samedi 10 décembre 2016

St Marie - chapitre 3

La conversation reprit derrière moi, mais je n’y prêtais plus attention. L’annonce de ma prochaine fessée occupait la totalité de mon esprit. J’étais incapable de penser à autre chose. Mon estomac était noué de peur en perspective de cette nouvelle punition. Je me sentais au bord des larmes que je refoulais à grand peine.
Ma station au piquet se prolongea. Je sentis, peu à peu, la cuisson de mes fesses diminuer sans toutefois disparaître complètement. Trois personnes entrèrent dans le bureau. Je pris bien garde de conserver ma pause le plus strictement possible. Il ne fut d’ailleurs pas du tout question de moi. Apparemment les personnes qui constataient, que je me tenais déculotté au piquet, les fesses certainement encore rouge, devaient trouver la situation tout à fait normale comme si j’étais un petit garçon. Et comme un petit garçon, acceptant ma punition, je restais le nez collé au mur, ma culotte baissée montrant que j’avais été puni d’une bonne fessée.


-          Venez ici, jeune homme !
J’avais compris qu’une stricte obéissance était exigée et je connaissais le prix d’une transgression. Je pivotais donc et je me mis en chemin dès que je vis que la directrice pointait de son index le sol à la droite de la chaise sur laquelle elle était assise.
J’étais resté suffisamment longtemps au piquet pour que la cuisson de mes fesses se soit atténuée. Il restait cependant une gêne, comme si la peau de mes fesses avait un peu perdu de son élasticité et j’étais tenté de me masser le postérieur ce que j’aurai fait si j’en avais eu le droit. J’avais le sentiment que mes fesses irradiaient de la chaleur, un peu comme au lendemain d’un coup de soleil.
Le bureau était assez grand et je devais parcourir 4 ou 5 mètres avant de contourner le bureau. Montrer son empressement à se déplacer est malaisé lorsque ses pas sont entravés par un pantalon tombé sur les chevilles et une culotte entourant les genoux. Je faillis d’ailleurs tomber en voulant faire un pas un peu trop grand. J’avais laissé mes mains sur ma tête ce ne stabilisait pas mon équilibre. Je fis le reste du chemin en laissant mes pieds raser le sol ce qui me donnait une démarche saccadée. Mon sexe pendant entre mes jambes ballotait entre mes cuisses à chaque à-coup provoqué par mon déplacement.
Je ne m’inquiétais pas de ce que pouvait penser la sœur directrice en voyant un adulte abdiquer toute pudeur en se déplaçant culotte baissée, sexe à l’air devant une personne qui conservait, elle, une tenue décente. Tout indiquait la fessée à venir. Je m’y rendais en marquant presque mon enthousiasme, ma seule pensée tendait à monter à la directrice que j’obéissais le plus diligemment possible.
Arrivé à la place que la sœur m’avait indiquée, sans dire un mot, elle tapota sur le dessus de ses cuisses. Je me courbais et m’allongeais à plat ventre en travers de ses genoux. Aussitôt, mes yeux se remplirent de larmes de honte de me retrouver dans cette position punitive et d’appréhension de la fessée à venir.
La sœur me fit glisser légèrement sur ses genoux, me rapprochant de son bassin, ajustant ma position à sa convenance. Bien évidemment, je la laissais faire. Elle posa alors sa main sur le sommet de mes fesses. A ce contact, ma peau se couvrit de chair de poule et je ne pus réprimer un frisson.
-          Mon garçon, je vais te fesser pour avoir refusé de baisser ton pantalon et ta culotte quand je te l’ai ordonné. Je vais utiliser la règle jusqu’à ce que tes fesses soient de nouveau toutes rouges et toutes brûlantes.
-          Non, ma sœur, pardon, pas la règle !
Elle appliqua 4 ou 5 claques sonores sur chaque côté de mes fesses. Je me rendis alors compte combien elles étaient encore sensibles suite aux deux fessées reçues depuis mon entrée dans le bureau.
-          Je ne me souviens pas vous avoir posé une question. Me serais-je trompé ?
Je n’osais pas reprendre la parole ce qui me valut une nouvelle série de fessée.
-          Je vous ai posé une question mon garçon, j’attends votre réponse …
Elle m’appliqua 3 claques sèches sur chaque côté de mes fesses.
-          … et je ne crois pas que je vais attendre longtemps !
-          Non, ma sœur, non ! Vous ne m’avez pas posé de question.
Sa main s’abattit de nouveau sur mes fesses.
-          Comment se fait-il alors que vous ayez pris la parole ?
-          Pardon, ma sœur, pardon, je ne le referai plus !
-          Bon, je vois que vous commencez à comprendre qu’il y a plus d’avantage ici à obéir. Venons-en à la punition.
Il y eut une petite pause, juste le temps qu’elle s’empare de la règle qui était posée sur son bureau. Puis, la fessée commença. La directrice administrait chaque coup bien distinctement. Il claquait sur mes fesses et, comme en écho, je répondais par une plainte ou plus exactement un cri qui résonnait dans toute la pièce. La règle claqua mes fesses et deuxième fois et cela suffit à me faire perdre toute retenue. Mes belles résolutions de me comporter dignement étaient oubliées. J’entamais une gesticulation ininterrompue de mes jambes que je repliais, que j’allongeais que j’écartais puis je resserrais, comme si cette sarabande pouvait atténuer la douleur provoquée par la punition. Je me tortillais sur les genoux de la directrice, tout en prenant grand soin de ne pas gêner l’application de la règle sur mon postérieur. La main de ma correctrice, posée sur le bas de mon dos suffisait à me maintenir en place.
Tout indiquait que nous étions dans la situation classique du petit garçon légitiment puni par une personne exerçant sa juste autorité. Il ne manquait qu’un détail afin de parachever le tableau, oubli que je ne manquais pas de réparer : dès le quatrième ou le cinquième coup de règle sur me fesses, je me mis à pleurer, mêlant, dans un galimatias probablement incompréhensible, demandes de pardon, promesses de ne plus recommencer, cris stridents et sanglots. Ces derniers l’emportèrent et je finis la fessée, pleurant sur les genoux de la directrice.

