samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 11

Cette nouvelle façon de nous inciter à travailler eut des conséquences inattendues sur nos relations entre étudiants.
 Le lendemain, la barre fût fixée à huit. Elodie, la seule à être descendue au dessous de la note fatidique dut rester après le cours. Les notes s’améliorèrent en quelques jours. Madame Bruno nous expliqua que tous ceux qui, à l’avenir, auraient une note inférieure à dix seraient convoqués à la fin de l’heure, chacun savait maintenant ce que cela signifiait.
Il est vrai qu’il était facile d’obtenir la moyenne. Apprendre un tant soit peu ses leçons permettait de passer la barre. La fessée pour une mauvaise note aux interrogations quotidienne devenait plus rare. Cependant, de temps en temps, l’un de nous, obtenant une note trop basse, devait se présenter pour être puni dès la fin du cours. Il m’arrivait de passer juste à coté, mais je dépensais l’énergie nécessaire pour connaître suffisamment mon cours. Ce fût pourtant suite à l’une de ces interrogations que je reçus la fessée la plus cuisante de toutes celles qui me furent administrées à l’école.


La veille du jour fatidique, j’avais été interrogé par Madame Leblanc sur le cours d’économie. Nous avions commencé à aborder la partie du programme qui faisait appel à des formules mathématiques. Ce n’était pas ce que je retenais le plus facilement. Le soir, Madame Leblanc m’avait administré deux fois la fessée à cause de la même formule que je n’arrivais pas à retenir. Finalement, j’avais réussi à la réciter sans me tromper.
Le lendemain matin, dans le car qui m’emmenait vers l’école, je la relus une nouvelle fois et je constatais, à mon grand désespoir qu’elle m’échappait encore. J’étais persuadé qu’elle serait au programme de l’interrogation. Il me fallait mettre toutes mes chances de mon coté. Me tromper sur la formule entraînerait probablement une note en dessous de dix qui aurait inévitablement une double conséquence : une fessée par Madame Bruno, puis une autre par Madame Leblanc. Si on ajoutait les deux que j’avais reçues le soir avant, cela faisait quatre. Pour une simple formule, c’était trop cher payé.
N’étant pas assuré de m’en rappeler au bon moment, il ne me restait qu’une solution que nombre de mes camarades avait utilisée auparavant. Sur un petit bout de papier, j’écrivis la formule récalcitrante. Je le glissais dans ma trousse. Parmi mes crayons, il était invisible. Rasséréné, j’oubliais la formule, certain maintenant de pouvoir la restituer correctement.
Nous finissions la matinée par le cours d’économie. Comme nous y étions habitués, nous commençâmes par le devoir, afin de vérifier si nous avions appris nos leçons. Comme je m’y attendais, la formule nous fût demandée. Madame Bruno, comme à son habitude durant ces courtes interrogations circulait parmi les rangs. Elle consultait des notes et ne paraissait pas particulièrement attentive à ce que nous faisions. Les deux premières questions ne me posèrent pas de problème. Les trois dernières reposaient sur une connaissance parfaite de la fameuse formule.
J’attendis que le professeur me tourne le dos et je pris le papier dans ma trousse, le plaçant au creux de ma main. Le plus naturellement du monde, je recopiais la formule sur ma page. Il ne me restait plus qu’à remettre le papier à sa place et le tour était joué. J’avançais ma main vers ma trousse quand Madame Bruno se retourna. Je retirais vivement ma main et recommençais à écrire. Elle passa à coté de moi et continua d’avancer dans mon dos. Je répétais la manœuvre. Discrètement, je pris ma trousse dans ma main et j’en retirais un crayon, tout en y laissant tomber le papier. Ouf, ça y était, tout était à sa place. Je me penchais sur mon devoir, tous les éléments pour en venir à bout étaient maintenant à ma disposition.
Une main venant de derrière moi prit ma trousse et y fouilla. Elle en sortit aisément le papier. Madame Bruno était revenue vers moi. Elle lut ce qui était écrit et sans un mot, elle me prit mon crayon des mains, le posa sur mon pupitre. Elle s’empara alors de mon oreille et la tirant vers le haut, elle me contraignit à me lever. Elle me conduisit au coin et m’ordonna :
- »Les mains croisées derrière le dos ! » Elle accompagna son ordre d’une claque sur le fond de mon pantalon. Puis elle m’abandonna là, recommençant à circuler parmi les rangs, comme s’il ne s’était rien passé.
- »C’est terminé, vous posez vos stylo et vous me rendez vos copies ! »
Elle fit le tour de la classe pour ramasser les devoirs. Puis, elle fit face à mes camarades et déclara :
- »Jeunes gens, nous avons un problème ! Vous savez tous que depuis le début de l’année, j’ai décidé de punir ceux qui étaient dissipés pendant le cours ou qui ne travaillaient pas assez. La majorité d’entre vous a déjà reçu une fessée pour l’un de ces motifs. Ceux qui n’y sont pas encore passés ne sont pas à l’abri de se retrouver un jour allongé sur mes genoux, la culotte baissée. Recevoir la fessée ne concernait que ceux qui l’avaient méritée, il était normal que cela se passe en privé, à la fin du cours. »
Madame Bruno rendait public ce que tout le monde savait depuis longtemps, mais son annonce officialisait la menace qui planait sur nos têtes.
- »Aujourd’hui, l’un d’entre vous a triché. Je l’ai pris sur le fait. Ce faisant, il a porté atteinte à chacun des autres en tentant d’obtenir une note qu’il ne mérite pas et donc, d’occuper une place qui n’est pas la sienne au détriment de tous ceux devant qui il serait passé. Il va de soi qu’il aura un zéro à l’interrogation de ce matin et qu’il en subira les conséquences lorsque je rendrai les copies demain. Cependant, il me semble que cette punition est insuffisante et qu’il doit recevoir une correction pour avoir essayé d’abuser toute la classe. Je vais donc lui donner une fessée déculottée maintenant. »
Mon estomac se noua immédiatement et mes jambes devinrent en coton. C’était d’une fessée déculottée, en public, devant toute la classe dont elle parlait. Mes yeux se remplir de larmes à la pensée de l’humiliation qui m’attendait.
- »Fabien, venez ici pour recevoir votre punition ! »
