lundi 10 février 2020

Les rebelles - chapitre 25

Après mon retour de Russie, pour fêter la nouvelle année, nous, les jeunes du quartier, nous rassemblons et voulons faire la fête jusqu’au bout de la nuit. Dans notre petit groupe de joyeux lurons, se trouvent Lyana vingt-et-un ans, Moana dix-huit ans, Lisendro vingt-trois ans, Lucia vingt-et-un ans, Gloria vingt-cinq ans, Ekaterina vingt-et-ans, Olga dix-neuf ans, Théo vingt ans, Iourievna dix-neuf ans et moi dix-huit ans.
Dehors, le temps, cette année, est relativement clément et de ce fait, nous nous promenons le long de la plage, allons dans notre bar préféré (LE BARBEROUSSE) pour prendre une boisson chaude et pour papoter entre amis et rigoler. La soirée avance et Lisendro nous propose de prendre l’apéritif, car le café et le chocolat chaud ne sont plus d’actualité à cette heure. Nous validons ce choix, histoire de nous mettre un peu plus dans la fête.
En aparté entre filles, j’avoue la sévère fessée non méritée reçue avec ma cousine Yulia chez tata Darya pour cette fête improvisée. Je dois l’avouer, car certains amis russes présents à la fête connaissent Ekaterina, Olga et Iourievna et les trois sœurs ont été informées de notre mésaventure. Bien évidemment, elles ne se sont pas privées de me demander plus amples explications avec tous les détails possibles. Je suis vexée qu’elles le sachent et je dois leur expliquer les raisons et les conditions dans lesquelles ma cousine et moi avons été fouettées, entièrement nues et en public. J’aurais préféré que ça reste secret, mais pour ce genre d’infortune, les nouvelles vont très vites, surtout que des photos ont été prises et bien diffusées. Les filles me plaignent, mais je devine qu’elles auraient aimé être présentes pour se délecter de cet excitant spectacle. Je ne leur en veux pas, car je n’aurais pas refusé d’assister à l’une de leur fessée pour les entendre hurler de douleur, les voir gigoter sous les claquements sonores des lanières sur leur chair et contempler leurs fesses zébrées et bien rouges sous les cinglées...
Nous commandons des cocktails à base de whisky, vodka ou tequila. L’alcool nous euphorise rapidement et nous rigolons pour un rien, jusqu’au moment où le barman vient nous demander de sortir, car l’heure de la fermeture est arrivée. C’est avec regret que nous partons, après avoir payé les multiples consommations. Lorsque nous sommes dehors, nous nous demandons où terminer la soirée et Lyana nous indique le nom d’un dépôt d’alcool où nous pourrons acheter en toute légalité quelques autres bouteilles.
Nous nous dirigeons avec entrain vers le magasin et en arrivant, nous découvrons le paradis des bouteilles où nous achetons pour l’équivalent de trois litres d’alcool fort. Tout en nous promenant, nous buvons en chantant, en criant et en chahutant dans les rues de notre ville, tout en nous moquant des gens alentour qui nous regardent en biais. Tout en déambulant dans les rues, l’alcool aidant, nous vociférons et nous faisons les pitres. Certaines personnes viennent à leur fenêtre et nous ordonnent de faire moins de bruit, mais nous leur répondons par des insultes et des gestes peu courtois. Ce n’est pas que nous soyons vulgaires, mais avec l’alcool, nous nous maîtrisons de moins en moins.
Un peu plus loin, Lisendro et Théo nous proposent d’acheter des feux de Bengale et des pétards. Nous trouvons que c’est une bonne idée de fête et c’est avec joie que nous allons dénicher les articles dans une boutique. Le vendeur nous propose certains modèles et nous recommande les mesures de sécurité, afin de ne pas nous blesser. Nous écoutons d’une oreille distraite, plus occuper à choisir plutôt qu’à mémoriser ce qu’il nous dit. Nous payons et nous sortons, bien décidés de nous amuser et faire du bruit.
Les premiers pétards explosent dans la rue avec un gros vacarme. Les deux garçons ont les pétards les plus imposants, les DEMON. Lorsqu’ils explosent, une grosse gerbe de fumée et un effet blast accompagnent la détonation. Nous nous amusons comme des petits fous.
En passant près de belles maisons, nous envoyons les pétards dans les jardins et nous nous sauvons en courant avant que les propriétaires ne nous voient. Satisfaits de nos « exploits », nous continuons à pétarader dans le quartier voisin du nôtre.
Lisendro tente une expérience, il prend des objets trouvés dans la rue, place un pétard en dessous et attend la détonation. Sous l’effet de celle-ci, l’objet est projeté en l’air, ce qui nous fait beaucoup rire, sans compter que l’objet est totalement déformé.
Forts de cette première expérience, nous cherchons d’autres objets à projeter en l’air, jusqu’à ce qu’un homme, surement un riverain qui nous a vu faire, vient nous réprimander pour nos actes irréfléchis et qui peuvent, de surcroît, être dangereux pour nous et pour les autres. Nous l’envoyons paître et nous continuons nos amusements.
Au bout d’un moment, lorsque tout ce qui nous passait sous la main a été pulvérisé, Lyana et Moana se dirigent vers les poubelles d’un lotissement et jettent des pétards dedans. Presque aussitôt, nous entendons une explosion et nous voyons que la poubelle se renverse.
Enthousiasmés par ce nouvel amusement, nous jetons nos pétards dans les autres poubelles qui se trouvent à notre portée. Les effets sont multiples en fonction de la hauteur de la poubelle.
A cours de petits pétards, Lyana et Moana empruntent des DEMON et les jettent dans des poubelles. La poubelle en plastique fait un sacré bond et se déchire littéralement. Les trois autres poubelles font de même sauf qu’en plus de se déchirer, les poubelles s’enflamment. Leur contenu étant comburant, le feu prend rapidement et s’étant aux poubelles voisines.
Le bruit des explosions mêlées aux flammes alerte les habitants qu’il se passe des choses anormales au dehors. Certains viennent à leur fenêtre pour voir, d’autres sortent pour mieux être au cœur du problème. Voyant tout le monde sortir, nous prenons la fuite car nous sentons le vent tourner et les incendies se propageant, il est temps de mettre toutes voiles dehors.