Lorsque la fessée cessa, la sœur posa sa main sur le sommet de mon postérieur.
-          Parfait, dit-elle ! Des fesses d’un rouge bien uniforme, la peau brûlante à souhait, des sanglots de repentir et un jeune homme qui se soumet à la fessée. Voila une punition qui porte ses fruits. Chaque fois que tu l’auras mérité, il en sera ainsi à Sante Marie.
J’étais, bien évidemment, resté allongé sur les genoux de la directrice et bien qu’ils se soient espacés, des sanglots montaient encore de ma gorge.
-          Debout, m’ordonna la directrice !
Elle m’aida à me relever. Mon équilibre retrouvé, je plaçais mes mains sur la tête. Cela fit sourire la directrice.
-          Je vois que vous apprenez vite. Si vous faites aussi bien lorsqu’il s’agira de travail scolaire, peut-être recevrez-vous la fessée moins souvent que je ne l’avais pensé.
Elle me donna une petite claque sur les fesses, juste pour souligner la consigne qui suivit :
-          Retournez prendre position au piquet jusqu’à ce que je vous appelle de nouveau.
Je fis, en sens inverse, le trajet effectué quelques instants plus tôt, et je repris position, mon nez contre le mur, laissant à la directrice et aux personnes qui entrèrent dans le bureau, une vue parfaite sur mes fesses qui portaient encore certainement les stigmates des trois corrections que j’avais reçues. Les sanglots s’espacèrent peu à peu. La douleur vive ressentie durant la fessée laissa place à une démangeaison continue qui me donnait l’impression d’avoir eu un sérieux coup de soleil sur mon postérieur. La couleur de ma peau devait confirmer ce sentiment.
La vie se poursuivait derrière moi. De temps en temps, des personnes, exclusivement de sexe féminin si j’en juge aux voix que j’entendais, frappaient à la porte puis s’entretenaient avec la directrice un court moment. Il s’agissait de sujets banaux concernant la vie de l’institution. Ma présence ne faisait pas l’objet de commentaire. Toutes m’ignoraient. Je ne pouvais cependant pas m’empêcher de crisper mes fesses à chaque fois que la directrice prononçait « entrez ! » Malgré la honte que je ressentais de m’exposer dans cette tenue et dans une position qui signifiait clairement que j’avais été fessé, je ne bougeais pas de l’endroit où j’avais été assigné.
Après quelques jours passés dans cette vénérable institution, je comprendrai que ce genre de spectacle était si habituel qu’il ne pouvait plus être objet ni d’étonnement, ni d’attention. Voir un élève; garçon ou fille, la culotte baissée, stationnant au piquet les fesses rougies d’avoir été fessé, était ici spectacle ordinaire. Que le puni ait environ une dizaine d’années pour les plus jeunes, ou qu’il soit un adulte, fille ou garçon, ne changeait rien à l’affaire. Tous les élèves étaient traités de la même façon.

