samedi 22 février 2020

Madame Caroni - chapitre 34

Madame Caroni n’eut pas le temps de monter jusqu’au cinquième. Elle se rendait tranquillement chez Camille et Maïlis pour leur donner leur dernière fessée de la journée. Elle ne se pressait pas, certaine de les trouver toutes deux au coin comme elle le leur avait ordonné.
Elle était encore au troisième, et elle s’apprêtait à monter le palier suivant, quand le bruit d’une dispute parvint jusqu’à elle. C’était deux personnes qui s’invectivaient en sortant de l’ascenseur, ou plutôt, c’était une personne qui s’en prenait à l’autre, lui adressant un flot de noms d’oiseaux.
« Qu’est-ce que tu es conne ! Tu as encore réussi à la rater !
– Mais Paul ce n’est pas de ma faute.
– Quelle que soient les conneries que tu fais, ce n’est jamais de ta faute. Tu es trop bête pour cela !
– Mais Paul, je n’y pouvais rien, c’est elle qui n’a pas voulu.
- Ça ne vaut même pas la peine de parler avec toi ! T’es vraiment une nulle ! »
Quand Madame Caroni arriva sur le palier du troisième, la dame qui habitait au troisième se tenait le long du mur, alors que son fils, un monsieur d’âge mûr, arpentait le palier de long en large en continuant sa diatribe contre sa mère.
« Excusez-moi, les interrompit Madame Caroni, je trouve étonnant ce qui se passe ici.
– Que voulez-vous dire, demanda le Monsieur ? »
Madame Caroni l’ignora.
« J’ai l’impression, Madame, que vous laissez ce garnement dépasser les bornes.
– Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Ce que je dis est tout à fait justifié !
– Son âge ne justifie pas cette attitude, au contraire. Vous devriez sévir. Ce serait un service à lui rendre.
– Sévir ? Mais de quoi voulez-vous parler ? »
La dame semblait désemparée. Elle regardait alternativement son fils et Madame Caroni. Le Monsieur ouvrait de grands yeux.
« Je pense qu’une bonne fessée serait nécessaire. »
Il y eut un court instant de silence mais qui sembla se prolonger dans un silence assourdissant.
« De plus, cette attitude est un très mauvais exemple à donner aux autres. Pour bien moins que cela, plusieurs d’entre eux auraient été déculottées et fessés depuis bien longtemps.
– Vous croyez ? A son âge ?
– Dites donc, vous, de quoi vous mêlez-vous ? »
Il semblait reprendre du poil de la bête après un long moment de stupéfaction.
« Nous ne vous avons pas demandé votre avis ! C’est une affaire entre ma mère et moi !
– Cela serait peut-être vrai, jeune homme, si vous ne vous livriez pas à vos insolences dans des lieux où n’importe qui peut vous entendre. Il ne serait pas juste que vous passiez à travers la correction dont vous avez besoin. Les autres garnements de votre espèce qui vivent dans cet immeuble pourraient se plaindre du traitement de faveur qui vous est fait. »
Puis, se tournant vers sa mère.
« Vous vous chargez de le fesser ou dois-je m’en occuper moi-même ?
– T’es sourde ou quoi, la pétasse ! Je t’ai dit de t’occuper de ce qui te regarde et de nous foutre la paix. A moins que tu ne veuilles que je te raccompagne à coups de pieds dans le cul !
– Alors, que faites-vous ? Rien ? »
La dame du quatrième semblait complètement dépassée.
« C’est d’accord, c’est moi qui règle cela ! »
Madame Caroni se retourna et elle saisit l’oreille de Paul et elle la tordit et l’obligeant à se mettre sur la pointe des pieds.
« Ah ! Lâchez-moi, vous me faites mal !
– Es-tu disposé à recevoir la punition dont tu as besoin, mon petit Paul ?
– Vous êtes folle ! Il n’en est pas question ! »
Il accompagna cette réponse par un geste du bras qui aurait atteint Madame Caroni si celle-ci n’avait saisi le bras au passage et l’avait tordu dans le dos du garçon.
« Ce geste va te valoir une deuxième fessée. Tu les auras toutes les deux ce soir ! »
Malgré les affirmations de Madame Caroni et sa certitude d’arriver à ses fins, la situation était bloquée. Paul, perché sur la pointe de ses pieds, une oreille tenue et un bras replié dans son dos, pouvait difficilement bouger. Madame Caroni, de son côté avait besoin de ses deux mains pour l’immobiliser. Elle ne pouvait en libérer une pour mettre ses menaces à exécution.

