samedi 29 février 2020

Madame Caroni - chapitre 35

Quand Paul eut la disponibilité d’esprit pour s’intéresser à ce qui se passait autour de lui, la fessée de Maïlis était déjà bien entamée. Paul tourna la tête. Une jeune fille était allongée en travers des genoux de Madame Caroni. Son postérieur était déjà bien rouge. Elle ne se débattait pas, bien que tout son corps indiquait la cuisson que la main de Madame Caroni faisait grossir sur ses fesses. La jeune femme ne faisait pas du tout attention à lui. L’autre jeune femme était toujours au coin.
« Paul ! Tu remets ton nez dans le coin tout de suite ! »
Il renfonça son nez dans le coin. Quelle folie ! Madame Caroni allait-elle le punir pour cette désobéissance ? Il serra les fesses et ferma les yeux. La réaction sa tutrice ne venait pas alors que la fessée se poursuivait. Paul se détendit.
Il n’avait plus que ses oreilles pour comprendre ce qui se passait dans la pièce où il se tenait. Le claquement de la main sur la peau nue, un cri de la jeune femme, un autre claquement. La seule variation venait de la fréquence avec laquelle la main arrivait sur les fesses et de l’intensité des réactions de la jeune femme. Et la fessée cessa.
« Cela suffira pour ce soir, n’est-ce pas ma chérie ? »
Maïlis pleurait, incapable de répondre.
« Y aura-t-il encore des colères ? »
Maïlis fit un gros effort pour maîtriser sa respiration avant de répondre.
« Non, Zia Margherita, c’est terminé !
– Terminé ? Ne t’avance pas trop. L’habitude de faire des colères ne passe pas aussi vite que cela, mais maintenant, tu sais ce qui t’arrivera à la prochaine.
– Oui, Zia.
– Voilà une bonne chose de faite. Va te remettre dans ton coin. »
Un léger frottement des pieds et quelques sanglots insuffisamment ravalés indiquèrent à Paul le lieu vers lequel se dirigeait la jaune femme. Ce n’est que quand Madame Caroni tira sur son oreille pour le sortir du coin qu’il comprit que sa punition n’avait été que légèrement différée. Il n’avait pas entendu sa tutrice approcher.
« Voyons voir su j’arrive à t’expliquer comment il faut se tenir au coin. Il semble que des mots n’y suffisent pas. »
Elle avait courbé Paul sous son bras. La suite ne faisait pas de doute.
« Mets-toi à genoux ! »
Madame Caroni pesait sur le dos de Paul qui obéit. Il ne songea pas un instant qu’il aurait pu faire autrement. Madame Caroni dégagea sa cible, en remontant la chemise qui couvrait les fesses.
« Si je vois ta main qui protège tes fesses, je prends la ceinture. Elle n’est pas loin ! »
La main de Madame Caroni provoqua une fournaise sur ses fesses en quelques minutes. La position à genoux était douloureuse et elle ne permettait aucun mouvement. Faire passer son poids d’un genou sur l’autre était quasiment impossible, sans compter bouger un genou, même d’un centimètre. Pas question de remuer des pieds, pas question de gigoter du bassin.
