« Mais … je n’en crois pas mes yeux. Affalé sur le canapé, devant la télévision, une bouteille de bière à portée de main.
Par contre, si j’ai bien vu, le lavabo de la salle de bain est toujours bouché. Tu ne sais sans doute pas que sortir la trousse à outils du placard, ne suffit pas. Il faut se servir de ce qu’il y a dedans pour espérer réparer ce qui doit l’être. En passant ton temps devant la TV, tu ne risquais pas de te salir les mains. C’était beaucoup plus urgent que de prendre ta part de l’entretien de notre maison.
Ici, il y a deux sortes de grandes personnes : celle qui, après sa semaine de travail, s’occupe des courses, du ménage, de régler les factures, de faire la lessive et de ranger tes affaires que tu laisses traîner ; et celle qui se contente de jouer sur son ordinateur, de regarder le foot à la télé. Je dois même me battre pour que tu fasses ta toilette et que tu t’habilles à des heures décentes.
Cela ne fait pas deux adultes. Il n’y en a qu’un et l’autre, c’est-à-dire toi, ce n’est qu’un enfant attardé. J’ai vraiment l’impression de vivre avec un enfant de cinq ou six ans dans le corps d’un homme de quarante ! Ne t’inquiète pas, je vais m’adapter à la situation. Puisqu’il te faut une personne pour t’imposer les règles de vie les plus élémentaires, tu vas être servi. Bien que je sois ta femme et non ta mère, je me sens en capacité de jouer les deux rôles. Tu as besoin d’une maman de substitution ? C’est d’accord ! Je t’informe juste que j’en aurai tous les privilèges.
Dorénavant, je veux une obéissance sans faille. Je vais te transformer en un garçon bien élevé, travailleur qui fera passer les tâches que je lui donnerai avant ses moments de plaisir personnel. Au moindre écart, je sévirai comme doit le faire tout parent responsable. Puisque tu tiens à te comporter comme un enfant, tu seras puni en fonction de ton âge réel, celui que tu as dans la tête. Je te donnerai la fessée, comme on la donne à un petit garçon désobéissant : la culotte baissée. Si ma main ne suffit pas pour te corriger, il y a tout ce qu’il faut pour renforcer le message sur tes fesses : une ceinture, une règle plate et dans le jardin, on trouvera ce qu’il faut pour couper une baguette à appliquer sur tes fesses nues.
Je peux t’assurer que ta vie viens de changer et la mienne également. Plus de dispute pour des futilités, à la place : une bonne fessée. Quand tu seras déculotté et couché sur mes genoux à chaque fois que je le jugerai nécessaire, que tu te retrouveras avec les fesses toutes rouges et brûlantes, tu réfléchiras à deux fois avant la prochaine désobéissance.
Bon, voilà qui est clair. Ta première fessée c’est maintenant !
Viens ici, mon garçon ! »
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