-          Jeune homme, venez ici !
L’ordre de la directrice me fit sursauter et j’hésitais une seconde avant de me rendre compte qu’il s’adressait à moi. Conservant mes mains croisées sur le sommet de mon crâne, je me retournais et je vins me placer à la droite de la directrice, à portée de sa main.
La boule nouant mon estomac n’avait pas vraiment disparu durant tout le temps où je me tenais en pénitence, mais elle s’était atténuée. Le nœud dans mon estomac reprit toute sa place alors que je me retrouvais à une place où il serait aisé, pour la directrice, de me coucher encore une fois en travers de ses genoux.
La directrice me laissa ainsi dans l’incertitude quelques longues secondes.
-          Reculottez-vous, jeune homme !
Je ne réagis pas immédiatement à cette consigne.
-          Allons, dut-elle insister, remontez votre culotte et votre pantalon !
Maintenant certain que j’en avais l’autorisation, je m’empressais de retrouver une tenue plus décente. Le résultat, obtenu en peu de temps, fut un peu désordonné.
-          Faut-il que je vous apprenne à vous habiller convenablement ? Sachez, jeune homme, qu’à Sainte Marie, nous exigeons une tenue impeccable. Votre chemise baillant et irrégulièrement placée sous la ceinture de votre pantalon, ne correspond pas aux standards de la maison.
Glissant ma main sous ma ceinture, je m’efforçais de réparer les dégâts, sans grand résultat.
-          Je ne vous conseille pas, jeune homme, de vous promener à Sainte Marie aussi mal habillé. Vos fesses en feraient les frais.
Elle me prit par la main et m’amena tout près d’elle, à toucher ses genoux.
-          Il faut donc que je vous montre comment on s’habille
Joignant le geste à la parole, elle déboucla ma ceinture, déboutonna mon pantalon et fit glisser la fermeture éclair. Elle descendit alors mon pantalon jusqu’à hauteur de mes genoux.
Ma chemise était glissée sous l’élastique de ma culotte sur ma hanche droite. Ainsi retenue, elle baillait sur le devant et bouffait sur la moitié de ma taille.
-          Regardez-moi cet attifage !
Elle accompagna la réprimande d’une claque sur ma cuisse nue que je ponctuais d’un « aïe » sonore. Sans plus de cérémonie, elle baissa ma culotte à mi-cuisses, puis elle releva le pan de ma chemise qui couvrait mes fesses sur lesquelles elle administra une seconde claque.
-          Il me semble que votre seule préoccupation a été de cacher votre nudité. Il n’y a plus rien à cacher, jeune homme.
Régulièrement, au rythme ses paroles, sa main s’abattait sur mes fesses nues. J’en accusais l’impact, mais je ne bougeais pas de la position où la sœur m’avait placé. J’étais donc, à chaque fois, dans la bonne position pour recevoir sa main sur mes fesses. Je dus ainsi subir son sermon.
-          Quand il vous sera ordonné de vous reculotter, nous attendons de vous que cela se fasse sans précipitation afin que vous soyez correctement habillé.
Joignant le geste à la parole, elle continua :
-          Tout d’abord, la culotte qui doit être bien en place. Ensuite, il faut placer la chemise de façon à ce qu’elle ne fasse pas de pli. Enfin, vous remontez le pantalon en prenant soin de ne pas froisser la chemise.
Elle se chargea de boutonner mon pantalon, puis de réajuster la ceinture. La « petite » fessée qu’elle m »avait administré durant cette leçon d’habillage, n’était pas bien douloureuse si on la compare à celles que j’avais reçues quelques minutes plus tôt. La séquence que je venais de vivre était pourtant bien plus humiliante. En me reculottant elle m »avait démontré combien elle me considérait comme un petit garçon dont l’obéissance ne fait pas de doute et que mon âge réel ne comptait pas en la matière.

