Catherine regagnait lentement le coin. Il y avait, certes,
son pantalon, descendu autour de ses mollets qui ne facilitait pas la marche,
mais il me semblait que, malgré la courte distance, elle avait ralenti le pas à
l’approche de son lieu de pénitence.
Elle s’arrêta tout à fait à cinquante centimètres de l’angle
du mur où elle devait aller positionner son nez. Catherine se retourna, fit une
grimace, mais elle fit le pas qui lui manquait pour se replacer au coin. Quand
Madame Gorevski voulut s’en offusquer, il était trop tard. La position de
Catherine dans le coin était conforme à ce qu’on exigeait d’elle.
« Quelle chipie, pensèrent les trois femmes en même
temps ! »
Subtilement, sans risquer une punition supplémentaire,
mettant fin à son insolence juste à temps, Catherine avait réussi à défier ses
trois correctrices.
« Je pense que je n’en ai pas fini avec cette grande
impertinente, se dit Madame Gorevski. Il va falloir que je fasse plus forte impression.
Assurons-nous d’abord que cette donzelle trouvera à qui parler quel que soit
l’endroit où elle se trouve. »
Catherine devait trouver face à elle, un front uni.
« Pouvons-nous, Mesdames, nous mettre d’accord pour ne
rien passer à cette petite peste, jusqu’à ce qu’elle ait compris que
l’obéissance est le meilleur choix ?
– Vu son attitude, rajouté Madame Raveneau, je crois que
cela va nous donner du travail !
– Probablement, mais j’en ai vu d’autres. »
Madame Gorevski pensait à son fils cadet et à son autre
belle-fille qu’elle corrigeait tous les deux quand ils en avaient besoin. Ni
l’un ni l’autre n’avaient tenté de se rebeller contre son autorité. Elle devait
s’attendre à ce que l’éducation de Catherine soit plus compliquée, mais elle
savait qu’elle avait la volonté nécessaire pour aller à bout.
« Vous pouvez compter sur nous, lui assura Madame
Gorevski. Madame Colas qui a Catherine sous la main toute la journée sera
impitoyable tant que Catherine ne montrera pas les plus parfaits signes
d’obéissance.
– Depuis que je la connais, et cela fait près de dix ans,
Catherine a toujours contesté les décisions de autres. Rien de bien n’était
fait si ce n’était elle qui l’avait proposé. Nous avons souvent eu des prises
de bec à ce sujet. Et quand ce qu’elle avait décidé de faire ne fonctionnait
pas, elle trouvait toujours un coupable dont la nonchalance, la bêtise ou la
mauvaise volonté l’expliquait.
– Ce n’est pas très différent ici, remarqua Madame Colas.
Elle n’osait pas contester mes décisions, mais je sentais souvent qu’elle n’en
était pas loin. Je crois qu’elle se serait bien vue à ma place.
– Ou à la mienne, poursuivit Madame Raveneau.
– Cela correspond tout à fait à ma chère belle-fille ! Elle
laissait simplement plus librement cours à ses instincts naturels quand elle
était en famille. Je pourrais vous raconter son mépris affiché pour nombre de
mes amis, ses insolences, ses prétentions, ses crises d’autorité, sa mauvaise
foi, son outrecuidance avec sa belle-sœur et son beau-frère depuis que je leur
donne la fessée. La liste de ses turpitudes serait trop longue pour les citer
toutes ! »
La discussion se poursuivit un petit moment, chacune des trois
femmes y allant de son anecdote sur les comportements de Catherine. La liste
semblait sans fin. Tout cela mis ensemble constituait un vaste réservoir de
motifs de fessées auxquelles Catherine avait échappé.
La plus grande sévérité fut convenue. Les trois femmes
s’accordèrent pour ne rien laisser passer et pour s’informer mutuellement sur
les écarts dont Catherine pouvait se rendre coupable. Chacune convint que le
carnet de correspondance qui était utilisé pour chacun de nous, était une
solution très pratique. Madame Colas s’empressa de montrer à Madame Gorevski
celui qui avait été préparé pour sa belle-fille.
