mardi 18 février 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 20

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

L'APRENTISSAGE DES BONNES LANIERES.

 Robin était persuadé que sa mère n’avait rien entendu, alors qu’elle était concentrée sur la fessée que Patricia était en train de flanquer à son beau-père. Celui-ci vaincu, ne réagissait pratiquement plus, sinon en ponctuant les claquées de plaintes larmoyantes qui remontaient du sol.  Affalé, ballotté sur les cuisses de la jeune femme, il s'évertuait seulement à maintenir ses fesses bien en place, tendues au maximum vers la main qui les claquait sans relâche.
La méthode qui consistait à flanquer systématiquement une fessée supplémentaire au moindre relâchement de position en cours de correction, avait un effet merveilleusement dissuasif. Cela permettait d'avoir sous la main des derrières toujours dociles, obéissants et parfaitement présentés pendant toute la durée des punitions. Ce qui en augmentait considérablement l’efficacité.

Cette histoire de lanières coupées taraudait le garçon. S'il ne regrettait pas d'avoir mis son idée à exécution, il s'inquiétait cependant de la réaction de sa mère, si elle le questionnait ouvertement à ce sujet, quand la fessée d'Edouard serait terminée ou même seulement interrompue. Si elle se rendait compte de ce qu'il avait fait, elle risquait de le lui faire paye rocher. Il s'était montré imprudent en évoquant le remplacement du martinet.
Plus la correction d'Edouard durait et plus il se disait qu'il aurait dû se taire puisque, de toute façon, sa vengeance était accomplie sans cet éventuel achat chez le cordonnier plutôt qu'au bazar.

La séance de fessées lui paraissait interminable. Evidemment, le beau-père devait penser la même chose... s'il était en mesure de penser. Connaissant, par son expérience personnelle, ce genre de situation, il savait que ce n’était pas absolument certain... Patricia, en pleine euphorie d'en avoir une si belle paire à disposition sous la main, ne faiblissait pas et s'en donnait à cœur joie. Robin voyait toujours danser le gros derrière écarlate, la peau luisante, sa rondeur tentante le transformant en mappemonde incendiée. Pour compléter cette excitante chorégraphie, ne manquait ni la musique sonore des claques ni le chant désespéré du puni dont les supplications brouillées de sanglots résonnaient dans toute la maison.
Enfin, Patricia, la poitrine débordante perlée de sueur, fait claquer rageusement sa main une dernière fois, en plein milieu des deux fesses solidement corrigées.
« Et voilà, il est servi beau papa... et bien servi! Il a eu sa fessée du soir, avec une nuit de récupération avant celle de demain matin.  S'exclame-t-elle, en se levant et, sans s'en soucier, le faisant tomber sur le sol à ses pieds. Et quel plaisir de claquer ces belles fesses ! Et pour claquer, elles claquent vraiment bien... On ne s'en lasse pas !
– Tout à fait ma chérie, et ce n'est pas par hasard, tu le sais bien. Un fessier comme celui-là, ça s'entretient. Il faut des séances de fessées régulières pour obtenir ce claquant bien sec et retentissant si agréable à entendre.
– Je sais maman, je sais, répond Patricia en frottant sa paume brûlante, c''est pour ça que je ne demande qu'à participer à l'entretien.  Pour le derrière de Robin, c'est déjà le cas, mais il y a aussi les fesses de celui-là »
Elle oblige Edouard à se relever, en le saisissant par une oreille, et l'envoie au coin d’une nouvelle claque vigoureusement assénée qui fait sauter une nouvelle fois ses grosses fesses écarlates. Il pousse un cri de douleur et s'y précipite à petits pas, aussi vite qu'il le peut, au risque de faire craquer les élastiques de son slip tendu entre ses cuisses. 
« Tu vois maman, moi aussi je sais me faire obéir !
– Mais ma chérie, je n'en doute pas une seconde, dit Gladys en se penchant vers la table basse pour saisissant la bouteille de Whisky. Aller... viens prendre un verre pour te détendre… On vient d'avoir une fin de journée épuisante ! Regarde comme il est serviable aujourd'hui notre grand garçon, il s'est occupé de nous préparer l'apéritif... Il a juste oublié les glaçons. 
Robin, servile jusqu'au bout, saute de son fauteuil et se précipite vers la cuisine.
« J'y vais maman ! J'y vais tout de suite ! ».
Sa sœur le regarde s'agiter avec un sourire en coin.
« Qu’est-ce qu'il lui prend, lui, tout d'un coup. Il n'est pas comme ça d'habitude. Voodoo...Il a sûrement quelque chose à se reprocher.  Et puis...  Un oubli... c'est la fessée, non ?
– Voyons Patricia, tu viens à peine d'en finir avec celle de ton beau-père...Dit Gladys en souriant affectueusement. Détends-toi un peu la main ma chérie, des fessées il y en aura d'autres !... Regarde ton frère, le voilà qui revient avec les glaçons... »
Patricia, contrariée, ne répond pas et s'assied en croisant nerveusement les jambes. Sa mère toujours souriante lui tend son verre pour trinquer.
« Aller, aux cuisantes fessée à venir ! Son ton se fait plus ferme. Mais si tu commences à bouder comme ça ma mignonne, la prochaine c'est pour tes fesses !  Elles ne sont à l'abri de rien tu sais...Ça fait un petit moment que je ne t'ai pas déculottée pour t'en mettre une bonne...  Je déteste te voir jouer les petites filles capricieuses ! »

