lundi 17 février 2020

Les rebelles - chapitre 26

A l’établissement Ste CROIX, Fabienne D., la proviseure est assistée de Marie P., secrétaire de quarante ans. Celle-ci a sa fille, Pauline, dix-neuf ans, qui est dans ma section de BTS informatique.
Marie P. est une gentille femme, un peu effacée, mais très rigoureuse et engagée dans son travail, ce qui fait d’elle une assistante de confiance et de ce fait, les professeurs se reposent beaucoup sur elle pour leurs tâches administratives, peut-être un peu trop, car Marie P. est souvent obligée de faire quelques heures supplémentaires pour arriver à boucler, en temps et en heures, les dossiers qui lui sont confiés. Elle met un point d’honneur de ne laisser tomber personne, car dans l’établissement de renom, l’élitisme est le leitmotiv de tout le corps enseignant et agents administratifs.
Le courrier à l’établissement afflue pour des demandes de renseignements et dépôt de dossiers en tous genres. Cela va de la demande d’inscription d’élèves aux lettres du rectorat. Le recteur, Bernard B., via sa secrétaire, Stéphanie D., demande souvent des renseignements à Fabienne D. pour faire avancer des sujets, car il sait que l’exemplarité de Ste CROIX est reconnue dans bon nombre d’académies et les bonnes idées et pratiques de Fabienne D. sont recherchées dans d’autres établissements en souffrance de discipline ou de résultats, si bien que des élèves d’autres académies rêvent d’intégrer Ste CROIX pour la renommée de l’enseignement. Sortir de Ste CROIX avec un diplôme en poche est un gage d’embauche immédiate dans les entreprises. Il n’est pas rare que des chefs d’entreprises viennent à Ste CROIX pour recruter des étudiants avant même la fin de leurs études.

