mardi 9 mars 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 15

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

CHACUN SON TOUR, OU LA FESSEUSE, FESSEE

L'irruption inattendue de Walter jeta un froid. Ce ne fut, cependant, pas suffisant  pour  atténuer la cuisson des fesses d'Andrew, qui débordaient presque entièrement de son slip. Les élastiques s'étaient progressivement enfoncés dans la raie sous l'effet de la fessée.  Ô temps suspend ton vol, Bettina, en arrêt sur image, suspendit aussi son geste et resta quelques secondes les doigts sur les élastiques. Walter, interloqué par ce qu'il voyait, demeurait immobile, les bras ballants, planté à la porte du salon, comme un couteau dans une motte de beurre.

– Mais... mais... Bettina... enfin...qu'est-ce... qu'est-ce que tu fabriques...là ?

Bettina, pas gênée le moins du monde, répond sans se démonter, avec un air beaucoup plus rigolard que navré. Ça l'amusait plutôt de voir la tête de son mari et son air complètement ahuri. Elle commence déjà à le provoquer.

– Enfin  Walter, tu le vois bien, je suis en train de déculotter ce jeune homme pour mieux lui rougir les fesses. Et pour ça, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée.

– Co... comment ça  dé... déculotter... mais... mais pourquoi , et c'est qui d'abord ?

– Je viens de te le dire, pour lui flanquer une fessée déculotté . Et le jeune homme, c'est Andrew, voyons !

Walter qui ne l'avait encore jamais vu, n'était pas plus avancé pour autant.

– Andrew ? Andrew ?... Connaît pas ! Il hoche la tête, agacé. C'est qui ce loustic ? Et qu'est-ce qu'il fait  devant toi, le cul à moitié à l'air ?

  Décidément tu n'es au courant de rien mon pauvre ami , soupire Bettina en levant les yeux au ciel. Ce loustic, comme tu dis, c'est un étudiant anglais, au pair, chez les Delaniaires.

– Un étudiant... Anglais en plus ! Au pair, au pair ! ... Moi ce que je vois, c'est une paire de fesses que tu as trouvées pour t'amuser ! C'est plus fort que toi hein , la fessée... toujours la fessée, il t'en faut toujours plus ! Tu n'as pas autre chose à faire que de claquer des derrières !

– Si bien sûr, mais j'adore ça, claquer des derrières, figure-toi... Ça m'excite et ça me détend en même temps !

 Andrew, les fesses cuisantes, en position délicate entre Monsieur et son épouse, n'ose pas se retourner. Il essaye de suivre la conversation, sans vraiment tout comprendre, sinon que le mari n'est pas vraiment content. Bettina le tient toujours debout entre ses cuisses, jouant à tendre et détendre l'élastique de son slip sur ses hanches, sans encore le baisser. La présence de Walter, ne l'a pas fait renoncer à lui flanquer sa fessée déculottée.  Au contraire.

 

  Andrew a mérité une bonne correction, et je vais continuer à la lui mettre, ici, que ça te plaise ou non !

Maline, elle détourne alors la conversation, en renversant la situation d'un revers de mauvaise foi, croisé le long de la ligne. 

– Mais d'abord, qu'est ce qui te prend de rentrer si tôt ? Je croyais que tu avais ta partie de cartes à '' l' Olympic '', avec Edouard, Douglas et ton cher ami Aristide Duplessy, 

Walter, pris de court, se laisse emporter sur le sujet.

– Et bien justement...Aristide. On a été obligé d'annuler parce qu'il n'a pas pu venir. A trois, c'est impossible de jouer. 

Bettina, à qui rien n'échappe, est, bien sûr, au courant de l'histoire du martinet que Régine avait rapporté chez Astrid Delaniaires pour faire modifier le manche. Elle n'ignore rien, non plus, de la magistrale séance de fessées qui s'en est suivi dans le magasin, mais elle fait semblant de s’apitoyer.

– Mince alors, c'est pas de chance ! Qu'est-ce qu'il lui est arrivé au pauvre Aristide. Il a eu un accident ? Il est malade ?

