samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 15

La fin des vacances de Noël me ramena chez Madame Leblanc. J’y retournais sans appréhension. Les fessées s’espacèrent, autant pour moi que pour mes compagnes. Je n’en reçus qu’exceptionnellement plus d’une par semaine. Mes difficultés d’anglais m’amenaient, par contre, régulièrement sur les genoux de Carole qui prenait son rôle très au sérieux. Alternant encouragements et punitions, elle me permit d’obtenir un niveau suffisant pour ne pas dépareiller sur mon livret scolaire. Je rejoignis, petit à petit, la tête de la classe, pour ne plus la quitter de toute l’année.

Il était de tradition que j’aille passer un mois des vacances d’été avec Tante Maud et ses filles dans une villa sur la côte d’azur qui lui était prêtée par une amie. J’y allais depuis que j’étais tout petit. J’y retrouvais des amis que je connaissais depuis de nombreuses années. Cette année encore, je m’y préparais avec un plaisir anticipé.
Dès les premiers jours, je compris qu’un changement durable était intervenu. Le laxisme notoire de Tante Maud envers ses enfants avait laissé place à une sévérité à laquelle celle de Maman ou de Madame Leblanc n’avait rein à envier. Le martinet était à portée de main et Tante Maud n’hésitait pas à s’en servir.

Le plus petit caprice de Lucie était sanctionné. Elle n’avait pas perdu l’habitude de faire valoir son opinion en rouspétant, même si, se rendant compte du mauvais pas dans lequel elle s’était mise, elle tentait immédiatement d’en minimiser la portée afin de se soustraire au châtiment qui lui était promis. Tante Maud ne tenait pas compte de ses excuses tardives. Les fesses de Lucie se retrouvaient mises à l’air pour recevoir une fessée qui la laissait, à chaque fois, pantelante et sanglotante dans le coin où elle était conviée à aller réfléchir aux conséquences des colères qu’elle nous infligeait.
Marie n’était pas épargnée. C’était plutôt des bêtises de petite fille qu’elle commettait. Elle cherchait souvent, maladroitement, à en dissimuler les conséquences ce qui aggravait automatiquement la sanction. Il y eut certains jours où elle fût déculottée et fessée à plusieurs reprises, parfois avec le martinet dont Tante Maud faisait un large usage sur les fesses de ses deux filles.
Lucie me regardait avec ressentiment. Alors qu’elle avait été déculottée et fessée plusieurs fois, y compris devant moi, je n’avais été soumis à aucun châtiment. Je faisais office de privilégié. Elle refusait d’admettre que c’était grâce à mon comportement irréprochable que j’avais évité la fessée. De mon coté, sans être absolument certain que j’étais à l’abri de la punition que recevaient mes cousines, je commençais à croire que tante Maud n’avait pas l’intention de m’y soumettre eut égard à mon âge et au fait que je n’étais pas son fils.
Je regardais Lucie de haut, la traitant, encore plus qu’avant, comme une petite fille, sous-entendant que j’étais définitivement passé dans le monde des adultes qu’on ne peut fesser alors qu’il était logique qu’elle y soit soumise. La tension dans nos relations était palpable. Je jouais les grands seigneurs, feignant l’indifférence et procédant par allusions discrètes. Lucie était souvent au bord de l’explosion suite à mes provocations évidentes. Elle n’osait pas laisser éclater sa colère au grand jour. Elle en connaissait les conséquences.

Voir Lucie déculottée puis fessée m’excitait au plus haut point. Jusqu’alors, la perspective de me trouver, dans un futur proche, dans la situation inverse tempérait mes fantasmes sexuels. Désormais, je me voyais bien administrant une déculottée à ma cousine en punition d’une de ses colères ou d’une remarque désagréable à mon encontre. La pensée de corriger Lucie, allongée sur mes genoux, la culotte baissée, me provoquait des érections que je m’empressais de dissimuler. A chaque fois qu’elle était fessée devant moi, mon sexe durcissait et je me voyais bien suppléer Tante Maud dans cette tâche punitive.
Le soir, dans la chambre que j’occupais, je revivais ces moments intensément. Mon excitation sexuelle raidissait de nouveau mon pénis. Le saisissant de ma main, je connus des orgasmes dont j’eus toutes les peines, les premières fois, à dissimuler les conséquences. Par la suite, mon organisation s’améliora. Une serviette opportunément disposée recueillait le fluide, évitant de tâcher les draps.
Je ne sais si ce furent les ahanements que j’émettais lors de ces masturbations et que la porte fermée ne retenait pas assez ou la serviette qui dut être lavée révélant alors des traces et des odeurs suspectes qui me trahirent. Un soir, alors que je me livrais à ces plaisirs solitaires, Tante Maud fit irruption dans ma chambre, ne me laissant pas le temps de me recomposer une attitude décente. J’étais allongé sur mon lit, les draps rejetés à mes pieds. J’avais baissé la culotte de mon pyjama pour être plus à l’aise et je tenais mon sexe turgescent dans ma main.
Sans un mot, elle se dirigea vers mon lit. Précipitamment, je remontais mon pyjama. Elle me prit le lobe de l’oreille et me tira hors du lit. J’étouffais un cri et je dus me lever. Elle s’assit sur mon lit et m’attira sur ses genoux. La suite du programme était limpide.
- »Non, Tante Maud, je suis trop grand ! »
Elle ne me fit même pas l’aumône d’une réponse. Elle empoigna l’élastique de mon pyjama pour le baisser comme je m’y attendais.
Arc-bouté sur mon soit disant statut d’adulte, je refusais de la laisser faire. De ma main droite disponible j’attrapais le haut de mon pantalon de pyjama qui était déjà à mi fesses. Mon geste ne fit que ralentir ma tante qui, insistant légèrement, fit glisser le tissu entre mes doigts. Ma piètre tentative s’était révélé un échec. J’étais déculotté, prêt à recevoir la fessée.