Paul ne voulait pas manifester sa souffrance en présence des deux jeunes femmes. Il serrait les dents, mais ses fesses se ressentaient encore des effets de la ceinture. Il avait besoin de se raccrocher à quelque chose de tangible. Il entoura la cuisse de Madame Caroni de ses deux bras et il se serra contre elle.
La douleur n’en était pas plus supportable, mais le contact étroit avec la personne qui le fessait, le rassurait. Il avait l’impression d’une plus grande intimité et la sensation d’une compréhension mutuelle, comme si recevoir la fessée de la main de sa voisine était une situation normale, une punition dont il retirerait de grands bénéfices pour peu qu’il en accepte le principe. Il rejeta cette idée. Il ne lui était pas possible d’admettre que cette punition était justifiée. Il n’en relâcha pas pour autant la pression de ses bras sur la cuisse de Madame Caroni.
Paul laissa passer quelques gémissements entre ses lèvres. Après, il se laissa aller et il ne fit plus aucun effort pour retenir ses cris et ses larmes, exactement comme l’avait fait Maïlis avant lui.
« As-tu enfin compris que quand je te mets au coin, c’est parce que plus personne ne veut voir ton nez de vilain garçon désobéissant ? Il doit rester tourné vers le mur. C’est déjà bien assez de contempler tes fesses ! »
Madame Caroni appuyait chacun des syllabes qu’elle prononçait par une claque sur les fesses de Paul, aussi forte qu’elle le pouvait. Paul comprenait la logique de la correction qu’il recevait. Mais il n’arrivait pas à admettre y être soumis régulièrement, comme Madame Caroni le lui avait promis.
Il fut soulagé quand la fessée prit fin. Ses fesses étaient brûlantes.
« Je pense que tu vas maintenant préférer garder ton nez dans le coin. Si ce n’est pas le cas, je peux recommencer aussi souvent que nécessaire. La prochaine sera bien plus sévère. Tu sais que je peux y arriver sans problème ! »
Ça oui, il le savait.
« Retourne te mettre au coin ! »
Madame Caroni l’accompagna jusque-là.
« A genoux ! Tu vas te mettre au coin à genoux pour un bon moment. »
Paul n’avait aucune envie de discuter, bien que l’ordre de Madame Caroni, auquel il allait se conformer, l’inquiétait. Il venait de quitter cette position et il avait pu constater combien elle était difficile à tenir. Combien de temps sa tutrice le laisserait-elle au coin dans cette position ? Il n’avait pas la réponse. Il s’agenouilla cependant.
« D’être à genoux ne t’empêche pas de croiser tes bras dans ton dos et de remonter ta chemise ! »
Paul rectifia sa position. Il lui sembla, qu’à cause de ce simple geste des aiguilles rentraient dans ses genoux. Cela allait être encore plus difficile qu’il ne l’avait cru.

