mercredi 3 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 47

La fessée avait acquis ses quartiers de noblesse dans cet immeuble. Teva avait montré la voie. Hélène l’avait suivie et cet exemple avait fait tache d’huile. La fessée gagna de la place, elle concerna de plus en plus régulièrement, de plus en plus de postérieurs masculins ou féminins. 
Il fut rapidement de notoriété publique que la voisine du premier avait pris une place importante dans la discipline de son voisin de palier. Elle exigeait maintenant qu’il l’appelle Tatie Claudie et il traversait de plus en plus souvent le palier la culotte baissée quand il ne s’arrêtait pas dans l’un des coins pour y passer un long moment. Cela n’étonnait plus personne. Madame Brown, qui habitait au cinquième n’hésita pas à lui administrer une fessée déculottée quand elle le surprit à laisser tomber négligemment un papier par terre dans le hall de l’immeuble. Il ne trouva rien à y redire et, malgré sa gêne évidente, il reçut sa punition sans s’y opposer.
Cela mit plus de temps à se savoir, mais Audrey, sa femme, se retrouva, un soir, culotte baissée au coin sur le palier. La couleur de ses fesses et la position qu’elle tenait ne laissait aucun doute : elle avait été sérieusement fessée. La rumeur laissa entendre que Tatie Claudie avait dû sévir face à la difficulté qu’Audrey avait à corriger suffisamment explicitement son mari et pour éradiquer une certaine nonchalance dans la tenue de sa maison. Tatie Claudie corrigeait Audrey depuis quelques semaines quand elle la mit au coin, à l’extérieur de son appartement, là où chacun pouvait constater les effets de la punition.
A compter de ce jour, Tatie Claudie ne prit plus aucune précaution pour punir Audrey ou son mari. Cela se produisit donc plus d’une fois au vu et au su des habitants de l’immeuble qui ne pouvaient ignorer l’un des deux, placé au coin sur le palier, exhibant des fesses écarlates.

A tour de rôle, le voisin du cinquième étage, Dimitri, le couple du premier étage et bien entendu Maeva et Marguerite reçurent une fessée qui dans le hall de l’immeuble, qui dans l’escalier ou sur l’un des paliers. Les stations au coin en public se multiplièrent. Bientôt, il n’y eut plus de semaine où l’un ou l’autre ne fut puni devant l’un des autres voisins.
Maeva se surprit à trouver cela rassurant. Le sentiment d’exception qu’elle avait ressenti les premières fois où elle avait été fessée en public s’était grandement atténué en constatant que d’autres adultes du voisinage étaient soumis au même traitement. La crainte, très forte au début, de croiser, dans l’escalier, d’autres personnes qui savaient qu’elle était corrigée, voire qui avaient assisté à l’une de ces séances, avait quasiment disparu. Elle n’avait plus à se poser de question. Tout le monde savait qu’elle recevait la fessée.
Elle n’avait pas l’impression de vivre une situation idyllique. C’était toujours aussi malaisé de se faire gronder et menacer d’une fessée en public, sans compter les moments où Teva ou Hélène passaient de l’avertissement à l’action, ce qu’elle craignait au plus haut point. C’était bien plus difficile à accepter que quand cela se passait au sein de la famille dans laquelle Hélène était incluse. C’était encore plus difficile quand c’était une voisine qui exerçait ainsi son droit de surveillance et encore plus quand cela finissait par une fessée, ce qui était arrivé et, elle le savait bien, arriverait encore plus d’une fois.
Autant elle redoutait de croiser l’une des personnes qui l’avaient fessée, autant elle se sentait proche de ceux qui étaient dans la même situation qu’elle. Ils formaient une communauté silencieuse grâce à laquelle elle trouvait plus acceptable de faire partie de ceux qui étaient en permanence sous le risque d’une fessée.
Elle eut l’occasion de discuter avec plusieurs d’entre eux et, comme elle, s’ils se plaignaient du type de punition qu’ils recevaient, aucun d’eux n’évoqua une injustice flagrante et aucun d’eux ne suggéra qu’il pourrait fuir pour mettre fin à cette situation. Tous se sentaient aimés et protégés, satisfaits que la plupart des décisions importantes fussent prises par d’autres, ce qui rendait leur vie plus confortable. Recevoir la fessée, y compris publiquement, faisait partie des désagréments de leur vie, mais ils étaient largement compensés par l’affection qu’ils recevaient dans leur cadre familial.

