mercredi 19 février 2020

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 35

Marguerite gémissait doucement et hoquetait de sanglots résiduels quand Teva l’amena devant sa porte.
« Donne-moi tes clés ! »
Marguerite les tendit. La fessée donnée par la voisine avait eu le résultat escompté. Au-delà des effets mécaniques sur ses fesses, Marguerite se savait maintenant sous surveillance de ses voisins et sous la menace permanente d’une correction si son attitude ne devait pas, dès maintenant, rester absolument sans reproche.
Elle savait que la voisine du dessous se ferait un devoir de faire savoir à tous que fesser Marguerite était maintenant une option dont chacun disposait à sa guise. Compte tenu des relations tendues qu’elle avait avec certains d’entre eux, cela pourrait être un exutoire pratique pour régler le moindre petit écart. Marguerite voyait bien deux ou trois des matrones qui habitaient dans l’immeuble n’avoir aucun état d’âme le jour où il faudrait la déculotter.
Marguerite pleurait bien évidemment à cause des effets de la fessée qu’elle venait de recevoir, principalement la honte de s’être retrouvé dans cette position aussi humiliante, mais surtout sur la perte de son statut d’adulte dans l’un de ses lieux de vie et pas des moindres.

L’exclamation de Teva en ouvrant la porte de la chambre, ramena Marguerite à des préoccupations plus immédiates.
« Quel capharnaüm ! Comment oses-tu vivre dans un désordre pareil ? »
La claque sur les fesses, magistrale, montra à Marguerite l’importance que Teva accordait à cette question. Cela n’avait rien d’étonnant. Pour avoir laissé traîner une seule chaussette dans la chambre dans l’appartement de Teva, elle avait reçu une fessée, pas plus tard que la semaine dernière. Là, ce n’était pas qu’une chaussette, mais plusieurs. Et aussi des culottes, un pantalon et plusieurs chemisiers qui jonchaient le sol. C’est ce qui se voyait au premier coup d’œil. Marguerite savait qu’il y en avait d’autres si on cherchait un peu.
Les deux fessées reçues depuis que Teva était arrivée, avaient occupé toutes ses pensées. Elle n’avait pas songé que la découverte, par Teva, de l’état de sa chambre la mettrait inévitablement dans un mauvais pas. Comment imaginer que Teva n’irait pas plus loin dans ses investigations ? Ce n’était pas dans ses habitudes.
Elle extirpa de dessous le lit une culotte de dentelle, étroite, échancrée, ajourée qui n’avait nécessité que le minimum de tissu pour la confectionner.
« Qu’est-ce que c’est que cela ? Je croyais t’avoir interdit ce genre de sous-vêtement ! Tu en portes encore ?
– Oh… oui… enfin non… C’était juste pour aller au cinéma.
– Quand es-tu allée au cinéma avec ce… ce bout de chiffon transparent sur les fesses ?
– Euh… la semaine dernière, jeudi, je crois.
– Tu es donc allée au cinéma jeudi alors que je t’avais privée de sortie jusqu’à dimanche ? »
Marguerite resta sans voix. Préoccupée par la culotte litigieuse, elle avait baissé la garde sur un autre point autrement plus fondamental. Son silence fut suffisamment éloquent pour Teva. Elle dégagea un coin du lit encombré par un sac plastique d’où s’échappaient quelques miettes de pain. Quand elle y prit place, Marguerite n’avait plus aucun doute : une fessée l’attendait.
Teva la prit par la main et elle l’amena à sa droite. Personne n’avait autorisé Marguerite à remonter sa culotte depuis que la voisine l’avait corrigée. Quand elle se retrouva à plat-ventre en travers des genoux de Teva, il n’y eut besoin que de remonter la jupe sur ses reins.
Teva prit le temps de bien imprimer son mécontentement sur les fesses de sa fille adoptive. Elle administrait des claques sèches en laissant un petit temps de latence entre deux. Elle couvrit ainsi toute la surface de peau qui s’étendait de la taille de Marguerite jusqu’en haut des cuisses, en portant une attention particulière à l’espace plus tendre, là où les cuisses prennent naissance.
Marguerite confirma très vite qu’elle retenait la leçon. Ses cris n’auraient pas été plus forts si elle avait été à l’agonie. Elle donnait l’impression de ne plus pouvoir respirer normalement et d’être au bord de l’asphyxie. Cela n’affectait pas Teva. Elle avait souvent vu Marguerite sembler perdre sa respiration, sans que cela eût des conséquences. Des cris, des pleurs, des hoquets, des gémissements… le tout mêlé. Teva était rassurée. Marguerite se souviendrait de cette fessée et de ce qui l’avait causée.
Quand Teva jugea la correction suffisante, elle laissa Marguerite un petit moment sur ses genoux, le temps qu’elle retrouve ses esprits. Quand cette dernière prit conscience que Teva en avait fini avec ses fesses. Ses sanglots redoublèrent, mais ses cris cessèrent. Elle enfouit son visage dans les plis de la robe de Teva qu’elle inonda de ses pleurs.
Teva sourit. C’était une réaction typique de ses deux grandes filles après une fessée. Elles avaient besoin de se sentir pardonnées. Elles cherchaient le contact le plus étroit possible avec Teva qui ne put s’empêcher de caresser les fesses dont elle venait de s’occuper si rudement.

