mercredi 5 février 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 33

Le week-end qui suivait, marquait la fin de la punition des deux filles. Marguerite arriva, toute fière d’annoncer qu’elle n’avait pas été punie au travail et que, comme elle n’y avait pas eu de fessée, ni Teva ni Hélène n’avaient besoin de la corriger.
« Tu vois, lui dit Teva, quand tu veux, c’est possible de bien travailler. J’espère que tu vas continuer sur cette voie.
– Je crois que je n’aurais plus jamais de fessée au travail !
– Ne sois pas si présomptueuse ! Ne t’avance pas sur des choses que tu ne tiendras pas. Il y aura d’autres fessées et tu le sais bien. Ce ne sont pas trois jours sans négligence ni désobéissance qui vont t’avoir changée au point de faire disparaître la nécessité de te punir. Je serai surprise que tout le week-end se passe sans que je sois obligée de sévir. »
Marguerite baissa la tête. Elle n’aimait pas quand Teva lui rappelait la triste réalité qui passait par de futures fessées. Mais ce soir-là, il en aurait fallu beaucoup plus pour faire disparaître son enthousiasme.
« Je peux aller le dire à Hélène ?
– Si tu veux. Sois de retour pour le bain, dans quinze petites minutes.
– Je peux aller avec elle, demanda Maeva ?
– Vas-y également. N’oubliez pas de dire à Hélène qu’elle vous donne une bonne fessée si vous l’importunez par vos bavardages !
– Oui Teva ! »
Elles partirent main dans la main.

« Hélène, je n’ai pas eu de fessée au travail de toute la fin de la semaine ! »
Marguerite avait clamé la nouvelle dès la porte ouverte. Hélène fronça les sourcils.
« Dites donc, jeunes filles, on ne dit plus bonjour quand on arrive quelque part ? »
Elle prit Marguerite par le bras et lui fit tourner les fesses vers elle. Ce ne fut pas vraiment une fessée, elle était trop faible, mais il fallait le prendre pour un avertissement. Maeva eut le droit au même traitement. Les deux filles se jetèrent alors dans les bras qu’Hélène avait ouverts en grand.
« Un bisou chacune, mes chéries ! »
Les filles déposèrent un long bisou chacun sur une joue d’Hélène.
« Alors, que voulais-tu me dire ?
– De toute la semaine, je n’ai pas été punie au travail.
– Oui, enfin sauf mardi.
– Oui, sauf mardi. Mais depuis, rien !
– C’est bien. Deviendrais-tu plus raisonnable ?
– Je ne sais pas.
– Et toi, Maeva, as-tu eu la fessée cette semaine ?
– Oui, répondit Maeva piteusement, mais seulement à la maison par Teva. Pas au travail !
– C’est mieux que rien. Tu es là pour le week-end, Marguerite ?
– Oui Hélène, jusqu’à lundi matin. Je peux venir travailler avec toi ?
– Moi je veux bien, mais il faudra demander à Teva. Tu te rappelles ce qui se passe si je ne suis pas contente de toi ? »
La mine enjouée de Marguerite se rembrunit un peu.
« Oui, je sais.
– Tu veux venir quand même ?
– Oui, bien sûr. Tu ne me puniras pas trop sévèrement ?
– Ça dépendra de comment tu travailles.
– Ah oui. »
Marguerite était songeuse, mais elle ne changea pas d’avis.
« Je peux venir, moi aussi ?
– Si Teva est d’accord, je n’y vois pas d’inconvénient, Maeva. Mais ce sera pareil pour toi que pour Marguerite. Si le travail n’est pas bien fait, ce sera la fessée. »
Maeva hésita un peu. La fessée, cela faisait partie des aléas depuis qu’elle habitait chez Teva. Elle ne pouvait pas toutes les éviter.
« Je veux venir quand même. »
Teva passa sa tête à la porte de son appartement.
« C’est l’heure du bain les filles. On se dépêche ! »
En passant chacune prit une petite tape amicale sur les fesses.
« Plus vite que ça ! »
Les deux filles poussèrent un cri, comme si elles avaient reçu une vraie fessée, puis elles éclatèrent de rire en se précipitant vers la salle de bain.
« Vous allez voir, toutes les deux si je vais me contenter de cris factices ! »
Mais le ton de Teva disait clairement qu’elle n’était pas fâchée. Il n’y avait aucun risque de fessée.