Comme d’habitude, Marie P. gère le courrier de la proviseure quand elle est dérangée par un coup de fil de Stéphanie D. qui se plaint de ne pas avoir reçu un formulaire de Ste CROIX sur les programmes à venir. La fin du trimestre approche et c’est l’heure des synthèses pédagogiques par département.
Marie P. assure à Stéphanie D. que le formulaire a été envoyé avec les autres dossiers et que si elle a reçu les autres dossiers alors forcément elle devrait trouver le formulaire. Stéphanie D. hausse le ton et dit qu’elle n’est pas folle et elle qu’elle n’a pas ce formulaire. Marie P. a beau lui dire qu’elle est sûre de l’avoir mis avec les autres dossiers et qu’il faut qu’elle cherche mieux. Stéphanie D. raccroche après lui avoir dit qu’elle allait en référer au recteur. Marie P. croit rêver en entendant ses menaces et elle appelle de suite Fabienne D. pour lui relater l’incident et lui assure que le formulaire était présent dans la pile de dossiers qui sont envoyés régulièrement au rectorat.
Fabienne D. trouve l’incident assez grave, car ça va porter le discrédit sur l’établissement et de plus il faudra refaire ce formulaire, il y en a pour 3 jours de travail, car il faut, de nouveau, collecter toutes les données pour les synthétiser et remplir le document.
Fabienne D. tente de contacter le recteur, mais celui-ci est absent et sans ce dossier, l’appréciation de l’établissement sera moins bonne que les trimestres précédents. Fabienne D. est en rage contre Marie P. qui se met à pleurer. Fabienne D. et Marie P. tentent de chercher dans le bureau de la secrétaire, mais elles ne le trouvent nulle part. Après cette recherche infructueuse, elles doivent se rendre à l’évidence, le formulaire est perdu et il va falloir le recommencer.
Le lendemain matin, le recteur en personne appelle Fabienne D. pour lui réclamer le formulaire, car lui aussi doit des comptes à ses supérieurs. Un retard dans les transmissions va faire tâche dans son dossier. Fabienne D., désolée, lui assure que tout va être mis en œuvre pour lui faire parvenir ce formulaire dans les plus brefs délais.
Aussitôt raccroché, Fabienne D. fait venir Marie P. dans son bureau et lui dit qu’elle va, pour cette faute, recevoir une fessée dont elle se souviendra longtemps, le bas du corps entièrement nu et en public devant tous les élèves et les professeurs, car il en va de la réputation de Ste CROIX. Marie P. s’écroule de nouveau en pleurs en soutenant mordicus qu’elle n’est pas responsable de la perte de ce dossier. Fabienne D. lui dit qu’elle va la faire fesser ce midi même, après quoi, elle fera le tour des professeurs pour collecter les informations, en exhibant ses marques, car elle n’aura l’autorisation de se rhabiller que le soir, pour rentrer chez elle et qu’elle peut s’estimer heureuse, car elle aurait pu être fessée, entièrement nue, comme c’est la coutume pour les élèves et les étudiants. Fabienne D. lui assure que ça va lui cuire et qu’après ça elle sera plus sérieuse dans la transmission des dossiers.
La proviseure lui ordonne de retirer sa jupe et sa culotte. Marie P. rougit intensément de devoir exhiber son intimité devant sa supérieure hiérarchique, mais elle n’a pas le choix et elle retire timidement ses vêtements. Fabienne D. lui dit qu’elle aille se faire épiler le pubis, car sa touffe de poils est ridicule et il faut qu’elle soit propre et nette pour sa fessée. En pleurs, Marie P. tente de reprendre sa jupe pour aller à l’infirmerie, mais Fabienne D. lui dit qu’elle y aille dans cette tenue, au moins, ça lui fera un entraînement pour ce midi lorsqu’elle sera présentée aux élèves et au corps enseignant. Mortifiée, Marie P. parcourt les couloirs jusqu’à l’infirmerie où l’attend Laetitia F., l’infirmière de l’établissement. Certains élèves la croisent dans les couloirs et, telle une trainée de poudre, la nouvelle que la secrétaire se promène les fesses à l’air, circule dans les classes.
L’infirmière qui a reçu un appel de Fabienne D. accueille Marie P. et tente de la consoler, car elle sait que c’est une bonne secrétaire et tente de comprendre ce qu’il s’est passé. Laetitia F. allonge Marie P. sur la table d’examen et tout en discutant, elle lui épile soigneusement la vulve et le pubis. Rapidement, le feu du rasage provoque une irritation et des rougeurs, qui fait se tortiller Marie P. dans tous les sens, et c’est pire lorsque Laetitia F. lui épile la zone de l’anus.
En se relevant, Marie P. a l’impression d’avoir le feu entre les cuisses et ce n’est pas le rinçage de la zone glabre et rouge avec un peu d’eau froide qui la calme. Laetitia F. profite de sa visite pour lui faire un examen de routine pour s’assurer qu’elle est apte à encaisser la correction que lui réserve la proviseure. Marie P. implore Laetitia F. de dire à Fabienne D. qu’elle n’est pas apte à être fessée, mais l’infirmière ne veut pas mentir, car si ça se savait, elle risquerait sa place. Elle lui dit qu’elle est désolée, mais elle fera son rapport en toute impartialité. La prise de pouls, de tension et la palpation ne révèlent rien d’anormal. L’infirmière ne peut que prononcer un avis d’aptitude à la correction. Le dernier espoir de Marie P. vient de s’envoler. Plus rien ne pourra empêcher qu’elle soit fessée en public.
Un appel de la proviseure coupe court au bavardage des deux femmes et Marie P. est obligée de rentrer au secrétariat, en marchant les cuisses écartées, tant le feu irradie son entrecuisse et le bas de son ventre. A son arrivée au bureau, Fabienne P. lui dit que c’est beaucoup mieux comme ça, elle fera sensation lors de sa correction, avec son pubis et ses grandes lèvres toutes rouges. Humiliée, Marie P. s’installe à son bureau et commence à refaire le dossier perdu. Périodiquement, Marie P. est obligée d’aller dans telle ou telle salle pour demander des renseignements et collecter tous les chiffres des professeurs. Les professeurs masculins ne sont pas très discrets et déshabillent Marie P. du regard, en la faisant attendre pour profiter le plus possible de la vue, bien que Marie tente de se cacher. Aussitôt qu’elle a les renseignements désirés, elle disparait pour regagner son bureau, la tête basse et le pas rapide, faisant attention à ne croiser personne.