– Comme si tu ne savais pas, dit Walter qui commence à s'énerver. Il sait que Bettina, sait, et que, du coup, tout le monde sait dans le quartier. Il s'est pris, hier soir, une grosse fessée par sa femme, avec le manche de son martinet dans le cul... Un gros en plus remodelé !

– Oui... Et alors ! Ça doit être jouissif, une fessée avec un manche de martinet enfoncé dans le derrière ! Bonjour les sensations fortes, moi j'adorerai ! Ça donne envie d'essayer.

Walter est habitué aux provocations de sa fantasque épouse et ne relève pas.

– Tu parles des sensations ! Elle tape dur la Régine, et vicieuse avec ça, avec ses airs de grande bourgeoise distinguée. Maintenant, il a le troufignon en choux fleur et ne peut même pas s'asseoir. 

 Andrew qui a compris l'essentiel de la conversation, frémit d'horreur. Il serre instinctivement les fesses, comme s'il avait déjà mal au rectum. Bettina rit, le coup du manche de martinet l'a inspirée. Elle glisse la main dans son slip par dessous l'élastique, et, comme si de rien était, lui enfonce lentement un doigt entre les fesses. Elle les sent encore délicieusement cuisantes de la fessée qu'elle vient de lui mettre.  

– Et alors ? dit-elle innocemment, en lui détendant le trou de balle d'un petit massage assouplissant de l'index. Je ne vois pas le rapport avec votre partie de cartes...

Elle remonte la raie des fesses sur toute la longueur et sort discrètement la main du slip.  Walter ne s'est aperçu de rien . 

– C'est pas possible, tu le fais exprès ! dit-il . Il n'allait tout de même pas jouer debout, puisque je te dis qu'il ne peut pas s'asseoir !! Sa femme lui a mis le cul en compote !

Walter était un homme simple, dans le bon sens du terme. Un brave type, de nature calme, plutôt taciturne, qui se mettait rarement en colère. Deux choses pouvaient le mettre hors de lui et l'amener à fesser sa femme, qui ne demandait que ça . Ne pas pouvoir mettre la main sur sa bouteille de Genièvre,  que Bettina cachait parfois pour l'empêcher de trop picoler, ou d'apprendre qu'elle s'était encore laissé peloter les fesses par un inconnu. Pire quand c'était quelqu'un qu'il connaissait. Le reste du temps, c'était elle qui le corrigeait, pour ses négligences, son manque de participation aux tâches domestiques, sa nonchalance exaspérante et ses sorties de bistrots un peu trop arrosées. Et ça faisait un nombre appréciable de motifs de fessées. Elle n'en ratait aucune.

Dans le cas présent, il avait beau être habitué aux frasques de sa femme, à son imprévisibilité et à sa manière de le provoquer, Walter se dit  qu'elle commençait vraiment à exagérer. Au bord de se mettre en colère, il en devenait presque pathétique.

– Je ne sais pas ce que vous avez les bonnes femmes, mais faudrait peut-être vous calmer un peu avec les dérouillées. Il y a des derrières qui n'arrivent plus à suivre !

Bettina le regarde avec un sourire narquois.

– Mais mon ami, si vous ne nous donniez pas autant de raisons de vous corriger, ça se passerait mieux pour vos fesses. Elle ajoute avec un air navré. Mais ça nous manquerait, de ne plus vous flanquer aussi souvent, les fessées déculottées dont vous avez besoin... C'est qu'on s'habitue au plaisir de vous claquer le derrière !

 Walter est soudain redevenu petit garçon.

– Oui, mais quand même, il y a des mo... ments ...

La fin de sa phrase s'étrangle dans sa gorge, quand il voit Géraldine sortir du couloir qui mène aux chambres et à la salle de bain. Cela faisait un moment qu'elle attendait là, à l'abri des regards, en écoutant la conversation.  Elle avait eu plusieurs fois du mal à ne pas rire .

– Bonjour Walter, dit-elle d'une voix suave. Je dérange, peut-être ?

Le sang de Walter fait carrément demi-tour pour repartir dans l'autre sens. La bouche en cul de poule, il roule des yeux étonnés, comme s'il venait de voir apparaître le fantôme de Bernadette Soubirou en porte jarretelles, flottant au-dessus du canapé, un martinet dans une main, un tube de Dolpic dans l'autre.