Elle se reprit assez vite. Elle ne devait pas se laisser attendrir avant que la punition soit achevée. Elle leva les yeux. Il n’y avait pas de coin utilisable pour y mettre Marguerite.
« Va donc mettre ton nez contre ce mur ! Et les mains sur la tête ! »
Marguerite se leva à regret. Elle aurait volontiers prolongé ce moment de calme après la fessée. Mais le moment était à l’obéissance, pas à la revendication. C’était toujours le cas après une fessée.
Teva prit le temps de relever la jupe et de la coincer dans les autres vêtements de Marguerite, avant de se retourner vers le désordre de la chambre.
« Quelle négligence ! »
Elle fulminait intérieurement. Un passage dans la salle de bains et dans les toilettes augmenta encore sa colère. Elle revint vers Marguerite.
« Depuis quand n’as-tu pas fait un sérieux ménage ?
– Je ne sais plus, répondit Marguerite d’une voix hésitante.
– Comment cela, tu ne sais plus ! Est-ce à dire que cela fait tellement longtemps que tu ne t’en rappelles plus ?
– Oui… euh, non… il y a plusieurs semaines… trois ou quatre… je crois.
– Trois ou quatre semaines ! Tu as le temps d’aller au cinéma, alors que tu es privée de sortie, mais tu n’as pas le temps de tenir ta chambre en état ! »
L’indignation de Teva débordait. Il lui fallait faire diminuer la tension intérieure que cela provoquait. Les fesses nues de Marguerite étaient là, à portée de main. C’était trop tentant. La main de Teva s’abattit sur le postérieur de la jeune femme. Une véritable avalanche qui envoya le ventre de Teva contre le mur auquel elle faisait face.
« Cette petite écervelée, se dit Teva, doit comprendre qu’il y a des contraintes qui sont à prendre en compte prioritairement. Les temps de loisir passent après ! »
La fessée continuait.
« Je finirai bien par le lui faire entrer dans le crâne, pensa Teva, mais il faudra certainement encore plus d’une fessée pour y arriver. »
La légère décoloration des fesses qu’avait permis les quelques minutes passées au piquet, ne se voyait plus. Le postérieur était de nouveau d’un rouge vif uniforme. Teva estima qu’elle ne pouvait pas faire mieux pour l’instant.
« Nous reparlerons de toutes ces négligences et des désobéissances ce soir. Tu peux t’attendre à une fessée magistrale ! Tu vas passer une soirée difficile ! »
Sur le moment, Marguerite ne releva pas toutes les implications de ce que signifiait ce que Teva venait de dire. Elle pensa surtout aux fessées qui l’attendaient, se demandant si Teva aurait de nouveau recours aux orties. Elle en gardait un souvenir cuisant et elle aurait fait n’importe quoi pour les éviter. Mais n’importe quoi… qu’était-ce ? Que pourrait-elle faire ? Si Teva l’avait décidé…
Elle ne songea pas que pour pouvoir la fesser, cela signifiait que Teva devait l’avoir en proximité. Elle ne pourrait donc pas être chez elle. Elle ne pouvait donc être que chez Teva.
« C’est décidé, se dit Teva, je ne la laisse pas ici. Elle va venir habiter à la maison. Elle n’est pas plus capable que Maeva de vivre toute seule et de s’assumer. Elle sera bien mieux à la maison et moi je l’aurai sous la main. Je serai bien plus tranquille. A moins que… une idée à vérifier ! »
Teva regarda la chambre.
« Il y aura du travail à faire. Nous reviendrons ce week-end pour remettre les lieux en état pour pouvoir résilier le bail. Pour ce soir, un tri de ce qu’on emporte et on y va. »
Teva se chargea du tri. Elle fit deux tas des vêtements de Marguerite. Un de ce qui était mettable, selon ses propres critères et l’autre de ce qu’il y avait à jeter. Bien sûr, ce qui était usé partait dans le deuxième tas. Mais des vêtements encore en bon état le rejoignaient aussi. Tout ce qui semblait trop excentrique, trop dénudé ou trop sexy ne pouvait décemment pas être conservé.
A la fin ce fut ce tas-là, et de loin, qui fut le plus important. Le reste tenait dans une valise que Teva trouva dans un placard. Quelques affaires de toilette et le bagage de Marguerite était prêt. Teva, sans autoriser Marguerite à bouger du piquet où elle se tenait toujours les mains sur la tête, lui remonta la culotte et remis la jupe à sa place.
« Tu remets ton manteau et on y va ! »
Marguerite n’osa pas demander où. Teva semblait toujours autant en colère contre elle et, à la moindre remarque mal prise par sa mère adoptive, elle risquait une fessée. Elle en avait déjà eu trois, d’autres lui étaient promises le soir-même, cela suffisait pour le moment.
Teva prit la valise d’une main, la main de Marguerite de l’autre.
« Allez, avance ! »