La ville étant petite, certains jeunes sont identifiables sans trop de difficulté et Lyana et Moana font parties de ceux-là. De peau noire, avec leur coiffure afro les rendent reconnaissable de suite.
Les plaintes des riverains pleuvent à la gendarmerie. Une rapide enquête et nous sommes arrêtés puis interrogés au poste. Tout le monde nie en bloc les actes qui nous sont reprochés. Nous ne sommes pas identifiés formellement, à part de fortes présomptions pour Lyana et Moana.
Les deux jeunes femmes passent la nuit au poste tandis que les autres sont relâchés, faute de preuves suffisantes. Nous rentrons à la maison avec la trouille au ventre, car la garde à vue a été sévère et il a fallu garder tout son calme pour répondre aux multiples questions et ne pas craquer devant les gendarmes.
Magali A., la mère des deux jeunes femmes, va voir ses filles au poste de gendarmerie, lors de sa convocation. Les deux jeunes femmes sont en cellule et toutes tremblantes d’avoir été arrêtées et incarcérées. Lyana et Moana sont ravies de voir leur mère et se jettent dans ses bras. Dans un premier temps, heureuse de trouver ses filles en bonne forme, mais les retrouvailles terminées, Magali A. se montre ferme et furieuse envers ses deux filles qu’elle juge irresponsables. Leurs actes auraient pu être beaucoup plus graves si les pompiers n’étaient pas intervenus assez rapidement, car des voitures commençaient à s’embraser.
Maître Virginie B., l’avocate commis d’office des deux jeunes femmes, arrive sur ses entrefaites. Elle souhaite avoir des précisions sur les faits afin d’établir une sérieuse défense.
Durant une bonne heure, Maître Virginie B. interroge Lyana et Moana et toutes trois tombent d’accord sur une ligne de défense, c’est-à-dire qu’aucun témoin ne peut formellement les identifier, car il faisait noir et accuser simplement des filles parce qu’elles sont noires et avec une coiffure afro est discriminatoire. Nulle accusation ne peut retenir ce fait pour une inculpation, car tout doute profite forcément à l’accusé.
Seule Magali A. est convaincue que ses filles sont coupables, car elle les connait bien et elle sait voir lorsqu’elles mentent, cependant, elle n’en dit rien aux enquêteurs, protégeant ainsi ses deux filles. Lyana et Moana sont assez fortes moralement pour ne pas dénoncer elles et leurs complices, car les témoins ont dit qu’il y avait au moins une dizaine de jeunes impliqués dans les incendies de poubelles, sans plus de précisions.
Vers cinq heures du matin, Magali A. et son mari sont autorisés à récupérer leurs filles et à rentrer à leur domicile. Durant tout le voyage du retour, Magali A. fait des reproches à ses filles, car elle sait qu’elles sont coupables. Lyana et Moana ne pipent mot, elles sont tête basse, préférant se murer dans le silence, l’esprit encore tout embrumé par les vapeurs d’alcool et pas très fières de ce qu’elles ont fait, même si elles laissent rien paraître.
Lorsque j’arrive à la maison, Papa vient me voir et me passe un savon, car il est très tard et j’avais promis de rentrer beaucoup plus tôt. Je m’en sors avec un gros mensonge pour expliquer ce retard. Avec mes frasques chez ma tante en Russie, cet hiver, mes parents m’ont à l’œil et toute dérive sera punie sévèrement. Le sachant, je ne souhaite pas être prise en défaut. J’espère que personne ne viendra contredire mon mensonge, car là, ce sera la fessée assurée et une sévère de surcroît. Plus tard elle arrivera, mieux se sera, car certaines parties de mon corps sont encore sensibles de la correction reçue chez ma tante.
Lors de leur arrivée à la maison, Magali A. prend à partie ses deux filles et leur dit qu’elles ne les croient pas lorsqu’elles affirment n’y être pour rien dans les incendies. Magali A. les somme de dire la vérité, car dans le cas contraire, elles aggraveront leur cas. Lyana et Moana restent muettes. Magali A. leur dit qu’elle va rassembler quelques voisines et devant le « conseil des mères », elles seront jugées, car il est temps que les jeunes du quartier se tiennent à carreaux et apprennent à respecter les règles. Les familles en ont marre que leurs enfants fassent ce que bon leur semblent en faisant fi des principes de base.