« Généralement, c’est moi qui signerai ce carnet,
dit-elle en apposant son paraphe là où il était prévu que figure la marque
authentifiée des correctrices domestiques. »
C’est Madame Colas qui avait eu cette idée. Il s’agissait de
disposer d’un exemple original de la signature auquel il serait possible de
comparer les suivantes. Celle-ci, réalisée sur place, était une référence
insoupçonnable. Madame Colas se méfiait des imitations qu’auraient pu présenter
ses collaborateurs afin de prouver que leur tutrice avait bien visé le
document. Cette mesure préventive évitait que la tentation s’empare de l’un
d’eux afin d’éviter la fessée familiale tout en se conformant à ses exigences.
« Mais je demanderai également à Juliana, ma bonne à
tout faire, de signer ce carnet. Il est de tradition, dans notre famille, que
les domestiques contribuent à l’éducation des enfants. Juliana devra souvent
recourir à la fessée pour punir Catherine… »
Dans son coin, Catherine crut avoir mal entendu.
« … lors de mes absences professionnelles, je laisserai
la maisonnée sous sa garde. S’il faut corriger Catherine l’un de ces soirs-là
suite à un écart commis au travail, elle devra s’en charger. »
Catherine avala sa salive de travers et elle s’étrangla.
Juliana avait tout juste vingt ans, alors que Catherine filait sur ses
quarante. Devrait-elle se laisser corriger par cette gamine ? Même si elle
n’habitait pas chez sa belle-mère, se savoir sous la menace d’une fessée de
Juliana lui semblait surréaliste. L’indignation l’emporta. Elle tourna la tête
vers sa belle-mère.
« Vous ne pouvez pas m’obliger à me soumettre à …
aïe ! »
Madame Colas était tout à côté d’elle. Elle n’eut pas à
réfléchir pour décider qu’une fessée s’imposait. Une grêle de claque s’abattit
sur ses fesses.
« Quelle impudence ! Oser se mêler à la
conversation des grandes personnes alors qu’on est en punition au
coin ! »
Pour faire bonne mesure et évacuer une partie de la colère
qu’elle ressentait, Madame Colas appliqua une nouvelle fois sa main sur les
fesses de Catherine, une correction qu’elle continua jusqu’à ce que celle-ci
accuse le coup de ses plaintes.
« Je vais t’apprendre à te tenir convenablement au
coin ! »
Bien que la fessée commençât à lui chauffer sérieusement les
fesses, Catherine se débrouillait pour faire connaître son mécontentement sans
toutefois s’opposer activement à la punition. Elle tortillait tant ses fesses
comme pour échapper à la main qui la punissait, que Madame Colas dut la saisir
par le bras afin qu’elle se tienne tranquille. Elle avait laissé tomber un peu
l’arrière de son pull qui couvrait maintenant le haut de ses fesses. Elle
subissait sa punition mais son caractère rebelle transparaissait au travers de
son comportement. Elle n’avait pas renoncé.
Madame Colas mit fin à la correction, mais il était évident
qu’elle n’avait pas obtenu ce qu’elle cherchait.
« Je pense qu’il faut à notre chère Catherine quelques
chose de plus substantiel. »
Dans le silence revenu, la sentence de Madame Gorevski
résonnait comme une menace.
« Viens-ici, ma chérie, je vais t’apprendre ce qu’il en
coûte de montrer sa mauvaise humeur alors que la punition était
justifiée ! »
Catherine ne bougea pas de son coin.
« Faut-il que je vienne te chercher ?
– Non, s’il vous plait. Je vais être sage maintenant. »
La peur s’entendait dans sa voix tremblotante. Elle savait
qu’elle avait été trop loin.
« Trop tard, jeune dame ! Une mémorable fessée
t’attend ! C’est la dernière fois que je te le dis :
viens-ici ! »
Madame Gorevski avait détaché les trois dernières syllabes
de son propos. S’il en était besoin, chacun avait compris que le prochain refus
serait sanctionné magistralement. Lentement, comme à regret, Catherine quitta
le coin. Sa belle-mère, d’un doigt autoritaire, montrait le sol à ses pieds.