« Désolée de t’avoir fait patienter, Camille, mais la fessée que je devais à ce garçon passait en priorité. Je suis à toi, maintenant. »
Camille se serait bien passée de bénéficier de l’attention de Madame Caroni, mais cela faisait maintenant partie de sa vie. Il fallait en passer par là. Elle était venue se placer debout devant sa tutrice, sans rechigner. La présence de ce garçon la gênait, bien entendu, mais elle ne s’en plaignit pas. Il n’aurait pas été raisonnable de protester alors que ses fesses nues étaient à portée de la main de Madame Caroni.
« Je veux que tu comprennes qu’à chaque fois qu’il sera nécessaire de te fesser au travail, qui que ce soit qui doive sévir, tu auras une deuxième correction, le soir, une fois arrivée à la maison. »
Camille écoutait attentivement ce que disait Madame Caroni. Elle avait compris que l’inattention n’était pas de mise. Une fois avait suffi. Elle n’avait aucune intention de recommencer à être distraite quand Madame Caroni la grondait. Elle s’efforçait d’intégrer ce qui lui était dit. C’étaient de précieuses informations qui lui serviraient, peut-être, à éviter une autre correction si elle était très attentive.
Camille ne protestait pas contre la décision de sa tutrice. le plus ennuyeux, si l’on peut dire, ce n’était pas d’être punie à la maison. Elle commençait à en avoir l’habitude et à l’envisager comme un effet évident de sa nouvelle condition de pupille. Non, ce qui la gênait, c’était que désormais Madame Daurent recourût à la fessée. Sa patronne l’avait envisagé avec un tel naturel que Camille ne voyait pas comment elle ferait pour l’éviter.
Paul, de son côté, n’en croyait pas ses oreilles. Désobéissance, colère, gros-mots… la liste des raisons pour recevoir une fessée chez Madame Caroni, était longue. Mais imaginer qu’il fût possible d’être puni parce qu’on avait été fessé au travail dépassait son entendement. Il songea un bref instant à ce qui pourrait lui arriver s’il était soumis à ce traitement par sa cheffe. C’était inenvisageable.
Cette pensée était si désagréable, qu’il se raidit, mais la douleur qui transperça ses genoux le ramena à plus d’humilité. Ce n’était pas le moment. La fessée de Camille avait commencé. Le bruit qu’il reconnaîtrait entre mille maintenant, de la main de Madame Caroni s’abattant sur de la peau nue, les cris de la jeune femme, ses pleurs…
Paul ressentait la fessée que prenait Camille comme si c’était lui qui était allongé en travers des genoux de Madame Caroni. Il avait un petit tressaillement à chaque fois que la main de sa tutrice frappait les fesses de la jeune femme. Il lui semblait que la cuisson de ses fesses avait repris. Il secoua la tête pour se débarrasser de cette sensation. Elle n’avait rien d’agréable.
Il était surpris de la sympathie qu’il éprouvait pour les deux jeunes femmes. Il y avait peu de temps, elles lui auraient été indifférentes et il n’aurait pas sourcillé si elles avaient pris une fessée en sa présence. Cela l’aurait plutôt amusé. Il ne voyait plus les choses de la même façon. Ils étaient maintenant tous les trois dans le même bateau et Paul était inquiet. Bien que ce ne fussent que des rumeurs, il commençait à circuler des bruits sur Madame Caroni et il avait peur que ce qu’il avait entendu fût encore en dessous de la réalité.
« Bien, nous nous en tiendrons là pour ce soir. Crois-tu que cette fessée soit suffisante ?
– Oh oui Madame, réussit à articuler Camille entre deux sanglots.
– Sans que j’aie besoin de te le rappeler, quand tu prendras une fessée au travail, tu viendras me voir tout de suite en rentrant pour que je puisse te punir. J’espère que je n’aurai pas à te le rappeler. Allez, au lit ! Toi aussi Maïlis ! Filez toutes les deux dans la chambre. »
Il y eut un bruit de pas, mais il était étrange, pas du tout ce à quoi cela ressemblait habituellement. Paul mit quelques secondes à l’identifier. C’était celui que faisaient les deux jeunes femmes qui de déplaçaient précautionneusement, sans vraiment lever le pied. Leur culotte à hauteur de leurs genoux les en empêchaient.
« Quant à toi, Paul, tu restes-là sans bouger ! »
Il n’en avait pas du tout l’intention. La position à genoux devenait pourtant plus qu’inconfortable.