Certains professeurs viennent au secrétariat pour compléter les renseignements précédemment donnés, soudain pris d’un excès de zèle pour, disent-ils, que leurs données soient les plus exactes possibles, mais en réalité, pour reluquer un peu plus les fesses et le pubis glabre de Marie P., qui est une fort belle femme.
Voyant que les professeurs font des va-et-vient au secrétariat, Fabienne D. leur dit qu’ils vont pouvoir davantage se rincer l’œil lorsque Marie P. se fera fesser publiquement avant l’heure du repas.
Les différents professeurs relaient l’information dans leurs cours disant que la secrétaire du lycée va être fessée publiquement pour une grosse faute. Lorsque notre professeur principal, François F., nous annonce la nouvelle, Pauline, la fille de Marie P., crie de surprise et se met à pleurer en disant que sa mère ne peut pas être fessée, que ça va être trop déshonorant et humiliant pour elle. Tous les regards se posent sur Pauline, car la punition de sa mère va rejaillir sur elle également. Elle va être considérée comme la fille de la secrétaire qui s’est fait fesser publiquement et tout le monde va se moquer d’elle et de sa mère. Certains étudiants ont déjà le sourire aux lèvres en entendant l’annonce.
A la pause, Pauline tente d’aller voir sa mère et demander des explications, mais Pauline n’est pas acceptée au secrétariat. Marie P. est déjà très occupée à reconstituer le dossier et ne souhaite pas pour le moment affronter le jugement de sa fille et lui avouer qu’elle a probablement égaré un dossier important bien qu’elle soit persuadée du contraire, mais elle a tellement à faire, qu’une erreur peut arriver et finalement, elle n’est plus sûre de rien !
Lorsqu’elle passe dans les couloirs, Pauline est déjà harcelée par des garçons qui se réjouissent d’avance du sort réservée à sa mère. Certains souhaitent qu’on la fouette entièrement nue, car ils souhaitent voir ses « mamelles » balloter, ses « tétines » dressées, sa fente et l’entendre hurler et supplier. Pauline n’a pas le courage de leur répondre, s’enfermant dans le mutisme et dans sa fierté, trop honteuse.
Un peu avant midi, les élèves, étudiants et professeurs sont invités à rejoindre le grand hall, devant la cantine, car se sera là qu’aura lieu la fessée de Marie P. Beaucoup d’élèves courent dans les couloirs espérant avoir l’une des meilleures places.
Fabienne D. dit à Marie P. de se préparer, car il est l’heure de recevoir sa correction. Marie P. tombe à genoux devant la proviseure pour lui demander pardon et lui promet tout ce qu’elle voudra. Fabienne D. lui dit qu’il est trop tard pour ça, elle a fauté et elle doit en assumer les conséquences. Fabienne D. fait relever Marie P. mais celle-ci refuse de se faire fesser en public. Fabienne D. s’énerve et lui dit que si elle n’y va pas de gré, elle appellera des professeurs masculins et elle sera trainée de force jusqu’au hall où elle sera mise nue et de toute façon, elle recevra sa correction. Cette menace fait tomber la résistance de Marie P. qui se relève et se dirige vers la sortie, résignée et le visage en sanglots.
En sortant du secrétariat, elles croisent Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. qui viennent à leur rencontre. Fabienne D. demande aux deux religieuses de se munir de cannes souples et de les accompagner, car ce seront elles qui corrigeront Marie P.
Les quatre femmes déambulent dans les couloirs pour arriver dans le hall où Marie P. n’ose pas entrer, car des dizaines d’yeux se tournent vers elle. Instinctivement, elle se cache le pubis, humiliée d’être à la vue de tout le monde. Les joues empourprées, elle sanglote de plus belle, comme une petite fille.
Un garçon, près de Pauline, lui dit que sa mère n’est pas très courageuse car qu’elle pourrait, au moins, assumer ses conneries et il est ravi que pour une fois, ce soit quelqu’un d’autre qu’un élève qui se retrouve les fesses à l’air, mais que c’est bien dommage qu’elle ne soit pas « à poil ». Et il ajoute à ce qu’il voit, elle n’a plus de poils... Il va se régaler lorsqu’on va lui écarter les cuisses ! En entendant ces injures, Pauline laisse couler ses larmes et de colère, tente de gifler le garçon, rattrapée de justesse par une autre fille qui l’empêche de faire une grosse bêtise, car la violence la conduirait auprès de sa mère, elle aussi, les fesses à l’air.
Dans le hall, Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. poussent Marie P. et l’obligent à traverser la foule des élèves qui ne se privent pas pour se moquer, renforçant l’humiliation subie. Certains n’hésitent pas à lui toucher les fesses, ce qui fait grogner Marie P. Les deux religieuses l’attachent solidement, le buste penché à angle droit et les bras écartés, puis lui écartent largement les cuisses et lui attachent les chevilles à la base des poteaux. De là où je suis, j’ai une vue directe sur sa fente bien rouge et entrouverte et les replis de son anus.
Fabienne D. annonce le châtiment destiné à la secrétaire de l’établissement pour une faute professionnelle : cinquante coups de canne sur les fesses et sur les cuisses, après quoi, elle restera le bas du corps nu pour le restant de la journée. Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. exhibent leur canne et les font siffler dans l’air. En entendant les sifflements des cannes, Marie P. hurle de peur et se débat violemment en demandant pardon. Malgré ses suppliques déchirantes, personne ne lui vient en aide, trop heureux de voir une personne du corps enseignant en si mauvaise posture.
