vendredi 5 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 48

Finalement, le temps au coin avait été trop court. Audrey n’avait pas eu vraiment le temps de décider de ce qu’elle allait avouer. De quoi Tatie Claudie était-elle au courant ? Il faillait lâcher au moins une partie de la vérité. Cela se traduirait par une fessée, mais c’était inévitable. Mais si elle connaissait toute la vérité ? Ce serait terrible ! Surtout la fessée que cela leur vaudrait à son mari et à elle. Elle n’échapperait pas à la règle. Il allait falloir manœuvrer finement.
« Revenez-ici, tous les deux ! »
C‘était le moment d’y aller. Audrey jeta un œil à son mari. Il avançait de la démarche hésitante à laquelle obligeait un pantalon baissé. Audrey se dit qu’elle ne devait pas paraître plus à l’aise avec sa culotte tendue entre ses genoux. Ils n’avaient pu se concerter tous les deux avant que Tatie Claudie ne les interrogeât. Que dirait-il ? Il devait se poser la même question à propos d’elle.
Ils se retrouvèrent tous les deux, face à Tatie Claudie comme quand elle les avait amenés ici. Il y avait une différence de taille : leur culotte était baissée et ils avaient déjà reçu deux fessées. Il y en avait d’autres qui s’annonçaient.
« Reprenons ! Que s’est-il passé dans le bus ce matin ? »
Audrey lança un coup d’œil à son mari. Il fallait jeter du lest afin de comprendre ce que savait Tatie Claudie.
« A cause de la musique ?
– Explique-toi, Audrey.
– On a mis la musique trop fort dans le bus ?
– Ne vous avais-je pas interdit d’écouter de la musique avec vos écouteurs ?
– Si
– Vous mettez toujours la musique trop fort. Non seulement ça gêne vos voisins, mais en plus, vous vous abîmez vos tympans. »
Ils regardaient tous deux leurs chaussures. C’était une désobéissance flagrante. Ils savaient comment cela finirait.
« C’était de la musique sur vos téléphones ?
– Oui.
– Je vous les confisque pendant une semaine. Vous me les apporterez demain matin avant de partir travailler. Réglons d’abord cette désobéissance. »
Tatie Claudie empoigna Audrey et elle la replaça sous son coude, refermant son bras autour de son buste. La jupe dut être remontée afin qu’elle ne glissât pas en recouvrant les fesses lors des mouvements que ferait Audrey quand Tatie Claudie commencerait à s’occuper de ses fesses. Il fallait la bloquer. Ce fut chose faite sous le bras qui maintenait Audrey en place.
Les rougeurs avaient disparu durant les longues minutes passées au coin, mais les meurtrissures dues aux deux précédentes fessées étaient encore bien présentes. Elles se rappelèrent au bon souvenir d’Audrey dès le début de cette nouvelle fessée. Quatre ou cinq claques de chaque côté suffirent, d’autant plus que Tatie Claudie y mettait une belle énergie. Mais elle ne se contenta pas de si peu. La fessée se prolongea et Audrey était en larmes quand Tatie Claudie s’estima satisfaite.
« A toi, maintenant ! »
En toute équité, elle donna une fessée en tous points équivalente au jeune homme qui avait patienté, jusque-là, la culotte baissée, attendant que son tour ne vienne. Ce sont deux paires de fesses copieusement rougies qui se tournèrent vers elle quand elle les renvoya au coin.
« Réfléchissez bien à ce que vous allez me dire ensuite ! »