Robin, même s'il n'est pas concerné, sent que le temps s'assombrit encore avec une météo orageuse en alerte rouge sur des ballons fessiers. Gros risque d''averse de claques. Il décide de monter dans sa chambre.
« Je crois que je vais aller dormir maman !
– Maintenant ? Mais tu n'as pas mangé !
– Je n'ai pas faim maman. Et je suis un peu fatigué.
– Comme tu veux mon chéri. Tu mangeras mieux demain ! »
Il embrasse sa mère, fait juste un signe de la main à sa sœur et monte l'escalier rapidement en se disant que finalement qu'il se n’en sortait plutôt pas mal. Ouf !! Il était soulagé...  Il avait échappé à toute question embarrassante et il était effectivement assommé de fatigue du fait de cette journée riche en événements

Il ne s’endormit cependant pas immédiatement… Il se me mit à penser à Gilbert, le mari de Régine, qui devait être emmené le lendemain, acheter son martinet pour prix de son infidélité...  Douglas aussi, complice avec Edouard... et pourquoi pas Bettina, après tout, à l'origine de toute cette histoire abracadabrante? Puis il se dit que selon toute vraisemblance, Douglas devait avoir, lui aussi commencé à payer l'addition et certainement reçu le même genre de fessée qu’Edouard... Qu'il était peut-être encore en train de tortiller son fessier bien rouge sur les genoux de Clarisse, elle aussi très généreuse sur la distribution des fessées. Il l’imaginait son cul ...tout rouge ...et plus remuant que jamais. Rassuré de ne pas être mêlé à cette pitoyable embrouille, et d'avoir pour une fois gardé ses fesses intactes, il s'endormit soudainement.

Le lendemain matin, Robin se réveilla plus tard que d’habitude, sans doute fatigué par les événements de la veille. Il entendit que son beau-père père était sur le point de partir. Il se leva en catastrophe et descendit en pyjama, mal réveillé. Le spectacle ne manquait pas de piquant. Edouard de dos, courbé en deux, retenant à deux mains son pantalon baissé, était en train de se faire reculotter par sa mère. Consciencieusement, elle lui ajuste son slip, tellement tendu sur le derrière que les élastiques lui rentrent profondément dans la raie avec, pour effet, de faire ressortir presque entièrement les deux fesses. Elles donnent l'impression d'être passées à travers le nylon. Leur rougeur éclatante est encore mise en valeur, par contraste avec le blanc de ce qui reste encore visible du slip.
Robin comprend alors qu'il avait dû être réveillé par le claquement de la fessée du matin, quotidienne, comme celle du soir, depuis le début de la semaine.

