage. »
Yaëlle devint toute pâle. Elle venait de voir combien cet instrument était redoutable.
« Oh non Madame, s'il vous plait, pas la règle.
– Ne faites pas l’enfant, Yaëlle, vous savez que si j’ai décidé de vous administrer une fessée avec la règle, ce ne sont pas vos faibles protestations qui me feront changer d’avis. Croyez-vous nécessaire que j’aille vous chercher ?
– Non, non, je viens ! »
Elle chercha la règle du regard. Léa la lui tendit. Elle trottina jusqu’à sa cheffe à qui elle donna le terrible instrument. Ce n’était que la cinquième fessée que Madame Talouet administrait dans le cadre de ses fonctions professionnelles, mais des habitudes avaient déjà été prises.
Elle installa Yaëlle sous son bras, celle-ci devançait les gestes de sa cheffe. La jupe relevée, la culotte baissée, tout cela fut fait sans que rien ne s’y opposa. Plus personne n’avait de doute sur la pertinence de la fessée, puisque leur cheffe l’avait décidée et que leur collègue s’y résignait.
« Voyez-vous, Yaëlle a voulu m’empêcher de la corriger en mettant sa main pour protéger ses fesses. Tout ce qu’elle a gagné c’est une deuxième fessée qui, grâce à la règle, sera bien plus rigoureuse que la première. Prenez-en de la graine. Cela pourrait vous arriver également. »
La règle frappa les fesses, y laissant une marque rouge que Madame Talouet doubla de l’autre côté. Yaëlle hurlait. Elle remuait son bassin, et ses jambes, mais ses gesticulations s’arrêtaient là. Sa main libre s’était agrippée au bord du bureau. Elle serrait si fort que les articulations de ses phalanges devinrent toutes blanches.
La règle continua son travail. Méthodiquement, inexorablement. Les marques sur les fesses s’étendaient et devenaient de plus en plus foncées. Les mouvements des jambes de Yaëlle, modérés au début, devinrent de plus en plus frénétiques. Elle gémissait, criait et pleurait, mais rien de tout cela n’empêcha la fessée d’aller au bout.
La fessée de Yaëlle fut bien moins longue que celle de Colin, mais ses fesses étaient tout aussi rouges à la fin. Quand Madame Talouet reposa la règle, Yaëlle ne bougea pas. Elle resta prostrée sur les genoux de sa cheffe, enfouissant son visage dans les plis de la robe. Ses pleurs ne se tarissaient pas. Madame Talouet se mit à la bercer doucement.
« Là, là, ce n’est pas si grave. Tu as été vilaine et tu en as été punie. Tout va bien. Tu vas être très sage maintenant. »
La main de Madame Talouet se posa sur les fesses, ce qui provoqua un regain de gémissements.
« Ah oui, c’est l’inconvénient d’une fessée. Ça rend les fesses très sensibles, mais peut-être en est-ce l’avantage ? Certainement oui. D’avoir l’épiderme brûlant pendant quelques minutes, ça aide à réfléchir, non. Je suis maintenant certaine que la prochaine fois que je te corrigerai ta main restera à l’écart. Avec une bonne fessée, on apprend vite. »
Yaëlle se calma progressivement. Elle se laissait bercer. La main qui caressait ses fesses lui provoquait de petits élancements de douleur qui faisaient remonter des frissons le long de sa colonne vertébrale. Elle voulait rester sans fin sur ces genoux où elle trouvait une consolation bienvenue. Personne ne trouvait étrange que cette femme d’âge mûr se comportât comme une petite fille. Après tout, ne venait-elle pas de recevoir une fessée déculottée ?
« Dites-moi, Yaëlle, ne serait-il pas temps que vous rejoigniez vos camarades au piquet. Comme eux vous allez y passer la pause déjeuner. Levez-vous ! »
Le grognement de protestation fut interrompu par une forte claque sur les fesses que Yaëlle ponctua par un cri. Son obéissance fut immédiate. Elle se leva et se dirigea vers le mur face auquel se tenaient ses deux collègues.
Madame Talouet la suivit et, quand elle fut installée, elle releva la jupe et elle la coinça afin qu’elle dégageât bien les fesses. Le tableau était presque complet.

« N’y a-t-il pas quelqu’un d’autre qui doit passer sa pause de midi au piquet ? »
Chacun regarda son voisin avec inquiétude. De qui Madame Talouet voulait-elle parler ? Chacun espérait que ce n’était pas de lui.
« C’est moi, Madame. »
Le soulagement fut unanime. Audrey venait de se dénoncer.
« C’est bien cela. Allez donc prendre place pour compléter cette belle brochette de punis. »
Madame Talouet attendit qu’Audrey se soit installée pour la rejoindre.
« Dites-moi Audrey, tous vos camarades de punition ont la culotte baissée. Y aurait-il une raison pour que vous ne fassiez pas comme eux ?
– Non Madame. »
Audrey avait eu un bref espoir de garder une tenue normale, mais c’était une prétention insensée. Madame Talouet noua les deux rubans qui servaient à tenir la jupe relevée et elle baissa la culotte. D’être déculottée devant tous ses collègues était bien plus difficile à supporter que ne l’avait imaginé Audrey. Elle serra les fesses et les cuisses, gênant la descente de sa culotte. Une claque sur les fesses répondit à son réflexe.
« Audrey, vous faut-il une fessée pour être obéissante ? »
Audrey se relâcha. Elle n’y pouvait plus rien et Madame Talouet n’hésiterait pas à mettre sa menace à exécution. Sa culotte descendit jusqu’à ses genoux. Malgré la dernière claque, les fesses d’Audrey étaient bien pâles à côté de celles de ses camarades.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui, normal ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 51
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. JLG, bonjour,

    Belle séquence nourrie d'une analyse pertinente sur les rapports d'autorité entre Colin et sa cheffe de service. Description, précise des mécanismes de soumission à la fessée autant psychologiques que physiques. L'écriture est toujours aussi fluide avec une terminologie maîtrisée, simple et précise qui rend la lecture aisée.
    Le plaisir de vous lire est égale à celui que vous accordez à nos récits.
    Cordialement
    Ramina

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  2. La fessée cul nu a main nu sur les genoux j ador ca jai une jolie pair de fesses imberbes et douce je m appel Nicolas je suis de la Picardie et je recherche des adeptes de la fessée déculottée femmes hommes trav trans annonce tres sérieuse laisser un message au 0659137399 annonce tres très sérieuse

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