Ce fut Tatie Claudie qui imposa en premier le port de l’uniforme gris que l’on commençait à croiser fréquemment dans la rue. Le bruit circulait depuis plusieurs semaines et il allait en grossissant. Il relatait plusieurs situations où des personnes avaient administré une fessée, dans un espace public, à une autre personne portant cette tenue, en punition d’une bêtise commise ou d’un comportement coupable.
La fessée était maintenant assez couramment administrée aux adultes qui n’arrivaient pas à se comporter comme des grandes personnes au sein de leur famille ou dans leur cadre professionnel. Cela avait fait l’objet d’un article dans le journal local et personne ne s’en plaignait. Les protestations de ceux qui la recevaient et qui avaient été interviewés, étaient timides et se contentaient d’insister sur le désagrément que représentaient la punition, sans en contester le bien-fondé.
Les fessées, administrées en public, étaient données le plus souvent par les tutrices, ce qui n’était que la prolongation des méthodes habituelles de discipline domestique. Elles furent largement approuvées par les spectateurs, du moins par ceux qui se sentaient plus en position de corriger que d’en être le sujet.
Il y eut quelques situations où des insolences et incivilités restèrent impunies, faute, de la présence en proximité, de personne disposant de l’autorité pour le faire. Les quelques personnes qui évoquèrent alors la nécessité d’une bonne fessée n’osèrent passer à l’acte. Les coupables, en se fondant dans l’anonymat de la foule, échappèrent au châtiment qu’ils avaient pourtant mérité.
Les premières tenues grises dont étaient revêtues quelques jeunes femmes, passèrent presque inaperçues. Quand de grands garçons en portèrent la version masculine, cela se remarqua assez vite. Autant l’habillement des filles pouvait passer pour une tenue un peu démodée, autant les culottes courtes des garçons les faisaient ressembler à de grands enfants attardés. Quand ce furent des personnes plus âgées qui les portèrent, les interrogations quant à la raison de cette nouvelle mode dont les porteurs ne semblaient pas réjouis.
Il suffit de quelques fessées administrées par des personnes connaissant la signification du code vestimentaire, alors qu’elles n’avaient jamais rencontré auparavant ceux qu’elles déculottèrent et fessèrent, pour que le sens de ces uniformes soit rapidement connu de tous.