« Tu peux remonter ton pantalon maintenant mon chéri... »
Dit suavement Gladys en lui redressant la tête afin d’échanger un baiser, pendant qu’elle lui claque, fermement les fesses, encore à l'air, du plat de son autre main. Il pousse un petit gémissement.
« Là, ça se voit que tes fesses ont bien claqué ! Lui murmure-t-elle à l’oreille en l'aidant à se reculotter, pour bien lui ajuster son pantalon moulant sur les fesses. Elle ironise.  La fessée du matin, c'est comme la cigarette... c'est la meilleure. Quoique tu es gâté, celle du soir n'est pas mal non plus ! 
– Oh Gladys tu es vraiment sévère avec moi, grince Edouard alors qu'elle finit de boucler elle-même sa ceinture.
Après une bonne fessée déculottée


– Eh oui mon ami, je suis sévère... peut-être même pas encore assez... Sévère, mais juste ! Tu ne mériterais pas autant de fessées si tu te comportais en adulte responsable. Au lieu de ça, monsieur va jouer les entremetteurs avec ses petits copains en allant mettre son nez dans les affaires des autres.
– Oui mais chérie, c'est dur, une fessée matin et soir pendant toute la semaine...
– Bien au contraire mon cher ça va te faire le plus grand bien. D'ailleurs vous l'avez amplement mérité, les Douglas, Gilbert et compagnie ! Et ensuite tu devrais nous remercier Patricia et moi de prendre autant soin de tes fesses ! Et à ce propos... je n'ai encore rien entendu ; Tu n'oublies rien avant de partir ?...

Edouard n'en sort pas et cumule les oublis, les erreurs, les entorses au règles les plus élémentaires de la discipline conjugale... comme de faire preuve de gratitude après une fessée. Il vient de s'en prendre une et se retrouve encore pris en défaut. Il bredouille en se dandinant d'un pied sur l'autre. Ce qui ravive la cuisson de ses fesses au frottement de l'une contre l'autre.
– « Mer... Merci chérie pour cette... cette bonne fessée...
­-- Bonne ?... C’est tout ?
Euh... Cuisante aussi.... Et sévère... Bonne et cuisante fessée ...
– Alors... tu la sens bien la cuisson de tes fesses ?
– Ah oui je la sens... Tu tapes tellement fort à chaque fois, que ça dure longtemps !
– Mais c'est bien pour ça que je tape fort mon chéri. Pour que tu ressentes l'effet de la fessée le plus longtemps possible. Et quand je vais te déculotter ce soir j’espère bien trouver dans ton slip une belle paire de fesses encore un peu rouge de la fessée que tu viens de recevoir... pour une nouvelle encore plus cuisante... !
-        
Le malheureux effondré, enfile sa veste et saisit son attaché case ;
« Il faut que j'y aille Gladys.... Je vais être en retard...
– C'est ça oui... alors qu'est-ce que tu attends !  Au moins je sais que tu penseras à ta femme chérie quand tu vas t'asseoir à ton bureau le derrière encore cuisant, bien, serré dans ton slip ! Un peu comme si tu sentais encore ma main claquer sur tes fesses. Tu te rends compte de la chance que tu as ! »
Et elle le pousse dehors en riant.
« A tout à l'heure mon chéri ! Rentre immédiatement et prépare bien tes fesses ! J'aurai eu le temps de me reposer la main pour ta punition du soir...

Robin avait assisté à la scène sans rien dire.  Il embrassa sa mère en lui disant bonjour, elle lui caressa les cheveux en lui disant de s’installer pour déjeuner. Il eut ainsi la confirmation qu’elle ne se doutait de rien et ignorait donc que c'était lui qui avait saboté le martinet. Il prit son petit déjeuner, rassuré, et retourna dans sa chambre mettre autre chose que son pyjama et faire son lit.
Quelqu’un sonna à la porte. C’était Clarisse qui revenait de ses courses en centre-ville et, le plus naturellement du monde, passait échanger des nouvelles sur le déroulement des punitions.  Rapidement, sans attendre, elle entama le sujet pour lequel elle était venue.