– C'est... c'est vous Géraldine... mais qu'est-ce que vous fichez ici, nom de Dieu ?

Géraldine n'est pas du genre à se laisser impressionner. Elle connaît le caractère soupe au lait de Walter et sait comment retourner ce genre de situation à son avantage.

– Oh c'est tout simple, je suis là parce que Bettina m'a invité à venir.

Il agite plusieurs fois la main devant ses yeux comme pour chasser des mouches qui n'existent pas. Son regard hagard, passe plusieurs fois de Bettina à Géraldine puis à Andrew, toujours debout  entre les cuisses de sa femme. Le pantalon sur les chevilles, les fesses en exposition, il attend sa deuxième fessée. Walter semble reprendre ses esprits.

  Enfin qu'est-ce qu'il se passe ici ?  Bettina, tu peux m'expliquer ce que cet Andrew de mes paires, fabrique ici le cul à l'air, avec Géraldine ! Vous êtes en train de lui filer une raclée c'est ça, ici, dans le salon  ? Et je peux savoir pourquoi ?

Bettina pas plus impressionnée que ça, très à l'aise même, se décide à déculotter son puni qui, après l'exploration impromptue de son intimité anale, gémit de honte.

– Bravo Walter, tu as deviné, il s'agit bien d'une raclée, et une bonne encore !  dit-elle en faisant bruyamment claquer l'élastique du slip de l'anglais au milieu de ses cuisses. Parce que maintenant c'est la fessée déculottée, et j'ai même invité Géraldine à venir y assister.

– Oui je vois ça, et pendant que j'avais le dos tourné, évidemment ;

– Parfaitement, je vais me gêner !  Les fessées c'est quand on veut où on veut et aussi souvent qu'on le veut. N'est-ce pas Géraldine ?

  Tout à fait, et le plus souvent possible ! Il n'y a pas mieux pour les garçons indisciplinés.

– Exactement !  Maintenant mon ami, pour satisfaire ta curiosité, sache que cette  punition est amplement méritée et que ce ne sera pas la seule.  Ce petit monsieur a fait un scandale au Pub samedi dernier, après s'être empiffré de bière avec des amis anglais,  Ça te dit quelque chose à toi, hein ?

– Vous voyez, c'est pas plus compliqué que ça, ajoute Géraldine, en tendant négligemment le tube de Dolpic et le martinet à son amie. Elle a un sourire vicieux. A mon avis, c'est l'occasion idéale d'expérimenter la fessée avec le manche dans le derrière.

Elle s'assied d'autorité sur la chaise à fessées pour assister au spectacle, pendant que 

Bettina couche Andrew à plat ventre sur ses cuisses et lui fait arrondir les fesses en bonne position.

– Excellente idée ! Dit-elle. Et s'adressant à Walter de plus en plus énervé.

– Tu peux rester y assister toi aussi, si tu veux. Je ne suis laissé dire que  les fesses d'Andrew claquent à merveille. On pourrait comparer avec les tiennes...Elles ont l'air à peu près aussi bien rebondies . Qu'en dis-tu  mon chéri ?

Géraldine, fait sa pétasse et insiste en croisant haut les jambes pour lui offrir un petit solo de jarretelles. Le nylon de ses bas, crisse sur ses cuisses. 

– Oui Walter, qu'en dites-vous ? On se régale mieux à plusieurs devant une belle paire de fesses en train de s'en prendre une sévère… Vous ne trouvez pas ?

  Walter est stupéfait de l'aplomb des deux femmes. Venant de la sienne, il connaît, mais de la fille Delaniaires... Une telle morgue, une assurance pareille, ça sort de  son entendement. 

Rien de plus redoutable qu'un nonchalant soudain furieux. C'était le cas de Walter quand il se sentait dépassé par les événements. Capable de piquer de grosses colères lorsque Bettina parvenait à le déstabiliser. Ou alors, réunions de famille ou autres, il flanquait tout le monde dehors quand les invités commençaient à trop lui casser les pieds, pour s'excuser après, parce qu'il en avait un coup dans le nez .