Je me retournais et regardais mes camarades. Tous avaient les yeux fixés sur moi, en silence. Certains souriaient, d’autres avaient un regard sombre. La pensée d’assister à mon déculottage, puis à ma fessée n’en laissait assurément aucun indifférent. Les uns étaient ravis de me voir dans cette situation, les autres mesuraient la probabilité de se trouver à ma place à une prochaine occasion. Tricher n’étant pas exceptionnel, beaucoup devaient penser qu’ils l’avaient échappé belle. Je ne pus soutenir leur regard. Je baissais les yeux et je fixais le bout de mes chaussures.
Madame Bruno me fit monter sur l’estrade et me planta en plein milieu, face à la classe.
- »Baissez votre pantalon, Fabien ! »
Son autorité était suffisante pour que cet ordre ne soit pas discuté. Espérant un miracle, je m’exécutais le plus lentement possible. Ceinture défaite, je déboutonnais le pantalon. Je fis glisser la fermeture éclair de mon jean. Le pantalon tomba de lui même sur mes chevilles.
Madame Bruno se plaça à mon coté. Elle prit l’élastique de ma culotte et la baissa jusqu’à mes genoux. Mortifié par la situation dans la quelle j’étais, je me mis à pleurer. Chacun de mes camarades pouvait contempler ma verge qui pendouillait entre mes jambes. Mon appréhension était si forte que je n’éprouvais aucune excitation. Je ressenti une onde d’étonnement parcourir la classe à la vue de mes fesses dénudées.
Seuls ceux qui ont été déculottés devant toute leur classe peuvent comprendre ce que je ressentais à ce moment. A 18 ans, on est persuadé d’être bien trop grand pour avoir la culotte baissée en public devant tous ses camarades d’école. « Le professeur n’osera pas pense-t-on ! » Puis, au fur et à mesure que mes fesses se dénudaient, j’avais l’impression de m’enfoncer dans un cauchemar dont seul le réveil pouvait me sortir. Je fus ramené à la réalité brutalement.
Le professeur me prit le bras et me fit pivoter, présentant mon postérieur à tous mes camarades. Puis, elle entoura mes reins de son bras et je la laissais me positionner comme elle le désirait, me coinçant sous son bras, disposant mes fesses à portée de sa main. J’étais bien trop horrifié par ce qui m’arrivait pour oser signaler mon indignation par un quelconque acte de protestation.
La fessée commença. Elle fût à la hauteur de la réputation que s’était forgée Madame Bruno. Elle mit toute l’énergie dont elle disposait pour claquer mes fesses. Je réagissais à chaque fois, contractant la peau de mon postérieur, puis la relâchant, dansant d’un pied sur l’autre, essayant de relever mes pieds pour protéger mes fesses, tentatives bien vaines, ma culotte et mon pantalon entravaient mes mouvements. Le silence total qu’observaient mes condisciples n’était rompu que par le bruit que faisait la main en s’abattant sur mes fesses.
Madame Bruno soutint le rythme un long moment. Elle alternait les claques sur mes fesses et sur mes cuisses, sur le coté droit, puis sur le coté gauche et enfin au centre. Elle s’interrompit pour demander :
‘ »Marc, veux-tu m’apporter ta règle plate en bois. »
Elle me maintenait courbé sous on coude en attendant que Marc lui apporte l’instrument demandé.
- »Merci Marc, retourne à ta place ! »
Je contractais mes fesses en attendant le premier coup de règle. Il ne fût asséné sur mes cuisses, je l’accompagnais d’un hurlement. Instinctivement, je cherchais à me relever pour fuir le lieu de mon supplice. Madame Bruno dut interrompre la fessée pour me remettre en position, j’avais réussi à échapper à son étreinte.
- »Cela suffit, Fabien ! cria-t-elle. Si je te vois encore bouger, je te donne une fessée cul nu devant toute la classe chaque jour pendant une semaine. »
- »Non, non, Madame, pardon, je ne le ferai plus ! » Je me replaçais de moi-même sous le bras de mon professeur, attendant docilement que la fessée reprenne.
Elle reprit, la règle claquait mes fesses, je maîtrisais mes ruades à chaque fois sans parvenir à les faire totalement disparaître. Plusieurs minutes durant, je reçus ma punition. J’avais oublié que toute la classe me regardait. Je sanglotais ouvertement.
Quand elle m’estima correctement puni au regard de la faute que j’avais commise, elle posa la règle, me redressa et d’une voix toujours autoritaire, elle me dit :
- »Va au coin ! Tu y restera pendant tout le cours. »
J’avais bien compris qu’elle n’attendait pas que je relève ma culotte. Je marchais maladroitement jusqu’au coin, me dandinant comme un oiseau malheureusement échoué sur la terre ferme. Je plaçais mon nez dans le coin du mur, je croisais mes bras dans mon dos et, les fesses exposées à tous mes camarades, j’entrepris de me faire oublier.
- »Dernière petite chose, ajouta-t-elle, si j’apprends que l’un d’entre vous se moque de l’un de ceux à qui j’ai donné la fessée, il recevra la même fessée que celle que vient de prendre Fabien. »
Le cours reprit comme si je n’existais plus. Il régna un silence religieux, mais l’attention de mes condisciples n’était pas très grande. Plusieurs d’entre eux se firent réprimander, ils ne savaient pas répondre aux questions de Madame Bruno, semblant sortir d’un brouillard quand on les interrogeait.
- »Faut-il que j’en fesse un autre comme je viens de le faire pour Fabien ? »
La menace était explicite, elle eut son effet. Le niveau d’attention de mes camarades fût suffisant pour me plus être tancés jusqu’à la fin de l’heure.
Quand la sonnerie indiqua la fin du cours, il n’y eut pas de brouhaha comme à chaque fin de classe, signalant le relâchement de la discipline qu’avait maintenu le professeur. C’est sans un mot et sans un bruit que tous les élèves défilèrent, passant juste derrière moi, me frôlant les fesses. Je sentais sur ma peau nue, le léger déplacement d’air que provoquait leur passage.
Quant à moi, je me gardais bien de bouger, attendant d’en avoir reçu l’autorisation. Madame Bruno me laissa au coin un long moment encore, puis elle me fit venir devant elle.
- »La prochaine fois que je te prends à tricher, je te donne la fessée déculottée à tous les cours devant toute la classe pendant une semaine. Est-ce bien compris ? »
- »Oui Madame, » lui répondis-je dans un souffle.
- »Rhabille-toi maintenant ! »