Quand Madame Caroni revint, Paul n’avait pas bougé. Se tenir à genoux était maintenant une véritable torture. Il n’arrivait plus à penser à quoi que ce fût d’autres depuis quelques minutes, suppliant intérieurement que Madame Caroni vînt le délivrer. Elle avait pris son temps.
Paul avait eu le temps de réfléchir à ce qui venait de se passer. Il n’avait pas vraiment compris comment il se retrouvait dans cette situation. Ce qu’il savait parfaitement, c’était pourquoi il y restait. Les fessées de Madame Caroni n’étaient pas une plaisanterie et, bien qu’il avait fallu l’aide d’une autre personne, elle l’avait soumis à la fessée bien facilement. Paul ne voyait pas, dans l’immédiat, ce qui l’empêcherait de recommencer. Ce constat l’avait démoralisé.
C’est en songeant à ce que faisait sa voisine pendant qu’il avait de plus en plus de mal à tenir sa position, qu’il prit conscience de ce qu’il avait entendu. Madame Caroni était allé mettre les deux jeunes filles au lit. Aucune des deux n’avait protesté contre ce traitement infantilisant. Elles étaient jeunes, certes, mais pas assez pour qu’on ait besoin de les mettre au lit. L’expression utilisée faisait bien plus penser à des enfants qu’à des jeunes femmes. Se serait-il trompé sur leur âge ? Au moins l’une deux avait un travail. Elle ne pouvait pas être si jeune que cela. Mais alors, que signifiait mettre les deux jeunes femmes au lit. Ne savaient-elles pas le faire seules ? Absurde ! Il y avait quelque chose qui ne collait pas.
« Elles le sont assez pour recevoir une fessée ! »
Paul se rendit compte tout de suite de l’absurdité de son raisonnement. Trente-deux ans, c’était son âge. A trente-deux ans, selon Madame Caroni, on pouvait encore recevoir la fessée. Cela laissait de la marge pour les deux femmes.
« Lève-toi et viens me voir ! »
C’était encore plus difficile de se relever que de rester à genoux. Paul n’avait aucun point d’appui. Il dut transférer son poids en arrière, ce qui lui arracha des plaintes. Poser alors une main par terre ne fut pas plus simple. Quand il put faire peser son poids sur ses deux mains, le soulagement fut immédiat. Il eut du mal à déplier ses genoux, mais ce n’était rien à côté de ce qu’il avait enduré auparavant.
Il boitilla jusqu’au canapé sur lequel se tenait Madame Caroni.
« Qui t’a autorisé à laisser retomber t chemise ? »
Madame Caroni releva le côté du vêtement incriminé et sa main claqua la cuisse nue. La douleur fut fulgurante. Paul lâcha un cri sourd et remonta précipitamment sa chemise. Cela ne lui épargna par une autre claque au même endroit.
« Tu laisses tes bras croisés dans le dos tant que je ne t’ai pas dit le contraire ! »
Une troisième claque vint confirmer que Madame Caroni considérait cette initiative de Paul comme une bêtise.
« Tu vas apprendre à te tenir correctement pendant que tu es puni. Afin que tu t’en rendes bien compte, tu auras, presque à chaque fois la culotte baissée, et je tiens à ce que ce soit jusqu’à ce que je t’autorise à cacher tes fesses. Pour le moment, ce n’est pas le cas. »
Paul s’attendait à une autre fessée, mais elle ne vint pas. Il ne prit vraiment conscience de sa nudité qu’à ce moment-là. Ses organes génitaux étaient exposés sous les yeux de sa voisine et il ne pouvait les dissimuler. Le plus humiliant, c’était certainement que Madame Caroni n’en fît aucun cas. La honte lui fit monter le rouge aux joues.
« Sache que tu n’en as pas fini avec les punitions. Refus d’une fessée totalement méritée, un coup que tu m’as donné, gros-mots… tout cela mérite autant de fessées et je ne t’en épargnerais aucune. Si tu recommences à me faire des difficultés quand j’ai décidé de te corriger, je peux toujours appeler du renfort. Tu as vu, ce n’est pas difficile de trouver une personne disponible pour me prêter main forte. »
Paul n’en doutait pas du tout. La démonstration en avait été éloquente.
« Dans ce cas je te mettrai à genoux au coin. Tu n’y as été qu’une petite dizaine de minutes, ce soir. Cela pourrait être bien plus long la prochaine fois. »
Ce n’était pas possible que le temps au coin n’avait duré que dix minutes. Paul avait eu l’impression d’être resté à genoux une éternité.
« Pour ce soir, je vais être clémente. Tu n’auras qu’une fessée à la main avant que je te mette au lit. Ce sera pour l’ensemble de tes désobéissances de la journée. Nous reprendrons les choses sérieuses demain soir. Tu viendras me vois dès que tu rentreras et je te donnerai les fessées que je te dois. »
Bien qu’il s’en doutât, Paul comprit qu’il n’en avait pas fini avec les fessées de sa voisine. Debout devant elle, la culotte baissée, il ne voyait pas comment il pourrait y échapper.
« Retournons chez toi. Il est temps de te mettre au lit. ! »