La première claque sur mes fesses me prit au dépourvu, tant j’étais persuadé de ne plus pouvoir être soumis à un tel traitement. Avant que la deuxième claque puisse renforcer la cuisson naissante de ma peau, j’interposais la paume de ma main en la posant, doigts bien écartés, sur mon postérieur.
- »Fabien, tu enlèves ta main de là tout de suite pour que je puisse te donner la fessée ! »
- »Non, non, je suis trop grand. Pardon, Tante Maud, mais pas la fessée ! »
Renonçant à discuter plus avant, elle s’empara de ma main et repliant mon bras derrière mon dos, elle la maintenait éloignée de mes fesses qu’elle avait maintenant à sa disposition pour m’administrer la correction qu’elle estimait méritée. Totalement impuissant, je dus la subir sans pouvoir m’y opposer. Je tentais bien de me relever, puis de glisser en bas des genoux de ma tante, rien n’y fit. Elle resserra son emprise et je dus rester en place.
L’habitude provoque une espèce d’accoutumance qui endurcit la peau, rendant moins douloureuses les claques sur les fesses. Les fessées que je recevais étant plus rares, ma peau était, par conséquent, plus sensible aux coups que je recevais. Apparemment excédée par mes tentatives pour me soustraire à la punition qu’elle avait décidé de m’administrer, Tante Maud se fit un devoir de me faire endurer une fessée magistrale.
C’est bien après que je m’étais mis à pleurer et que j’avais abandonné toute tentative de m’opposer au châtiment qu’elle me destinait, que Tante Maud jugea suffisante ma punition. Elle me releva et, toujours sans un mot, le pantalon baissé, elle me donna une claque sur les fesses et me dit :
- »File dans la salle de bain ! »
Elle me suivit. Arrivé à destination, elle savonna un gant de toilette, puis elle me courba sous son bras et, me maintenant en place elle me lava les mains et les fesses. Encore sous le coup de la fessée que je venais de recevoir, je me gardais bien d’émettre la moindre protestation, persuadé qu’elle m’aurait valu une nouvelle punition. Enfin, elle me redressa et me fit pivoter. Elle entreprit alors de nettoyer le devant. Mon sexe fût récuré sans ménagement provoquant de nouveau un début d’érection que je tentais de maîtriser. Le rinçage et le séchage à l’aide d’une serviette n’arrangèrent pas les choses. Mon pénis se dressait à ma grande honte.
- »Je vois que cela ne t’a pas suffit. Je vais te faire passer cette habitude. »
Me conduisant d’une main par le coude et m’encourageant en me fessant de l’autre, Tante Maud m’emmena dans la cuisine. En passant, elle prit le martinet me révélant ce qui m’était destiné. Elle me plaça en position, m’immobilisant sous son coude. Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas été fessé de cette façon. J’avais presque oublié comment être puni avec le martinet peut être douloureux.
Plus par surprise que par volonté de résister, je couvris mes fesses de ma main. Le martinet s’abattit sur mes cuisses. Je ne pus retenir un cri perçant au risque de réveiller mes cousines, leur révélant le traitement qui m’était administré. Instinctivement, ma main descendit pour protéger la surface de peau qui venait de subir la morsure des lanières de cuir. Ce fût l’autre cuisse qui retint l’attention de ma tante, m’obligeant à déplacer ma main. Puis, revenant sur mes fesses et de nouveau sur mes cuisses, le martinet déjouait toutes les tentatives pour amortir la sévérité de la punition. Je me tordais Nous jouâmes quelques temps à ce petit jeu auquel je perdais à tous les coups. Enfin, Tante Maud prit ma main et l’écarta de mes fesses. Malgré la douleur qui devint insupportable, je renonçais à protéger mes fesses, les laissant à disposition de la sévérité de Tante Maud.
Quand la fessée est très longue, malgré la souffrance bien réelle, il arrive souvent de perdre la notion du temps. Toute mon attention était destinée nécessaire pour supporter la brûlure qui, irradiant depuis mes fesses s’emparait de tout le bas de mon corps. Chaque fessée reçue est espérée comme la dernière. Crier et pleurer devient une attitude réflexe que chaque coup encourage. A ma grande surprise, cette fessée eut une fin.
Relâché par Tante Maud, je me relevais dans un brouillard où mon environnement semblait flou. Entièrement occupé par la douleur qui embrasait mes fesses, tout le reste m’était indifférent. Sans m’en rendre vraiment compte, je fus expédié au coin. Instinctivement, je plaçais mon visage contre le mur et je me tins immobile, seulement secoué par les sanglots qui refusaient de se calmer. Tante Maud n’y laissa le temps suffisant pour que je me calme. Quand seuls quelques reniflements entrecoupaient encore le silence et l’immobilité dans laquelle j’étais cantonné, Tante Maud m’ordonna de venir la voir.
- »Je ne veux pas que tu recommences ce que tu as fait ce soir. Je veux que tu saches que tu seras puni à chaque fois et qu’à partir de maintenant je vais de surveiller. As-tu bien compris ? »
- »Oui ma tante, » lâchais-je entre deux reniflements.
- »D’autre part, tu as essayé de m’empêcher de te punir comme je l’avais décidé. Il n’est pas question que tu tentes de t’opposer à moi quand j’estime qu’il faut te baisser la culotte. J’exige que tu te laisses faire quelles que soient les circonstances. C’est moi qui décide quand et où il est opportun de te punir. De même, il n’est plus question que tu protèges tes fesses comme tu l’as fait. C’est inutile et cela aggrave la correction que tu reçois. C’est entendu ? »
- »Oui ma tante. »
- »Bien, je n’ai pas l’intention de laisser impunie ton attitude de ce soir. Cela mérite une autre fessée. Je pense que tu as eu ton compte pour ce soir. Je ne tiens pas à te priver de ta journée de vacances demain. Par contre, demain, dès que tu rentreras, avant le dîner, tu viendras immédiatement me voir pour recevoir une nouvelle fessée. Je te préviens qu’il est préférable que tu n’oublies pas ! »
Sur cette promesse de lendemains douloureux, je dus aller me coucher. Il m’était impossible que mes fesses supportent mon poids et le contact avec le drap. Je m’allongeais sur le ventre. Quelques minutes plus tard, en repensant à la fessée que j’avais reçue, le frottement de mon pénis contre le matelas aidant, un début d’érection dressa mon sexe. La pensée de ce à quoi je m’exposais calma mon excitation quand je crus entendre Tante Maud s’arrêter devant la porte de ma chambre.