Je m’attendais à être reçu par mes camarades avec des regards pour le moins ironiques. Il n’en fût rien. Quand je croisais leur regard, ils détournaient le leur. Puis certains vinrent me parler. Au début, j’étais réticent, craignant que la conversation ne tourne autour de la correction qui m’avait été administrée. Une étonnante solidarité m’évita de devoir revenir sur ces sujets.
Ce n’est que quelques semaines plus tard, après que plusieurs de mes camarades aient été convoqués par Madame Bruno à la fin du cours que le sujet des punitions que nous recevions, revint sur la table. Ce fût Eve qui relança la question.
- »Marjorie dit que Madame Bruno lui a donné une très grosse fessée. Elle ne sait pas de quoi elle parle. Si elle avait été fessée par mon père elle ne dirait pas cela. »
Il y eut un blanc dans la conversation. Puis Franck demanda :
- »Ton père te donne encore la fessée ? »
Eve rougit, mais elle répondit :
- »Oui, de temps en temps. En fait, c’est plus souvent Maman qui me punit ainsi. Ca ne t’arrive jamais à toi ? »
- »Euh, et bien, … son hésitation était visible, … oui, Maman me fesse quand je n’ai pas été sage ou que j’ai de mauvaises notes. Je préfère cette punition. Après la fessée, tout est oublié. »
En veine de confidence, chacun de nous dévoila ses expériences de jeune homme ou jeune fille fessé. En ayant fait le tour du groupe, il apparut qu’une grande majorité d’entre nous étaient plus ou moins régulièrement soumis à cette punition. Beaucoup de parents baissaient la culotte et nombre d’entre eux utilisaient le martinet quand cela s’avérait nécessaire.
Je m’aperçus que l’autorité dont faisait preuve à la fois Madame Leblanc et mon professeur d’économie était ici monnaie courante. Loin de s’en plaindre, beaucoup de mes condisciples trouvaient ce mode de punition normal, voire préférable à celles qu’utilisaient les autres parents.
Nous fûmes une quinzaine à nous reconnaître « frères et sœurs de fessée » ce qui nous rapprocha considérablement. Nous prîmes l’habitude de nous fréquenter à l’école et en dehors. C’était un groupe où les confidences sur les fessées reçues étaient possibles. Elles atténuaient la douleur que nous ressentions sur nos fesses.