Catherine y arriva, bien trop vite à son goût. Elle ne cherchait plus à
dissimuler son pubis qu’elle exhibait pourtant indécemment si on tenait compte
de son âge. Ses yeux écarquillés montraient sa frayeur de ce qui l’attendait.
Madame Gorevski la laissa immobile, debout devant elle,
pendant de longues secondes. Elle la regardait droit dans les yeux, ce que
Catherine ne put supporter longtemps. Elle baissa la tête, trouvant un intérêt
soudain à l’extrémité de ses chaussures.
« Va demander poliment à Madame Colas de nous prêter sa
règle. Nous en aurons l’usage toi et moi pendant quelques minutes. »
Les yeux de Catherine s’arrondirent. La règle ! L’usage
que sa belle-mère voulait en faire était évident. Fugacement, l’idée de refuser
lui traversa l’esprit. Elle l’écarta aussitôt. Elle était déjà dans un mauvais
pas. Elle ne pouvait plus espérer atténuer la correction que Madame Gorevski lui
préparait qu’en montrant sa bonne volonté. Elle se dirigea vers Madame Colas.
« Est-ce que je peux avoir votre règle, Madame
Colas ? S'il vous plait ? »
Il ne restait presque rien de la superbe de Catherine. Elle
diffusait une angoisse qui passait par sa voix peu assurée. Elle avait tout de
même marqué un temps d’arrêt avant de prononcer la formule de politesse. D’un
froncement de sourcil, Madame Gorevski montra qu’elle avait noté cette ultime
provocation.
« Mais bien sûr, ma grande. Elle est sur mon bureau, tu
peux aller la prendre. »
Elles s’étaient liguées pour ne rien épargner à Catherine.
Celle-ci dut refaire le chemin en sens inverse, les fesses toujours à l’air,
pour se rendre jusqu’au bureau de sa cheffe sous les yeux des trois femmes et
de moi. Elle s’arrêta fixant l’instrument dont elle sentirait sous peu la
morsure sur ses fesses.
« Allons, l’encouragea sa belle-mère ! »
En s’emparant de la règle, Catherine laissa glisser le bas
de son pull qu’elle tenait auparavant à deux mains.
« Catherine, dégage bien tes fesses ! »
La voix avait fait sursauter l’intéressée, mais elle n’eut
pas une hésitation avant d’obtempérer. Elle avait réagi instinctivement à une
demande formulée par sa tutrice. Catherine intégrait peu à peu les
comportements attendus face à une autorité légitime, mais elle avait encore du
chemin à faire.
Elle se tourna vers sa belle-mère qui n’eut besoin que d’un
signe de tête pour mettre Catherine en route. C’est en soupirant qu’elle remit
la règle à Madame Gorevski.
« As-tu besoin de soupirer ? Crois-tu que tu
n‘aies pas mérité la fessée que je vais te donner ? »
L’atermoiement fut bref, mais chacun le nota.
« Je ne sais pas… non… pas la fessée…
– Résumons : parler et se retourner alors qu’on est en
punition au coin, attendre que l’ordre soit répété une deuxième fois avant
d’obéir, se tenir à la limite de l’impolitesse… cela fait autant de motifs de
punition. Nous en avons bien pour toute la soirée ! J’espère pour tes
fesses qu’il en est fini avec cet entêtement de ta part et que tu vas enfin
comprendre que les choses ont changé. Mais je vais t’expliquer cela plus
clairement. »
Madame Gorevski prit sa belle-fille par le coude et, à
petits pas limités par le pantalon autour des chevilles, elle lui fit
contourner ses pieds pour l’amener à sa droite. Dans le même mouvement, elle l’obligea
à se courber au-dessus de ses genoux. Sa main placée en soutien en travers du
buste de Catherine permit, en douceur, de la placer dans la position
disciplinaire qu’elle connaissait déjà.
Catherine laissait sa belle-mère opérer. Elle suivait
docilement les mouvements que Madame Gorevski initiait. Elle ferma les yeux au
moment où son buste vint reposer sur les cuisses de sa belle-mère. Ce fut le
seul signe de réticence notable. Catherine était résignée face à l’inéluctabilité
de la fessée qui approchait. Son visage crispé montrait qu’elle en appréhendait
pourtant les effets.