La descente de l’escalier avait été plus difficile que la montée. Madame Caroni n’avait pas accepté que Paul remonte sa culotte. Il était plus difficile de descendre des marches avec une culotte qui limitait ses pas, et Paul était passé d’un étage à l’autre, la boule au ventre, craignant de croiser un voisin. L’angoisse était bien plus forte qu’à la montée qu’il avait effectuée sans vraiment se rendre compte de ce qui lui arrivait, tant la cuisson sur ses fesses était prégnante.
Sa mère avait ouvert de grands yeux quand il avait sonné à la porte en voyant la tenue dans laquelle il se tenait. Elle n’avait pas dû le voir les fesses nues depuis qu’il avait sept ou huit ans. Elle avait battu en retraite précipitamment devant l’avancée de Madame Caroni.
« Où est ta chambre ? »
Paul avait montré la porte à droite au fond du couloir. Madame Caroni qui le tenait par le bras l’entraîna. Elle se retourna vers la mère de Paul.
« Tu m’attends dans le séjour ! Nous avons beaucoup de choses à discuter ! »
Celle-ci ne dit pas un mot et elle trottina jusque dans le séjour. Une impulsion sur le bras de Paul et ils se dirigèrent tous deux vers la chambre. Paul était resté perplexe sur ce que Madame Caroni avait fait quand elle avait mis les deux filles au lit. Il en eut une démonstration personnalisée.
Madame Caroni s’assit sur son lit et le plaça debout devant elle. Elle délaça ses chaussures, les lui enleva et elle les écarta du pied. Puis ce fut au tour de son pantalon, puis de sa culotte. Paul, afin de ne pas perdre l’équilibre se tint aux épaule de sa voisine alors qu’elle lui ordonnait de lever un pied après l’autre.
« Va ranger tes chaussures à leur place ! »
Paul les ramassa et il fit un pas vers la porte. Il songea alors à sa mère qui ne manquerait pas de le voir se baladant dans l’appartement les fesses nues.
« Mais je ne peux pas. Pas comme ça !
– Ah non, répliqua Madame Caroni en lui donnant une formidable claque sur les fesses nues ? »
Cela fit changer Paul d’avis. Il sortit en courant, ses chaussures à la main. Le risque était bien plus grand du côté de Madame Caroni que de celui de sa mère. Celle-ci ouvrit de grands yeux en voyant son fils passer devant la porte ouverte, le bas du corps entièrement nu.
Quand Paul revint dans sa chambre, Madame Caroni acheva de le déshabiller. Sans vraiment le vouloir, Paul coopérait avec Madame Caroni. Il levait les bras quand il le fallait, il se tournait sur un geste de suggestion de sa tutrice. Il ne réagit pas quand Madame Caroni le prit, une main de chaque côté de ses hanches pour le ramener devant lui avant de lui passer le bas de son pyjama.
Une main plaquée sur le ventre de Paul, frôlant les poils pubiens, Madame Caroni le maintint en place pendant qu’elle prit le temps d’examiner l’état des fesses en passant son pouce sur l’épiderme fessier, cherchant des nodosités sous la peau.
« Que des dégâts mineurs. Je pensais avoir été plus sévère. »
Paul n’avait pas le même avis, amis il le garda pour lui. D’une petite tape sur la cuisse, Madame Caroni lui indiquait quand il fallait lever un pied ou quand il fallait se tourner pour faciliter les choses à sa voisine. Il se retrouva vêtu de son pyjama.
« Va te laver les dents ! »
Il fit une courte toilette, surveillé de près. Et une claque sur les fesses lui ordonna de retourner dans la chambre. Il voulut se glisser dans son lit.
« Une seconde, mon garçon ! Tu oublies la fessée ! »
Il avait espéré passer à travers.
« S’il vous plait, j’ai encore très mal là. »
Il désignait vaguement son postérieur.
« Tu as grand besoin de te coucher après avoir reçu une dernière fessée. Elle te permettra de réfléchir aux inconvénients qu’il y a à me désobéir. Cela va te faire du bien.
Ce ne serait pas pour ce soir qu’il réussirait à fléchir la résolution de sa tutrice. Il grimaça, mais il ne résista pas quand elle l’amena sur son côté droit, ni quand elle lui baissa le pantalon de pyjama. Il était résigné quand Madame Caroni l’allongea en travers de ses genoux. Il y avait une nette différence avec la première fessée qu’elle lui avait donnée. Madame Caroni n’eut aucun mal à placer les fesses de Paul là où sa main les trouverait facilement.
Il n’y avait pas besoin d’administrer une fessée d’une grande sévérité. Elle suffit à asseoir l’autorité de Madame Caroni. Les corrections que Paul avait reçues, seraient gravées dans son esprit. Il faudrait confirmer sa soumission le lendemain, mais c’était en bonne voie.
Paul se mit au lit sans rechigner. Il avait les fesses bien assez douloureuses pour ce soir.


Vous avez loupé le début de l'histoire ?

Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
 ... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 34
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"

Il y aura une suite, bien sûr !

C'est la chapitre 36.

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