« Dis donc Gladys, je suis passée devant chez toi hier soir, qu’est-ce que ça claquait fort... et longtemps !  Ce sont les fesses d'Edouard qui claquaient comme ça ?
– Bien sûr ! On lui a mis une sacrée déculottée avec Patricia...En fait trois fessées les unes après les autres dont une au martinet ! Et de première main. Il en avait encore les fesses cuisantes quand je lui ai flanqué celle de ce matin !
– C'est ce qu'il leur faut, à ces petits salopards ! Non mais... tu ne vois pas le cirque qu'ils nous ont fait ! Je te garantis que les fesses de Douglas n'ont pas, non plus, le temps de refroidir. Cette idée de fessées matin et soir est excellente.
– Oui, mais pourquoi tu n'es pas entrée pour assister à celles d'Edouard ? Tu sais bien que c'est encore mieux en public !
– C'est vrai mais je ne voulais pas perturber la séance. Moi je sais, par exemple que je n'aime pas être interrompue quand je fesse. Ça fait perdre le rythme.
– C'est bien dommage, tu te serais régalée.
– Ah mais, c'est en rentrant chez moi que je me suis régalée. D'entendre claquer comme ça les fesses d'Edouard, ça m'a tellement stimulée qu'après sa fessée, Douglas avait le derrière si cuisant qu'une fois à table, il ne tenait pas en place sur sa chaise. Amah, Je te l'ai calmé tout de suite... Retour sur mes genoux et deuxième fessée déculottée !  Et là...  Traitement radical, il a terminé le dîner les fesses écarlates, mais assis correctement, comme tout le monde.
– Tu as raison Clarisse c'est comme ça qu'on les dresse... en leur mettant la pression sur le derrière ! Et il a fini comment ton Douglas ?;
– Et bien comme je lui interdit de se reculotter et que je le fais asseoir sur une chaise cannelée, il est ressortit de table les fesses entièrement quadrillées en rouge vermillon.  C'était très amusant, mais pas vraiment esthétique. Alors je lui ai remis une troisième fessée pour égaliser tout ça avant de l'envoyer au lit... je ne te raconte pas l'état de ses fesses ce matin quand il est parti au bureau après sa première raclée de la journée !
– Et tu déculottes à chaque fois ?
– Bien sûr voyons ! Tu le sais bien, une vraie fessée ne se conçoit pas autrement que déculottée. Mais au début de chaque séance je lui prépare toujours le derrière avec une solide séance d'échauffement à travers le slip...  C'est comme ça que je fais aussi avec Rodolphe. Celui-là... il commence à avoir une paire de fesses qui a besoin d'une bonne préparation pour bien claquer.
– Et tu leur fais porter les slips à fessée... Ceux de chez Coleridge ?
– Naturellement, ils sont conçus pour ça … Avec un nylon transparent très solide, qui entretient merveilleusement bien la cuisson
– Et qui rend les fesses plus fermes... Ensuite quand elles sont prêtes, tu déculottes pour la   fessée suivante... 
– Evidemment, la fessée déculottée... la vraie fessée quoi !  Mais dis-moi... Pourquoi tu as l'intention d'aller acheter un nouveau martinet à ton mari. Le tien n'est tout de même pas déjà usé ? »
-        
Comme d’habitude Robin s’était posté à l’abri des regards, sur le palier, en haut de l’escalier. Cette question de Clarisse sur le pourquoi de l’achat d’un nouveau martinet ne lui plaisait pas du tout. Sa mère était en train de lui expliquer que pendant qu’elle flanquait sa fessée à son mari, deux lanières s’étaient détachées et qu'elle avait finalement décidé de l’emmener en acheter un neuf chez le cordonnier... Clarisse eut un petit rire.
« C’est Bettina qui t'a parlé de ce fabricant de martinet artisanal, il n'y a pas longtemps ? Elle est ce qu'elle est, mais sur ce point, elle a tout à fait raison. ...Il faut toujours avoir un bon martinet à la maison ...pour le derrière de nos maris et celui de nos garnements de fils... c’est absolument indispensable. 
– Je suis bien d'accord. Vu leur comportement, on en a besoin très souvent.
  Moi, à ta place, j’en achèterai même deux. Un pour Edouard et un pour Robin ...à leurs mesures à chacun !  Pour les maris, il en faut quand même un avec des lanières plus longues et plus nombreuses... Ils ont des plus grosses fesses que les garçons. Quoi que, à force de recevoir des fessées, Rodolphe commence à en avoir une sacrée paire.
– C'est ce que je constate aussi à propos des fesses de Robin... Pour profiter, elles profitent... Elles sont presque aussi endurantes que celles de son beau-père.
– Les fessées sont plus longues et plus sévères voilà tout...  Dit Clarisse en riant... On ne va tout de même pas s'en plaindre.
Elle continue,
« Mais dis doncdeux lanières parties le même jour, pendant la même fessée, comment c’est possible ? Je sais qu'il faut taper fort mais quand même.
Gladys jeté un regard amusé à son amie.
– Voyons Clarisse, ce n'est pas à toi que vais apprendre ça...Un martinet c'est fait pour servir. Et ici, comme chez toi. Il sert souvent.  Tous les jours, souvent même, plusieurs fois par jour... sur les fesses de mon gamin ...et encore plus sur celles d'Edouard, et elles sont de plus en plus dures ! »
– Ouimais bon ...ils sont toujours déculottés quand tu les corriges !...  Je sais bien qu'ils ont les fesses dures... les miens c'est pareil, mais ils n'ont tout de même pas le derrière en bois !
– Ah pour ça non ! Je peux le dire, ça reste bien souple. »