Ce fut un incident regrettable qui décida Tatie Claudie à obliger ses deux pupilles à porter ce nouvel uniforme. Tout commença par un appel téléphonique en début d’une soirée qui s’annonçait très calme.
« Allo ?
– Claudie ? C’est Gwenola !
– Ah Gwenola ! Quel plaisir de t’avoir au téléphone ! Dis-moi cela fait longtemps que nous ne nous étions pas parlé ! Au moins une semaine ! »
Les deux femmes commencèrent par échanger quelques banalités et par prendre chacune des nouvelles de l’autre. Elles en vinrent finalement à l’objet de l’appel.
– Tu t’occupes toujours de l’éducation de tes petits voisins, comme tu me l’as expliqué ?
– Plus que jamais ! Si tu savais le temps que cela ne prend ! Je dois les surveiller continûment. C’est une charge, mais ils me le rendent bien. Depuis que je leur donne régulièrement la fessée, ils sont devenus très affectueux.
– Ah, c’est curieux, j’aurais cru le contraire.
– Non, c’est assez normal. Ils ont autant besoin de câlins que de fessées. Finalement, ils passent de longs moments sur mes genoux, soit à plat-ventre pour y recevoir la fessée, soit assis pour que je les dorlote.
– Comme deux enfants !
– Tu ne crois pas si bien dire ! Hier ils se sont disputés pour savoir qui aurait le droit de venir dans mes bras. J’ai dû les fesser tous les deux. Je ne les ai consolés qu’après un bon moment passé au coin. Un sur chaque genou. Ils s’y sont presque endormis sous les caresses. Qu’ils étaient adorables ! Ils se donnaient la main, les yeux fermés, la tête posée chacun sur une de mes épaules. Tu vois, c’est dans des moments comme ceux-là que je suis sûre de ne pas avoir fait fausse route.
– Je comprends, de vrais petits anges ! Dommage qu’ils ne soient pas toujours aussi charmants !
– Que veux-tu dire ?
– J’ai beaucoup hésité avant de t’en parler, mais, après tout, c’est toi qui a pris en charge leur éducation.
– Tu m’intrigues. Que s’est-il passé ?
– Je suis certaine de les avoir reconnus ce matin dans le bus. J’ai bien retenu leur visage depuis que tu me les as présentés, la semaine dernière, juste avant de donner une fessée au garçon. Je ne crois pas qu’ils m’aient remarquée. Mais si j’avais osé, je leur aurais volontiers donné une fessée.
– Qu’ont-ils encore fait, ces deux gredins ?
– Ils avaient tous les deux des écouteurs dans les oreilles et leur musique était tellement forte que tout le monde, dans leur voisinage, en était incommodé.
– Je le leur ai pourtant interdit !
– Je ne crois pas qu’ils t’aient écoutée. Pire, quand une dame, assise en face d’eux, leur en a fait la remarque, ils se sont montrés insolents, lui demandant de « s’occuper de ses affaires ». Ils ont fini par des insultes que je n’ose pas te répéter. Tout le monde en était offusqué, mais personne n’est intervenu. Le temps que j’envisage de les punir, ils étaient descendus du bus.
– Tu aurais dû sévir !
– Oui, peut-être, mais je n’étais pas certaine d’en avoir la légitimité, ce qui m’a fait hésiter, mais d’un autre côté, je regrettais qu’ils puissent se comporter ainsi et restent impunis. J’ai trop hésité. Après, c’était trop tard. C’est pour cela que je t’appelle ce soir.
– Les petits chameaux ! Ils ne vont pas s’en tirer à si bon compte. Je te promets qu’ils vont recevoir une fessée dont ils se souviendront. »
A peine Tatie Claudie avait-elle raccroché, qu’elle se dirigea, d’un pas résolu, vers l’appartement de ses voisins.

Tatie Claudie n’eut pas besoin de s’annoncer. Elle possédait maintenant une clé de l’appartement d’Audrey et de son mari, afin de pouvoir y entrer à n’importe quel moment du jour et de la nuit. Elle voulait pouvoir les surveiller quand elle le souhaitait. Cela lui avait déjà permis de les surprendre, plus d’une fois, dans une activité interdite, ce qui s’était conclu par une bonne fessée.
Elle n’eut pas vraiment le temps de s’inquiéter de ce que faisaient ses deux pupilles. Elle trouva le premier dans le séjour, assis devant la télévision.
« Éteins-moi ça tout de suite !
– Mais que se passe-t-il ? »
Tout en posant la question, il avait obéi aussitôt. L’éducation que leur donnait Tatie Claudie portait ses fruits. Elle le prit par l’oreille et le mit debout sur ses pieds. Suivant le chemin que prenait son oreille, il contourna le fauteuil et suivi Tatie Claudie dans le couloir.
Ils trouvèrent Audrey dans sa chambre, plongée dans un bouquin.
« Tatie Claudie ? Mais que… »
Elle n’eut pas le temps d’aller plus loin. Tatie Claudie lui enleva le livre des mains et elle la tira du lit par l’oreille.
« Aïe ! Mais qu’est-ce que j’ai fait ? »
Tatie Claudie ne lui fit pas l’aumône d’une réponse. C’est en les tenant par l’oreille qu’elle les conduisit chez elle.
« Bonsoir, Tatie Claudie, fit Madame Brown qu’ils croisèrent sur le pailler ! »
Tout le monde utilisait cette appellation qui avait été imposée à tous les habitants de l’immeuble qui étaient susceptibles de recevoir la fessée. Les autres les avaient imités.
« Oh, oh, ça sent la fessée !
– Vous avez raison. La fessée est au programme de ce soir pour ces deux chenapans. Et une qu’ils vont sentir passer !
– Bonne soirée ! Je dis ça pour vous, Tatie Claudie, j’ai bien peur que la soirée de vos pupilles ne soit pas des plus agréables ! »

