lundi 15 mars 2021

Les rebelles - chapitre 53

 La période de confinement ou de couvre-feu renforcé, est dans certain cas le catalyseur pour que les couples explosent, car de se retrouver toute la journée dans des surfaces réduites, les uns sur les autres, peut cristalliser des tensions qui dans un autre contexte passeraient inaperçues.

C’est ce qui arrive à une famille de notre quartier. Guy G. quarante et un ans, Lara G. quarante et un ans et leur deux garçons, Maxim dix-sept ans et Tom quatorze ans.

Couple mixte franco-russe, Guy G. est un directeur d’une banque, Lara G. est traductrice pour une société de la région ( Sud-Translate ) et leurs deux fils sont à Ste CROIX.

Dans les premiers temps, le télétravail était adapté pour répondre au besoin de confinement, mais ayant abandonné les autres activités sportives, culturelles et sociales, l’ambiance est rapidement devenue presque invivable et ce n’est pas les promenades du chien ou la permission d’aller courir dans le quartier qui a détendu l’atmosphère.

En fait, tout évènement, même mineur, devient source de disputes et de conflits. C’est dans ces cas-là que l’on se rend compte que nous ne sommes pas faits pour rester cloitrer.

Maxim et Tom tournent également en rond. Parfois, Victoria vient rendre visite à Maxim, son copain, mais l’atmosphère pesante rejaillie négativement également sur les deux adolescents.

La solution est de mettre un peu de distance entre les époux. Lara G. reste dans l’appartement avec les deux enfants et Guy G. part chez ses parents. Cette solution est censée apaiser les tensions et que les époux retrouvent une sérénité pour reprendre une vie commune lorsque la vie aura retrouvé un aspect plus normal.

L’effet pervers de la situation est que la liberté donne des ailes et Guy G. en profite pour transgresser les règles du mariage, jusqu’au jour où Lara G. se rend compte que son mari a une maitresse. En fait, un jour, Lara G. téléphone à son mari, censé être en train de travailler à distance mais sa mère lui dit qu’elle ne l’a pas vu depuis deux jours et c’est ainsi que Lara G. découvre de pot aux roses.

D’abord éberluée par la nouvelle, Lara G. passe par tous les états, jusqu’à être très en colère contre son mari, qui profite de la situation pour prendre du bon temps avec ses collègues féminines qui ne demandent pas mieux.

Après une franche explication, Guy G. et Lara G. décident d’enclencher une procédure de divorce, ce qui créé la zizanie dans la famille avec notamment une rébellion de la part des deux ados qui ne voient pas la séparation de leurs parents du meilleur œil.

Les deux époux prennent un avocat et se rendent dans les réunions de médiations pour faire le point sur leur situation et la médiatrice Claudie R. tente de tout faire pour que les époux renouent le dialogue et sortent de cette impasse.

« La période est compliquée pour tout le monde mais ce qu’est pas une solution que de divorcer ! » dit la médiatrice

« Nous nous étions séparés provisoirement afin que chacun de nous retrouve de la sérénité et revienne avec de meilleurs sentiments, par contre, Guy en a profité pour me tromper avec des greluches de son bureau » s’emporte Lara G.

« C’est vrai ça, Monsieur G. ? » s’étonne Claudie R.

« Euuuh... ben.... euuuh... ben... mouiiii, j’ai été faible et j’ai cédé à deux de mes collègues qui me draguaient déjà depuis un certain temps. Mais c’est de la faute de mon épouse, elle est trop envahissante. Je dois tout le temps faire tout ce qu’elle veut » tente de se défendre Guy G.

« C’est pour le bien de la famille. On se réparti les tâches ! Il n’y a pas de raison que tout retombe sur moi seulement ! » se plaint Lara G.

La discussion dans le bureau de la médiatrice est houleuse. Chacun des époux se rejette la faute et les petits tracas de la vie commune sont exacerbée pour devenir de véritables obstacles.

« Monsieur G., en ce qui concerne votre adultère, la loi ne prévoit aucune punition, mais notre département est plus strict et le sanctionne corporellement » annonce Claudie R.

« Corporellement... qu’est-ce que ça veut dire ? » s’inquiète Guy G.

« Au moins cinquante cinglées aux verges sur les fesses nues ! » lui répond Claudie R.

« On ne peut pas fesser un adulte ! C’est réservé aux sales gosses, ce genre de choses ! » s’offusque Guy G.

« Absolument pas. Si la faute est avérée et, dans le cas présent, vous n’avez pas nié, la peine encourue est la fessée, les fesses à l’air et en public, de préférence, pour bien marquer la chair et l’esprit » affirme Claudie R.