La journée du lendemain ne fût pas précisément euphorique. La perspective de la fessée qui m’attendait le soir assombrissait mon humeur. Je voyais avec une angoisse croissante l’après-midi défiler, me rapprochant du moment où il faudrait me soumettre à la punition, me ravalant au statut d’enfant punissable, ce que Lucie ne manquerait pas d’exploiter, suite à tout ce que je lui avais fait endurer depuis le début des vacances.
J’étais, cependant, fermement décidé à subir stoïquement la punition que Tante Maud estimait que j’avais méritée. Mes tentatives pour me soustraire à son autorité s’étaient soldées pitoyablement. Je ne voyais pas, sauf à m’y opposer physiquement, comment je pourrai éviter la fessée. Pire, je n’étais pas certain de réussir à l’empêcher de me déculotter de force puis de me fesser, tant l’énergie dont elle avait fait preuve hier soir m’avait impressionné. Sans compter les conséquences à mon retour à la maison. J’imaginais très bien la réaction de Maman face à mon refus de me soumettre à la correction que Tante Maud avait décidé de m’administrer. C’était une situation que je ne voulais pas prendre le risque de vivre.
Je quittais les copains un peu plus tôt que d’habitude pour être sûr d’être là à l’heure dite. Je remontais lentement vers la villa où j’étais attendu. La peau de mes fesses picotait encore sous mon short, conséquence de la punition d’hier soir. En s’y ajoutant, la correction que j’allais recevoir dans quelques minutes, me promettait une nuit quelque peu inconfortable, tant les positions de repos qui me seraient permises seraient limitées.
En abordant le dernier tournant, je pris une profonde inspiration pour me donner du courage. Bientôt, le portail de la maison apparut. Il me fallait en passer par là, j’accélérais le pas, décidé à en finir le plus tôt possible. Avec un peu de chance, mes cousines ne seraient pas encore rentrées, me laissant recevoir la fessée dans l’intimité.
Je ne remarquais pas immédiatement les deux voitures qui étaient stationnées devant la maison. J’allais y pénétrer par la grande porte, comme habituellement, lorsque je remarquais que des invités avaient pris possession du salon. Tante Maud avait organisé un apéritif. Deux couples devisaient tranquillement, un verre à la main. Cela se présentait sous son plus mauvais jour. Tante Maud n’hésiterait probablement pas à me punir devant ses amis, décuplant l’humiliation du déculottage et de la fessée. Malgré une certaine habitude de recevoir la fessée, je n’arrivais pas à me faire au fait de la recevoir en public, surtout devant des inconnus.
Contournant la maison, je me glissais furtivement à l’intérieur par la porte de la cuisine et je me réfugiais dans ma chambre en prenant soin d’être le plus discret possible. Mon opération réussit comme elle avait été prévue. Je me fis tout petit et silencieux, allongé sur mon lit, un livre à la main. Il ne me restait plus qu’à attendre le départ des invités pour aller me présenter à la punition à laquelle je n’échapperais pas. J’espérais simplement que mon subterfuge n’aggraverait pas trop la correction que j’allais recevoir.
Une sourde envie d’uriner commençait à me tenailler. Supportable au début, elle devint intolérable moins d’une demi-heure plus tard. Aller aux toilettes présentait un risque majeur. Me balader dans la maison, sans compter le bruit que cette expédition impliquait me semblait déraisonnable. Il fallut cependant me rendre à l’évidence. Ne pouvant plus me retenir, je sentis quelques gouttes de liquide m’échapper. Il ne manquerait plus que je mouille ma culotte. Pour le coup, Tante Maud aurait un nouveau et solide motif de punition. Le souvenir d’avoir dû porter des couches chez Madame Leblanc m’avait laissé une marque de honte et d’humiliation que je ne tenais pas à revivre ici.
Le plus discrètement possible, j’entrouvris la porte et je me glissais dans le couloir jusqu’aux toilettes. L’aller ne présenta pas de difficulté. Je me soulageais et je tirais la chasse d’eau. Le bruit dans la cuvette me fit l’effet d’une cataracte. Sortir, parcourir de nouveau le couloir, me faufiler dans ma chambre et je retrouvais la sécurité de ma chambre.
Mon triomphe fût de courte durée. Tante Maud ouvrit la porte.
- »Que fais-tu ici ? »
- »Rien, …enfin je lis. »
- »Par où es-tu entré ? »
- »Euh, … je suis passé par la cuisine. »
- »Je vois. Tu t’es donc dissimulé afin que je ne te voie pas. Ne devais-tu pas faire quelque chose dès ton retour ? »
- »Oui, je devais venir te voir pour recevoir la fessée. »
- »L’as-tu fait ? »
- »Non, mais tu étais occupée à cause des invités. »
- »C’est donc cela. C’est parce qu’il y a du monde que tu n’es pas venu. Je trouve que tu prends facilement tes aises avec mes ordres pendant ces vacances. Je constate que tu as de nouveau désobéi. Nous allons régler cela tout de suite. »
Tante Maud me prit par l’oreille. Je dus me plier pour suivre sa main ce qui ramena ma tête à hauteur de sa hanche. Elle n’eut pas à insister beaucoup pour que je marche à son coté, tordant le coup afin de soulager la tension que le pinçon imposait à mon oreille. C’est dans cette disposition que nous fîmes irruption dans le salon. Notre entrée ne passa pas inaperçue. Un silence interloqué nous accueillit.