Le bain s’était passé sans incident, ou presque. En y passant le gant de toilette, Teva remarqua des petits boutons sur le pubis de Marguerite, là où les poils avaient été épilés.
« Qu’est-ce que c’est que ces boutons ? Les as-tu depuis longtemps ?
– Je ne sais pas.
– Comment ça, tu ne sais pas ? Tu t’en es bien occupée, non ? Tu y as fait attention ? Qu’elle produit as-tu mis dessus ?
– Euh… rien.
– Des petits boutons apparaissent près de ta vulve et tu ne fais rien ! Pire, tu ne t’en aperçois même pas ! Comment as-tu fait pour ne pas les voir quand tu te laves le matin ?
– Euh… je ne sais pas.
– Dis-moi, prends-tu une douche tous les matins ? »
Marguerite eut une hésitation révélatrice.
« Attention, prévint Teva, je veux la vérité !
– Presque tous les jours, oui.
– Presque tous les jours ! En as-tu pris une ce matin ?
– Euh non, je n’ai pas eu le temps et…
– Et hier ?
– Non plus, mais…
– Ce n’est pas possible ! »
Une bonne claque atterrit sur les fesses de Marguerite. Celle-là n’était pas factice.
« Tu dois prendre une douche tous les jours et faire attention à tous les petits boutons ! Cela ne peut pas durer comme cela. »
Teva était de plus en plus convaincue que, malgré son âge et comme Maeva, Marguerite était incapable de se prendre totalement en charge. Elle ne pouvait décemment vivre seule. Il allait falloir s’occuper de cela.
Avant de lui passer sa chemise de nuit, Teva s’empara du flacon d’huile d’amande douce et en massa longuement le bas ventre de Marguerite. Elle attendit de s’être lavé les mains pour réitérer sa menace.
« La prochaine fois que tu ne prends par garde aux boutons, ce sera une bonne fessée. Je ne tolère pas ce genre de négligence. »
Afin d’être certaine que le message passe, elle coinça Marguerite sous son bras, souleva le bas de sa chemise de nuit et elle lui administra quatre fortes claques sur chaque fesse.
« As-tu bien compris ?
– Oui Teva, j’ai compris ! »
Pas vraiment une fessée, mais un sérieux avertissement. Vivre avec Teva signifiait en recevoir de ce genre-là assez souvent. Elle n’hésitait jamais à appuyer ses remarques de quelques claques sur les fesses ou sur les cuisses nues, selon les circonstances et la tenue de sa fille avec qui elle conversait. Ainsi elle était sûre d’avoir mobilisé toute l’attention de son interlocutrice. Il est vrai que cela montrait parfaitement bien les limites à ne pas dépasser.

« Les deux grandes, venez-ici mettre la table ! »
Teva appelait depuis la cuisine.
« Oui, Teva, on arrive, répondit Maeva ! »
Allongées en travers de leur lit, elles étaient toutes les deux plongées dans une discussion animée sur l’efficacité des fessées qu’elles avaient reçues et sur le classement des différentes personnes en matière de capacité à donner les plus grosses corrections. Elles étaient toutes les deux d’accord pour dire que Fara gagnait le concours haut la main. Mais elles n’étaient pas d’accord sur qui il fallait mettre ensuite. L’une avait encore un argument à exposer, puis l’autre jugea qu’il fallait y répondre. La discussion se poursuivit encore quelques minutes jusqu’à ce que Teva entrât dans la chambre.
« Dites donc, toutes les deux, cela fait dix minutes que je vous ai appelées. Croyez-vous que je vais vous attendre encore longtemps ?
– On vient, Teva. »
Les deux filles se levèrent précipitamment.
« Bien sûr que vous allez venir, mais maintenant, il y a une petite formalité. »
Maeva était la plus proche. C’est elle qui se retrouva en premier courbée sous le bras de Teva qui écarta sa chemise de nuit. Teva fessa Maeva, une dizaine de claque de chaque côté. La fessée ne fut pas bien longue, mais elle fut donnée avec une grande énergie, ce qui suffit pour que les larmes montent aux yeux de Maeva et qu’elle gémit à chaque fois que la main fustigeait son postérieur.
« A ton tour ! »
Marguerite se mordit les lèvres, mais il n’y avait pas moyen d’éviter de subir le même traitement que Maeva. La fessée qu’elle reçut était la copie conforme de celle de Maeva. Teva y mit-elle un peu plus d’ardeur ? Marguerite était-elle un peu plus douillette ? La correction lui arracha des cris plus francs et quand elle se releva, des larmes avaient coulé sur ses joues.
Teva avait eu raison, il n’y avait pas fallu attendre longtemps avant qu’elle ne reçût une fessée, bien avant la fin du week-end. Elle était loin d’être assez attentive à ce qu’on lui disait pour espérer que les corrections deviennent inutiles. Encore une chance que celle-ci avait été plutôt légère. Légère, mais tout de même cuisante.
« Ouste ! Toutes les deux dans la cuisine, il y a du travail qui vous attend. »