« Je ne me laisserai pas faire ! Soyez en sûre Madame la médiatrice »

« Ce qui ne serait pas une bonne idée. En cas de récidive ou de refus, notre instance pénale prévoit le double de cinglées et au fouet » lui répond Claudie R.

« Je suis sûre que ça va me plaire de l’entendre pleurnicher... » dit Lara G.

« Ne vous réjouissez pas trop vite Madame G., car votre mari a relevé des endettements sur l’argent du ménage. Nous allons examiner votre cas, également » intervient Claudie R.

« Cet argent est le sien comme le mien ! Nous travaillons tous les deux et nous pouvons faire ce que nous voulons »

« Oui, c’est exact, Madame G. mais votre mari aurait dû être au courant de ces transactions. Vous auriez pu mettre votre famille en surendettement, avec ces prélèvements. Le couple doit avoir une vision nette des dépenses pour pouvoir anticiper les imprévus » lui répond Claudie R.

« Et... qu’est-ce que je risque ? » s’inquiète Lara G.

« Dans le cas actuel, il n’y a pas d’endettement, mais le niveau du compte est fort bas, donc quarante cinglées aux verges sur les fesses nues, seront suffisantes. Vous serez mis sous tutelle durant quelques mois, de façon à contrôler que les enfants ne pâtiront pas de ces dépenses intempestives et lorsque les finances seront revenues à un niveau correct, nous lèverons la tutelle »

En entendant les potentielles punitions, les deux époux se rejettent la faute l’un sur l’autre, car ils savent que la fessée aux verges est très douloureuse et laissera des marques durant un petit moment. Claudie R. est obligée de les camer pour que ça ne dégénère pas en pugilat.

« Vous reviendrez me voir la semaine prochaine. Entre temps, nous examinerons les faits avec le juge et nous prendrons les décisions qui s’imposent »

Même en sortant du bureau de la médiatrice, Monsieur et Madame G. se querellent encore.

Virginie B., l’avocate de Lara G., n’est pas très confiante, car avec une médiation qui se passe mal et les torts des deux côtés, la procédure de divorce sera assez compliquée. Lara G. a beau tenter de convaincre son avocate, celle-ci ne peut pas aller contre la loi mais Lara G. ne lâchera rien, ne serait-ce que pour ses enfants. Elle est décidée à aller au bout de son divorce et de se défaire de l’emprise néfaste de son mari sur elle.

« Lara, vous avez l’occasion de faire un divorce à l’amiable. Il y aura bien des concessions à faire, mais ça pourra aller. Si vous vous entêtez, il y aura des conséquences, car le juge va s’en mêler et vous avez entendu ce que la médiatrice a dit, ça pourra être les coups de verges » dit Virginie B.

« Les coups de verges ne sont rien à côté de ce que ça pourra être si je ne fais rien. Mon mari me trompe et il me fait porter tous les torts. Je ne peux pas laisser passer ça » lui répond Lara G.

« J’enregistre votre position. Mais ne venez pas vous plaindre après ! »

Durant quelques semaines, les deux époux vont à la médiation, mais il n’en sort aucune avancée. Les époux restent sur leurs positions et la médiatrice décide d’envoyer le dossier devant le juge des affaires familiales, seule solution pour sortir de l’impasse.

Le jour du jugement, les époux, leur avocat respectif et le juge sont présents.

Après l’énoncé de l’état des lieux de la médiation, le juge, un homme assez autoritaire, s’adresse aux deux époux :

« Votre cas est des plus simples et même avec ce cas courant, vous n’avez pas réussi à vous entendre ! Vous avez des torts partagés ! J’espère que vous vous rendez compte que vous me faites perdre mon temps ».

Les deux avocats défendent leur client et mettent toute la responsabilité sur l’autre époux. L’un pour avoir détourné de l’argent du compte commun et l’autre pour adultère.

A la fin des plaidoyers, le juge enregistre les plaintes et les points de défense et rend son verdict :

« Monsieur G., l’adultère est sanctionné dans notre département. Vous auriez dû attendre l’annonce de votre divorce pour aller taquiner vos collègues... Je vous condamne à recevoir soixante coups de verge sur les fesses nues. Quant à vous, Madame G., l’argent pris sur le compte aurait pu mettre la famille dans une situation financière délicate. Je vous condamne donc à quarante coups de verge sur les fesses nues. La justice est rendue ! Vous allez passer à côté, vous déshabiller entièrement pour recevoir votre correction ».