- »Je vous présente Fabien. C’est mon neveu. Je vous prie de m’excuser mais je dois le punir. Paul, veux-tu, s’il te plait, resservir un verre à chacun ? »
Tante Maud me coinça sous son coude dans la position dont nous avions tous les deux l’habitude. Elle baissa mon short qui tomba sur le sol, entourant mes chevilles. Ma culotte suivit de prêt. Tante Maud la laissa en bas de mes cuisses, entravant mes genoux. J’avais le dos tourné vers les invités de ma tante, leur présentant mes fesses dénudées sur lesquelles chacun devait avoir une vue parfaite. J’étais en effet placé au milieu de la pièce.
La paume de la main de tante Maud me frappa les fesses. Elle me laissa le temps d’un petit cri avant que sa main ne s’abatte de nouveau sur mon postérieur. Je reçus une fessée régulière mais vigoureuse comme Tante Maud savait le faire si bien. La présence de témoins que je ne connaissais pas m’encouragea à subir ma fessée sans extérioriser la douleur qui embrasait le bas de mon dos. Je réprimais les mouvements de réaction de mon corps, j’étouffais les cris que me venaient naturellement. Sans doute tante Maud s’en aperçut-elle car elle redoubla de vigueur. Une longue série de claque à la jonction entre mes fesses et mes cuisses, me fit craquer. Je poussais un râle qui se termina en sanglot. C’est en suppliant, en demandant pardon, et pleurant comme un petit garçon que je subis la fin de la fessée.
Tante Maud me relâcha et me laissa au milieu de la pièce. La douleur, quoique très vive, ne me faisait pas oublier les témoins qui avaient assistés muets de saisissement à la scène à laquelle ils ne devaient pas s’attendre. Cul nu, présentant mes attributs sexuels de jeune homme à l’examen public, je dus attendre le retour de Tante Maud dont je supputais la raison.
Le martinet qui pendait dans sa main confirma mes craintes. Compte tenu de ma flagrante désobéissance, il ne pouvait en être autrement. Ma tentative pour maîtriser mon comportement durant la précédente fessée était bien futile. Le martinet n’allait pas me laisser le choix.
Tante Maud s’arrêta à quelques pas de moi. Je me courbais et je parcouru ainsi la distance qui me séparait d’elle. Je sentis son bras enserrer mes reins. Puis sa main retroussa mon tee-shirt qui effleurait le haut de mes fesses. Durant toute la durée de la fessée, je pleurais, je dansais d’un pied sur l’autre, laissant ouvertement voir ma douleur. Ce fût une bonne fessée qui laissa probablement des marques sur mes fesses. Comme lorsque la punition devenait trop forte, j’oubliais les témoins qui assistaient à ma correction. Il n’y avait plus de place qu’à l’attente de la fin de la fessée.
C’est presque sans m’en rendre compte que je fus conduis au coin. La conversation reprit et je fus au centre des commentaires. Chacun voulait des précisions sur la manière dont Tante Maud exerçait son autorité. Comme mes sanglots persistaient, je gênais la conversation, on m’intima donc de faire silence sous peine d’une autre fessée. Inutile de dire que je réprimais mes sanglots, à grand-peine mais sans tarder.
L’apéritif se poursuivait. J’avais cessé d’être le sujet de conversation du moment. Mes fesses me grattaient horriblement, particulièrement à la jonction des fesses et des cuisses. Tante Maud avait insisté un long moment à cet endroit. Il n’était pas question de me soulager en portant mes mains à l’endroit douloureux. J’en connaissais le prix. Tante Maud n’hésiterait pas à châtier cette outrecuidance. Pourtant la douleur devenait de plus en plus aiguë. Le fait d’y penser sans arrêt, n’arrangeait rien.
J’entendis Tante Maud qui, tout en continuant la conversation avec ses hôtes, se dirigeait vers la cuisine qui jouxtait la pièce où nous nous tenions. Elle continua à répondre aux questions qui lui étaient adressées, de sorte que je pouvais savoir, de façon certaine, qu’elle n’allait pas faire irruption dans le salon. C’était le moment. J’enlevais une main du sommet de mon crâne et je massais doucement mes fesses, notamment l’endroit le plus douloureux.
- »Dis-moi Maud, Est-ce normal que Fabien ait ôté ses mains de sur sa tête pour se frotter les fesses ? » C’était l’une des jeunes femmes qui me dénonçait à Tante Maud.
- »Comment ? Il se permet décidemment beaucoup de choses interdites. Il va avoir droit à une autre fessée. J’ai les mains sales et je dois finir de préparer les toasts, il va devoir attendre. A moins que tu ne veuilles bien te charger de le punir ? »
- »Qui, moi ? »
- »Oui, toi, Nadège ! Ne me dit pas que cela te fait peur de donner une fessée ! »
- »Non, mais je ne l’ai jamais fait. Je ne saurai pas faire ! »
- »Tu n’as jamais donné une fessée ! A personne ? »
- »Non, qui veux-tu que je punisse de cette façon ? »
- »Je ne sais pas, un neveu ou une nièce. Ils doivent bien faire quelques bêtise ou désobéir de temps en temps. »
- »Oui, bien sûr, mais je ne crois pas que leurs parents les punissent de cette façon. Je n’oserais pas en prendre l’initiative. »
- »Et Patrice ? Tu te plains souvent des ses frasques. Arrête de te plaindre et remet le à sa place. » Patrice était son mari. Il se tenait à sa droite, mais ma position ne ma permettait pas de juger de l’effet de cette perspective.
- »Oui, répondit Nadège, c’est une idée à examiner sérieusement. Qu’en penses-tu Patrice ? »
L’interpellé ne se manifesta pas et jugea plus opportun d’ignorer cette proposition.