Les invitations à venir passer un moment festif chez les uns ou chez les autres, à deux ou à plusieurs devenaient de plus en plus fréquents : travailler en commun, fêter l’anniversaire de l’un d’entre nous, … autant de prétexte à nous retrouver et à expérimenter autant que possible nos quelques espaces de liberté.
C’est ainsi que nous fûmes invités chez Marc à l’occasion de son anniversaire. Une première partie de l’après-midi se déroula avec la quasi totalité de la classe ? Comme tous les jeunes, nous avions dansé, des jus de fruits et des gâteaux accompagnaient cette après-midi où nous avions flirté.
Peu à peu, tous sont partis, sauf les membres de notre groupe d’intimes qui, prétextant d’aider à ranger, étaient restés. Nous étions six, tous unis par une solide amitié reposant entre autres sur le partage des mêmes types de punition. Nous remîmes effectivement les pièces de la maison de Marc en état : faire la vaisselle, remettre en place les meubles qui avaient dus être déplacés pour laisser place à nos ébats, ranger les plats et les boissons restantes, …
Nous n’étions encore qu’en fin d’après-midi quand cette tâche fût achevée. Le plan 2 pouvait entre dans sa phase active. Chacun d’entre nous avait pu obtenir une autorisation de sortie jusque tard dans la soirée. Nous nous étions convenus de passer ce temps au sein de notre petit groupe et de poursuivre la fête avec des émotions plus conformes à notre âge. Les parents de Marc étaient retenus par une soirée dont ils ne devaient revenir que très tard dans la nuit. Le terrain était dégagé jusqu’en fin de soirée.
Nous avions acheté des boissons alcoolisées et des cigarettes. Il s’agissait de goûter à ces plaisirs qui nous étaient interdits à cause de la rigueur des adultes qui nous entouraient. Chacun avait acheté une bouteille et un paquet de cigarettes. Cela faisait six bouteilles et six paquets, ce qui, pour nous qui n’avions pas l’habitude de consommer ces produits, constituait une réserve non négligeable et une transgression consciente des règles qui nous étaient fixées.
La première bouteille fût ouverte, le premier paquet de cigarettes entamé. Le premier verre nous arracha la gorge. La première cigarette nous fit tousser à cracher nos poumons. Il en fallut un deuxième, puis un troisième pour faire passer le premier. Les cigarettes défilaient. Une douce euphorie gagnait notre groupe. Elle se transforma bien vite en une excitation qui emporta chacun de nous vers des sommets que nous n’avions jamais espéré atteindre.
Affalés et enlacés, la première phase de consommation effrénée passée, nous sirotions à petite dose les fruits interdits, conscients que cette occasion ne se représenterait pas de si tôt. Une musique douce était diffusée dans le salon où nous étions regroupés, les lumières tamisées coloraient les volutes de fumée qui s’échappaient de nos gosiers. La soirée se déroulait, en douceur, conformément à ce que nous avions prévu.
- »Mais que se passe-t-il ici ? »
Une voix inattendue, visiblement interloquée, venait de s’immiscer dans notre béatitude. Chacun sauta sur ses pieds, comme catapulté par une force intérieure.
- »Mais qu’est-ce que c’est que ça ? »
A travers le brouillard qui épaississait l’atmosphère de la pièce, nous aperçûmes un invité inattendu.
- »Maman, s’écria Marc, mais que fais-tu là ? »
- »Ne crois-tu pas que c’est à moi de poser cette question ? Elle appuya sur l’interrupteur illuminant d’une lumière crue le spectacle que nous donnions.
Pour le coup, je retrouvais toute ma lucidité, ce qui me fit mesurer le mauvais pas dans le quel nous étions.
La Maman de Marc ouvrit la fenêtre. Elle fût rejointe par son mari.
- »Mais qu’est-ce que ça sent ? » dit-il.
- »Je crois que ces jeunes gens, Marc en tête, se sont permis certaines privautés qui ne comptaient pas sur notre retour aussi précoce. Alcool, cigarettes, j’ai l’impression qu’ils ne se sont rien refusés. »
- »Marc, reprit son père, comment expliques-tu ce qui s’est passé ? »
Marc n’avait pas d’explication pertinente, son silence parla pour lui.
- »Et vous, jeunes gens ? »
Aucun d’entre nous ne se risqua à une argumentation qui n’aurait pu qu’être scabreuse. Edifié par notre mutisme, son père poursuivit :
- »Marc, je crois que nous étions d’accord que la prochaine fois où tu serais pris à boire de l’alcool ou à fumer, tu recevrais une très grosse punition, n’est-ce pas ? »
- »Oui, Papa, » répondit Marc.
- »Je pense que tous les cinq, vous méritez la même punition. Il n’y a pas de raison que Marc soit puni et que vous ne le soyez pas pour la même bêtise. Qu’en pensez-vous ? »
Un silence profond répondit à son interpellation.
- »Je vous ai posé une question, j’aimerai que vous me fassiez l’honneur d’une réponse ! »
- »Oui, Monsieur ! » Devant sa colère manifeste, une réponse s’imposait.
- »Bien, Marc, quelle est la punition pour ce que vous venez de faire, tous les six ? »
- »Une fessée, je crois, » répondit Marc.
- »Exactement. Une bonne fessée déculottée. Ensuite, je contacterai vos parents pour qu’ils viennent vous chercher afin de leur expliquer de vive voix ce qui s’est passé cet après-midi. »
La conclusion de cette discussion n’étonna aucun d’entre nous. Ce soir, nous allions recevoir une double fessée : une par les parents de Marc et une autre par nos propres parents, en ce qui me concerne, j’étais sûr que Madame Leblanc s’en chargerait.
- »Vous baissez votre culotte, tous les six ! » Le père et la mère de Marc attendaient. Tout en surveillant ce que faisaient mes voisins, je défis mon pantalon, puis je me déculottais. Mes cinq condisciples avaient fait de même. Nous nous retrouvions, alignés, les fesses à l’air, un groupe de jeunes adultes sur le point d’être fessés par les parents de l’un d’entre nous. Les deux garçons et deux filles avaient le pantalon tombé sur les chevilles et la culotte au niveau des genoux. Les deux autres filles retenaient leur jupe relevée, ayant descendu leur culotte.
Le père de Marc courba son fils sous son bras et, s’adressant à sa femme, il lui dit :
- »Tu commences par l’autre bout ? »
J’étais à l’autre extrémité de la file. La mère de Marc m’installa dans la même position. Je ne sais pas si la fessée que reçut Marc était éprouvante, mais il se mit à pleurer presque tout de suite. Je l’accompagnais dès que sa Maman m’eut fessé une dizaine de fois. Ce fût une vraie fessée, une de celles qui vous laisse les fesses incandescentes.
Deux par deux, nous fûmes soumis à la correction que nous avions méritée. Ce sont six jeunes adultes, sanglotants, qui furent expédiés au piquet.
- »Les mains sur la tête, nous fût-il précisé, et si l’un d’entre vous bouge, il reçoit la martinet ! »
Nos parents arrivèrent les uns après les autres. C’est le Papa d’Eve qui fût le premier. Il avait, sans doute été mis au courant avant de pénétrer dans la pièce où nous attendions car il ne demanda pas d’explication. Il attrapa Eve par le bras et immobilisée sous son coude, elle reçut une nouvelle fessée.
Le rituel fût répété une nouvelle fois quand la Maman de Sandrine vint chercher sa fille. Cette nouvelle correction était en cours quand Madame Leblanc fit son apparition. Je ne me faisais pas d’illusion sur ce qui m’attendait, c’était la meilleure façon de ne pas être déçu. Quelques secondes et je me trémoussais sous les claques qui rougissaient mon postérieur.
Ce n’était qu’un début, de retour à la maison, je fus de nouveau corrigé, dans un premier temps avec le martinet, puis ce fût l’une des occasions où mes fesses furent caressées par des orties juste avant d’aller me coucher.

152 commentaires:

  1. Moi aussi j’ai reçu quelques bonnes fessées déculottées au collège…et j’étais pas le seul.

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  2. Oui c’était la punition redoutées par tous les élèves être déculotté et fessé devant les copains… ça m’est arrivé souvent et beaucoup de mes copains aussi . On avait les fesses bien cuisantes et les cuisses rougies. Les traces de la fessée étaient faciles à voir nos cuisses étant peu protégées par nos culottes courtes.

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    1. Bonjour,
      Une fessée déculottée au collège devant toute la classe ? Soit vous êtes bien plus âgé que moi, soit c'était dans un collège privé. J'ai un peu plus de 60 ans et, dans l'enseignement public, je ne me rappelle pas plus d'une allusion à une fessée par une professeure en 6ème. C'en était resté à ce stade.
      Elle se pratiquait encore à l'école maternelle et dans les petites classes de l'école élémentaire, quoique plus rarement, jusque dans les années 1980, mais pas au collège.
      Ce que vous nous racontez, n'était-ce qu'un fantasme ? Dites-nous en plus !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Oui c’était dans un collège privé,

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    3. Bien sur que c'est un fantasme
      J ai 60 ans et oui j ai reçu deux fessees en primaire et après c'est tout ma dernière j avais 11 ans par une prof mais c était en dehors de l ecole

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  3. Bonjour,
    Oui, dans un collège privé, sans doute catholique. Et ça se passait vers quelle époque ?
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Bonjour JLG.
      Oui c’est ça. Ça se passait au début des annee 70.