« Je suis désolée pour vous Lara. Je vous l’avais dit. Vous n’auriez pas dû vous entêter. Qu’avez-vous gagné, maintenant ? Vous êtes dos à dos avec votre mari et vous allez être fessée »

« Je sais, mais au moins Guy ne s’en tirera pas à si bon compte »

Les fesseuses du palais de justice incitent les deux époux à se dévêtir plus rapidement, car elles trouvent qu’ils lambinent un peu trop.

« Allez cher Monsieur, faites-nous voir vos fesses et plus vite que ça... Maintenant, retrousser la peau et exhibez votre gland qu’on en profite un peu ! A moins que vous souhaitiez que ce soit nous qui la fassions ? »

Timidement, Guy G., tout épilé, retrousse son prépuce et découvre son gland. L’humiliation le fait être en érection.

« Et ben voilà ! C’était pas si compliqué que ça. Quel bel engin... Maintenant prenez place sur le banc à fessée »

Les deux fesseuses l’attachent solidement de façon à ce qu’il ne puisse pas bouger. Après lui avoir attaché les mains et les pieds, elles lui sanglent le bassin. Les deux femmes prennent leur bouquet de branches de bouleaux et se mettent en position.

Sur l’ordre du juge, les deux fesseuses fustigent, chacune leur tour, les fesses du prévenu. La chaleur commence à faire effet dès les premières cinglées, ce qui fait remuer et grimacer Guy G.

Plus les cinglées pleuvent et plus Guy G. à l’impression que ses fesses s’embrasent. Après des gémissements, il crie puis hurle de douleur en se débattant de toutes ses forces. Ses fesses sont griffées par les tiges de bouleaux qui labourent la chair. Guy G. s’époumone à demander pardon et à implorer la fin de cette correction. Il jure qu’il ne draguera plus ses collègues et qu’il a compris.

Virginie B., l’avocate de Lara G. dit à sa consœur :

« Qu’est-ce qu’il beugle, ton client ! Non mais, regarde-le se débattre. Aucun courage... »

« C’est vrai qu’il n’en mène pas large, le mec ! Mais t’as vu l’état de ses fesses ? il ne pourra plus s’assoir durant plusieurs jours... On verra comment ta cliente va réagir lorsqu’elle va se faire marquer les fesses. Regarde-la, ses tétons sont déjà tous dressés et elle doit mouiller de trouille, je parie »

« Ouais, t’as raison. On a en de la chance d’assister à cet excitant spectacle, je me sens toute chose, moi... » lui répond Virginie B.

Lorsque les soixante coups de verge ont été donnés à Guy G., c’est au tour de Lara G. de passer sur le banc à fessées. Les fesseuses détachent et relèvent Guy G., les fesses toutes griffées et très rouges.

« Alors mon biquet ! Tu vois ce que ça fait l’adultère ? Ça va calmer tes ardeurs durant un certain temps, ça ! » ironise l’une des fesseuses.

En se relevant, les spectateurs constatent que Guy G. est toujours en érection et il a éjaculé dû aux contractions et aux ruades durant sa correction.

« Eh bien voilà un beau membre, tout dressé... Ça t’a excité, mon coco ? Tu veux peut-être un supplément ? » lui dit l’autre fesseuse

« Nooon, pitié, pas de supplément, ça brule trop ! » implore Guy G.

Guy G. est mis de côté, penché en avant, les cuisses écartées, en soin avec une infirmière. On peut l’entendre gémir lorsque l’infirmière lui étale de la lotion.

« Maintenant, à vous Madame. Laissez-vous faire ! » demande une fesseuse à Lara G. qui résiste.

« NOOON, PAS CA, NOOON ! Je ne veux pas être fessée. C’est trop injuste. C’est mon mari qui m’a trompé, moi, je n’y suis pour rien ! LAISSEZ-MOI ! NOON ! »

« Je suis désolée Madame G., mais la justice a été rendue et nous n’y pouvons rien. Il faut juste accepter » dit la fesseuse en installant de force Lara G. sur le banc à fessées.

Lorsque Lara G. est sanglée, les deux fesseuses prennent des bouquets de branches de bouleaux neufs et commencent à lui cingler les fesses et les cuisses qui a toutes les peines du monde à retenir ses cris. Les spectateurs la voient grimacer, la bouche ouverte, prête à hurler, tant la cuisson est dure à supporter.

« Et ben, t’avais raison, elle mouille sacrément la cocotte, regarde sa fente ! » dit une des avocates à sa consœur.

