« Peux-tu m’expliquer ce que c’est que ce courrier ?
- …
- Oui, tu as bien vu, c’est encore un point de moins sur ton permis et une amende à payer. La troisième fois en moins d’un mois ! Trois fois pour vitesse excessive ! Cette fois-ci en agglomération ! Dès qu’il a un volant entre les mains, Monsieur se prend pour le roi de la route, et on se moque des règles à respecter. Elles ne sont plus pour toi. Peu importe les conséquences, tu crois que tu peux faire ce que tu veux.
Considérer qu’on peut s’affranchir des règles quand on en a envie, ce n’est pas un comportement d’adulte qui vient de passer la quarantaine. Et si ce n’était que lorsque tu conduis : les retards aux rendez-vous, les oublis de payer les factures, ta participation au ménage et à l’entretien de la maison oubliée un jour sur deux, tes remarques désagréables aux voisins … Et bien moi, j’ai décidé de ne plus laisser passer ces attitudes de gamin.
J’ai l’impression d’être ta mère et non ta femme. Avec toi, je me retrouve avec un enfant de plus à gérer. Chaque jour je me demande ce que tu vas trouver comme nouvelle bêtise à faire ou quelle négligence tu vas encore t’autoriser. Puisque tu insistes lourdement, c’est moi qui vais prendre les choses en mains. Il est inutile que je cherche à te raisonner comme un adulte, ça ne marche pas. Cela fait plus de quinze ans que j’essaye en vain. Et tu te moques des conséquences de tes comportements puérils. Il est vrai qu’un point retiré sur ton permis et quarante cinq euros d’amende, c’est une punition bien légère.
Je vais m’y prendre comme ta mère aurait dû le faire depuis bien longtemps, quand tu étais encore un enfant. Désormais, ce sera une autre sorte de punition, celle que tu aurais dû recevoir pour tes colères qui te permettaient de tout obtenir de ma pauvre belle-mère totalement dépassée par un garçon capricieux : une bonne fessée. Et pour que je sois certaine de son efficacité, ce sera avec la culotte baissée. Je pense que je suis capable de te rougir les fesses et de te les rendre toutes brûlantes.
Puisque ce n’est pas avec un adulte que je cohabite, mais avec un petit garçon je vais m’adapter. Ce n’est pas ce dont j’avais rêvé, mais il faut faire avec. Par contre, je veux pouvoir disposer des moyens de maîtriser la situation. Comme tu te comportes comme un enfant, je vais te traiter comme tel. Toute désobéissance, négligence, insolence, impolitesse, … en résumé à chaque fois que je le jugerai utile, sera sanctionnée par une fessée déculottée. Je crois que tu vas passer la majorité de tes soirées au coin, la culotte baissée. Et quand ma main ne suffira pas, la ceinture prendra le relais en attendant que je trouve un martinet adapté à ton âge.
Bon, nous commençons dès maintenant. C’est l’heure de ta première fessée. Viens ici mon garçon ! »
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