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    2. Bonjour,
      Et donc, dans ce collège, les bons pères baissaient la culotte des élèves récalcitrants et ils les fessaient devant toute la classe. Cela arrivait souvent ? C'était à main nue ou utilisaient-ils un instrument punitif ? Vous mettaient-ils au coin ensuite ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. Non c’était pas les bons pères mais le plus souvent des profs ou des surveillants. Parfois c’étaient une bonne claquée sur les cuisses et il y avait aussi la fessée déculottée... ça arrivait assez souvent en effet. Non nous n’allions pas au coin la fessée était suffisante.

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    4. La fessée était donnée à la main, mais à la maison il y avait aussi le martinet...

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    5. Bonjour,
      Je suppose qu'en ces temps-là, le collège privé n'était pas mixte. Il n'y avait que des garçons. Etait-ce un internat ? Quels étaient les motifs qui justifiaient, aux yeux des professeurs, mais certainement également aux yeux des parents et peut-être même aux yeux des élèves eux-mêmes, de recevoir une fessée en classe ? Je suppose que la plupart des professeurs et des surveillants étaient de sexe masculin. Ai-je raison ? Y avait-il également des professeures de sexe féminin ? Si oui, donnaient-elles également la fessée déculottée devant toute la classe ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Bonjour JLG et merci pour votre réponse.
      En effet c’était un collège de garçons avec un pensionnat, j’étais moi même pensionnaire. Tous les surveillants étaient des garçons, quant aux professeurs il y avait des hommes et des femmes. Les motifs de fessées étaient nombreux. La paresse bien sûr, les mauvaises notes, les leçons non apprises, les devoirs bâclés, les insolences, la mauvaise tenue et j’en passe. L’élève dissipé en faisait aussi les frais. Nous étions là pour travailler. Les professeures donnaient aussi la fessée lorsque c’était mérité.

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    7. Cher lecteur anonyme,
      Vous avez parlé d'un collège. C'est donc qu'il accueillait des enfants depuis la 6ème, soit 10 à 11 ans, jusqu'à la troisième, soit 14 à 15 ans. Jusqu'à quel âge les élèves recevaient-ils la fessée déculottée devant toute la classe ? 6ème et cinquième, certainement. Les plus grands également ? Ceux de 3ème, par exemple ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    8. La fessée était donnée quel que soit l’âge, mais c’était plus rare bien sûr en 3ème. En 6eme et 5ème c’était une punition fréquente. Il arrivait aussi que des gamins fassent les imbéciles à la cantine et s’ils se faisaient pincer....ils savaient comment ça pouvait se terminer.

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    9. Et vous ? Sans exagérer dans un sens ni dans l'autre, combien de fessées avez-vous reçues durant ces quatre années passées dans ce pensionnat ? Pour combien d'entre elles votre culotte a-t-elle été baissée ? Et combien en présence d'autres élèves ou d'autres adultes ? Estimez-vous qu'elles ont toutes été méritées ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    10. Au moins trois fois. Et vous, vous n’avez jamais été fessé pendant votre jeunesse...?

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    11. J'ai reçu plusieurs fois une ou deux claques sur les fesses ou sur les cuisses le plus souvent de la part de mes parents, rarement d'autres adultes, mais une fois à l'école par la maîtresse. J'étais en CE1. Parfois les cuisses étaient dénudées, pantalon court oblige, mais jamais les fesses. Une fois, à l'école, en CE2, la maîtresse ma donné une fessée devant toute la classe pour un travail négligé, mais c'était sur le fond de mon pantalon. Vous voyez, rien de bien exceptionnel comme fessée.
      Mais vous ne répondez pas à toutes les questions que je vous ai posées. Est-ce un oubli ou parce que vous ne voulez pas y répondre ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    12. J’ai reçu une fessée dans la cour du collège en punition d’ une désobéissance suivie d’une insolence. Une seconde pendant une colle au cours de laquelle je m’étais permis de faire le mariol et il y avait trois autres élèves punis ce jour là. Une troisième fessée au dortoir ou je chahutais avec mes voisins les empêchant de dormir. J’allais oublier la fessée reçue en cinquième pour avoir oublié de rendre un devoir de maths, tous les élèves étaient partis et le prof m’avait retenu après le cours pour me gronder. Et oui la culotte était baissée et ces fessées étaient méritées.

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    13. Pardonnez-moi, mais il reste une question à laquelle vous n'avez pas répondu : parmi les fessées, toutes déculottées si j'ai bien compris, que vous avez reçues, certaines vous ont-elles été administrées par une professeure ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    14. Désolé... Oui justement celle reçue en classe de cinquième par la prof de maths qui ne plaisantait pas.

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    15. Résumons : au collège privé catholique dans lequel vous étiez scolarisé et où vous étiez interne, vous avez reçu quatre fessées en quatre ans, toutes les quatre culotte baissée. Trois par des surveillants, et devant les autres élèves, soit dans la cour, au dortoir ou en colle, et une par une professeure de maths, la fessée a été sévère, mais c'était après les cours, il n'y a donc pas eu de spectateurs.
      Vos parents n'y trouvaient rien à redire étant donné que la fessée était une habitude familiale, y compris avec le martinet, et vous considérez qu'elles ont été toutes les quatre méritées. Je suppose que c'était pareil pour celles que vous donnaient vos parents.
      Et ensuite ? Quand vous êtes passés au lycée, les fessées ont-elles continué ? En famille ? A l'école ? En d'autres circonstances ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    16. Non cher JLG au lycée plus de fessée par les profs. En revanche à la maison, j’ai encore eu droit à de bonnes fessées et parfois au martinet. Le martinet on le redoutait tous et la seule menace d’y avoir recours nous ramenait à la sagesse.

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    17. A quel âge avez-vous reçu votre dernière fessée au collège ? Avec les relais des fessées à la maison, cela a dû vous changer bigrement quand il n'y a plus eu de fessées au lycée. Nous parlerons plus tard du martinet à la maison.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    18. Je déduis de votre réponse que mon résumé ne comportait pas d'erreur.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    19. Au collège le préfet des études donnait aussi la fessée déculottée lorsqu’on était envoyé dans son bureau par un surveillant ou un prof. Il arrivait aussi qu’il prenne un élève par l’oreille dans la cour pour l’amener dans son bureau et s’il n’avançait pas assez vite il recevait deux bonnes claques sur le fond de la culotte. En attendant la fessée déculottée qui l’attendait...