Après un appel auprès des voisins, Magali A. réussit à réunir quelques mères de famille, qui seront les jugent des jeunes qui dérivent du droit chemin :
Répondent favorablement à la création d’un « conseil des mères » : Magali A. la mère de Lyana et de Moana, Marian R. la mère de Lisendro, Almira Q. la mère de Lucia, Cassendra B. la mère de Gloria, Nadejda E. ma mère et Irina S. la mère d’Ekaterina, d’Olga et de Iourievna. Magali A. tentera de convaincre d’autres mères d’adhérer au conseil.
Les mères sont censées juger et délibérer autour des cas de Lyana et de Moana, car celles-ci ont été arrêtées, mais de grosses présomptions pèsent sur les autres jeunes.
Magali A. recrute également Sœur Marie-Zénaïde, une religieuse roumaine de trente-huit ans, appartenant à l’OPUS DEI (organisation qui promeut la sainteté dans le monde, aussi bien pour les laïcs que pour les religieux). La religieuse a l’habitude d’aller dans les prisons pour femmes pour faire se repentir les prisonnières et les accompagner durant leur détention. Elle est réputée pour sévir et remettre les délinquantes dans le droit chemin. Sœur Marie-Zénaïde est toujours accompagnée de son fouet de discipline (martinet à neuf longues et épaisses lanières de cuir), dont elle se sert pour soumettre les femmes et les remettre dans le droit chemin, ce qui ne l’empêche pas de s’en servir sur elle-même lorsqu’elle juge qu’elle le mérite.
Dans le groupe du conseil des mères, Sœur Marie-Zénaïde fait sensation, autant pour sa compassion envers les autres, mais aussi pour sa capacité à punir durement lorsque les bornes sont franchies. Sœur Marie-Zénaïde exhibe son fouet qui impressionne les mères de famille présentes. Magali A. confie le rôle de punisseuse à Sœur Marie-Zénaïde, car n’étant aucunement liée de près aux jeunes du quartier, elle ne se laissera surement pas attendrir par leurs jérémiades. Un aspect important est qu’elle sache manier le fouet avec dextérité. Les jeunes qui passeront entre ses mains, passeront un sale quart d’heure et retiendront la leçon un grand moment. Sœur Marie-Zénaïde dit à l’auditoire que son fouet n’est pas seulement impressionnant, mais il fait hurler les victimes dès la première cinglée. Sœur Marie-Zénaïde accepte ce rôle et se réjouit également de punir les garçons, activité toute nouvelle pour elle, mais elle ne s’en laissera pas compter et les jeunes mâles n’auront qu’à bien se tenir, car elle ne leur fera aucun cadeau.
Pour ce premier conseil des mères, c’est Lyana et Moana qui vont être jugées et selon le verdict qui sera pris par vote, la décision sera appliquée sur le champ.
Magali A. fait entrer ses deux filles et décris les faits. Elle précise que des témoins les ont reconnus, il faisait sombre et leur visage n’a pas été formellement identifié, cependant leur silhouette et leur coupe afro les ont trahies.
Lyana et Moana tentent de se disculper en disant qu’elles se trouvaient loin de cet endroit, avec des amis. Sœur Marie-Zénaïde tente de savoir avec quels amis elles se trouvaient, mais les deux jeunes femmes ne veulent pas répondre, car ce serait les « vendre » si elles parlaient et dans ce cas, leurs amis seraient punis de la même façon qu’elles et de ce fait, elles seraient exclues du groupe par représailles, ce qu’elles ne veulent pas.
Cassendra B. pense qu’il aurait fallu les identifier formellement, car il y a surement d’autres jeunes femmes qui leur ressemblent dans la ville et la seule vue de la silhouette ne suffit pas à les rendre coupable, car de plus, elles sont connues dans le quartier pour leur bonne tenue et leur politesse, ce à quoi Marian R. réplique qu’il y a un début à tout et les mères de familles sont là pour éviter toute dérive de leurs jeunes, car les bêtises se multiplient depuis un certain temps et il est temps que ça cesse.
Verdict pour Lyana et Moana à la première session :
·       Six femmes pensent qu’elles sont coupables : Magali A., Marian R., Almira Q., Nadejda E., Irina S. et Sœur Marie-Zénaïde.
·       Une femme pense qu’elles sont innocentes : Cassendra B.