En l'occurrence, il était encore à jeun, malgré les trois tournées de bière à l'Olympic, en attendant Aristide . A la frustration de n'avoir pu faire sa partie de cartes, s'ajoutait l'imbroglio de situation avec cet Andrew, qui commençait à lui taper sérieusement sur les nerfs. Planté au milieu du salon, il se mit à tonitruer comme un beau diable en faisant des grands gestes, devant les deux jeunes femmes, qui avaient du mal à se contenir de rire .

– Bon, Bettina, ton cirque ça suffit ! Je vois bien ce que tu es en train de fabriquer avec ta copine, hurle-t-il en désignant Géraldine d'un doigt menaçant.  Elle regarde le plafond, comme si de rien était, en se dandinant sur ses hauts talons, alors qu'il s'adresse directement à elle. .

– Elle est au courant votre mère, que vous êtes en train de dérouiller ce garçon, ici, chez moi ?

  Pas vraiment, mais elle va le savoir, répond l 'intéressée en levant les yeux au ciel. De toute façon, qu'est-ce que ça peut faire, il l'a mérité sa fessée et Margaret lui en mettra une encore plus sévère à la maison.

– Oui !  s'empresse d'ajouter Bettina. On était juste en train de lui préparer un peu le derrière ! Je sais comment fesse Margaret, elle nous remerciera même !  Je dis toujours que la vrai fessée commence toujours sur des fes...

– Ça suffit ! tonne Walter excédé. Géraldine, vous rentrez chez vous, avec votre étudiant machin, là ! Tout de suite ! Je vais avertir votre mère de ce qui s'est passé ici et vous réglerez ça avec elle.

Il se tourne vers sa femme soudain toute sage sur son tabouret. Elle entend l'annonce avec un petit sourire provocateur.

– Toi Bettina, tu peux préparer tes fesses ! Depuis le temps que tu me serines à réclamer de la fessée, et bien tu vas en avoir. Ça va claquer, c'est moi qui te le dis !

Elle rebondit du derrière sur son tabouret en repoussant Andrew par terre.

– Rooooh oui chéri, tu as raison, la fessée ! Une bonne fessée ! Je le mérite parce que j'ai été insolente avec toi. C'est vrai mon biquet, je t'ai manqué de respect.

Elle se  lève, et creuse les reins en lissant, à deux mains, sa jupe, déjà moulante, sur ses volumineuses rondeurs fessières

 

– Une bonne grosse fessée, sévère, bien claquée sur les fesses !

 

 Andrew en profite pour mettre les siennes à l'abri. Il recule vers le mur, hors de portée de fessée. Mais il n'a pas le temps d'en profiter, que Géraldine le saisit par le col de sa veste.

 

  Et bien Andrew on va où comme ça ? .Par ici mon ami, on rentre !  On dirait que Monsieur Walter est de mauvaise humeur. Mais vous ne perdez rien pour attendre, c'est Margaret qui va s'occuper de vos fesses à la maison. A mon avis vous allez regretter Bettina. 

 

 Il fait le geste de remonter son pantalon.

 

– Non Andrew, non ! Je ne vous ai pas donné l'autorisation de vous reculotter. Vous restez comme ça, en tenant votre pantalon baissé. Je tiens à ce tout le monde voit de vos fesses pendant le trajet.

 

Elle le soulève par la ceinture élastique de son slip pour le lui rentrer entre les fesses et le fait avancer vers la porte en le tenant fermement dans cette inconfortable position. Il est  presque obligé de marcher sur la pointe des pieds. 

– Voilà, en route, on rentre à la maison ! Tenez  votre pantalon baissé, et tortillez bien vos fesses rouges pour qu'on les remarque. Ils sortent. 

– By, by, bon retour l'ami au pair! Claironne joyeusement Bettina avec un petit geste amical de la main en direction d'Andrew qui était resté totalement muet depuis l'arrivée du mari. Elle ajoute avec un clin d'œil.  Et surtout, bonne fessée ! Sans l'arrivée de... qui vous savez... c'est moi qui aurais eu le plaisir de vous ...

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase que, furieux de la nouvelle provocation de son insolente épouse, Walter la saisit par le bras et la fait décoller du tabouret .

– Sans l'arrivée de qui ? Hein ? Je vais t'en fiche moi des ''by, by Andrew !''  Attends un peu ! je vais te faire voir ! Tu vas la recevoir ta fessée et je te garantis que tu vas la sentir passer !