Tatie Claudie avait placé Audrey et son mari debout au milieu du séjour. Elle se mit face à eux.
« Racontez-moi ce qui s’est passé dans le bus, ce matin ! »
Audrey et son mari se regardèrent. Ils avaient un air parfaitement innocent.
« Dans le bus ? Mais rien de particulier, dit Audrey.
– Et toi qu’en dis-tu ?
– Comme Audrey ! Il ne s’est rien passé de particulier ! »
Il portait un survêtement qui n’était tenu, à sa taille que par un élastique. Tatie Claudie tira vers le bas et le pantalon se retrouva à hauteur de ses genoux. La culotte était descendue de quelques centimètres dans le mouvement. Il la remit machinalement à sa place. Puis, se tournant vers Audrey, Tatie Claudie la courba sous son bras et retroussa sa jupe. La culotte ne la protégeait pas beaucoup de la vigueur de la main de sa tutrice, d’autant plus que celle-ci s’égarait souvent sur les cuisses nues. Une vingtaine de claques sur chaque fesse firent réagir Audrey. Ses cuisses étaient rouges, là où la main avait frappé, et la couleur se prolongeait sous la culotte.
Tatie Claudie délaissa Audrey pour placer son mari à sa place. Il reçut la même fessée que sa femme, ce qui lui arracha les mêmes plaintes et eut les mêmes effets sur la coloration de son postérieur.
« Relève ta jupe, Audrey, nous n’en avons pas fini ! »
Debout devant leur tutrice, ils avaient perdu de l’assurance.
« Je repose ma question : que s’est-il passé dans le bus ce matin ?
– Mais je ne sais pas…
– Et toi, Audrey ?
– Rien, je vous assure.
– Je ne vois pas de quoi vous voulez... commença-t-il. »
Il n’eut pas le temps d’aller plus loin. Tatie Claudie le replaça de nouveau sous son coude.
« Attendez, je… »
Tatie Claudie fit glisser la culotte le long de ses cuisses. La fessée qui suivit fut tout aussi énergique que la première. Bien que le tissu en fût fin, la culotte avait amorti quelque peu les claques de la fessée précédente. Cette fois-ci, la peau des fesses était en première ligne. Cette deuxième fessée était bien plus rigoureuse que la première. Non seulement elle dura plus longtemps, mais la main sur la peau nue piquait bien plus qu’avant et le bruit qui en résultait résonnait bien plus fort.
Il y avait également la honte d’avoir la culotte baissée par sa terrible voisine dont il fallait tenir compte. Il n’arrivait pas à trouver cela banal, bien qu’il ne pût rien faire pour l’éviter. Il était stupéfait par le peu de prix que sa voisine accordait à ménager sa pudeur. Non seulement elle le déculottait sans hésiter, mais de plus elle n’hésitait pas à exposer son intimité en présence d’autres personnes.
La fessée ne cessa pas avant que ses cris se soient transformés en sanglots.
« Relève ta chemise ! La punition n’est pas terminée ! »
Sans s’inquiéter plus longtemps de ce qu’il faisait, Tatie Claudie reporta son attention sur Audrey.
« Attendez ! Je sais ce qui s’est passé ! C’est à cause de…
– Tu me diras cela tout à l’heure, l’interrompit Tatie Claudie. Après la fessée ! »
La rigueur de celle-ci ne laissa pas le temps à Audrey de continuer ses aveux. Audrey sentit que Tatie Claudie dénudait son postérieur et la fessée commença aussitôt.