« Encore plus que ce que je pensais ! Et pis l’ot’ avec son membre dressé et son bout rouge, regarde-le comme il est excité de voir sa femme se faire fouetter... »

Soudain, pendant que les deux avocates se régalent en discutant du traitement qui est infligé à leur clients, Lara G. pousse un hurlement strident, n’y tenant plus, en se débattant dans tous les sens.

« Ah, quand même... je me demandais quand elle allait chanter ! » dit Virginie B.

« T’es pas trop compatissante avec ta cliente, dis donc ? »

« Ni toi avec le tien... J’ai fait ce que je pouvais pour elle, le juge l’a condamnée. Maintenant, je profite pleinement du spectacle, mais entre nous, j’adore ça, les voir gesticuler et brailler ! Après ça, je pourrais leur demander n’importe quoi, ils le feraient... C’est un véritable sentiment de toute puissance ! »

Soudain, les hurlements cessent pour faire place à des gémissements et aux pleurs de la punie, car sa correction est terminée.

Les deux fesseuses détachent Lara G. et l’amènent à l’infirmière pour les soins. Lara G., les fesses en fusion, en larmes, est moite de sueur, tant elle s’est démenée. Elle boite et grimace de douleur à chaque pas.

« Bon, Monsieur, Madame, vous êtes revenus à de meilleurs sentiments ? » demande le juge.

Guy G. et Lara G. acquiescent comme quoi ils ont compris la leçon. Ils se rhabillent sommairement, car le contact du tissu avec leurs fesses leur est insupportable. Ils ont l’impression que des fers rouges viennent toucher une nouvelle fois leur épiderme et après ce qu’ils viennent de prendre, ils font tout pour que la cuisson ne dure pas.

« Je prononce votre divorce selon les termes qui vous ont été communiqués ! Je vous recommande de vous tenir à carreaux, car n’oubliez pas que vous êtes sous tutelle et dans ce cadre, les punitions pourraient être prononcées pour l’un ou l’autre voire les deux » leur annonce le juge des affaires familiales.

En silence et les fesses en feu, les deux ex-époux quittent la pièce, accompagnés de leur avocate.

Après s’être rhabillé, chacun des époux regagne son domicile pour récupérer de la raclée qu’ils viennent de subir. Le chemin du retour est des plus douloureux, car chaque pas leur provoque des brulures, les contraignant à s’arrêter de temps en temps pour reprendre leur souffle.

« Bonjour Madame G., ça n’a pas l’air d’aller ! » lui demande Olga qui la croise au détour de la rue commerçante.

Toute rouge de devoir avouer sa fessée devant une femme plus jeune qu’elle, Lara G. lui dit qu’elle a des courbatures provoquées par un excès de sport. Olga n’est pas dupe, car ayant déjà reçu à maintes reprises des fessées, elle en en reconnait les symptômes.

« Vous ressemblez à quelqu’un qui vient de se prendre une fessée, je me trompe ? » tente de l’influencer Olga.

« Euh... Non... Pas du tout, ce sont juste des courbatures ! Je ne suis plus une sale gamine »

« Vous semblez marcher comme sur des œufs, et ça, c’est très révélateur... et vous transpirez... »

« Bon, oui, tu as raison, Olga, j’avoue ! Je sors du bureau du juge et il m’a condamné à recevoir la fessée pour avoir fait des dépenses qui ont mis la famille proche du surendettement »

« Ah ! j’en étais sûre. Voulez-vous que je vous accompagne chez vous, je pourrais vous aidez aux soins ? Je sais ce que ça fait d’être seule, on arrive pas à se soigner »

« Oui, d’accord. Mes fils ne sont pas là, tu pourras me soigner en toute discrétion, car devant mes enfants, je ne vais pas oser ! »

« Il faudra bien, car vous ne pourrez pas garder quelque chose sur vous, ça va trop bruler »

« Mais que vont-ils penser de moi ? »

« Vous leur expliquerez la situation, vos fils sont grands, ils comprendront ! »

Arrivées chez Lara G., Olga l’aide à se dévêtir.

« Ah, la vache... ça doit bruler, ça ! »

« J’ai été fouettée aux verges et elles n’y ont pas été de mains mortes »

« Vous garderez des traces durant plusieurs jours. L’épiderme est bien griffé... »

Les deux femmes passent une partie de l’après-midi entre les soins et discussions de toutes sortes, jusqu’au moment où Victoria, Maxim et Tom rentrent de l’école. Ils trouvent leur mère, nue, les fesses en piteux état.

« Mais qu’est ce qui s’est passé, Maman ? Qui t’as fait ça ? » Demande Maxim, l’ainé des fils.