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    20. Et le préfet des études donnait aussi souvent la fessée aux élèves qui étaient collés. Pendant la colle on en menait pas large. Bien sûr on avait un devoir à faire et il fallait s’appliquer, mais il y avait aussi l’attente de la fessée. Lorsque le préfet avec son air sévère ouvrait la porte tous les punis baissaient la tête et se concentraient sur leur devoir espérant qu’on allait les oublier. Mais chacun des punis devait présenter tour a tour un petit bulletin précisant le motif de la colle. La plupart du temps le motif de la colle était, la mauvaise tenue en classe, l’insolence, la dissipation ou la paresse. Cela justifiait une bonne fessée et on ne tardait pas à nous l’administrer. On attrapait le puni par une oreille pour l’amener jusqu’à l’estrade ou se trouvait le surveillant et s’il rechignait deux bonnes claques sur le fond de la culotte suffisaient amplement à vaincre sa mauvaise volonté. Arrivé sur l’estrade le préfet tirait une chaise et y prenait place, il basculait le gamin en travers de ses genoux et lui baissait la culotte souvent courte. Ainsi déculotté le puni etait fessé. Une sévère claquée sur les fesses et les cuisses. C’était la fessée magistrale celle qu’on redoutait tous. Et la correction terminée le puni se reculottait, regagnait sa place les cuisses rouges et les larmes aux yeux en massant ses fesses. J’ai moi aussi été collé et j’ai reçu la fessée cu nu. C’était mérité et ça nous donnait une bonne leçon, personne ne se moquait de nous.

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    21. J’ai dit dans le commentaire précédent que comme beaucoup d’autres élèves il m’arrivait d’entre collé. En ce début d’année de quatrième dans le nouveau collège où j’avais été inscrit j’avais bien compris que la discipline était au rendez-vous. C’était ce que souhaitaient mes parents. Dès le premier trimestre mon travail était insuffisant et en plus je me dissipais beaucoup en classe. Inattention, bavardage, chahut…
      J’avais été prévenu que la sanction n’allait pas tarder à tomber et ce qui devait arriver arriva. Un jour, alors que je bavardais et ayant été appelé au tableau pour réciter une leçon, j’étais resté totalement sec.
      J’avais eu doit sans surprise à quatre heures de colle. Le soir j’étais reparti à la maison en pleurant car il me faudrait tôt ou tard annoncer la nouvelle à mes parents. Et là je savais que j’aurais droit à la fessée et probablement au martinet… Le jour de la colle lorsque je me suis présenté au collège, je n’étais pas fier et je me fais tout petit. Je savais que pendant les heures de colle, le préfet de discipline avait l’habitude de passer et lorsqu’il passait ce n’était pas pour rien. Il venait en effet pour voir si les punis étaient concentrés sur leur travail et par le même occasion se faire remettre le bulletin de punition précisant le motif de la colle. Ce motif justifiait que les collés soient grondés et qu’ils soient immédiatement appelés sur l’estrade pour être déculottés et fessés. Cette perspective je l’appréhendais et je rentrais donc dans la salle ou devait se dérouler la colle, la boule au ventre et la gorge sèche. Nous étions trois a être collés. Un petit gamin de sixième, un copain de ma classe et moi. Aucun d’entre nous n’était vraiment rassuré à la perspective de la punition qui nous attendait. Avant de rentrer en salle, dans la cour, le petit garçon de sixième qui jusque là ne se doutait de rien avait été mis au courant par nous, plus grands et plus expérimentés, qu’il allait en plus de la colle, être déculotté et fessé sur l’estrade. Ça faisait partie de la punition. Il feignait de ne pas nous croire, mais très vite les larmes lui étaient montées aux yeux.
      Les deux premières heures se passent. Le préfet est peut-être absent aujourd’hui. Tant mieux… Malheureusement nos illusions se dissipent lorsque la porte donnant sur la cour s’ouvre, laissant place au préfet avec son allure sévère. Il bavarde un instant à voix basse avec le surveillant. Chacun des punis regarde son cahier espérant se faire oublier. Le préfet s’avance dans l’allée et s’arrête au niveau du petit sixième et lui demande le bulletin de punition, puis il le prend par l’oreille et le lève de son siège.
      A suivre

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    22. Suite. Tiré vigoureusement par l’oreille le gamin devient tout rouge et se retrouve dans l’allée centrale, direction l’estrade. Il avance sans broncher, son avancée vers l’estrade est déjà accompagnée d’une série de claques bien senties sur la fond de la culotte courtes. Le préfet avance une chaise sur l’estrade et en un instant baisse la culotte courte et le slip de notre camarade qui ayant compris qu’il n’allait pas échapper à la fessée, met à pleurer. Après avoir pris place sur la chaise, le préfet met la gamin en travers de ses genoux. Il lève très haut la main qui rejoint promptement les fesses du puni, clac clac clac…et la fessée se poursuit en dépit des pleurs 😭 de notre camarade. Les fesses rougissent et les cuisses aussi. La fessée terminée, le slip et la culotte courte remontée, notre copain rejoint sa place en massant ses fesses et en esquissant une danse d’un pied sur l’autre. Le préfet se lève et rejoint le camarade de ma classe, auquel il demande le bulletin de punition. Celui-ci obéit, lui tend le bulletin alors que son oreille commence à s’allonger et qu’il se retrouve dans l’allée centrale. Lui aussi est en culotte courte (moi aussi d’ailleurs) et sur le fond de la culotte reçois une bonne série de claques sonores. Arrivé sur l’estrade il est entièrement déculotté et se retrouve en travers des genoux du préfet. La fessée part en trombe. Les claques sont sonores et plus fortes que les précédentes car le puni est plus grand. Cette fessée est interminable. Là garçon se met à pleurer 😢 plus rien a voir avec le périr crâneur de tout à l’heure. Lorsqu’il rejoint sa place, il est calmé et se dandine en massant son derrière. C’est à présent mon tour et je sais ce qui m’attend. Je ne vais pas pleurer. Enfin c’est ce que je crois… Aille aille ouille…mon oreille s’allonge, j’ai beau me hausser sur mes pieds, rien n’y fait. Est ça claque fort sur le fond de ma culotte courte, je ne me fais pas prier pour rejoindre l’estrade. Et me voilà les fesses à l’air en position pour le fessée. Clac clac clac…cette fessée est vraiment interminable et ça chauffe pour mes petites fesses. Comme à chaque fois que je reçois la fessée, le grand garçon redevient un gamin et se met à pleurer. La punition terminée, je remonte mon slip et ma culotte et rejoins ma place en me dandinant. Mes cuisses sont toutes rouges et ça brule. Je baisse les yeux sur mon livre ouvert, je frotte mes yeux.
      Bien à toi.