-          Aller donc vous asseoir sur la chaise de l’autre côté du bureau.
Le contact avec le bois du siège raviva la douleur de mes fesses. La grimace que je fis alors fit sourire la directrice.
-          J’espère, jeune homme, que vos fesses vous rappelleront les conséquences de votre désobéissance, durant quelques heures encore.
Je baissais la tête et je rougis. Cela pouvait passer par une approbation. La sœur continua :
-          Nous allons donc inaugurer votre carnet de correspondance.
Elle sortit un cahier du tiroir de son bureau et prit quelques minutes pour remplir les premières pages.
-          Sur le carnet de correspondance, il sera noté tous les faits importants liés à l’école : les notes que vous obtiendrez et bien évidemment les fessées que vous recevrez. Il devra nous revenir le lendemain, signé par votre tuteur. Au fait, rajouta-t-elle, qui est votre tuteur ?
-          Je ne sais pas, ma sœur, je ne savais pas qu’il fallait un tuteur.
-          C’est indispensable ! A Sainte Marie, nous pensons que doit s’appliquer le vieux principe : une fessées à l’école, une fessée à la maison. Le tuteur est également chargé de contrôler que l’élève s’attelle à ses travaux scolaires avec assiduité. Il a donc loisir, ou plutôt le devoir, de punir ses pupilles quand ils le méritent.
Je ressentis un sentiment d’étouffement en imaginant le contrôle dont j’allais être l’objet. Je n’eus pas le temps de poursuivre mes réflexions plus loin.
-          Vivez-vous seul, jeune homme ?
-          Oui, ma sœur.
-          Cela est bien dommage. Le plus souvent c’est un parent proche qui accepte de se charger de ce rôle : père, mère, frère, sœur, oncle, tante, grands parents, … aucun d’eux ne vit à proximité ?
Les choses allaient trop vite pour que je puisse réfléchir à la bonne réponse. Il me vint la pensée de mentir en m’inventant un tuteur imaginaire mais je ne savais pas si la directrice demanderait à le rencontrer. Je ne tenais pas à me mettre de nouveau dans une mauvaise passe. Il restait la vérité.
-          Non, ma sœur.
-          Nous allons donc chercher parmi les parents d’élèves qui habitent à proximité. Il serait étonnant de ne pas trouver une personne qui accepte de se charger de cette fonction.
Elle ouvrit un registre.
-          Vous dites que vous habitez …
Elle consulta le dossier que j’avais complété avant l’entretien.
-          … au 55 avenue du Marché. Voyons voir … à quel étage ?
-          Au 2ème, ma sœur.
-          On peut dire que vous avez de la chance. Parfois, il faut aller chercher un tuteur assez loin du domicile de l’élève, ce qui ne facilite le travail de personne. Connaissez-vous Madame Lambret ?
Madame Lambret était ma plus proche voisine. Nous cohabitions, assez froidement sur le même pallier. Quelques temps après que j’eusse emménagé, elle se permit des remarques au sujet des bruits tardifs émanant de mon appartement, me mettant en demeure de les faire cesser. Il est vrai que j’écoutais de la musique suffisamment fort pour que je puisse l’apprécier dans quelle que pièce que je fusse. Suite à ces remarques, je l’éconduisis en lui faisant remarquer que compte tenu de la qualité remarquable de ce qu’elle entendait, elle devrait plutôt me remercier de ne pas lui demander une contribution financière. Ce n’était pas une façon adroite de débuter un voisinage. Depuis, nous échangions à peine un bonjour lorsque nous nous croisions. Je la soupçonnais d’avoir monté une cabale contre moi. En effet, bientôt ce furent la quasi-totalité des voisins qui émirent des plaintes au sujet du prétendu bruit dont je faisais copieusement bénéficier mes voisins. Je la connaissais donc.
-          Oui, ma sœur.
-          Cela m’étonnerait bien qu’elle refuse. C’est une dame charmante, tout à fait à même de faire face à ses responsabilités quand elle les a acceptées.
Je faillis protester, mais je me rappelais à temps que mon avis n’avait pas été sollicité.
-          Voyons cela …
La directrice décrocha le téléphone et composa un numéro. Elle attendit un court instant puis la conversation s’engagea. Passé les préliminaires, elles abordèrent le vif du sujet :
-          Je suis à la recherche d’un tuteur pour le jeune homme qui habite dans l’appartement à côté du vôtre. Il veut reprendre des études et vous savez qu’il est nécessaire, à Sainte Marie, qu’il soit tenu en mains à la maison. Hélas, il habite seul et j’ai pensé que vous pourriez jouer ce rôle.
-          …
Je n’entendis bien évidemment pas la réponse.