 Mais Bettina, pas impressionnée du tout, dégage son bras et remue insolemment son derrière dans une attitude de défi. Elle lui rétorque dans une ultime provocation.

– Oh oui chéri...une bonne fessée,  bien claquante sur mon gros derrière déculotté. C’est bien ce que je méritedes bonnes fessées, slip aux cuisses, d’abord à la main et avec le martinet après et tout ce que tu veuxcorrige moi bien comme j’en ai besoin …

Debout devant lui, qui a pris sa place sur le tabouret à fessées, elle lui tourne le dos, retrousse d'elle-même sa courte jupe et se déculotte en fléchissant les jambes pour bien arrondir son provocant fessier. Elle le tortille sous son nez, pendant la descente de son slip jusqu'au milieu des cuisses.

– Les fesses de Madame sont prêtes pour la fessée ! Dit-elle d'un ton enjoué.

– Et bien puisque tu en veux, tu vas en avoir ! Répond Walter hors de lui.

Elle a réussi à le mettre vraiment en colère. Il la saisit par le poignet et l'attire à lui. Elle se laisse faire avec un sourire insolent. Bien installée sur ses genoux, les reins cambrés pour  faire ressortir au maximum son  plantureux fessier aux formes parfaites, elle ne semble pas du tout redouter la fessée ....

Walter a entrepris de la lui claquer de toutes ses forces. Sa large main s’abat rapidement sur les fesses bondissantes avec des sonorités sèches et éclatantes qui emplissent tout l'espace sonore du salon. Malgré la taille de sa main, elle n'est quand même pas suffisante pour couvrir entièrement toute la surface du derrière. Il faut au moins trois ou quatre claques pour bien couvrir une seule fesse ! Mais les claques de Walter sont si vigoureuses et si rapprochées l’une de l’autre, qu’à peine cette fessée commencée , il est évident que le derrière de Bettina va devenir, rapidement, au moins aussi cuisant que celui d' Andrew, tout à l'heure quand elle le corrigeait.  Mais contrairement à lui qui pleurait comme un gamin, elle se contente d’un gémissement rauque à chaque claque reçue et de commenter.

– Oh   ! la fesséeoohhr ! oohhrr!  Ça claque fort !!! oohhrr ! oh oui ,chéri  ! Tu les claques bien mes grosses fesses déculottées ! ohm oui ! fort ! fort ! je le mérite  ! oohhhhrrr la fessée  ! oh , ! çà cuit !

La main de Walter s'abat sans relâche.

– Ah tu te fiches des fessées ! Ah tu te fiches de moi, tu ne veux jamais obéir ! J'en ai par-dessus la tête de tes petites combines avec tes copines !  Tu mérites les volées sur tes grosses fessesje vais te les mater moi !

La voix de Bettina, saccadée par le rythme des claques qui lui soulève le derrière à chaque aller et retour, résonne au niveau du  sol carrelé de la pièce.

– Ouiiiii ! Nooooon, chéri, m’en fiche pasoh oui la fessée !  Non m’en fiche pas ! Roaiiiiie, la fessée déculottée .ouiiii ...Bien claquée sur mes grosses fesses ...toutes rouges  “


fessée déculottée



Brusquement Walter décide de repositionner ses fesses pour taper encore plus fort. Il la forcer à les remonter et en augmenter l'arrondi  en la faisant basculer plus bas, la tête en avant  au ras du sol. C'est alors une averse de claques  qu'il abat de toutes ses forces sur le derrière écarlate qu'elle tortille en l'air, frénétiquement .

 

La cuisson commence à devenir difficilement supportable. Bettina ne commente plus rienses gémissements deviennent des sanglots de plus en plus sonoreset enfin ça y est. Renonçant à toute provocation, elle pleure à chaudes larmes sans discontinuer,  et promet tout dans le désordre.

 

– Rahhhh , oui, je suis bien punie, ça claque dur  ! Ouille ouille ouille ça cuit ...la fessée méritée, sur mes grosses fesses déculottées. Oh oui chéri, tu fesses bien, tu fesses fort ! , je ne recommencerai pas ! Tu vas me fesser toute la soirée, sans pitié ! Mais, juré, je serai respectueuse et bien docile !