Madame Gorevski prit son temps pour positionner sa bru sur
ses genoux. Le bras gauche de Catherine n’était pas à la bonne place. Il fut ramené
vers l’avant. Madame Gorevski put alors plaquer Catherine contre son ventre,
prévenant l’utilisation d’un des deux bras pour se protéger. Elle passa sa main
entre les cuisses de la jeune femme et la plaqua sur son bas-ventre afin de la
faire glisser un peu sur ses genoux, là où les fesses seraient parfaitement sur
la trajectoire de la règle.
Elle récupéra la règle qu’elle avait posée sur le bureau le
plus proche, et de son extrémité, elle toucha la main droite de Catherine.
« Je ne veux pas voir cette main du côté de tes
fesses ! Est-ce bien compris ?
– Oui, Madame, répondit Catherine dans un souffle.
– Alors, c’est le moment de ta fessée ! »
Madame Gorevski posa son avant-bras le long de la colonne
vertébrale de Catherine, ses doigts maintenaient le bassin de sa bru en place.
Elle remonta un peu le pull qui recouvrait le haut des fesses. La règle
s’abattit sur les fesses.
Catherine lança ses deux jambes en l’air, mais son buste
fermement maintenu par sa belle-mère, ne bougea pas d’un centimètre. Ce n’est
qu’au deuxième coup que Catherine hurla, puis elle fondit en larmes aussitôt.
Ses mouvements de jambes étaient incontrôlés, mais elle gardait suffisamment de
lucidité pour ne pas interposer sa main qui agrippait désespérément le pied de
la chaise sur laquelle sa belle-mère avait pris place.
Madame Gorevski était concentrée sur sa tâche. Je sentais sa
résolution à faire définitivement basculer Catherine dans le camp de ceux qui
étaient fessés quand une personne qui avait autorité sur elle l’avait décidé. Elle
devait accepter cette situation sous peine d’une correction magistrale. Elle
devait en recevoir un échantillon dès maintenant. Madame Gorevski se faisait
fort d’y arriver.
D’un mouvement sec du poignet au dernier moment, elle
augmentait la vitesse avec laquelle la règle arrivait sur les fesses de
Catherine. Cela faisait un choc sourd sur la peau nue qui était presque couvert
par les cris de Catherine. Madame Gorevski conserva ce rythme une bonne minute,
faisant atterrir l’extrémité de la règle alternativement sur une fesse, puis
sur l’autre.
Les jambes de Catherine étaient lancées dans une gigue
endiablée qui ne faiblissait pas. Les jointures de ses doigts étaient blanches
à force de serrer le pied de la chaise, mais elle n’eut pas une tentative pour
se soustraire à la punition. Ses fesses devinrent rapidement cramoisies.
Je les regardais prendre une teinte de plus en plus foncée
au fur et à mesure que la règle faisait son office. Je serrais les dents,
m’imaginant à sa place. Cela ravivait des souvenirs qui n’étaient pas si
lointains. Madame Tolbois savait aussi administrer des fessées aussi terribles,
j’en avais fait l’expérience plus d’une fois et cela m’arriverait encore
souvent.
J’avais l’impression que mes fesses montaient en température
conjointement à ce qui arrivait à celles de Catherine. J’étais tendu, angoissé,
attendant impatiemment la fin de cette correction qui se déroulait sous mes
yeux.
Catherine n’était plus la collègue qui m’avait plus d’une
fois déculotté et couché sur ses genoux pour m’administrer une fessée. Ce
n’était pas plus une jeune femme qui dévoilait involontairement ses charmes en
ma présence. C’était une compagne de fessée avec qui je compatissais, espérant
que sa belle-mère décide enfin que la leçon avait porté et qu’il était temps de
mettre fin au châtiment exemplaire.