- »En attendant, reprit Tante Maud, entraîne-toi avec les fesses de Fabien ! »
- »Comment dois-je m’y prendre ? »
- »Tu lui dis de venir te rejoindre. Comme il a déjà la culotte baissée, tu n’as plus qu’à le coucher sur tes genoux et à le fesser. Il va t’obéir, il sait que je suis là. N’ait pas peur de lui faire mal, il faut que j’entende les claques résonner jusqu’ici ! »
- »D’accord ! Euh, … Fabien, viens ici ! » La voix était mal assurée mais la consigne ne prêtait pas à confusion. Je me levais et je passais entre les invités avançant du dandinement propre à celui qui marche d’un pas retenu par sa culotte baissée. Il me fallut effleurer les genoux des invités de Tante Maud, passer à leur portée. Je m’attendais presque à ce que l’un d’eux m’applique sa main sur les fesses pour m’ordonner de presser le pas. Je sentis mes larmes embuer mes yeux, tellement la situation était humiliante.
- »Allonge-toi sur mes genoux ! »
Je croisais son regard. Ses yeux brillaient et un petit sourire se dessinait sur ses lèvres. Je pris la position requise. Elle avait écarté ses genoux, me donnant une large assise. J’étais à peine en place que la première claque atterrit sur mes fesses. Je laissais échapper un cri. Nadège y avait mis tout son cœur et toute sa force. La première fessée qu’elle administrait promettait d’être magistrale. Hélas, j’en étais la victime. Si je n’avais pas reçu le martinet quelques instants plus tôt, j’aurais peut-être pu retenir mes larmes et mes cris. Recevoir une deuxième fessée, juste au moment où les effets de la première commençaient à s’estomper, est très douloureux. Les claques que je recevais ravivaient la douleur et ajoutaient leur part de cuisson sur la peau rendue sensible.
La jeune femme était une novice en matière de fessée, mais elle prit rapidement de l’assurance. Elle couvrit la totalité de la surface de peau nue à sa disposition, de claques que j’accompagnais de cris, puis de supplications qui ne semblèrent pas l’attendrir.
Pour moi, la soirée se termina au piquet. Quand Lucie rentra, elle ne se priva pas de venir, à plusieurs reprises, pour me contempler sans que je puisse y faire quoique ce soit.

Le lendemain matin, je fus accueilli fraîchement au petit déjeuner.
- »Fabien, me dit Tante Maud, j’ai l’intention de te faire passer l’habitude de désobéir. Après que tu auras fini de déjeuner, tu vas baisser ta culotte et aller te mettre au coin sans que je te le dise. Quand j’aurai le temps, je viendrai te donner la fessée que tu mérites. Ensuite, tu passeras toute la matinée au coin. »
Ce programme n’était pas enthousiasmant mais le temps n’était pas à la contestation. Je pris mon petit déjeuner sous le regard amusé de Lucie. Après avoir déposé mon bol dans l’évier, je me dirigeais vers le coin. Je baissais mon pyjama et je plaçais mon nez dans l’angle du mur. Il ne me restait plus qu’à attendre, immobile.
- »C’est le moment, Fabien, je t’attends » Tante Maud n’avait pas attendu que les filles soient remontées dans leur chambre. Elle souhaitait me punir devant mes cousines. Elle écarta son bras gauche, m’invitant à venir me placer contre son flanc. Une fois mis en place, j’offrais mes fesses au châtiment qui leur était promis. De sa main nue, Tante Maud appliquait son programme avec une conviction que mes fesses ressentaient douloureusement. En à peine deux jours, j’avais reçu une sérieuse correction. Chaque claque se rajoutait aux précédentes. Mes fesses n’avaient pas encore oublié celles de la veille au soir. Tante Maud leur rappelait ce souvenir douloureux en y rajoutant sa touche de la journée.
Elle me lâcha quand je fus en larmes.
« - »Tu vas aller te laver et t’habiller. Je te laisse 20 minutes pour prendre ta douche et revenir ici. Je te donnerai une autre fessée. Allez, file ! »
Prendre ma douche fût difficile. L’eau chaude sur la peau de mes fesses brûlait tellement que je fus obligé de prendre une douche tiède, presque froide. Je choisis un short assez ample afin de ne pas rajouter, par le frottement du tissu, à l’inconfort constant que me provoquaient mes fesses. De toute façon, dans quelques minutes, il ne serait plus sur mon postérieur, mais probablement à hauteur de mes chevilles.
Je me présentais devant Tante Maud sans avoir dépassé le délai qu’elle m’avait fixé.
- »Prépare-toi pour la fessée et va m’attendre au coin. »
Se préparer pour la fessée signifiait se déculotter. Mon short tomba de lui même à mes pieds et je baissais ma culotte jusqu’à mes genoux, dégageant complètement mes fesses et mes cuisses qui allaient être l’objet de soins attentionnés de la part de ma tante. Je me plaçais au coin. Mon attente ne fût pas longue.
Quand sur son ordre, je fis face à Tante Maud, elle tenait à la main une règle plate en bois. Je m’attendais à quelque chose de cet ordre. La deuxième fessée de la matinée devait marquer encore plus mon esprit et mes fesses que la première. La règle était prévue pour assurer cette escalade dans les châtiments que j’avais mérités. Pour l’avoir reçue plusieurs fois chez Madame Leblanc, je savais que le résultat serait à hauteur des espérances de ma tante.
Les quelques minutes passées exposé au coin avaient fait naître un début d’érection. La perspective de la correction qui m’attendait fit disparaître tous les signes d’excitation. Lucie fit son apparition. Elle tenait à me contempler, recevant la fessée comme je l’avais souvent fait, depuis le début des vacances, quand elle avait été punie. Tante Maud n’y voyait pas d’inconvénient. Que la fessée fût donnée en public faisait partie de l’ordre naturel des choses.
Une chaise fût placée au milieu de la pièce, Tante Maud s’y assit. Je n’eus pas besoin de consigne. Cette situation m’était familière. Je me couchais sur les genoux de ma tante. La règle remplit son office. Elle ne s’était pas abattue deux fois sur mes fesses que j’espérais déjà la fin de la punition.