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  4. Non pas d’erreur. La dernière fessée culotte baissée au collège vers 14 ans.

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    1. 14 ans, une fessée déculottée... vous étiez donc en 3ème, à moins que ce ne soit qu'en 4ème. Un an plus tard, plus de fessée après votre passage au lycée. Par contre, je parie que les bêtises, comme celles faites au collège, n'ont pas cessé. Ne vous êtes-vous pas dit qu'une bonne fessée serait amplement méritée ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG . Oui a 14 ans j’étais en 4ème et ce fut une fessée magistrale et que j’avais bien méritée. Après, vous avez raison les bêtises n’ont pas cessé vous vous en doutez et elles étaient sanctionnées par de bonnes fessées paternelles et au besoin le martinet veillait dans l’entrée accroché à un clou. Tout le monde pouvait le voir et on savait bien que c’était pour moi. Cela me valait parfois quelques allusions perfides qui me faisaient rougir…

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    3. Bon, puisqu'il n'y a pas de fessée au lycée, passons à ce qui s'est passé au sein de la famille. Si j'ai bien compris, c'est Papa qui donnait la fessée. Maman ne s'en chargeait jamais ? Vous dites que tout le monde savait que le martinet vous était destiné. N'aviez-vous pas de frère et sœurs ou ne bénéficiaient-ils pas des mêmes attentions punitives de la part de vos parents ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Et oui j’étais fils unique et il était facile d’en tirer la conclusion que le martinet m’étais destiné…et mon père ne s’en cachait d’ailleurs pas, c’était lui qui se chargeait d’administrer la fessée lorsque c’était nécessaire. Et pour les grosses bêtises qui devaient être sévèrement sanctionnées c’était le martinet, un vrai à l’ancienne avec de bonnes lanières en cuir…

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    5. Je suppose que toutes ces fessées vous étaient données après vous avoir baissé la culotte. Votre père vous obligeait-il à vous déculotter vous-même, ou s'en chargeait-il lui-même ? Quel position vous faisait-il prendre pour l'administration de ces fessées, à plat ventre en travers de ses genoux, courbé sous son coude ? S'y prenait-il différemment quand il recourait au martinet ou quand il vous fessait avec sa main nue ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Cela pouvait être de simples claquées sur les cuisses et les fesses lorsque j’étais en culotte courte ou l’été en petit short …aller-retour. Plus souvent c’était la grosse fessée sur les genoux ou ployé sous le bras à la main ou au martinet. La culotte ne tardait pas à être baissée même si je protestais et demandais pardon, promettant de ne par recommencer…trop tard. Clac, clac, clac…

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    7. Parlez-vous, dans votre précédent commentaire, aussi des fessées reçues lorsque vous étiez au lycée ? Votre père vous donnait-il souvent la fessée ? L'âge avançant, le rythme s'est-il ralenti ou au contraire ? A quel âge avez-vous reçu la dernière fessée déculottée de la part de votre père ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    8. ....., vers17 ans

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    9. Il faut vous tirer les informations du commentaire. Vous n'avez répondu qu'à quelques questions parmi toutes celles que j'ai posé.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    10. Soyez patient je vais répondre à toutes vos questions.

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    11. Vous avez raison. Je patiente.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    12. Si par paresse je tarde trop à répondre aux questions croyez-vous vous que ça mérite une correction…

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    13. Moi, je ne sais pas. Il faudrait demander à la personne qui a aujourd'hui en charge votre éducation. Y a-t-il quelqu'un ?

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    14. Dommage. Cela doit vous manquer d'être fermement maintenu dans le droit chemin grâce à de bonnes fessées déculottées. J'ai l'impression que ce serait nécessaire, comme au collège ou dans votre famille autrefois et quel que soit votre âge actuel.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    15. Oui c’est vrai alors il m’arrive de me donner une bonne fessée déculottée…

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    16. Attendez, nous allons trop vite. Il manque des informations sur les fessées que votre père vous donnait quand vous étiez au lycée et jusqu'à l'âge de 17 ans. Pouvez-vous répondre d'abord aux questions qui sont restées en suspens ? Nous en viendrons ensuite à l'actualité.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    17. Et oui, comme vous vous en doutez, ça me manque d’être tenu d’une main ferme, avec les punitions qui vont avec. Et la fessée déculottée s’impose en ce qui me concerne pour filer droit. C’est la correction la plus efficace. Pascal

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  5. Non les bêtises n’ont pas cessé à mon entrée au lycée. J’étais encore un gamin blondinet, petit de taille et je ne faisais pas mon âge mais j’étais déjà rebelle et parfois insolent. J’avais vraiment besoin d’être souvent mis dans le droit chemin et sévèrement recadré, un bonne reprise en main s’imposait. De fessées j’en ai reçu beaucoup tout au moins jusqu’à 16 ans. Presque toutes en travers des genoux après avoir été rapidement déculotté. Et la fessée suivait pendant que l’on me grondait et le martinet était aussi de la partie pour les grosses bêtises. L’année de mes 17 ans il y eut beaucoup moins de fessées parce que j’avais plus de liberté. Et il m’arrivait en effet de penser que certains débordements de ma part auraient justifié une bonne fessée déculottée. Si je n’ai jamais rien fait pour les provoquer je ne faisais rien non plus pour les éviter . Je savais que celles qui m’étaient administrées je les avais méritées.