Teva sonna à la porte de la dame de l’étage du dessous qui avait, si obligeamment, accepté de fesser Marguerite. Tout le temps que dura la conversation, celle-ci resta les yeux baissés, le rouge au front. Elle n’arrivait pas à regarder sa voisine en face. Teva fit une rapide description de la personne envers qui Marguerite avait été si désobligeante.
« Bien sûr, répondit-elle, c’est Véronique. Il n’y a qu’elle qui corresponde à votre description.
– Pouvez-vous me donner ses coordonnées si vous les avez ? Je voudrais m’assurer qu’elle sera présente samedi quand nous reviendrons. Marguerite doit lui présenter ses excuses pour son comportement d’aujourd’hui. Je ne serais pas contre qu’elle accepte de lui donner une fessée. »
La voisine revint avec un numéro de téléphone.
« Je suis persuadée que Véronique sera ravie de votre initiative. Quant à la fessée, je ne sais pas si elle acceptera. Elle a une santé fragile et je ne sais pas si elle aura l’énergie suffisante pour administrer une correction. Si besoin, n’hésitez pas à faire appel à moi. Je serai ravie de vous rendre ce service.
– Je vous remercie de votre amabilité. Je vous tiens au courant. »

L’arrivée chez Teva fut expéditve. Teva lui enleva son manteau.
« Ote tes chaussures et mets tes chaussons ! »
Marguerite n’alla pas plus loin que l’entrée. Teva la courba sous son coude.
« Ne te fais pas d’illusion, ma chérie, tu en es loin de voir le bout de ta punition. Commençons par une bonne fessée ! »
La jupe relevée, la culotte baissée… les fesses rougies en quelques minutes… des cris et des larmes de repentir de Marguerite.
« Tu sais où est le coin ? Il t’attend ! Je crois que tu vas y passer le reste de la journée. File ! »
Une dernière claque sur les fesses et Marguerite se dirigea vers le coin qu’elle connaissait par cœur. Il est vrai que vu la position qu’elle devait y prendre, elle en avait vite fait le tour. Quelques minutes, le temps que le plus fort du feu qui s’était emparé de ses fesses se clame un peu et elle avait enfin le temps de réfléchir aux conséquences de cette fin d’après-midi.
Teva ne lui avait pas expliqué clairement quelles étaient ses intentions. Ce n’était pas dans ses habitudes de prendre le temps de le faire. Marguerite était une enfant dont elle attendait surtout de l’obéissance. Elle découvrirait les décisions la concernant quand Teva jugerai bon de l’en informer.
Toutefois, la sélection des vêtements que Teva avait faite, la valise emportée avec elles, pas de retour imaginé avant samedi… Tout cela laissait envisager qu’elle ne passerait plus beaucoup de temps, du moins ces jours-ci, dans son studio.
Cela laissait présager quelques bonnes fessées, elle n’en doutait pas. Teva n’avait plus besoin de se faire une réputation question sévérité. Mais si c’était le prix à payer pour venir habiter définitivement chez Teva, partager ses temps libres avec Maeva, se laisser fondre dans la sécurité de cette maison et travailler avec Hélène plus souvent, Marguerite était d’accord. Il fallait attendre. Attendre au coin avec la promesse d’une prochaine fessée, ce n’était pas le meilleur endroit, mais c’était le seul auquel Marguerite avait accès.
« Va donc pour le coin se dit-elle ! »
Puis, à la réflexion :
«  Combien de temps encore avant la prochaine fessée ? »

Maeva avait dû attendre le bain pour sauter au cou de Marguerite qui n’avait été autorisée à sortir du coin qu’à ce moment-là. Il y eut quelques minutes de fête entre les deux jeunes femmes. Teva y mit fin. Il lui suffit de gronder un peu.
« Ça suffit ! Marguerite est encore punie. »