Les deux amies papotaient tranquillement sur la fessée comme s'il s'agissait d'un sujet tout à fait banal qui faisait partie de leur quotidien.  Un petit sourire complice au bord des lèvres Clarisse s'enfonça dans le fauteuil en croisant très haut les jambes. Le crissement de ses bas nylons sur ses cuisses lorsqu'elle les décroisait, était sa manière de signifier à son puni qu'il devait venir s'y allonger pour présenter ses fesses.  Cela faisait partie de cette multitude de petits gestes d'intimidation que ces dames utilisaient pour conditionner leurs victimes à se soumettre à leur autorité.  Elle poursuivit en tendant la main avec nonchalance.
« Dis-moi chérie, tu veux bien me le montrer ce martinetcomme çapour voir... Même si je sais que tu les choisis toujours très soldes.

Robin, toujours en l'écoute en haut de l'escalier, sent sa gorge se nouer et ses jambes flageoler. Jusqu'ici il n'est pas venu à l'idée de sa mère que le fameux martinet ait pu être saboté.  Si elle l'avait examiné, elle aurait tout de suite remarqué les coupures nettes du cuir entamé au cutter. Le coupable n'étant pas difficile à trouver, elle aurait été capable de lui faire sauter le reste des lanières intactes, une à une, sur les fesses.
Heureusement il l'entend répondre.
« Désolée Clarisse... j'ai demandé à Patricia de le jeter, après la séance de fessées d'hier.  Et je ne sais pas où. De toute façon je vais en acheter un autre dès aujourd’hui… Ou demain. » 

Robin, rassuré sent retomber ses cheveux qui s'étaient dressés sur sa tête.
Moi, je sais ma petite Maman, mais je ne vais pas te le dire ! Patricia l’a jeté dans la poubelleet la poubelle, c'est Edouard qui l’a sortie dans la rue comme tous les matins avant de partir... Ouf ! Pour une fois... merci sœurette ! Si tu savais quelle bonne idée tu as eu. Je suis sûr que Clarisse aurait bien trouvé que les lanières étaient tailladées.