Je ne tentais pas de maîtriser les réactions de mon corps. Je laissais libre cours aux cris et aux tortillements, aux mouvements désordonnés de mes jambes, ressemblant sans aucun doute à un petit garçon, si ce n’était la pilosité qui rappelait à chacun mon âge réel.
Il ne me restait aucun souci de pudeur et de dignité. Je savais que la fessée serait difficile à supporter. Tante Maud ne me maintenait que symboliquement en place, sa main gauche posée sur mes reins, empêchait juste mon polo de glisser sur mes fesses. Ma main droite était libre. Je tendais toute mon énergie vers le simple but de ne pas l’interposer entre l’instrument de bois et sa destination.
La règle frappait mes fesses avec une régularité de métronome. Tante Maud commença par le haut, puis elle descendit méthodiquement, s’attardant au même endroit jusqu’à en rougir la peau. Elle procéda ainsi jusqu’au milieu de mes cuisses. Puis, accélérant le rythme, elle abattit l’instrument de bois au hasard, changeant rapidement d’endroit. Enfin, elle m’asséna une dernière série de coups plus espacés mais en y mettant toute sa force.
J’avais perdu tous sens de la réalité. Je ne crois pas que je me rendis réellement compte quand la fessée s’arrêta, ni quand je fus remis sur mes pieds. Je ne repris mes esprits qu’une fois à genoux, au coin, les mains sur la tête, les fesses toujours à l’air. J’avais obéi aux consignes par pur réflexe. J’étais seul, autant que je pouvais en juger. Je ne pris pas le risque, malgré l’envie qui me tenaillait, de bouger de la position où je devais attendre qu’on m’autorise à me lever.
Il ne devait pas être plus de 9h30 quand ma fessée avait débuté. J’avais pris la position avant 10h00. Il était probable que je reste dans cette position au moins deux longues heures durant. Au début, la position ne me sembla pas trop inconfortable. L’air frais qui circulait entre mes jambes contribuait à atténuer la cuisson de mes fesses. Puis, l’acuité de la douleur diminua. Peu à peu, l’engourdissement gagna mes mains croisées sur ma tête. Suivant de près, des crampes commencèrent à tétaniser les muscles de mes cuisses que je devais solliciter en permanence pour tenir la position. Je me surprenais à écarter mon nez du mur et l’effort pour me remettre en position devenait à chaque fois plus pénible.
Par deux fois, Tante Maud en passant dans la pièce me rappela à l’ordre. Elle accompagna ses remontrances d’une dizaine de fessées qu’elle m’administrait sans que j’aie à quitter ma place.
La matinée commençait à approcher de son terme quand j’entendis des voix qui, venant du jardin se rapprochaient du salon où je me tenais en pénitence. Je reconnus la première sans difficulté : c’était Lucie.
- »Si, je t’assure, viens voir. Il est au coin après avoir reçu la fessée déculottée. On peut y aller. Maman ne dira rien, d’ailleurs, elle discute avec la voisine au fond du jardin. Si tu n’as jamais vu des fesses, c’est le moment, les siennes sont toutes rouges ! »
- »Tu crois que je peux aller voir ? » La deuxième voix me rappelait vaguement quelque chose. C’était une intonation féminine venant d’une personne assez jeune, probablement de l’âge approximatif de ma cousine. Il me semblait qu’elle appartenait à une jeune fille brune, assez grande qui avait passé plusieurs après-midi avec Lucie.
Ma cousine avait invité une de ses amies à venir contempler mon infortune.
- »Entre Corinne! »
Elles étaient toutes les deux dans la pièce. Je me sentis rougir, puis je ne pus étouffer un sanglot et, silencieusement, je me mis à pleurer sans bouger de la position où l’autorité de Tante Maud et la menace d’une nouvelle punition ne tenaient. Corinne émit un petit rire.
- »On dirait un petit garçon. Regarde, ses fesses sont toute rouges! Il n’a pas honte de se montrer tout nu. Si ça devait m’arriver, j’en mourrai de honte ! »
- »Il a intérêt à se tenir à carreau maintenant, s’il ne veut pas que je raconte à tout le monde que Maman lui donne la fessée déculottée quand il n’est pas sage. Tu imagines si tous ses copains sont mis au courant. Il ne pourra plus dire le contraire, j’ai un témoin. »
Cependant, obnubilé par l’intrusion des deux jeunes filles, mon attention se relâcha quelques instants, et j’éloignais mon nez de l’angle du mur.
Je sentis une main s’abattre sur mes fesses.
- »Veux-tu rester correctement au coin. Si tu bouges encore, je préviens Maman. »
Je repris rapidement la position orthodoxe, accompagné par la main de Lucie qui me fessait.
- »Si tu veux lui donner la fessée, ne te gêne pas. Il l’a amplement méritée. Si Maman avait été là, il aurait de nouveau eu le droit à la règle. »
- »Tu penses que je peux ? »
- »Vas-y ! »
Je perçus une ombre qui s’approchait et se positionnait légèrement de coté. Puis le contact de la main de la jeune fille sur mon postérieur me fit pousser un petit cri autant de douleur que de désespoir. Elle m’administra une vraie fessée. De timide au début, ses coups devinrent suffisamment assurés pour me chauffer les fesses. Mes sanglots amplifièrent. Recevoir la fessée de cette jeune fille que je ne connaissais pas, sans pouvoir m’y soustraire, me semblait la pire chose qui pouvait m’arriver. A l’avenir, je ne pourrais plus la croiser sans voir dans ces yeux le triomphe suite à mon humiliation et la promesse de recommencer dès qu’elle le jugerait opportun.
La fin des vacances promettait d’être difficile.