Ce fut un week-end qui se passa calmement. Il y eut bien quelques fessées, c’était assez inévitable, mais rien de spectaculaire. La plus sévère fut administrée par Hélène. Les deux filles travaillaient sur l’ordinateur à composer une base de données de références bibliographiques sur le sujet sur lequel Hélène envisageait de travailler prochainement. Il y avait apparemment un différend entre elles sur la manière de s’y prendre.
Hélène avait remarqué, depuis un petit moment que, bien que les deux filles conversassent à voix basse, les échanges entre elles n’avaient rien de serein. Il n’était pas possible de comprendre la nature de leurs échanges, mais, bien que tout cela restât feutré, il était évident qu’il s’agissait d’une dispute. Hélène sourit des efforts qu’elles faisaient pour que l’altercation ne lui vienne pas aux oreilles. Il fallait cependant y mettre fin.
« Dites-moi toutes les deux, vous ne seriez en train de vous disputer, par hasard ? »
Il y eut une seconde d’hésitation chez ses interlocutrices, C’était la surprise due à la découverte de ce qu’elles tentaient de cacher.
« Non, non, Hélène, dirent-elle d’une seule voix.
– Je préfère car si c’était le cas, je sais comment y mettre fin. Cela risquerait de ne pas être très agréable pour vos fesses. »
Les deux filles se replongèrent dans leur travail. Hélène sortit de la pièce, leur laissant le champ libre. S’il s’agissait bien d’une dispute, comme elle le pressentait, la querelle repartirait de plus belle en son absence. Si c’était le cas, autant régler définitivement le problème au plus vite. Marguerite et Maeva avaient été averties, à elles d’en tirer les conclusions ou d’en subir les conséquences.
La prudence des deux filles ne tint pas même trente secondes.
« C’est de ta faute !
– Non c’est toi ! Tu fais n’importe quoi.
– C’est la dernière fois que tu viens travailler chez Hélène. Je n’ai pas besoin de toi.
– Quelle pétasse ! Comme si c’était toi qui en décidait !
– Tu vas voir ce que c’est quand je me mets en colère, sale petite pimbêche ! »
Le ton avait monté. Hélène qui ne s’était pas beaucoup éloignée fit sa réapparition.
« Alors, il paraît que ce n’est pas une dispute ? C’est pourtant très bien imité. Vous avez de la chance de ne pas être allées trop loin. »
Le silence accueillit son intervention.
« Je vais considérer que « pétasse » et « pimbêche » ne sont pas des insultes, mais seulement des mots déplacés pour parler de sa plus proche amie. Autrement, j’aurais été obligée d’être bien plus sévère. Une bonne fessée chacune et un bon moment au coin devrait régler le problème. »
Cette fois-ci, ce fut Marguerite qui était la plus proche. Elle fut donc la première à se retrouver allongée en travers des genoux d’Hélène, la culotte baissée. Le comportement des deux jeunes femmes nécessitait qu’elles comprennent que ce n’était pas admissible alors qu’elles étaient censées travailler. Se disputer nuisait grandement à la productivité, il fallait leur ôter l’envie de recommencer. La fessée devait être magistrale.
Hélène visait le même endroit des fesses de Marguerite cinq, six, dix fois. Les cris de la jeune femme devenaient de plus en plus perçants jusqu’à ce qu’Hélène change d’endroit où elle recommençait jusqu’à ce que la tension des muscles de Marguerite témoignât de l’impossibilité à supporter une claque de plus au même emplacement. Hélène persévérait pourtant encore un peu, puis elle passait à une zone des fesses qui n’avait pas encore été rougie.
Maeva regardait son amie accuser la cuisson de la fessée de plus en plus difficilement. Malgré la fascination que provoquait la technique disciplinaire d’Hélène, elle ne pouvait s’ôter de l’esprit qu’elle serait bientôt à la place de son amie.
Plus la fessée de Marguerite serait longue, plus la sienne le serait également. Elle pouvait compter sur Hélène pour lui administrer une correction analogue à celle de son amie. A l’inverse, plus vite en aurait finie Marguerite, plus rapidement elle serait allongée à plat-ventre sur les cuisses d’Hélène pour y subir sa punition. Aucune des deux solutions ne lui convenait. Malheureusement, ou heureusement, ce n’était pas elle qui décidait de ces choses-là. Il lui suffisait d’attendre.
A chaque fois que la main d’Hélène trouvait un endroit à rougir un peu plus qu’il ne l’était jusqu’à maintenant, tout le corps de Marguerite esquissait un geste réflexe pour éviter la prochaine claque. Il était immédiatement contenu par la position dans laquelle Hélène avait installée Marguerite. Impossible de réellement bouger. Il aurait fallu se débattre, et ça, c’était impossible.
La fin de la fessée de Marguerite annonça le début de celle de Maeva. Marguerite fit un pas vers le coin. Hélène l’arrêta.
« Tu restes là pour l’instant Marguerite. Je veux que tu regardes ce qui arrive à Maeva, comme elle t’a regardée pendant que je te fessais. »
Déculotter Maeva, l’allonger sur les genoux, retrousser le bas de la jupe dans le dos… les préliminaires ne durèrent pas. Maeva gémissait faiblement et de la chair de poule s’était formée sur ses cuisses et ses fesses.
« Compte sur moi, tu vas bientôt faire tout autre chose que gémir. »
Hélène donna la première claque sur les fesses de Maeva. La dernière vraie fessée de Maeva ne datait que de quelques jours. On ne pouvait pas dire qu’Hélène fessait significativement plus fort que Teva. Maeva eut pourtant l’impression, après une dizaine de claques sur chaque fesse, que c’était la pire fessée de sa vie. C’était comme si Marguerite n’avait pas gardé mémoire des précédentes fessées reçues et qu’elle redécouvrait, à chaque fois, les effets d’une telle correction.
Les réactions de Marguerite qui, si elle l’avait pu, se serait soustraite à la fessée, la durée de celle-ci et l’énergie qu’Hélène y avait mis, lui avaient appris qu’il s’agirait d’une sérieuse fessée. Elle savait cependant qu’il ne serait pas fait appel à la règle à laquelle elle avait déjà goûtée, puisque Marguerite n’y avait pas eu droit. Il ne s’agirait donc pas d’une fessée magistrale qui laissait des traces dans son esprit et sur ses fesses pendant un bon moment. La fessée à la main provoquait une cuisson très intense sur le moment, fort heureusement, elle diminuait rapidement quand on était au coin.
Oui, mais nous n’y étions pas encore. Comme Marguerite l’avait fait, Maeva réagit fortement quand Hélène entreprit de fesser à la jonction des fesses et des cuisses. C’était un endroit plus sensible que le sommet des fesses. Ses cris laissèrent place aux sanglots. Il ne lui était pas possible d’en subir plus et pourtant Hélène estimait ne pas être arrivée au bout de la correction.
« Toutes les deux au coin ! Marguerite, tu vas à ta place habituelle et toi Maeva, tu te mets ici ! »
Hélène conduisit Maeva dans l’angle que formait le côté d’une étagère surchargée de livres et le mur de la pièce. Cela faisait un coin tout à fait acceptable. Les deux filles n’étaient séparées que de quelques dizaines de centimètres, mais elles ne pouvaient, bien entendu, pas se voir, chaque tournée vers l’angle qui lui avait été désigné.