Sœur Marie-Zénaïde, représentante des mères de famille envoie les deux filles dans une autre salle en attendant le verdict. Celui-ci tombe assez vite et elles sont reconnues coupables des feux de poubelles dans le quartier. Les mères de famille décident d’une correction de soixante coups de martinet sur les fesses, les cuisses et sur le dos. Les deux jeunes femmes devront être entièrement nues pour recevoir leur punition, afin qu’elles se repentent et qu’elles se rendent compte que leurs actes auraient pu faire des blessés.
A leur retour, Sœur Marie-Zénaïde leur annonce la décision et aussitôt, Lyana et Moana éclatent en sanglots, car elles savent ce qui va suivre. Elles demandent pardon et tentent de se disculper encore une fois, mais Magali A. gifle Lyana et lui impose de dire la vérité. Contraintes, Lyana et Moana confessent leurs actes, mais refusent toujours de dénoncer leurs amis. Sœur Marie-Zénaïde leur annonce qu’elles auraient pu voir leur correction diminuer, mais dans ces circonstances, elles recevront l’intégralité des soixante coups de fouet. Devant la sévérité du verdict, Moana est toute proche de révéler l’identité des autres jeunes, mais sa grande sœur Lyana lui ordonne de se taire.
Sœur Marie-Zénaïde déshabille les deux jeunes femmes, comme des petites filles, ce qui fait rougir nos deux punies, se sentant rabaissées au rang de gamines. Lorsqu’elles sont nues, les deux jeunes femmes se cachent les parties intimes, mais d’une main ferme, Sœur Marie-Zénaïde leur retire afin que leur intimité soit exhibée. Magali A. se moque de sa fille aînée, car étant naturiste, elle devrait être moins pudique ! Lyana se tait mais pense que les conditions ne sont pas les mêmes, lorsqu’elle se bronze, elle est nue avec d’autres personnes dans la même tenue alors que là, elle est sa sœur sont les seules à être dévêtues. Le fait que les autres mères les regardent en souriant les humilient, d’où leur réflexe de protection de leur intimité.
Sœur Marie-Zénaïde constate que Moana porte une toison et déclare qu’elle va devoir la raser. Magali A. et Sœur Marie-Zénaïde emmènent Moana à la salle de bain, lui écarte largement les cuisses, lui étale du savon à barbe et à l’aide d’un coupe choux, Sœur Marie-Zénaïde la rend glabre en quelques passages de lame.
Avant leur sévère correction, Sœur Marie-Zénaïde réunie Lyana et Moana et leur demande de se repentir et de prier avec elle. A genoux toutes les trois, elles récitent quelques prières, après quoi, Sœur Marie-Zénaïde leur dit qu’elles seront soulagées d’avoir payé leur dette.