C’était un avertissement à prendre en compte. Le bain achevé, il fut de toute façon bientôt temps de passer à table où ce genre d’excentricité n’était pas permis. Les deux jeunes femmes devaient s’y tenir sagement. Elles savaient ce que cela leur coûterait de ne pas répondre aux exigences de Teva. Malgré ses fesses douloureuses, Marguerite veilla à bien se tenir sur sa chaise. Cela faisait partie de la norme à table. Teva faisait régner l’ordre en fronçant les sourcils. Elle n’avait que rarement besoin d’aller au-delà, mais alors, c’était la fessée.
Elle n’eut pas besoin d’arriver à une telle extrémité ce jour-là. Mais à peine la cuisine rangée à la fin du repas, elle apostropha Marguerite.
« Tu retournes au coin ! J’arrive te donner la fessée ! »
Marguerite fit une grimace mais elle se dirigea vers l’endroit qui lui était assigné. Comment aurait-elle pu penser que Teva allait oublier ? Ce n’avait été qu’un vague espoir auquel elle n’avait jamais vraiment cru.
Le nez dans le coin et les bras croisés dans le dos, elle avait conservé sa chemise de nuit baissée. Viendrait bien assez tôt le moment où elle serait relevée. Elle entendit les membres de la famille s’installer pour passer un petit moment ensemble avant que les enfants soient envoyés au lit. Ce furent d’abord Fara et Moana. Une partie de carte s’engagea.
« Tu viens jouer avec nous ? »
Cette invitation ne pouvait s’adresser à Marguerite qui savait que tout le monde l’ignorerait tant qu’elle serait en pénitence. Cela faisait partie de la punition d’être exclue de toutes les activités et des conversations. On pouvait parler d’elle, mais pas avec elle. Cette règle était strictement respectée et celle qui l’enfreindrait se retrouverait, elle aussi, au coin, non sans avoir eu les fesses copieusement rougies.
« Non, pas ce soir, répondit Maeva. »
Il ne manquait plus que Teva, mais Marguerite n’était pas pressée qu’elle rejoignît les autres. Cela signifierait que la fessée était imminente.
« Maman, est-ce que tu joues avec nous ?
– Non, ma chérie. J’ai une fessée à donner à Marguerite.
– Après alors ?
– Je crois qu’il sera l’heure que les petites filles aillent au lit. Il y a école demain.
– Maeva aussi ?
– Bien sûr, Moana. Bien qu’elle soit bien plus âgée que toi, Maeva est aussi une petite fille. Elle va se coucher de bonne heure pour être en forme le lendemain à son travail.
– Et Marguerite ?
– Ce soir Marguerite ira au lit un peu plus tard. Il faut qu’elle reste un peu au coin après sa fessée et je ne sais pas encore si elle va dormir ici. »
Le moral de Marguerite chuta en un instant. Si elle ne dormait pas ici, c’est que, après sa fessée, Teva la renverrai dans son studio. Elle n’arrivait pas à y croire. Toute son espérance s’écroulait. Elle faillit en pleurer. Elle se voyait mal rentrant chez elle en pleine nuit, les fesses encore douloureuses de la correction reçue de la main de Teva, sans avoir la certitude d’être dans la sécurité de son foyer d’adoption et l’espoir d’être cajolée, peut-être pas dès ce soir, punition oblige, mais certainement le lendemain matin. La perspective de recevoir la fessée, sans les câlins qui allaient avec, était déprimante. Mais pourquoi Teva l’avait-elle mise en chemise de nuit après le bain ? Elle ne pouvait pas rentrer chez elle dans cette tenue.
« Et le martinet, reprit Moana, c’est pour Marguerite ?
– Oui, ma chérie. Je crois qu’il n’y a qu’elle ici qui l’a mérité.
– Elle n’a pas été sage ?
– Ça on peut le dire ! Pas sage du tout ! Même extrêmement vilaine ! Elle a besoin d’une grosse fessée. »
Cette réponse contenta la fillette.
« On joue, Papa ? »