Le nez dans le coin, le moral du mari d’Audrey était au plus bas. Ce n’était pas encore fini. Tatie Claudie attendait d’autres aveux. Il n’avait maintenant plus de doute. Sa tutrice savait tout de ce qui s’était passé dans le bus ce matin. Ce n’était certainement pas son petit doigt qui le lui avait dit, comme sa mère le prétendait quand il était petit, mais il devait y avoir eu un témoin qui lui avait rapporté l’affaire. Tatie Claudie ne laisserait pas ces paroles insolentes sans une magistrale punition.
La pensée de la fessée à venir, le désespérait. Il n’avait aucun doute : il y avait une autre fessée en préparation dès qu’Audrey et lui seraient autorisés à sortir du coin.
« Cela me servira de leçon, pensa-t-il. Qu’est-ce qui nous a pris d’être aussi impoli ? »
Après être descendu du bus Audrey et lui s’étaient regardés brièvement. Ce n’était pas de la satisfaction qu’il avait lue dans les yeux de sa compagne. Elle avait le regard d’une petite fille qui sait qu’elle vient de faire une bêtise. Cela correspondait tout à fait à son sentiment intérieur. Ils n’en avaient pas reparlé entre eux, mais leur attitude déplacée était restée toute la journée présente à son esprit.
Tatie Claudie l’obligeait à faire face à son comportement déplacé. Ce qui s’était passé ce matin n’était pas une situation exceptionnelle. Il n’en était pas fier, mais sur le moment, il ne pouvait s’empêcher de répondre de façon impolie quand on lui faisait remarquer, souvent à raison, un comportement qui dérangeait ses voisins.
S’il l’avait pu, il aurait fui la fessée. Il la craignait. Mais il reconnaissait que, quand Tatie Claudie y avait recours, c’était toujours à juste titre. Cette fois-ci ne dérogeait pas à la règle. Les deux fessées qu’il avait reçues ce soir étaient tout à fait méritées et celle qui s’annonçait, l’était tout autant. Même s’il ne l’aurait pas avoué à voix haute, il savait, en son for intérieur, que cette correction était nécessaire et que Tatie Claudie avait raison de la lui donner.
« Pourvu qu’elle ne soit pas définitivement fâchée après moi et qu’elle veuille bien me consoler quand ma punition sera finie ! »
Il l’entendait se déplacer dans l’appartement, sans comprendre exactement ce qu’elle faisait. Puis, elle vint s’asseoir dans le canapé et un silence presque total s’installa.

Tatie Claudie leva les yeux de son livre. Elle n’arrivait pas à se concentrer sur ce qu’elle lisait. Elle serait incapable de dire ce que contenait la dizaine de pages qu’elle venait de lire. Elle regarda ses deux pupilles chacun dans un coin, les bras croisés dans le dos.
« Mes deux grands garnements, se dit-elle en souriant. »
Elle regarda sa montre. Une bonne demi-heure qu’ils étaient au coin. Leurs pleurs s’étaient calmés, mais leurs fesses avaient encore une couleur rose foncé.
« Encore un quart d’heure et nous pourrons passer à la dernière fessée pour ce soir. »
Donner cette punition lui prendrait toute sa soirée, mais il fallait bien ça pour qu’ils retiennent la leçon. Elle devait consacrer un temps considérable pour s’occuper de l’éducation de ces deux-là. Elle ne s’en plaignait pas, au contraire. Elle avait maintenant sous sa responsabilité deux grands enfants pour lesquels elle éprouvait une très grande tendresse et ils la lui rendaient bien. Il y avait encore un travail considérable à faire, mais elle les voyait progresser à vue d’œil. C’était gratifiant.
Ils venaient de plus en plus souvent se réfugier dans ses bras. Dès qu’ils le pouvaient et pas seulement pour se faire consoler après avoir reçu une fessée. Sous les caresses, Audrey émettait un petit bruit qui ressemblait à un ronronnement et son mari gémissait tout doucement. Tatie Claudie était presque assez âgée pour être leur mère et quand elle les fessait et quand elle les tenait dans ses bras, elle avait l’impression que c’était les enfants qu’elle n’avait jamais eus. A la façon dont ils se serraient contre elle dans ces moments-là, il n’y avait pas de doute qu’ils s’y sentaient comme dans des bras maternels, accueillants, mais fermes.
« Je ne dois pas me laisser attendrir. Il faut que cette dernière fessée soit mémorable. Ma main n’y suffira pas ! »
Elle se rendit dans son bureau et elle revint avec la règle plate en bois qu’elle avait déjà eu l’occasion d’utiliser sur les fesses de ses deux protégés.
« Dès qu’ils la verront, ils sauront qu’ils sont bons pour une fessée magistrale. Je compte là-dessus pour les dissuader de recommencer. »