Cet épisode trouva une suite inattendue quelques jours plus tard. Pendant que nous étions installés à déjeuner, un midi, Tante Maud reçu un coup de fil de Nadège. Les brides de conversations que je pus percevoir laissaient à penser que Nadège nous rendrait visite ce soir. Je ne l’avais pas revue depuis qu’elle m’avait fessé et je ne tenais pas à me trouver de nouveau devant elle. Cependant, Tante Maud n’eut pas beaucoup à insister pour que j’accède à sa demande. Nous nous  retrouvâmes tous pour recevoir nos hôtes à l’heure dite.
L’apéritif commença naturellement. C’était surtout les deux femmes qui entretenaient la conversation. Lucie s’y mêlait de temps en temps. Si mon silence s’expliquait facilement à mes yeux, celui du mari de Nadège, Patrice, était plus étonnant. J’en eus l’explication de façon anodine, au détour d’une conversation.
- »Sais-tu, dit Nadège, que j’ai suivi tes conseils ? »
- »De quoi veux-tu parler ? »
- »La nuit après que tu m’ais demandé de fesser Fabien, je n’ai pas beaucoup dormi. J’ai beaucoup réfléchi. Je me suis rendu compte que c’était très efficace pour ramener ce jeune homme…
- »… tu dois plutôt dire cet enfant ! » Tante Maud l’avait interrompue. « S’il reçoit la fessée c’est parce que c’est encore un petit garçon »
Les punitions que je recevais étaient de nouveau évoquées en public. Il est vrai que toutes les personnes qui écoutaient cette conversation avaient assisté au moins à un de mes châtiments. Je commençais à craindre d’être le sujet central de conversation quand elle prit une tournure inattendue.
- »Oui, tu as raison, ce n’est pas l’âge qui compte, c’est le comportement. Enfin, tu m’as permis de me rendre compte que c’était une punition très efficace. Ce qui m’a interrogé, c’est quand tu t’es étonnée que je n’avais jamais donné la fessé à quiconque, pas même à Patrice alors que je me plaignais fréquemment de ses frasques. »
Patrice, assis à coté de sa femme rougissait à vue d’œil. Il devait avoir une petite trentaine d’année, il était donc un peu plus jeune que Nadège. Visiblement, c’était elle qui commandait dans le couple. Il ne prenait pas une initiative sans, du regard, solliciter l’autorisation de sa femme.
- »J’ai donc pensé que je pouvais suivre ta suggestion. J’ai saisi la première occasion. Le soir même, il est rentré très tard, beaucoup plus que ce dont nous nous étions convenu. Sans dire un mot, je l’ai conduit près d’une chaise que j’avais placée là intentionnellement. Je crois que c’est quand je m’y suis assise qu’il a commencé à se douter de ce qui l’attendait. Il a essayé de protester quand je lui ai baissé son pantalon, mais ça n’a pas duré longtemps. Il a suffit que je le menace de la mettre à la porte. Alors, il s’est laissé faire, même quand je lui ai baissé la culotte. Allongé sur mes genoux, il a reçu une fessée magistrale. Il s’est comporté exactement comme Fabien : supplications, excuses, demandes de pardon, cris, puis il s’est mis à pleurer. Je l’ai laissé au coin toute la soirée. Il a été très obéissant, sans bouger, en m’exposant ses fesses qui avaient pris une jolie teinte rose vif. »
- »Bien, ma chérie, c’est une très bonne idée ! Renchérit Tante Maud.
- »Tu sais, donner la fessée à mon Patrice qui a presque trente ans ou à Fabien qui n’en a que dix huit, provoque les mêmes effets. Depuis, il s’est beaucoup assagi. Il est très obéissant : pas un seul retard et je crois que ses copains ne comprennent pas pourquoi ils ne le voient plus jamais au café pour prendre l’apéritif. Je le lui ai interdit ! Cette mauvaise habitude est terminée, il est vrai que je commençais à craindre qu’il finisse alcoolique au rythme où il buvait. »
Patrice ne savait plus quelle contenance adopter. Il était rouge pivoine du bout du nez jusqu’à la racine de ses cheveux. Son regard contemplait le sol entre ses deux pieds. Il était parfaitement immobile, excepté ses mains qui, jointes, doigts croisés, se crispaient au fur et à mesure de l’avancée du récit de Nadège.
Tante Maud enchaîna :
- »J »espère que tu vas continuer à le punir de cette façon aussi souvent qu’il le mérite ! »
- »Bien entendu, ça lui fait beaucoup de bien ! D’ailleurs, je ne me suis pas arrêtée en si bon chemin. Depuis, il a été fessé au moins une fois par jour. C’est d’ailleurs à ce sujet que je viens te voir. Hier, j’ai dû le fesser trois fois. Je lui ai promis que si je devais sévir à nouveau trois fois dans la même journée, il aurait le martinet puisque la fessée à main nue ne suffit pas. »
Tante Maud hochait la tête, approuvant la sévérité de son amie.