Fabienne D. donne l’autorisation aux religieuses de la fesser et leur demande de lui faire regretter sa faute lourde. De part et d’autre, à tour de rôle, Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. lui cinglent le bas du corps. Marie P. hurle à gorge déployée à chaque cinglée en se débattant comme une diablesse, contractant frénétiquement ses fesses pour tenter de résister à l’intense douleur qui irradie son fessier et ses cuisses. Des marques bien rouges lui zèbrent déjà une grande partie de ses chairs. Elle tire sur ses liens pour se dégager, mais sans succès. Nous voyons son anus et sa fente se contracter puis se dilater au rythme des coups. Lorsque la douleur est à son paroxysme, nous la voyons se dresser sur la pointe de ses pieds, les cuisses encore plus ouvertes. Nous savons qu’à ce moment-là, sa pudeur est le moindre de ses soucis et tant pis si elle se ridiculise. D’ailleurs même les commentaires les plus salaces lui sont indifférents. De la cyprine dégouline de son vagin ouvert, faisant rire les garçons du premier rang.
Les deux religieuses ne ménagent pas la secrétaire qui est toute rouge à force de hurler. De la sueur perle sur son corps due à ses efforts et ses contorsions. Le bas de son corps n’est que douleur incandescente.
Le divertissement ravi les spectateurs. Plusieurs garçons se caressent énergiquement le pénis. Des auréoles comment à orner les entrejambes de certains qui ont voulu assister à l’intégralité de la punition, mais qui ont vu leur plaisir exploser plus tôt que souhaité. Les filles ne sont pas en reste. Certaines seront obligées de passer le reste de l’après-midi avec la culotte maculée de cyprine, ce qui est mon cas, car à force de me titiller le clitoris, mon plaisir est arrivé et sans pouvoir me retenir, ma cyprine a coulé beaucoup plus que je n’aurais imaginé et j’ai toutes les peines du monde de ne pas crier de jouissance lorsque celle-ci me submerge. Certains étudiants sont discrets pour se masturber, d’autres absolument pas.
Lorsque Marie P. a reçu les cinquante coups de canne, la proviseure vient et nous dit qu’elle espère que tout le monde a bien retenu ce qu’il se passe lorsque des fautes sont commises. Nous voyons son postérieur et ses cuisses où il ne reste plus beaucoup de zones blanches. Marie P. est détachée et nous l’entendons toujours gémir et sangloter. Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. l’aident à se relever. Laetitia F. examine rapidement la secrétaire et lui dit qu’elles vont aller à l’infirmerie pour quelques soins. Toute tremblante, le chemisier lui collant à la peau et les cheveux collés au visage d’avoir transpiré, Marie P. avance en titubant et les cuisses écartées, ce qui fait rire tout le monde. Pauline, sa fille se précipite pour aider sa mère. Mère supérieure Jolanta O. dit à Marie P. qu’à présent, elle est pardonnée de ses fautes.
Lorsqu’elles sont à l’infirmerie, Laetitia F. déshabille entièrement Marie P., car garder son chemisier et son soutien-gorge trempés de sueur ne serait pas hygiénique et elle risquerait de prendre froid. C’est nue qu’elle est allongée sur la table d’examen et que l’infirmière lui étale généreusement une crème sensée être apaisante. Pauline, Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. sont priées de sortir afin que Marie P. puisse être au calme et se reposer.
Après les soins, Laetitia F. passe un linge mouillé sur tout le corps de sa patiente pour la rincer de sa sueur et après cette toilette sommaire, la sèche délicatement, puis la fait boire pour la réhydrater.
Du côté des étudiants et étudiantes, c’est la course vers les toilettes, soit pour se soulager soit pour se nettoyer, car très peu de personnes peuvent rester stoïque en ayant assisté à ce genre de scènes. Je vois que mes amies, en autres, Olga, Iourievna et Léa sont dans la file d’attente et à leur façon de se tenir, je me doute que leur culotte n’est pas plus propre que la mienne. Lorsqu’enfin je suis dans la cabine, je la retire et je me rends compte que je ne pourrais pas la remettre pour l’après-midi. Je suis contrainte de la glisser au fond de mon sac et de rester les fesses nues sous ma jupe, en espérant qu’un coup de vent ne vienne pas la relever et tout exhiber ! Je me console par le fait que je ne serai surement pas la seule fille qui sera sans culotte pour l’après-midi, ce qui m’est confirmé par mes amies lorsqu’elles sont passées aux toilettes, par contre celles qui sont en pantalon auront un avantage sur celles qui portent une jupe.
Trois quart d’heure plus tard, Marie P., ayant un peu repris ses esprits, sort de l’infirmerie, entièrement nue, pour rejoindre son bureau. Ses vêtements n’étant pas secs, elle ne reçoit pas l’autorisation de se couvrir, même le haut du corps. Marie P. rejoint le secrétariat, les fesses meurtries, brulantes et humiliée d’avoir été fessée comme une étudiante. Dans les couloirs, en croisant plusieurs élèves, elle sent que ses tétons se dressent et que son visage s’empourpre par la honte d’être nue devant des personnes hilares de la voir comme ça.
Lorsqu’elle est revenue à son bureau, les larmes aux yeux, elle termine sa journée de travail, debout et en silence, à compléter le dossier, après quoi, elle est convoquée chez la proviseure qui lui rend son tailleur. La proviseure lui fait la morale et lui dit qu’elle espère qu’elle aura retenu la leçon et qu’elle n’hésitera pas à recommencer si le besoin s’en faisait sentir. S’il y avait une prochaine fois, ce sera nue et en plus des coups de cannes, elle recevra des coups de fouet sur le dos, sur le ventre et sur les seins, car elle sera mise au même régime que les étudiantes et ce n’est pas son statut de secrétaire qui la sauvera, qu’elle se le tienne pour dit.
Après avoir récupéré sa fille Pauline, les deux femmes regagnent leur domicile en voiture. Marie P. tente de fermer sa veste le plus possible pour ne pas trop exhiber sa nudité en dessous. En s’asseyant sur le siège conducteur, malgré mille précautions, elle pousse des cris de douleur, car la cuisson reprend de plus belle, ses fesses au contact d’une partie solide. Durant tout le voyage, elle gémit en se dandinant de droite et de gauche sur son siège pour soulager la douleur de ses fesses et de ses cuisses.