Audrey fit une grimace dès qu’elle se retourna. Elle avait aperçu la règle posée sur le canapé à la droite de Tatie Claudie. Elle savait ce que cela voulait dire. Les fessées à main nue avaient été vigoureuses, mais la prochaine le serait bien plus. L’expérience le lui avait appris. Son mari était déjà presque arrivé là où Tatie Claudie l’attendait, quand il vit l’instrument punitif qui était prêt à servir. Il s’arrêta, fit même un petit pas en arrière. Les sourcils de Tatie Claudie qui se froncèrent aussitôt le dissuadèrent de continuer sur ce chemin-là. Il reprit sa marche en avant, mais il avait déjà des larmes dans les yeux.
« Continuons ! Que s’est-il passé d’autre, ce matin dans le bus ? »
Il n’y eut qu’une petite seconde d’hésitation avant que le mari d’Audrey ne prît la parole.
« C’est ce qu’on a dit à la dame.
– Que lui avez-vous dit ? »
Il regarda Audrey qui prit la suite.
« On lui a répondu. »
Les yeux noirs que lui fit Tatie Claudie la poussèrent à donner plus de détails.
« … de façon insolente… malpolie…
– C’était un peu plus que ça !
– Oui… des gros-mots…
– Et que méritent des enfants qui répondent insolemment, qui sont malpolis et qui disent des gros-mots ? »
Audrey et son mari se regardèrent. Lequel des deux prononcerait la sentence que tous savaient inéluctable ? C’est lui qui se décida.
« Une fessée ?
– Oui, une bonne fessée pour chacun ! Et pour que vous compreniez bien que je ne veux pas que ça se reproduise, jamais plus, ce sera avec la règle. Je vais vous faire regretter votre comportement. Par lequel je commence ? »
Comment répondre à une telle question ? Se désigner comme étant le premier, c’était accélérer le moment où l’on se retrouverait avec des fesses cuisantes, un peu plus que cela à cause de l’utilisation de la règle. Personne n’en avait envie. A contrario, laisser l’autre y aller d’abord, c’était assister à sa fessée tout en sachant que l’identique nous était promis quelques instants plus tard. Voir ce qui allait nous arriver faisait monter l’angoisse. Pour l’avoir vécu tous les deux, ils en étaient parfaitement conscients. Tacitement, ils avaient convenu de laisser Tatie Claudie décider. Il n’y eut pas plus de quatre à cinq secondes de silence avant qu’elle ne fasse le choix elle-même.
Elle attrapa le plus proche d’elle et l’amena par la main à sa droite. En le tenant par le bras, elle l’obligea à se coucher en travers de ses genoux. Audrey fut soulagée. Ce n’était pas elle qui avait été choisie. Elle le regretta aussitôt. Elle allait devoir attendre, tout en contemplant sous ses yeux, pendant de longues minutes, ce qui allait lui arriver.
Le premier coup de règle fut suivi d’un cri étranglé qui se termina par un sanglot qui n’eut pas le temps de s’achever avant que la règle ne provoquât un deuxième cri bien plus sonore que le premier. Il réagissait à chaque coup de règle en une ruade désespérée. Ses cris couvraient presque le bruit de la règle quand elle frappait ses fesses. On entendait toutefois le claquement sec qu’elle provoquait qui perçait par-dessus les plaintes du mari d’Audrey.
Tatie Claudie prolongea la fessée tant que la règle provoquait une réaction instinctive du jeune homme qu’elle avait sur les genoux. Cela faisait longtemps que ses fesses avaient pris une couleur cramoisie. La règle ne pouvait plus la renforcer quels que soient les efforts que pouvait faire Tatie Claudie.
Quand il se releva, il n’osa pas toucher ses fesses. Certes, il y avait l’interdiction de le faire que Tatie Claudie avait empruntée à Teva, mais même si cela n’avait pas été le cas, ses fesses étaient trop douloureuses pour y poser la main.
« Tu restes-là ! »
Tatie Claudie attrapa Audrey par la main et elle la conduisit à sa droite. Elle la plaça à l’endroit que son mari venait de libérer. Audrey gémissait en répétant des « non… non » tout à fait inutiles. Le nez dans les coussins, Audrey n’attendit pas le début de la fessée pour commencer à pleurer. Cela n’attendrit pas Tatie Claudie.
La règle commença son ballet sur ses fesses. Les gigotements d’Audrey sur les genoux de Tatie Claudie devinrent mouvements incontrôlés auxquels participaient ses jambes, ses bras et sa tête. Tatie Claudie laissait faire. Cela ne l’empêchait pas de poursuivre l’administration de la fessée, sans gêner son efficacité.
Audrey avait appris à me pas mettre sa main en protection de ses fesses, quelle que soit la brûlure qu’elle y ressentait. Elle avait mis du temps à comprendre que Tatie Claudie n’admettait pas ces gestes de protection. Cela lui avait valu quelques fessées supplémentaires alors que son mari avait intégré la consigne dès ses premières fessées. Elles semblaient pourtant lui faire aussi mal qu’à Audrey.
La fessée continua bien plus longtemps que la première. C’est du moins ce qu’estima Audrey. Son mari pensa le contraire. Il était convaincu que Tatie Claudie avait été plus clémente avec Audrey qu’avec lui parce qu’elle était une fille. Tatie Claudie, elle, avait été attentive à ce que les deux fessées soient équivalentes, mais elle n’avait pas compté les coups de règles qu’elle avait administrés sur chacun des postérieurs. Elle avait été aussi loin qu’elle le pouvait avec chacun de ses deux pupilles, sans atteindre le point où la fessée aurait causé des dommages durables à la peau de leurs fesses.