« C’est le moment, Marguerite ! »
La première chose que vit Marguerite en se retournant, c’était le martinet. Teva l’avait posé à côté d’elle, sur le canapé. Marguerite ne pouvait s’empêcher de voir un aspect menaçant dans les lanières. Elles paraissaient impatiemment attendre les fesses de Marguerite avec délectation.
« Allons ! »
Teva s’impatientait. Ce serait dangereux de l’irriter à cet instant. Marguerite vint se mettre à disposition de sa mère adoptive. Teva la plaça debout entre ses jambes, puis elle la courba sur sa cuisse. Elle prit le temps d’installer Marguerite de la meilleure façon pour recevoir la fessée : les deux bras en avant, privant les fesses de toute possibilité de protection même si les morsures du martinet devenaient insupportables. Teva serra, entre ses deux jambes, celles de Marguerite, en en immobilisant les cuisses. Enfin, son bras vint encercler la taille de Marguerite et la plaquer contre le flanc de Teva.
Ses possibilités de bouger étaient tout à fait réduites. Cela annonçait une fessée difficile à absorber. Les pieds qui pouvaient encore battre, et un bras, le droit, qui n’était pas tenu. Mais Marguerite savait qu’il n’était pas question qu’il s’interpose. C’était tout à fait interdit. Elle mordit dans son doigt, attendant que la fessée ne commence. Ainsi, elle était à peu près sûre que sa main ne tenterait pas de protéger ses fesses de manière intempestive.
Marguerite avait déjà reçu le martinet. Elle connaissait la brûlure que provoquaient les lanières quand c’était Teva qui les appliquait sur ses fesses. Se rappeler ce que cela faisait était une chose, l’éprouver en réalité en était une autre. Elle rua dans les bras de Teva à la première cinglée qui lui coupa le souffle. Elle n’eut pas le temps d’en éprouver tous les affres. Les coups de martinet s’enchaînèrent sans lui laisser le temps de souffler entre deux.
Marguerite resta silencieuse pendant une dizaine de secondes. Elle n’arrivait plus à reprendre son souffle, les poumons vidés. Elle aspira alors une grande goulée d’air. Le flot de cris et de pleurs ne tarit plus jusqu’à la fin de la fessée.
Quand Teva reposa le martinet, Marguerite ne sentait plus là où il venait de lui être administré. Elle ressentait juste une vaste zone brûlante du côté de son postérieur.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 36
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


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Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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