En arrivant à leur domicile, Pauline aide sa Maman à descendre de voiture et Marie P. à toutes les peines du monde à se retenir de hurler de douleur. Lorsqu’elles sont chez elles, Marie P. se déshabille puis s’allonge sur son lit et Pauline vient lui poser des linges humides et frais sur les fesses et les cuisses. Après un peu de repos, avec courage, Marie P. se lève pour préparer, avec Pauline, le repas pour la famille.
Le lendemain, après une nuit parsemée de cauchemars, Marie P. doit aller travailler pour terminer ce fichu dossier, car le rectorat l’attend de toute urgence. Elle n’a même pas le droit de rester chez elle pour récupérer. Vêtue d’un pantalon assez large, sans culotte en dessous, Marie P. arrive à Ste CROIX et tente de ne croiser personne pour tenter de se faire oublier. Seuls les professeurs qui viennent au secrétariat ont la possibilité de croiser Marie P., qui n’en mène pas large et n’ose plus affronter leur regard.
Entre temps, au secrétariat du recteur, Stéphanie D. retrouve le dossier perdu. Celui-ci était simplement rangé à la mauvaise place. Stéphanie D. passe un coup de téléphone à Fabienne D. en disant, toute contente, que le dossier venait d’être retrouvé et que tout était en ordre. La proviseure croit s’étrangler en entendant ça, car elle se sent affreusement coupable d’avoir durement châtié sa secrétaire en public. De peur de sa réaction, Fabienne D. ne dit pas à Marie P. que le dossier est bien parvenu au rectorat et qu’elle est mise hors de cause. Elle la laisse terminer son travail, en disant à Stéphanie D. de ne surtout rien dire. Fabienne D. passe un sacré savon à la secrétaire du rectorat en disant qu’elle aurait pu faire attention avant d’incriminer Marie P.
Super gênée tout de même, Fabienne D. tente de se montrer moins sévère avec sa secrétaire. Elle lui explique que maintenant qu’elle a payé sa dette, elle ne lui en veut plus du tout, que tout est oublié et pour la remercier de son bon travail, elle lui accorde gracieusement deux jours de repos complets pour qu’elle puisse se remettre de sa pénible épreuve. C’est sa façon de tenter de s’amender vis-à-vis de sa secrétaire, qui était réellement innocente. Cette manœuvre d’apaisement est faite pour ne pas perdre la face et de devoir avouer qu’elle a eu tort, car Marie P. pourrait porter plainte pour sanction abusive si elle venait à apprendre la vérité sur le dossier...