« Que se passe-t-il ici ? »
Madame Abramov descendait de l’étage supérieur.
« Qu’est-ce que c’est que tout ce raffut ? Vous avez un problème ?
– Ah Madame Abramov, je suis ravie de vous voir. J’ai effectivement besoin d’un peu d’aide. Je ne peux pas compter sur cette dame pour m’aider et ce garçon est récalcitrant. Pourtant, il a bien besoin d’une fessée.
– Arrêtez tout de suite ! Dès que je vais réussir à me libérer, vous allez le regretter ! »
Madame Abramov regarda le garçon, comme s’il venait de sortir un propos incompréhensible.
« Voulez-vous que je vous donne la main ?
– Volontiers ! »
Madame Abramov attrapa l’autre bras du garçon et le tordit dans son dos. Il lui restait une main avec laquelle elle commença à déboutonner le pantalon. Paul se débattit, mais une pression de Madame Caroni sur son bras et sur son oreille l’obligea à se tenir encore un peu plus sur l’extrémité de ses pieds.
« Sois sage, mon garçon. Tu vas voir comme cela fait du bien ! »
Le pantalon tomba sur le haut des cuisses de Paul. Madame Abramov le fit descendre en dessous des genoux, d’un lent mouvement de va et vient. Paul tenta de se dégager d’une brusque ruade qui lui arracha un long cri. Son geste avait tiré sur son épaule. Il se hâta de se remettre en place.
« Non, attendez, j’arrête ! Je ne le dirai plus !
– J’y compte bien, mon garçon, mais j’en serai encore plus sûre après une fessée !
– Non, non ! »
Ses protestations se transformèrent en une supplication pitoyable quand Madame Abramov commença à descendre sa culotte. Cela lui fit retrouver de la combativité.
« Laissez-moi, vous n’avez pas le droit ! »
Aucune des deux femmes ne prêta attention à ce qu’il disait. Ses mouvements furent contenus sans difficulté exagérée. Madame Caroni lâcha l’oreille de Paul et elle passa son bras autour de sa taille. Aidée par une torsion que Madame Abramov maintenait sur son épaule, elle obligea Paul à se courber sous son bras.
« Ne le lâchez, pas s’il vous plait, il se comporte comme un vrai tigre. La fessée va le calmer. »
Paul venait, en effet, de ruer sous le bras de Madame Caroni, mais la prise sur ses deux bras limitait sa marge de manœuvre. Il resta en place nous sans pousser un déchirant cri de douleur.
« Tu devrais rester en place Paul. Autrement, tu risques de te faire très mal ! »
Madame Caroni claqua les fesses de Paul. Elle savait qu’il fallait y aller de bon cœur. Il ne s’agissait pas seulement de punir Paul pour une faute bénigne, mais également de lui faire comprendre que toute révolte était vaine, pire, quelle serait très sévèrement punie.
Bien qu’il cherchât à le cacher, Paul accusait chacune des fessées que Madame Caroni lui donnait. Au début, il étouffa ses cris en serrant les dents, mais cela devint de plus en plus difficile. Il ne parvenait pas à retenir les mouvements que faisait son bassin pour éviter la main punitive. Il réussissait tout de même à éructer une protestation mêlée d’insultes entre deux hurlements.
La fessée progressant et Madame Caroni faisant les efforts nécessaires, le versant vociférations de Paul prit de moins en moins de place pour en laisser une plus grande aux plaintes. Les mouvements brusques qu’il faisait, pour essayer de se défaire de l’emprise de ses deux correctrices, perduraient. Ils n’étaient plus aussi réguliers qu’au début de la fessée, mais ils revenaient sporadiquement.