« Retournez vous mettre au coin ! »
Tatie Claudie soupira. Elle espérait que la leçon serait durable. Sur le moment, elle savait bien qu’aucun des deux n’avait envie de recommencer la même bêtise. La cuisson de leurs fesses les en dissuadait. Mais elle savait bien que le souvenir s’en estomperait et ils auraient toujours l’espoir de ne pas être pris. Ils ne pouvaient autant manquer de chance à chaque fois, comme aujourd’hui.
La présence dans le bus de son amie avait été un hasard qui ne se renouvellerait pas à chaque bêtise de ses deux protégés. Il fallait qu’elle trouve une solution. L’hésitation de son amie à intervenir la chagrinait particulièrement. Alors qu’elle les avait reconnus, elle n’avait pas osé intervenir. Elle savait pourtant qu’elle aurait eu sa bénédiction si elle les avait fessés sur place. Il n’y avait aucune chance qu’une inconnue en prenne l’initiative alors qu’elle ne connaissait pas le régime disciplinaire auquel ils étaient soumis.
« Il faut que je réfléchisse à cela. Ce n’est pas satisfaisant, ni pour moi, ni pour eux ! »
Elle était intimement persuadée que si la fessée leur avait été donnée par la dame envers qui ils avaient été insolents, la leçon aurait été bien plus profitable. Malgré sa sévérité, celle qu’ils venaient de recevoir, n’aurait pas le même impact.
« Laissons-les au coin pour l’instant puis j’irai les coucher. Ils doivent sentir que je suis très mécontente de leur comportement jusqu’à ce qu’ils soient dans leur lit. »
Elle s’installa de nouveau sur le canapé et reprit son livre. Elle le reposa en n’ayant lu que quatre pages au plus sans en avoir retenu la moindre ligne.
« Comment faire ? »
Cela la turlupinait.

Elle avait réussi à se sortir ce problème de discipline domestique de la tête en se laissant happer par son livre. Cela faisait un peu plus de cinquante minutes que les deux garnements étaient au coin. Il était temps de les mettre au lit.
« Venez-ici, mes deux punis ! »
Ils se présentèrent devant leur tutrice sans avoir laissé tomber leur chemise, la culotte toujours à hauteur des genoux. Elle plaça le garçon entre ses jambes et elle le fit basculer sur sa cuisse droite. Elle vit très nettement les fesses se crisper. La crainte d’une nouvelle fessée était toujours présente. C’était une bonne chose. Tatie Claudie décida de les laisser dans cette inquiétude encore quelques minutes.
Elle fit glisser le pantalon sur les chevilles, puis le long des pieds pour l’ôter complètement. La culotte suivit le même chemin. Une claque sur les fesses.
« Relève-toi ! »
Oter la jupe d’Audrey fut plus facile. Elle se défaisait à la taille. Tatie Claudie fit tomber la culotte sur les chevilles.
« Lève ton pied ! … l’autre ! »
Audrey eut également le droit à une claque sur le haut de la cuisse. Il faillait les punir également. Ils étaient tout autant fautifs l’un que l’autre.
« En route ! »
Tatie Claudie montrait la porte de son appartement. Il n’y avait pas de doute, c’est les fesses nues qu’il leur faudrait traverser le palier qui menait vers leur logement. Tatie Claudie ne faisait aucun mystère des fessées qu’elle leur donnait. Elle les évoquait au détour d’une conversation et ils avaient déjà passés, tous deux, plusieurs longs moments au coin sur le palier leur culotte baissée. Il n’était donc pas question d’opposer une pudeur d’adulte ou une tenue indécente pour s’épargner quatre ou cinq mètres les fesses à l’air.
Tatie Claudie ouvrit la porte.
« Allez ! »
Audrey hésita. Mal lui en prit une bonne claque sur les fesses la décida à avancer. C’était un avertissement. Il n’y en aurait pas de deuxième. Ce n’était pas dans les habitudes de Tatie Claudie.
Ils n’avaient fait que deux pas hors de l’appartement quand du bruit, venant du hall de l’immeuble, monta dans la cage d’escalier. Il y eut quelques mots indistincts échangés entre deux personnes qui parvinrent jusqu’au premier étage. Il n’y avait qu’un étage à monter et Tatie Claudie qui ne se pressait pas.
Les voix se rapprochaient. Elles venaient maintenant des premières marches de l’escalier. Tatie Claudie introduisit, dans la serrure, sa clé de l’appartement d’Audrey et de son mari. Les deux personnes qui approchaient en étaient arrivées au demi-palier. Elles déboucheraient dans quelques secondes.
La porte de l’appartement se referma juste au moment où les deux personnes arrivaient au premier étage. Audrey se rendit compte que son cœur battait la chamade. Elle s’accota contre le mur pour récupérer de la peur qu’elle venait de ressentir. A côté d’elle, son mari était tout blanc. Tatie Claudie ne les laissa pas souffler. Chacun reçut une claque sur les fesses.
« Dans la chambre et plus vite que ça ! »