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 25
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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11 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    Être fessée, à 40 ans, devant toute l'école Sainte-Croix réunie, quelle humiliation! D'autant plus difficile à supporter que cette correction est administrée à tort à cette secrétaire qui n'avait pas commis la moindre faute. La véritable coupable sera-t-elle à son tour punie? Rien n'est moins sûr. Mais ce serait quand même la moindre des choses.
    En tout cas, c'est un épisode qui va mettre Théo en joie, lui qui n'aime rien tant que de voir châtier des femmes mûres.
    Amicalement.
    François

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    1. François,
      Je commence à connaître Héléna et son côté amoral. Je ne serai donc pas du tout étonné si la véritable coupable passe à travers les gouttes. Héléna est tout à fait capable de laisser ce forfait impuni.
      au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour à Tous les deux,
      Pour le moment, je n'en sais rien. p'tet ben qu'oui, p'tet ben qu'non ! Ma première idée était qu'il ne lui arrivera rien, car elle a juré à notre proviseure de garder le secret et cette dernière aurait tout à perdre en révélant le dessous de l'histoire. Si l'une tombe, l'autre aussi.
      Se trouvant à NICE ( ville du rectorat dont Ste CROIX dépend ), il y fort peu de chance que quelqu'un de votre ville la rencontre pour lui poser des questions... Surtout, pour quelles raisons le faire, alors que tout le monde, pense que le dossier a été perdu par la faute de la secrétaire. Et Marie P. aura à coeur de se faire oublier un moment, donc pas de vagues de se côté-là.
      Mais sait-on jamais, dans un prochain épisode. A réfléchir.
      Amitiés.
      Elena