- »Je croyais que la menace aurait un effet salutaire. Or, figure toi que j’ai du le corriger trois fois aujourd’hui également. Tu comprends, je tiens absolument à tenir ma promesse ! Et c’est là que j’ai un problème. Tu vas sans doute pouvoir m’aider. »
- »Si je peux faire quelque chose ? »
- »Voilà, je ne sais pas où aller acheter un martinet ! »
- »Si ce n’est que cela, c’est très facile. Tu en trouves dans la plupart des grands magasins. »
- »Crois-tu ? Je n’en ai jamais vu ! »
- »Tu ne regardes pas au bon endroit. Les martinets sont en vente au rayon animaux, à coté des os en plastique et des litières pour chats »
- »Ah, c’est donc cela. Je n’avais jamais remarqué. Nous irons en choisir un dès demain. Pour ce soir c’est trop tard, tout est fermé. Tant pis, même si j’aurai préféré tenir ma promesse jusqu’au bout et donner le martinet à Patrice ce soir comme je lui l’avais promis. Il faudra qu’il attende demain, mais ce n’est que partie remise. »
- »Si tu veux, même ça peut se résoudre facilement. J’ai un martinet ici, celui que j’utilise pour les enfants. Je peux te le prêter. »
- »Mais, tu n’en auras pas besoin ? »
- »Si, bien sûr, cela peut arriver. Je m’en passerai. »
- »J’ai une meilleure idée. Si tu veux bien me le prêter maintenant, je pourrai fesser Patrice tout de suite. A moins que cela ne te gêne que je le punisse ici ? »
- »Pas du tout, ici, tout le monde a l’habitude d’assister aux fessées. Comme tu as pu le voir l’autre soir, elles sont administrées au moment où elles sont méritées, quelles que soient les personnes qui y assistent. Ce n’est pas de voir les fesses de Patrice qui va choquer qui que ce soit. Pour ce qui est de voir des garçons, culotte baissée, Fabien nous a montré tout ce qu’il y a à voir à de nombreuses reprises. Alors, tu penses bien que les fesses de Patrice en plus, … et puis, si tu préfère, tu peux le punir dans ma chambre. »
- »Je te remercie, Maud, tu es une vraie amie. Je pense qu’une fessée donnée devant tout le monde aura plus d’effet, comme pour Fabien l’autre soir. Crois-tu qu’on peut commencer tout de suite ? »
- »Dès que tu le souhaites ! Lucie, peux-tu aller chercher le martinet ? »

Patrice dut se lever sur l’ordre de Nadège. Il semblait parfaitement résigné à son sort bien que ce fût la première fois qu’il recevait la fessée en public. Il participa à son déculottage, dégrafant son pantalon pour mettre à jour un mini slip noir que Nadège fit glisser le long de ses cuisses. Son tee-shirt lui arrivait au ras des fesses, laissant apparaître sa nudité intime. Comme cela m’arrivait également souvent juste après que ma culotte ait été baissée, son pénis était gonflé sans être en érection complète, se dressant presque horizontalement devant lui. La blancheur de la peau habituellement protégée par un sous vêtement attirait les regards de tous les spectateurs. Bien que placé dans une situation qui était plus habituelle pour un enfant, il était criant qu’il s’agissait d’un homme dans sa maturité tellement sa toison pubienne et fessière était abondante. Sa soumission démentait cette impression donnant un effet paradoxal qui laissait interdit. Il fallait faire un effort de raisonnement pour se persuader que c’était bien un adulte qui se tenait devant nous.
Il dut patienter dans cette position quelques instants, le temps que Lucie revienne avec l’instrument nécessaire à sa punition. Il leva brièvement la tête, semblant alors se rendre compte de l’assistance dont il était le point de mire. Ses yeux se remplirent de larmes, et, comme il sied à un puni attendant son châtiment, il baissa la tête, dans une piètre tentative pour fuir la réalité.
Je supposais que c’était avec soulagement qu’il accueillit l’ordre de s’allonger sur les genoux de sa femme.
Patrice ne s’attendait pas à la morsure du martinet. Les fessées à main nues ne l’avaient probablement pas préparé à la rigueur que procure le martinet. Les 4 ou 5 premières fois que les lanières de cuir cinglèrent son épiderme, il rua sur les genoux de Nadège en laissant échapper une plainte qui aurait attiré nos voisins s’ils n’avaient eu l’habitude de l’extériorisation sonore de notre douleur quand c’était sur nos fesses, mes deux cousines et moi, que Tante Maud exerçait sa justice implacable. Enfin, il éclata en sanglots qui achevèrent de le transformer en petit garçon. Il subit toute sa punition sans tenter de se soustraire au châtiment.
Je n’arrivais pas à savoir quelle attitude adopter. Voir quelqu’un d’autre recevoir la fessée a toujours un coté plaisant, tant il est vrai que le puni oscille entre le ridicule dû à ses mouvements incontrôlés et le pathétique des supplications et des pleurs. Le coté voyeur du spectateur d’une fessée administrée en public provoque une excitation qu’il n’est pas toujours facile de contrôler afin de conserver une attitude qui convienne au spectacle d’une punition. Il me semblait, effectivement, devoir afficher une neutralité afin de ne pas donner de motif de punition aux deux femmes qui n’hésiteraient pas à châtier tout comportement inapproprié.
Par ailleurs, la démonstration que j’avais sous les yeux ne cessait de m’inquiéter. Patrice avait bien 10 ans de plus que moi et il semblait légitime à tout le monde de le fesser publiquement. Cela n’avait pas effleuré qui que ce soit de questionner le bien-fondé de cette punition eut égard l’âge du puni. Je croyais n’être bientôt plus soumis à la fessée, qui plus est en public, compte tenu que je devenais, à mes yeux au moins, un adulte. La scène que j’avais sous mes yeux démentait cette prétention. Si Tante Maud estimait qu’à 30 ans on devait recevoir la fessée quand elle est méritée, je ne doutais pas que Maman soit du même avis. Je n’étais pas encore à la veille de recevoir ma dernière fessée maternelle, sans compter celles que pourrait décider de m’administrer ma future compagne.
C’est un Patrice sanglotant qui dut aller exhiber ses fesses marquées de fines stries rougeâtres à l’attention des 4 personnes qui finissaient tranquillement leur verre. Il ne put se reculotter que juste quelques secondes avant de prendre congé. Il n’arrivait pas à croiser nos regards de ses yeux encore noyés de larmes. Il s’exécuta cependant diligemment quand Nadège lui ordonna de faire le tour de l’assemblée pour prendre congé.
Tante Maud mit alors la dernière touche à sa déchéance. Elle prit son menton dans sa main et l’obligeant à la regarder dans les yeux, elle lui expliqua :
- »Tu verras, recevoir une bonne fessée quand on l’a méritée, ça fait beaucoup de bien. »
Elle compléta cette phrase par deux ou trois petites claques sur les fesses de Patrice, comme pour lui promettre une suite à la séance de ce soir.

1 commentaire:

  1. J'adore cette histoire et l'iidée que ce sont les femmes qui donnent les fessées aux hommes m^me largement adultes.
    Je trouve cela parfaitement légitime/

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