« Je pense que nous devrions être un peu plus persuasives avec ce garçon. Ma main a déjà fait impression, mais probablement pas suffisamment. Nous allons devoir passer à quelque chose de plus sérieux ! Qu’en pensez-vous, Madame Abramov ?
– Cela me semble une évidence. Je crois qu’il n’a pas encore renoncé. Si vous vous en tenez là, à la première occasion, il recommencera.
– Nous sommes bien d’accord. »
Elle regarda autour d’elle.
« Dites-moi, Madame. Peut-être pourriez-vous faire votre part du travail, dit-elle en s’adressant à la femme qui n’avait pas bougé de sa place le long du mur ? Est-ce trop demandé que de me passer la ceinture de ce garçon ?
– Moi, vous croyez que…
– Cessez de discuter et passez-moi la ceinture ! »
Le ton utilisé par Madame Caroni ne laissait plus le choix. La mère de Paul fit quelques pas prudents pour se rapprocher de Madame Caroni pendant que la fessée se poursuivait et elle prit la ceinture de son fils pour la remettre à sa voisine.
Madame Caroni fit un travail bien plus abouti avec la ceinture. Paul bougeait toujours autant, mais c’était la ceinture qui donnait le tempo. Il n’était plus question de se dégager de l’emprise qui le maintenait en place, mais de tenter d’éviter la lanière qui dessinait de larges marques rouges sur ses fesses.
Les récriminations cessèrent presque aussitôt. Il y eut quelques supplications, quelques demandes de pardon, mais bien vite plus rien d’articulé ne sortit de la bouche de Paul. Les cris et les pleurs prirent bientôt toute la place. Quand Madame Caroni eut couvert ses fesses de longues stries rouges, elle fit une pause.
« Es-tu décidé à obéir et à te mettre au coin là où je te le dirai ? »
Paul prit un petit moment pour récupérer, puis il prit la mauvaise décision.
« Laissez-moi tranquille, ça suffit !
– Ah, je vois que tu n’es pas encore prêt. Continuons !
– Non, atten… »
La ceinture lui coupa la parole. Méthodiquement, Madame Caroni l’appliquait d’un côté, puis de l’autre. Il n’y avait pourtant plus d’espace qui n’avait pas encore été rougi par la lanière de cuir, mais elle insistait. Paul ne faisait plus que danser d’un pied sur l’autre. Il ne cherchait plus à éviter le cuir qui lui labourait les fesses. Madame Caroni fit une deuxième pause.
« Alors ? Décidé à obéir ou faut-il que je continue ?
– Oui Madame, oui, je vais obéir.
– Iras-tu te mettre au coin là où je te le dirai ?
– Oui Madame, je le promets.
– Bon, je finis cette fessée et on y va !
– Non ! »
Son cri fut interrompu par la ceinture qui recommença sa danse sur les fesses de Paul. Il ne se débattait plus bien que Madame Abramov l’ait relâché depuis un petit moment. Il ne s’en était pas rendu compte.
Lorsque Madame Caroni mit fin à la fessée, il resta en place, courbé sous son coude, sans chercher à se relever. Madame Caroni apprécia le niveau d’obéissance dont faisait maintenant preuve Paul.
« Il faudra confirmer cela par une deuxième fessée, se dit-elle, mais il a compris qu’il a plus d’intérêt à obéir qu’à de rebeller. Je vérifierai que c’est bien ancré dans son esprit un peu plus tard ce soir. Laissons ses fesses un peu refroidir auparavant. »
Quand elle le redressa, il voulut remonter sa culotte. Un geste machinal auquel il renonça quand Madame Caroni lui donna une petite claque sur les doigts.
« Non ! Tu vas monter les escaliers avec la culotte baissée. Tout le monde doit voir que tu as eu une fessée ! »
Paul se laissa guider dans l’escalier, tenu par le bras par Madame Caroni. C’était compliqué de monter les marches avec un pantalon qui était tombé sur ses chevilles, mais il n’y prêtait pas attention. Ses fesses étaient très douloureuses, mais Madame Caroni n’y augmentait plus la cuisson pour l’instant. Pour cette simple raison, il serait allé avec elle au bout du monde même s’il avait fallu s’y rendre dans cette tenue.