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    3. Bonjour François,
      En effet, se faire fesser à 40 ans, comme une gamine, n'est pas très reluisant. Croisant du monde dans l'établissement, tout le monde aura à l'esprit la scène où elle n'était vraiment pas à son avantage.
      Théo et les autres d'ailleurs. Mais pas que, car certaines filles ont été passablement émoustillées de regarder leur secrétaire gigoter et hurler sous les claquements sonores des cannes, puis déambuler nue dans les couloirs de l'établissement. Je n'ai pas été en reste, pour le coup... Je suis comme toutes les autres filles de mon école, j'aime regarder les autres se faire corriger.
      Amitiés.
      Elena

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    4. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
      Que bien des filles aient été émoustillées par le spectacle qui leur était offert, quoi de plus naturel?
      Et le contraste entre la vision qu'ils avaient jusque là de cette secrétaire à l'air sérieux, aux tenues raisonnables, à l'aspect très lisse, très probablement un peu rigide et sa nudité brusquement exposée et sa perte de contrôle sous les claquées a sans doute été pour beaucoup dans le plaisir que spectateurs et spectatrices en ont retiré.
      Amicalement.
      François

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    5. Bonjour François,
      Oui, très certainement. Mais la cerise sur le gâteau est que c'est une personne de l'encadrement qui est fessée devant les élèves. En principe, c'est plutôt les étudiants qui sont fouetter, pas le corps enseignant.
      Amitiés.
      Elena

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  2. Je pense a sa fille ...j espère qu'elle s'en remettra

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    1. Bonjour Caroline,
      Merci de votre commentaire. C'est la première fois que j'en lis un de notre part. Moi qui pensais être la seule fille du Blog... Heureuse que nous soyons au moins deux.
      Pour répondre à votre question, Pauline se fera chahuter quelque peu par ses camarades ( masculins ), mais aura du soutien moral de la part de ses amies, surtout celles qui ont connues les fessées en public et qui savent ce que ça fait qu'être jetée en pâture et de sentir sur elle les regards malsains des spectateurs qui reverront encore et encore la scène si humiliante pour la punie. Pauline est une fille forte et ne s'en laissera pas compter. Elle saura protéger sa maman des réflexions et moqueries. Une réaction typiquement féminine, nous savons nous blinder lorsqu'il le faut lorsqu'il s'agit de protéger notre famille !
      Amitiés.
      Elena.

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  3. Je suis tout a faire d'accord avec vous. Elle saura prendre soin de sa mère. Mais je pense que leurs rapports vont changer. Surtout si la mère disciplinait sa fille. Elles sont sur un pied d'égalité maintenant. Biz

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  4. Bonjour Caroline,
    Absolument. Si Pauline faute de nouveau, sa maman sera peut-être moins tentée de la corriger sachant la douleur et la honte que ça provoque. Mais quoi de moins sûr, si Pauline dépasse vraiment les bornes !
    Bises
    Elena

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  5. Ce qui arrivera sans doute un jour...

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