Tatie Claudie acheva de déshabiller Audrey. Enlever un chemisier, un soutien-gorge et des chaussettes, cela ne prit pas beaucoup de temps. Une nouvelle claque sur les fesses expédia une Audrey toute nue dans la salle bain.
« File te laver les dents ! »
Il ne fallut pas plus de temps et une claque sur les fesses pour que son mari la rejoignît. Ils effectuèrent leur toilette sous la stricte supervision de Tatie Claudie. La salle de bain possédait deux lavabos. Ils pouvaient voir Tatie Claudie dans le miroir qu’il y avait devant eux. Ce n’était pas la première fois qu’Audrey et son mari se tenaient nus l’un devant l’autre. Mais c’était la première fois depuis qu’ils étaient des enfants, que se tenait derrière eux une femme qui avait l’âge d’être leur mère et qui surveillait scrupuleusement leur toilette intime.
Ni l’un ni l’autre ne protesta quand Tatie Claudie écarta les fesses pour estimer la propreté de la raie ou quand elle leur ordonna d’écarter les cuisses pour vérifier leur entre-jambes. Ce ne fut qu’une fois revenus dans la chambre que Tatie Claudie leur passa une tenue de nuit. La nuisette d’Audrey fut jugée trop légère, ce dont elle comprit l’importance quand elle reçut un début de fessée : quatre bonne claques sur ses fesses nues.
« Demain je te trouverai autre chose pour dormir ! Tu ne peux passer toutes tes nuits avec une tenue aussi indécente. »
Tatie Claudie ouvrit les couvertures.
« Au lit, tous les deux ! »
Ils s’allongèrent tous les deux sur le ventre. Leur postérieur n’était pas encore capable de supporter leur poids. Tatie Claudie éteignit la lumière après les avoir bordés.
« Je ne veux plus vous entendre ! C’est l’heure de dormir ! Si je dois revenir… »
Le mari d’Audrey pensa brièvement qu’il ne devait pas être plus de vingt-et-une heure trente. Un peu tôt pour dormir ! Il oublia cette idée quand Tatie Claudie vingt s’asseoir près de lui et qu’elle commença à lui masser le cou. Il sentit la main qui descendait dans son dos. Il se fit tout mou et laissa Tatie Claudie approfondir la caresse qui alla jusqu’à ses fesses. Cela ranima un peu la douleur, mais elle disparut bien vite. Il ferma les yeux. Toute l’angoisse qu’il avait accumulée dans la soirée s’évapora comme par magie. La fatigue l’emporta, mais il pouvait dormir rassuré : Tatie Claudie n’était plus fâché avec lui.
Elle sentit la tension dans les épaules d’Audrey quand elle commença à les masser. Elle s’envola au fur et à mesure que la main de Tatie Claudie s’emparait du dos de la jeune femme. Audrey adopta très vite une respiration lente et régulière, celle d’une petite fille qui s’endort.

Tatie Claudie regarda ses deux enfants en souriant. Elle ferma doucement la porte de la chambre. Elle pouvait rentrer chez elle. Aucun risque que ces deux-là ne se réveillent. La fessée leur avait été profitable.
« Il faudra bien que je trouve une solution à mon problème. Je ne peux pas les surveiller toute la journée ! »
Cela la rendit pensive. Il y avait bien une solution. Oui certainement, mais laquelle ?


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui, normal ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 47
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


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Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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