Audrey ne s’habituait pas plus que son mari à être corrigée par sa voisine. Elle l’aurait volontiers contesté mais la seule tentative qu’elle avait fait en ce sens, la première fois où Tatie Claudie l’avait déculottée et fessée en présence de son mari, s’était soldé par un échec cuisant. La fessée à main nue avait été doublée par une deuxième donnée avec la règle et une soirée entière passée au coin. Audrey en gardait un souvenir cinglant. Elle ne tenait pas à recommencer. Tatie Claudie trouvait, à juste titre devait reconnaître Audrey, suffisamment de raison de recourir à la règle sans qu’il y eût besoin d’en rajouter.
C’est avec réticence, qu’après cette fessée, elle était venue s’asseoir à califourchon sur les genoux de Tatie Claudie. La sensation du tissu de la jupe de Tatie Claudie sur ses fesses nues lui avait rappelé sa condition de punie. Elle avait frissonné au premier contact de la main qui caressait ses fesses encore marquées par la règle. Elle n’avait pu retenir une crise de larmes que Tatie Claudie avait modérée en posant son visage sur son épaule.
Elle était restée tendue durant plusieurs minutes, raidies entre les bras de sa tutrice, comme le contact avec la main, les genoux et le corps de Tatie Claudie augmentait encore son inconfort. Puis, peu à peu, elle s’était laissée aller dans les bras qui étaient décidément bien accueillants et dans lesquels elle se sentait en sécurité.
C’est quand ses larmes avaient tari, qu’elle avait fait une dernière tentative.
« C’est pas normal, dit-elle sans lever la tête de l’épaule de Tatie Claudie.
– Qu’est-ce qui n’est pas normal, ma chérie ? La vaisselle de ce matin ne traînait-elle pas sur la table du petit-déjeuner ?
– Si, ce n’est pas ça. Si vous me donnez la fessée devant mon mari, je n’aurai plus d’autorité sur lui.
– De l’autorité sur lui ? Crois-tu que tu en aies déjà eu ? »
Le grognement qu’elle laissa échapper lui valut une bonne claque sur la cuisse nue.
« Attention ! Pas de caprice ! Je peux te donner une autre fessée ! »
La position dans les bras de Tatie Claudie, l’échange à mi-voix directement dans l’oreille de l’une à l’autre, les larmes qu’elle avait encore sur la joue, la main qui tour à tour fessait et caressait, ses fesses nues… Audrey avait eu la sensation d’être une petite fille plus qu’une adulte. Ce n’avait pas été facile, dans ces conditions, de discuter avec Tatie Claudie d’égale à égale. Celle-ci avait mis définitivement fin à la discussion.
« Il n’est pas nécessaire que tu aies de l’autorité sur ton mari. Dorénavant, je m’en chargerai. Je crois que tu as bien assez à faire à contrôler ce que tu fais, sans avoir la charge d’une autre personne. Je ne t’autorise plus à fesser ton mari. Tu n’es pas assez responsable pour cela. C’est moi qui le ferai, pour lui comme pour toi ! »
Depuis, elle subissait les fessées comme une véritable épreuve, tout en sachant, à chaque fois que la correction était méritée. Mais elle ne loupait pas une occasion de se réfugier dans les bras de sa voisine et elle se sentait fière quand Tatie Claudie lui faisait un compliment, ce qui arrivait malgré tout assez souvent.

Chaque fois que la main claquait sur ses fesses, elle avait un sursaut de douleur qui était insuffisant pour absorber la brûlure que cela provoquait. Tatie Claudie poursuivit jusqu’à ce que les larmes d’Audrey lui indiquèrent que la fessée faisait son effet.
« Allez, chacun dans son coin ! Ne croyez pas que nous en avons fini tous les trois. Réfléchissez bien à ce que vous allez me répondre tout à l’heure ! »
Dans le séjour chez Tatie Claudie, ils avaient effectivement chacun un coin dans lequel ils se retrouvaient après les fessées. Tatie Claudie exigeait qu’ils y prennent la même position que celle que Maeva et Marguerite devaient adopter en pareilles circonstances. C’était humiliant de montrer ses fesses nues portant encore les traces de la récente fessée, à qui était là. Particulièrement quand il y avait des spectateurs.
Mais comment faire autrement ? C’était inenvisageable.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui, normal ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 46
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la fessée en culotte courte... Bonjour!
    Bonjour Jçsip.
    Le régime de la fessée à tous les étages franchit un pallier dans l'immeuble de la déculottée ! Le port de l'uniforme gris initié par Tatie Claudie, offre un équivalent à l'uniformité des fesses rougies par ses soins.
    C'est fou comme les tantines ont cette inclinaison à sévir pour la bonne cause et câliner ensuite. La fessée punition est souvent suivie de marque d'affection, comme une consolation. Un juste équilibre entre l'exercice de l'autorité acceptée par le puni pour la faute commise, et la manifestation du pardon après la sanction.
    Esprit est tu là? Oui, frappeur et rédempteur, au service de valeurs éducatives justement inculquées.
    Amicalement
    Ramina

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