-          C'est qu'il habite l'appartement jouxtant le vôtre.
-          …
-         Exactement, lui-même..
-          …
-          Tout à fait ! Je compte sur vous pour le traiter exactement comme vous le faites pour votre fille.
-          …
-          Bien entendu. Vous aurez à signer son carnet de correspondance et à sévir aussi souvent que nécessaire.
-          …
-          Exactement ! Vous aurez toute autorité pour le fesser quand vous penserez qu’il en aura besoin et bien évidemment, à chaque fois qu’il sera puni à l’école.
-          …
-          Non, je ne pense pas qu’il résistera à votre autorité.
La sœur expliqua alors le marché que m’avait imposé ma tante qui passait par ma soumission aux règles en vigueur à Sainte Marie. L’acceptation d’un tuteur en faisait partie.
En trois phrases, l’affaire fut entendue. Madame Lambret serait ma tutrice. Il fut convenu qu’en sortant du bureau de la directrice, je me rendrai directement prendre contact avec elle.

La sœur me tendit alors mon carnet de correspondance.
-          Bien évidemment, j’ai noté les fessées que vous avez reçues aujourd’hui. La rentrée scolaire n’est que dans trois jours, il faudra donc que votre carnet revienne signé ce jour là. Je ne vous conseille pas de le dissimuler à votre tutrice d’ici là. Je pense qu’elle n’en serait que plus sérieusement fâchée et vos fesses en subiraient les conséquences. Votre tutrice va donc devoir sévir dès aujourd’hui.
Je me levais pour prendre congé.
-          Ah, fit-elle, une dernière chose : il me semble que lors de la dernière des fessées que je vous ai donnée, vous vous êtes permis de protester. Cela mérite une fessée.
Elle se leva et contourna son bureau.
-          Baissez votre pantalon !
Sans hésiter, j’exécutais l’ordre qui venait de m’être donné. Dès cet instant, je laissais échapper les premiers sanglots.
-          Baissez votre culotte !
Glissant mes deux pouces sous l’élastique de ma culotte de chaque côté des mes hanches je fis glisser mon sous-vêtement le long de mes cuisses et je l’abandonnais juste au dessus de mes genoux.
Sans rajouter un mot, la directrice écarta son bras gauche de son flanc, ménageant ainsi une place où, les bras en avant, je glissais ma tête, puis mon buste, attendant patiemment qu’elle veuille bien ceinturer ma taille pour me maintenir en position.
Elle m’administra alors une rapide fessée assez courte, frappant alternativement chacun de mes globes fessiers. Je ne cherchais plus à conserver une quelconque dignité. Dès le début de la punition je criais et je pleurais comme le petit garçon que j’étais devenu, attendant la fin de la punition que j’avais méritée.
La directrice me relâcha.
-          Reculottez-vous !
Je me rhabillais lentement, faisant très attention à ne pas susciter d’autres remontrances.
-          Voila qui est parfait. Désormais, j’attends de vous une obéissance aussi totale lorsqu’une grande personne, quelle qu’elle soit, vous ordonne de vous préparer à recevoir la fessée. Est-ce compris ?
Je réussis à articuler un « oui, ma sœur » entre deux sanglots.
-          Bon, allez-y ! Et n’oubliez pas votre rendez-vous chez votre tutrice.
Les fesses douloureuses, des sanglots dans la gorge je quittais Sainte Marie.

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