Pendant que Robin s'auto- congratulait, ces Dames confortablement installées dans le canapé, qui ne servait pas qu'à distribuer des fessées, poursuivaient tranquillement leur conversation. Elles décidèrent d'aller ensemble, avec leur mari chez le fameux artisan cordonnier pour l'achat des martinets sur mesure. Et ce dès le lendemain. 
« Ce n'est pas la peine d'attendre plus longtemps dit Gladys. On ne peut pas se passer de martinet. Les fessées en ce moment, c'est deux fois par jour.
Clarisse confirme.;
– « Oui, et on n'est qu'au milieu de la semaine. Les fessées à la main c'est très bien, mais leurs grosses fesses ont besoin aussi de sentir cingler de bonnes lanières !
Gladys proposa un café, qu'elle rapporta de la cuisine deux minutes après.
« Je ne sais pas ce que tu en penses, mais je me dis qu'on devra leur préparer le derrière avant.
– Tu as raison, c’est normal qu'ils arrivent dans le magasin les fesses bien rouges pour   choisir un autre martinet !
– Et surtout les tester sur place. Il faudra bien en essayer plusieurs avant d'en adopter un ».
Les deux femmes étant d'accord sur la mesure, il ne restait plus qu'à en fixer les modalités.
« Si tu veux dit Clarisse, on les prépare toute les deux ensembles. Tu me rejoins à la maison avec Edouard. On leur met à chacun une bonne fessée et, on les emmène tout de suite chez le cordonnier tant qu'ils ont les fesses bien rouges. Quitte à leur mettre un deuxième service en arrivant si elles ont perdu de la couleur.
Gladys n'hésite pas une seconde.
 – Ça me va !  Je te retrouve chez toi demain en tout début d'après-midi avec Edouard. Il aura le derrière encore sensible de sa fessée du matin... Comme Douglas je suppose,
– Tout à fait! »
 Satisfaite de sa visite, Clarisse se levé du canapé. Elle, prend son sac, embrasse son amie et sort en tortillant outrageusement du derrière. Etroitement moulé dans sa courte jupe serrée, il apparaît encore plus provocant.
« J'ai hâte d'être à demain... La journée s'annonce particulièrement excitante ! »

Robin, toujours à l'écoute en haut de l'escalier, n'en croit pas ses oreilles. Tout se déroule comme il le souhaitait.  Au-delà même de ses espérances. Douglas va faire partie de l'expédition... La grosse rigolade !  Il doit absolument prévenir Gérôme et surtout Rodolphe. D’une part pour lui montrer que son plan, à lui, fonctionne à merveille, mieux, certainement, que son idée foireuse de couper toutes les lanières. Et aussi que, grâce à lui, son beau-père va bientôt hériter d'un nouveau martinet... sur mesure.  Dans l’euphorie de son succès, il a oublié que les instruments de discipline, flambant neuf, flambant étant le mot juste, allaient, probablement aussi, servir sur leurs fesses.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 19
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, c'est le chapitre 21.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

4 commentaires:

  1. Bonjour, vos histoires sont toujours passionnantes et très détaillées comme les dessins qui sont formidables. Je suis un lecteur assidu des aventures de Gladys et de sa petite troupe. Je trouve l'insertion de nouveaux personnages très en lien avec l'histoire. Continuez à écrire pour "Ces Dames" car je pense qu'il peut y avoir encore pleins de nouveaux sujets à explorer en matière de fessée. Amicalement

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  2. Bonjour Ramina,

    "les déesses de la Vengeance" !!! Talaaam !
    Quel suspense !! Robin l'a échappé belle mais... ça ne semble que partie remise. Si Maman Gladys connaissait la vérité ????
    Ca chaufferaaaaaaaait !!!! Mais attendons la suite avec fébrilité...
    Rires.
    Amicalement. Peter.

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  3. Bonjour Anonyme,

    Merci pour ces commentaires encourageants. Gladys et ses amies vous en sont reconnaissantes... Elles se donnent tant de mal à bien éduquer ces messieurs! Dans ce récit à tiroir il est intéressant de faire vivre plusieurs personnages avec des personnalités assez différentes, propices, comme vous dites, à une exploration tout azimut du phénomène de la fessée.
    Merci aussi pour les dessins, j'ai la chance de pouvoir donner vie en images aux personnages que je mets en scène dans mes histoires. Il faut dire que j'y passe beaucoup de temps... mais ça vaut le coup! Je m'amuse beaucoup à représenter ces personnage au gros derrière... Ah fantasmes quand ils nous tiennent!
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Peter,
    C'est assez drôle de savoir que tu suis les aventures croisées de ces garçons turbulents , ( et de ces Dames évidemment) comme s'il s'agissait des " Pieds Nickelés" "Bibi Fricotin","Gaston Lagaffe"ou autres personnages de bandes dessinées... Ou de Gérôme et sa famille d'impayables! La fessée en plus! Et ça m'arrive d'y penser quand j'écris! (Et toi t'écris quand ?)

    Et oui le gars Robin passe à travers pour le moment... Qu'est ce qu'il va -t-il donc se passer maintenant ? Vous le saurez en lisant le 21è épisode de notre ...
    Amicalement
    Ramina

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