– C'est ça oui, je vais te croire ! Dès que tu as le cul en feu, c'est la même ritournelle !

D'une dernière salve bien appuyée il cesse enfin de lui claquer le derrière, la relève et lui, ordonne de se reculotter. Elle le fait avec difficulté en grimaçant ... n’osant  pas le demander, mais elle aurait sans doute préféré rester les fesses à l'air.  C'est inutile, il la redéculotte aussitôt, et d’une claque bien sonore en travers des fesses, qui la fit sursauter,  lui ordonne d’aller au coin . Elle se hâte d’obéir, le slip tendu en travers de ses cuisses , traversant la pièce en frictionnant avec précaution ses grosses fesses en feu. Nez au mur, les reins cambrés sur ses talons aiguille, elle tend au maximum son imposant fessier cramoisi, bien exhibé comme elle savait devoir le faire, pour témoigner de la cuisante fessée reçue et en ressentir la honte.



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 14

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

3 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Un vrai match de tennis ! On joue en binôme, en trinôme, on change de camp ! Coup droit... revers... set et match.
    "Ici Peter Panpan, en direct du cours Arnold Rogras pour cette demi-finale du Grand Master qui oppose Walt Maindefer- 1 m 70 - 65 kgs - Droitier et à ma droite Bettina Belleclaque - 1 m 74 - 60 kgs - droitière. Les adversaires s'observent, se jaugent, discutent avec leur entraineur et font des grands gestes. Chacun espère décrocher la Raquettàfécé d'or, tant convoitée depuis plusieurs années et... ah voilà qu'ils rejoignent leurs cours respectifs... Voilà un match qui restera inscrit dans les annales...".
    Amicalement. Peter.

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  2. Amis de la poésie et du jeu de cartes debout, bonjour !
    Dans cet épisode, Aristide ne jouait pas du piano debout mais je pense qu'il aurait préféré au lieu d'avoir droit à la fessée, un manche de martinet planté dans les fesses. Le choux fleur a du lui cuire durant un petit moment ! Et en écoutant, c'est Andrew qui est dans tous ses états en s'imaginant à la place de ce pauvre homme.
    On en apprend de belles sur le couple Walter-Bettina. Ils sont l'un et l'autre tantôt fesseur, tantôt fessé. Un peu à la "chéri, fesse-moi, si tu peux" !
    J'adore le fait qu'Andrew va faire une promenade, les fesses à l'air, histoire de lui apprendre les bonnes manières françaises.
    Bettina a un sacré tempérament. Désireuse de se faire rougir les fesses pour un maximum de sensations, peut-être un préliminaire à autre chose ?
    Comme dit Peter, un vrai match de tennis avec les fesses en guise de balle.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Elena, Peter Pan Pan, et...tout les lecteurs qu'on ne connaît pas, mais qu'on aimerait bien .

    Ah Peter ! On se lâche de plus en plus et de mieux en mieux! la "Raquettàféçé!!" et "Armold Rogras" !! Il y aurait du "Rolande Lagrosse" la dedans que ça ne m'étonnerait pas! La fessée tennistique, comme sport favori. N'a plus qu'à utiliser le manche de la raquette comme celui du martinet ! Oups... Bonjour les coups droits le long de la raie !! Sur le court match Walter/Bettina, en deux set fessées gagnants . La fessée inspire et stimule l'imagination. Quand l'esprit vient aux fesses c'est qu'on a la tête dans le cul! Hi hi j'ai pas résisté !

    Ah, Elena, et le goût du choux fleur, qui multiplie les pirouettes d'écritures . Ben oui Walter/ Bettina c'est le marché commun de la fessée, sauf que madame exporte plus que monsieur... et l'allusion au préliminaire à autre chose, ne manque pas de fondement! Fine mouche notre rebelle préférée.
    Quant à Andrew, vous avez aimé la ballade anglaise, les fesses à l'air, vous allez adorer la suite pleine de rebondissements fessiers, bien sûr, et pas forcément de celui qu'on croit...
    Ah ma pôv Dame, la vie est pleine d'imprévus et ne fait pas de cadeaux comme disait le Père Noël, après son accident de traineau!
    Amicalement
    Ramina

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