Sœur Marie-Zénaïde fait se pencher les deux jeunes femmes, en appui sur une chaise, cuisses écartées et les fesses bien tendues. Dans cette position, les spectatrices peuvent admirer l’intimité largement visible des deux jeunes femmes. Sœur Marie-Zénaïde cingle alternativement les fesses et les cuisses de l’une puis l’autre des deux sœurs, qui hurle et trépignent à chaque volée. A plusieurs reprisent, Lyana et Moana tombent à genoux ou se retournent pour tenter de demander pardon et d’abréger leurs souffrances, mais Sœur Marie-Zénaïde les remet en position et continue son travail de pénitence.
C’est en sanglots et toutes tremblantes que Lyana et Moana terminent de recevoir leurs quarante premiers coups de martinet sur le bas du corps. Elles ont l’impression que des fers rouges ont été posés sur leur chair, tant la cuisson est ardente.
Sœur Marie-Zénaïde demandent à des mères de les maintenir fermement pour la fin de leur correction, car la flagellation de leur dos va être assez éprouvant. Les deux sœurs tentent de se dégager mais les femmes sont plus rapides qu’elles et les maintiennent à genoux, le torse plaqué sur la chaise, tandis que Sœur Marie-Zénaïde leur cingle le dos. Les deux jeunes punies poussent de longs hurlement et reprennent à peine leur souffle entre deux cinglées en se débattant, tentant vainement de se dégager des étreintes.
N’en pouvant plus, elles se laissent aller à uriner sur le sol. C’est Moana, la plus jeune qui urine la première ne pouvant plus contrôler ses sphincters. Lyana se lâche un peu après.
Lorsque les deux jeunes femmes ont reçu leurs soixante cinglées, elles sont relâchées et leur mère les relève et les accompagne à la salle de bain, pour qu’elles prennent une douche, ce qui leur fera du bien, car elles ont transpiré et ont besoin de se laver. Toujours en pleurs, le corps en feu, Lyana et Moana se lavent, se sèchent tant bien que mal en criant lorsque le tissu traîne sur une partie sensible.
En sortant de leur douche, Magali A. prend congé des dernières mères qui quittent l’assemblées, ravies d’avoir assisté à ce bon spectacle et heureuses d’avoir participé au fait que des jeunes ont eu ce qu’ils méritent.