« Ne vous inquiétez pas, j’ai été fouettées par le juge des affaires familiales et votre père également, car nous avons des torts partagés et le juge nous l’a fait payer »

Victoria, est super gênée, car c’est la mère de son copain et la voir nue, les fesses marquées, la met mal à l’aise.

« Je suis désolée, Victoria que tu me vois comme ça, mais je n’ai pas le choix, j’ai les fesses en feu. Je ne pensais pas que vous rentreriez aussi tôt »

« Eh bien, comme ça, les choses sont claires, au moins » ajoute Olga.

Quelques jours plus tard, Lara G. envoie le film de sa correction à Olga, preuve de sa confiance. De son côté, Olga, ravie de l’avoir nous invite pour le visualiser. Devant ces vidéos très excitantes, nous avons du mal à nous retenir de nous caresser. Durant tout le film, Théo et Olga ne se gênent pas pour s’embrasser tant et plus. Nous savons que dès que nous partirons, excités comme ils sont, ils se feront furieusement l’amour...



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 52

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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4 commentaires:

  1. Amis de la poésie, et de la fessée en non consentement mutuel, Bonjour Bonjour Elena,

    Eh oui, ça devait arriver, mais quelle idée de retourner chez ses parents en pleine épidémie. Il faut croire qu'il y avait déjà de l'eau dans le gaz, avant le confinement, entre Guy et Lara G,( comme maintenant, G. mal aux fesses ! ) pour que la promiscuité fasse exploser la bouteille de butane. La goutte d'eau qui met le feu aux poudres! Guy en profite pour aller courir la gueuse et Lara, pour creuser le déficit budgétaire du ménage.
    Là on est quand même dans le classique, rien de nouveau sur la répartition des rôles: Les hommes sont coureurs et les femmes dépensières...
    La justice balance pour la fessée déculottée et les Dames exécutrices de la sentence vont se régaler, comme les avocates qui s'en payent une tranche en plus de leurs honoraires. Les liens du mariage un peu distendus, se resserrent sur les mains et les pieds des époux fautifs qui ont beau ruer dans les brancards... ils se font étriller le derrière en long en large et en travers. Là où la justice passe, les fessiers trépassent!
    Guy n'a pas la trique que sur les fesses, au verso aussi, au point d'en abreuver les sillons d'un réflexe éjaculatoire incontrôlé. Allélouia, miracle de la fessée! Lara, qui connaît la chanson du même nom, en pousse une sous les verges, mais beaucoup plus pathétique celle là, au point de s'en laisser fuiter le calice jusqu'à la lie...

    On ne change pas les équipes qui gagnent. Les punis stimulés par les fessées s'excitent comme des taupes devant une paire de lunettes, et les flagellantes prennent leur pied jusqu'à l'entre-cuisses.
    Les filles en profitent pour s'en faire tout un cinéma et se polir le clito devant le film des fessées. Théo et Olga, le feu aux fesses mais pas pour les mêmes raison que les punis, sont au bord du jardin des délices.
    Pour une fois ce sont les rejetons qui constatent les dégâts sur les fesses de leurs parents indisciplinés. Tout peut arriver, dans le petit monde de Dona Camilla Eléna...
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
    Guy G. a eu la très mauvaise idée de tromper sa femme. Cela lui vaudra, décision du tribunal, soixante coups de verge. Lara, sa femme, n'aurait peut-être pas dû soulever ce lièvre. Comme elle a, de son côté, l'enquête, le prouvera, détourné de fortes sommes prises sur le bien commun, elle recevra quarante coups de verge. Les avocates sont ravies: plus le temps passe et plus elles apprécient de voir leurs clientes sanctionnées de la sorte. Assister aux punitions qu'elles reçoivent les met dans tous leurs états. Olga, quant à elle, a la chance de se voir confier le film de cette punition. Elle en fera bon usage et ne manquera pas d'en faire profiter ses petites camarades.

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  3. Bonjour à toutes et tous.
    Un nouveau thème est abordé dans ce chapitre. Celui des relations humaines lorsque, confinement oblige, les gens ont un trop plein de promiscuité ! Parfois, ça use... Comme quoi, l'homme est fait pour vivre au grand air !
    Amitiés.
    Elena.

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  4. Bonjour Elena, bonjour Ramina et François-Fabien,

    Récit parfait. Situation plausible. L'affaire se corse... "Tant va la cruche va à l'eau, qu'à la fin, elle se casse !" Dixit un dicton populaire. Et devant un public féminin, l'issue était prévisible.
    J'aurais bien vu l'intervention d'une conseillère conjugale... Sait-on jamais.
    Amicalement. Peter.

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