Madame Gorevski n’en était pas encore là. Elle ralentit
visiblement le rythme, mais elle appliquait maintenant la règle à la jointure
des fesses et du haut des cuisses. Les cris de Catherine redoublèrent mais ses
pieds ne battaient plus que faiblement et sporadiquement. Pourtant le corps de
Catherine était parcouru de vagues de crispation partant des fesses, à chaque
fois que la règle en rajoutait à leur cuisson.
« C’est à ses signes, expliquait volontiers Madame
Tolbois aux spectateurs quand elle me fessait en public, que je sais que la
leçon a porté. Il n’est plus nécessaire de continuer bien longtemps. »
Madame Gorevski devait être de la même école. Elle reposa la
règle et sa main se posa sur le sommet des fesses de sa bru.
« Cela doit suffire pour l’instant. Nous poursuivrons
quand tu auras un peu récupéré. »
Toute à sa douleur, Catherine n’entendit pas la promesse
d’une prochaine fessée. Elle était soulagée que sa correction ait pris fin.
Elle ne ressentait aucune animosité envers sa belle-mère, mais elle ne s’en
étonnait pas. Sans en prendre vraiment conscience, elle reconnaissait
confusément que celle-ci avait fait acte de justice en lui administrant la
fessée qu’elle avait méritée.
La main de sa belle-mère qui caressait ses fesses l’apaisa.
La douleur était encore forte, à la limite du supportable. Elle gémissait et serrait
les dents à chaque fois que les doigts appuyaient un peu trop fort là où la
règle avait particulièrement marqué son territoire. Mais elle se sentait en
sécurité entre les mains qui l’avaient pourtant si sévèrement punie.
Elle voulait rester là où elle était, indifférente aux
témoins qui constataient sa récente soumission à sa belle-mère. Elle se faisait
à l’idée que les femmes qui l’entouraient avaient toute légitimité pour exposer
ses fesses nues, y compris quand c’était en public. Quant à moi, je n’étais qu’un
compagnon de fessée avec qui nos intimités réciproques n’auraient bientôt plus
de secret. Il n’y avait donc plus rien à dissimuler. Comme pour moi, la fessée
serait dorénavant son quotidien. Cela ne lui paraissait plus si incongru.
Elle voulait rester là où elle était. Attendre que la main
qui se promenait sur ses fesses, ait absorbé toute la fournaise qui en émanait.
Là, elle était en sécurité, sous l’autorité bienveillante de sa belle-mère.
Toute la colère envers le monde entier qu’elle ressentait en permanence au fond
d’elle-même, avait disparu.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 47
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
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Bonjour,JLG
RépondreSupprimerC'est l'escalade ! La sévère fesseuse, fessée à son tour, et bien fessée !! Le rythme s'accélère dans une d'alternance, provocations / punitions, mais aussi claques et caresses. Le chaud et le froid en quelque sorte.
L'attitude rebelle de Catherine, qui semble incorrigible, entraîne des corrections de plus en plus sévères et une multiplication de fessées qui renouvellent agréablement l'intérêt du récit.
Les maîtresses femmes doivent s'y mettre à plusieurs pour venir à bout de l'impétueuse irréductible. Les dialogues sont vivants et justes, avec une description détaillée des mises en position et du comportement de la jeune femme à l'origine des réactions de ses correctrices.
On se demande bien jusqu'où va aller sa capacité de résistance et le nombre de fessées qu'il va lui falloir recevoir pour devenir plus docile. Si elle le devient!
A monopoliser ainsi toute l'attention, les fesses de Daniel, par voie de conséquence, sont au chômage technique! (Sourire) Vu la personnalité des femmes qui l'entourent, il n'est pas impossible qu'elles reprennent de la couleur, à un moment ou un autre... Suspense!
Ramina
Cordialement
Ramina,
SupprimerN'en jetez plus ! La cour est pleine. Je vous fais, cependant, le pari que je vous réserve encore deux ou trois surprises d'ici la fin du récit.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Une cour emplie de 48 épisodes... et sans doute plus, en parvenant à capter encore l'attention... Acceptez quelques commentaires gratifiants.
RépondreSupprimerEt je ne me risquerais pas à parier tant je n'ai aucun doute sur vos capacités à surprendre.
Cordialement
Ramina