samedi 10 décembre 2016

Réprimande 2

« D’où viens-tu ? Sais-tu quelle heure il est ? Tu pensais, sans doute, qu’en rentrant à deux heures du matin, je me serais endormie et que pourrait passer inaperçu un retour aussi tardif ?
Je t’avais pourtant ordonné d’être rentré à vingt-deux heures tout au plus. Il n’est pas question que tu traînes dehors à des heures indues et le fait que tu aies trente-cinq ans n’y change rien. Tu penses, sans doute, que depuis que tu as un travail, tu peux te dispenser des règles qui ont court sous mon toit ? La fameuse indépendance à laquelle tu aspires tant !
Pour cela, mon garçon, il faudrait que tu assumes d’avoir grandi et que tu saches te prendre en charge. Tant que ce sera moi qui devrait m’occuper te faire à manger, de faire ta toilette, de gérer tes affaires et de devoir réparer toutes les bêtises que tu commets aussi bien au travail qu’à la maison, tu me devras obéissance.
Et je considère qu’il est de mon devoir de te punir pour te mettre du plomb dans la tête. Cela fait sans doute trop longtemps que tu n’as pas eu de fessée déculottée ! Un peu plus de quinze ans depuis la dernière fois où je t’ai baissé la culotte pour te coucher sur mes genoux et t’administrer une fessée magistrale. Tu as raison. Je n’aurais pas dû arrêter  de te corriger de cette façon. Depuis que j’ai cessé de te fesser, ton comportement va de mal en pis. Je vois bien que tu as encore besoin d’avoir la culotte baissée et les fesses rouges pour que tu comprennes que quand on se comporte comme un petit garçon, c’est une punition de petit garçon qu’on doit recevoir. Et bien je vais revenir à nos vieilles habitudes, et dès maintenant !
Viens ici, mon garçon !

1 commentaire:

  1. Je suppose que le garçon a été corrigé comme il le mérite, déculotté, basculé en travers des genoux de sa mère et fessée cul nu. Moi c’est ainsi que mon père me punissait lorsque je faisais des bêtises ou lorsque mon comportement au collège ou mes notes je justifiaient et c’était souvent le cas. La fessée administrée devant les copains c’était ce que je redoutais le plus. Un jour, alors que je jouais au ballon avec des copains dans un terrain vague proche de la maison, papa m’a demandé de rentrer pour faire mes devoirs. A 13 ans je préférais jouer au foot et mes copains aussi, nous faisions partie de la même équipe de foot. Mon père m’a appelé au moins trois fois sans résultat. Quelques instants plus tard c’est lui qui vient me chercher. Dès que je le vois déboucher derrière le grillage je comprends que je vais être puni sévèrement. Trop tard. Papa tient le martinet de sa main droite, il s’approche de moi et me prend par l’oreille et de l’autre main il me cingle les cuisses avec le martinet. Il me tire par l’oreille jusqu’à la maison sans interrompre la fouettée. Arrivé à la maison mon petit short en nylon et mon slip sont baissés et mon père qui a avancé une chaise me bascule sur ses genoux pour une fessée magistrale cul nu. Mes fesses et mes cuisses rougies je suis expédié dans ma chambre avec la menace d’une nouvelle fessée si leçons ne sont pas sus avant ke repas du soir. J’avais beau masser les fesses et pleurnicher, le soir, je savais les leçons. Le lendemain au collège j’ai retrouvé un de mes copains qui avait et témoin de ma fessée et j’étais un peu honteux. Il s’en est aperçu mais pour me rassurer il m’a dit que lui aussi il s’en prenait souvent et de bonne avec la culotte baissée en plus… j’étais alors plus à l’aise pour lui avouer qu’arrivé à la maison moi aussi j’avais eu droit à la fessée cul nu. Et cela nous a fait rire…

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