Madame Caroni commença à sentir les réticences de Paul dès que les portes de l’étage du dessus furent visibles.
« Où m’emmenez-vous ?
– Tu verras bien, mais ce sera dans un endroit où je pourrai te surveiller pendant que tu seras au coin. »
Quand Madame Caroni mit la clé dans la serrure de la porte de l’appartement de Maïlis et de Camille, il fit un pas en arrière, heurtant Madame Abramov qui était juste derrière lui. Elle lui donna une claque sur les fesses.
« Que dit-on quand on marche sur les pieds de quelqu’un ?
– Excusez-moi ! »
Une autre claque sur les fesses.
« Excusez-moi, qui ?
– Excusez-moi Madame !
– C’est bien ! Quand tu veux être poli. »
Paul paraissait un peu perdu. On se serait en moins. Tout un pan de son univers venait de s’écrouler. Il réagissait automatiquement aux ordres des deux personnes qui l’avaient puni, encore en état de choc de n’avoir pas réussi à s’opposer à la fessée que Madame Caroni lui avait donnée et encore plus stupéfait d’avoir été obligé d’en reconnaître la légitimité. Il n’en était pas encore remis. Il avait répondu instinctivement, comme l’aurait fait un petit garçon face à une demande impérative d’un adulte, d’autant plus qu’elle avait été accompagnée d’une claque sur les fesses.
Madame Caroni ouvrit la porte.
« Mais je ne peux pas entre là !
– Ah oui, et pourquoi ?
– Pas comme cela ! »
Il regardait son pantalon et sa culotte qui enserraient le bas de ses jambes.
« Tu iras, habillé comme cela, là où je te dirai d’aller. Tu sais mon garçon, maintenant que j’ai jugé indispensable de reprendre ton éducation, tu vas devoir apprendre à obéir sans discuter. »
Elle accompagna son affirmation d’une formidable claque sur les fesses.
« A chaque fois que ce ne sera pas le cas, tu auras une fessée quand je l’estimerai nécessaire et là où je le déciderai. En as-tu besoin d’une tout de suite ? »
Paul avait du mal à imaginer toutes les conséquences de ce qui venait de lui être dit, mais il savait que ce n’était pas le moment de faire valoir ses objections. Ses fesses lui faisaient encore bien trop mal pour prendre le risque de recevoir une autre fessée. Madame Abramov et Madame Caroni avaient réussi, à elles deux, à lui administrer la première, il ne voyait pas comment il pourrait éviter d’en avoir une deuxième si elles le décidaient. L’heure était à l’obéissance, aussi humiliante soit-elle.
« Non Madame.
– Appelle-moi Zia Margherita, comme les autres le font. Désormais, tu fais aussi partie de mes pupilles. En route ! »
Madame Caroni lui désignait la porte ouverte. Paul soupira, puis il avança, regardant à droite et à gauche d’un air inquiet. L’appartement était silencieux. C’est en entrant dans le séjour qu’il comprit pourquoi. Deux jeunes femmes se tenaient chacune le nez enfoncé dans un coin. Elles avaient leurs bras croisés dans leur dos. Elles n’esquissèrent pas un geste quand elles entendirent les nouveaux entrants.
Paul tenta de faire demi-tour. Il était le seul à avoir la culotte baissée et il ne s’attendait pas à croiser de nouvelles personnes tout en sachant que le risque en était grand, Il n’avait pas pu retenir l’angoisse d’être aperçu par les deux personnes qu’il ne connaissait pas, même si elles ne faisaient pas attention à lui.
« Deuxième fois, Paul, C’est une de trop !
– Non, attendez ! Je n’ai pas fait exprès, non…
– Avez-vous besoin d’un coup de main ? »
Madame Abramov avait fait son apparition à la porte du séjour.
« Non, je ne crois pas, mais je vais en être certaine dans quelques instants. »
Madame Caroni entraîna Paul derrière elle jusqu’au canapé. Il avait du mal à suivre sans perdre l’équilibre, ayant tendance à oublier que l’ampleur de ses pas étaient limitée par son pantalon. Une traction soudaine de Madame Caroni sur son bras le fit basculer en avant. Il atterrit en travers des genoux de sa toute récente tutrice.
Il mit sa main en protection de ses fesses. Un réflexe qu’il regretta aussitôt. Madame Caroni remonta son poignet dans son dos, tordant le bras au maximum de ce que permettait l’épaule. Le temps de remonter la chemise sur les reins et la fessée commença.
Sur un épiderme préparé par l’application d’une ceinture, la main de Madame Caroni suffit pour raviver la cuisson. Il suffit d’une dizaine de claques et Paul était de nouveau en pleurs. Madame Caroni nota, avec satisfaction qu’il ne tentait plus de se soustraire au châtiment qu’elle lui réservait. Il battait des pieds, il criait, mais il restait allongé en travers des genoux sans penser qu’il pourrait s’enfuir.

C’était donc une affaire de priorité. Qu’il y ait deux autres personnes inconnues dans la pièce, alors qu’il était au coin n’avait maintenant plus d’importance. Il voulait juste que cesse ces corrections et il avait intégré que le meilleur moyen d’y parvenir, c’était de respecter à la lettre les consignes que donnait Madame Caroni. Puisqu’elle voulait qu’il se tienne immobile au coin, il y resterait donc sans bouger. Puisqu’il devait y rester silencieux, il serait muet comme une tombe. Puisqu’elle exigeait qu’il y ait la culotte baissée, il y voyait plus d’avantages que d’inconvénients.
On s’habitue à tout. Même aux douleurs lancinantes qui émanent des fesses. Elles naissaient là, puis elles décroissaient lentement pour mieux renaître ailleurs, disparaître en un instant ou rester au plus fort pendant de longues secondes. Au début Paul se dit qu’il ne pourrait supporter cette souffrance, puis il la trouva supportable.
C’est seulement à partir de ce moment-là qu’il commença à entendre ce qui se passait dans son dos.


Vous avez loupé le début de l'histoire ?

Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
 ... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 33
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"

Il y aura une suite, bien sûr !

C'est le chapitre 35.

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