Sans ménager ses deux filles, Magali A. leur ordonne de laver à l’eau de Javel l’urine sur le sol et que tout soit propre ! Elle leur dit qu’elles resteront nues tout le weekend, de cette façon, elles réfléchiront à leurs actes.
Lorsque la salle de séjour est propre, elle emmène ses filles à la cuisine pour préparer le repas du soir. Les deux filles se murent dans le silence, encore sous le choc de leur correction. Elles grimacent en gémissant lorsqu’elles doivent faire des mouvements ou se pencher, car leur corps est toujours brûlant.
En rentrant, leur père trouve ses deux filles, nues et le corps bien marqué. Magali A. lui dit qu’elles ont été corrigées par Sœur Marie-Zénaïde, sur décision du conseil des mères. Il approuve de suite la sévérité de la punition donnée à ses filles.
Lorsque le repas est terminé et que la table est débarrassée, le père des filles les envoie toutes les deux mettre les sacs poubelles dans le bac sur le bord de la route. Inutile de dire que les deux filles se dépêchent pour ne pas être vues par les voisins. Même avec les cuisses en feu, Lyana et Moana courent pour aller déposer les ordures et rentrer, puis il les envoie chacune dans un coin du séjour, à genou, les mains sur la tête. Elles resteront ainsi durant toute la durée du film et ce n’est qu’à la fin qu’elles auront l’autorisation d’aller se coucher.
Durant la durée du weekend, Magali A. leur pose une serviette mouillée ou leur applique une crème pour calmer la cuisson, bien que l’effet tarde à se faire sentir.
Les deux punies reçoivent des coups de fil de leurs amis pour savoir si elles ont parlé, car avec ce qu’elles ont pris, nous nous attendions à être dénoncés, passés en conseil des mères et être punis de la même manière. Nous sommes rassurés d’entendre qu’elles n’ont pas balancé les autres. Nous les en remercions vivement.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 24
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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6 commentaires:

  1. André,
    Puis-je vous inviter à envoyer des commentaires un peu plus explicite ? Les vôtres sont laconiques. Je ne les publie pas tous car ils ne proposent qu'un retour peu clair pour les auteurs.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Merci Jossip. En effet, je ne sais pas comment répondre...
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Bonjour à tous...

    Récit toujours aussi troublant de réalisme !
    La tournée des pétards tourne à la pétarade fessière !!!! Notre chère Elena se surpasse ! Ca ne rigole pas pour ces demoiselles.
    Et si les religieuses se chargent de ramener dans le droit chemin ces deux brebis égarées dans leurs errances ludiques...
    Sœur Marie-Zénaïde est aussi inflexible avec l'obéissance et la morale que Mère Marie-Tatiana avec Gérome !!!
    On en tremblerait presque pour elles. "A tout péché, miséricorde ?".
    Amicalement. Peter.

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    1. Bonjour Peter.
      Heureuse de vous lire après mes retards de publication. Un grand merci pour votre commentaire. En effet, le fait que ce soit une religieuse de l'OPUS DEI qui officie n'est pas le fruit du hasard, les mères l'ont recrutée pour son intransigeance. Ces demoiselles ou messieurs doivent rentrer dans le rang et le conseil des mères y veillera. Les jeunes du quartier donnent le tournis à leurs parents et cela doit cesser. Il est vrai que Marie-Tatiana pourrait être un symbole pour les autres ecclésiastiques.
      Amitiés.
      Elena

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  3. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    On s'y croirait. Cette bande de jeunes en goguette - et en route vers l'inéluctable - est décrite avec infiniment de réalisme. elles y regarderont désormais à deux fois avant de se laisser aller à "l'inspiration du moment." Une mention toute particulière pour sœur Marie-Zénaïde, spécialiste es fouettées expérimentée qui rêve secrètement d'exercer désormais ses talents sur des croupes masculines. Gageons que ses vœux les plus chers vont bientôt pouvoir se réaliser.
    Amicalement.
    François

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