Une demi-heure plus tard, elles étaient de nouveau assises l’une à côté de l’autre pour continuer le travail que la fessée avait interrompu. Miraculeusement, il n’y avait plus de dissensions entre elles deux. Le motif, probablement futile, de leur dispute était oublié. Elles travaillèrent en silence, mais en abattant un travail conséquent.
Hélène, cependant, voulait aller au bout de la leçon. Vers dix-huit heures, elle annonça la fin des travaux.
« J’espère que vous avez tout fini ce que je vous avais donné à faire. »
Les deux filles se regardèrent.
« Non, Hélène. On n’a pas fini, risqua timidement Marguerite.
– Ah, et comment se fait-il ?
– C’est à cause de la fessée et du temps où tu nous as mises au coin.
– Et pourquoi avez-vous eu une fessée ? »
Les deux filles se regardèrent.
« Parce qu’on se disputait.
– Ce n’est donc pas la fessée la vraie cause de votre retard, mais votre dispute, si je ne me trompe pas. »
Les deux filles hochèrent la tête.
« Vous en êtes donc responsables ! »
Un nouveau hochement de tête.
« C’est donc de votre faute si le travail n’est pas fini. A votre avis, quelle punition méritent deux grandes filles qui n’ont pas fini, dans les temps, le travail qui leur avait été donné ? »
Là où voulait aller Hélène était maintenant très clair.
« Je pense qu’elles ont besoin d’une bonne fessée ! »
C’était Maeva qui était la plus proche. Hélène la courba sous son bras et elle la prépara pour la fessée. Jupe relevée, culotte baissée, nous y étions. Il ne s’agissait pas de donner une mémorable fessée, juste de ranimer la cuisson des fesses que le temps avait apaisée.
Marguerite prit la place de Maeva quand celle-ci fut renvoyée au coin. Une rapide fessée, à l’instar de celle de Maeva et elle fila au coin sans demander son reste.

Hélène les y laissa jusqu’à ce qu’il fût l’heure du bain. Elle les raccompagna chez Teva en leur ordonnant de garder leur jupe relevée pour traverser le palier. La culotte baissée laissait voir deux paires de fesses encore rosées.
Les deux filles guettaient les bruits annonciateurs d’une arrivée par l’escalier. Heureusement, il n’en fut rien.
Ce fut avec une claque sur les fesses pour chacune que Teva les envoya au bain.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 32
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 34

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !


Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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