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    1. Pouvez-vous expliciter quelle est la bêtise qui a justifié votre dernière fessée déculottée sur les genoux de votre père, à 17 ans.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Avec un copain on s’est fait prendre à tricher à un contrôle. Il faut dire qu’on ne l’avait pas bien préparé ni l’un ni l’autre. Juste quelques notes sur des bouts de papier au fond de nos poches. Ce n’était pas très malin et ce qui devait arriver est arrivé, notre petit stratagème à été vite démasqué. Résultat, un zéro au contrôle et quatre heures de colle à chacun. Le ciel le tombait sur la tête, j’avais honte de ma paresse et de m’être fait prendre comme un gamin. Le pire était à venir lorsque mon père allait être au courant et il le serait forcément. Il faudrait bien annoncer que je m’étais pris quatre heures de colle et avouer le motif. C’était sûr que j’allais être puni sévèrement. Le soir en rentrant je n’ai rien dit mais j’étais mal à l’aise. Le dîner fût long et je parlais peu. Je savais que ça allait se solder par une bonne fessée déculottée et c’est sur les fesses allaient goûter au martinet. Je l’observais avec angoisse, suspendu dans l’entrée. En fin de semaine, la veille de la colle, il me fallût tout avouer, j’étais de en larmes. J’ai eu droit à une bonne leçon de morale pendant que mon oreille s’allongeait de plus en plus. Ouille ouille…
      Après avoir décroché le martinet, mon père pris place sur une chaise et après m’avoir baissé la culotte il me bascula sur ses genoux. Je sanglotais et demandais pardon pendant que la fessée se poursuivait. Les fesses et mes cuisses longuement claquées étaient en feu. Je me mis à pleurer. La fessée se poursuit par quelques bonnes fouettées au martinet. Je me relevais en massant les pauvres fesses et regagnais ma chambre sans demander mon reste…

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    3. Qu'est-ce qui a justifié l'arrêt des fessées que vous donnait votre père ? Pourquoi à 17 ans et pas plus tard ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Parce qu’ensuite j’étais plus libre et parti de la maison.

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    5. Et quand vous reveniez, il n' y avait plus de fessées ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  6. Si c’est arrivé mais beaucoup plus rarement…

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    1. N'y aurait-il pas une incohérence ? Vous avez dit que vous avez reçu votre dernière fessée, de la main de votre père, à 17 ans. Et là, vous déclarez que quand vous reveniez, après cette fessées reçue suite à une colle au lycée l'année de vos 17 ans, il y avait encore des fessées, quoique plus rarement. Alors ? Expliquez-nous !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  7. J’avais besoin d’être remis dans le droit chemin, même après 17 ans, alors il m’arrivait de me donner la punition : la fessée. Un jour j’ai été surpris et ça m’a valu une autre vrai fessée…

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  8. Qui vous a surpris et qui vous a donné la fessée ? Quel âge aviez-vous ? Etait-ce une fessée déculottée ?
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  9. J’avais vingt ans. C’est un copain qui m’a surpris alors que je madministais une fessée deculottee.

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    1. Oui, et que s'est-il passé ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Et bien c’est lui qui m’a fessé

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  10. Je suppose, puisque vous ne le précisez pas, que c'était une fessée déculottée. Pourquoi, alors qu'il avait découvert votre besoin d'être corrigé, ne s'est-il pas engagé sur cette voie en vous fessant régulièrement, à chaque fois que vous l'aviez mérité ?
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Oui c’était une fessée déculottée. Mais en fait il n’avait rien découvert avant ce jour. Et s’il m’arrivait d’évoquer la fessée au cours d’une conversation c’était avec beaucoup avec gène et dans l’espoir de le voir évoquer lui aussi la question. En fait il était aussi gêné que moi. Jusqu’au jour où il m’a surpris. Sans le savoir nous avons le même besoin d’être corrigés tous les deux.

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  11. Et alors, que s'est-il passé ensuite ?
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. On évoquait désormais le thème de la fessée sans réticence de sachant que c’était un une punition que nous méritions tous les deux

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  12. Vous vous en doutez. Je lui ai administré une sévère fessée déculottée, il en avait vraiment besoin parce que depuis qu’il était étudiant il était vraiment devbu

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  13. Étant étudiant et éloigné de ma famille j’avais vraiment besoin de sévérité pour corriger mes grosses ou petites bêtises, ma paresse et ma nonchalance. La bonne fessée culotte baissée s’imposait et mon copain ne manquait pas de mettre bon ordre à mes mauvais comportements. C’était d’ailleurs tout à fait réciproque et ça nous soulageait de le savoir… la fessée pouvait tomber sans prévenir dès qu’elle était méritée, c’est à dire souvent.

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    1. En fait je crois que cela m’étais nécessaire

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    2. Cette année là j’ai reçu beaucoup de fessées de mon copain. Il me baissait la culotte à la moindre bêtise, m’allongeait sur ses genoux et me claquait les fesses. Lui aussi je lui en administrait de bonnes et ne manquais pas de le déculotter et de le fesser comme un gamin lorsqu’il le méritait. Un jour en rando il m’a donné la fessée cul nu. C’est vrai que je l’avais mérité. Heureusement c’était un coin perdu et personne ne nous a vu. Ouille ouille...

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  14. Qu’en pensez-vous…

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  15. Bonjour,
    Très franchement, pas grand chose. La fessée entre hommes ne m'intéresse pas beaucoup. Je laisse d'autres personnes réagir sur vos commentaires.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  16. De toute façon ça n’a duré que la première année de fac et un peu par hasard…après c’était fini…

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  17. Il y eu quand même des auto fessées.

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  18. C’est difficile de trouver une compagne sévère qui pourrait me faire filer droit et me corriger lorsque je le mérite en l’administrant la fessée déculottée et au besoin le martinet cul nu.

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    1. Bonjour JLG. En lisant certains commentaires il apparaît qu’il ne faut jamais désespérer de voir un fantasme se réaliser, celui de la fessée en tout cas…

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    2. Oui, vous avez raison. C'est difficile, mais pas impossible. J'en suis la preuve.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. Merci de votre réponse. En tout cas j’ai lu votre commentaire avec un réel plaisir. Votre expérience est vraiment celle que j’aimerais vivre. Moi aussi j’ai besoin d’être corrigé lorsque je me comporte mal. Et quoi de mieux qu’une bonne fessée déculottée comme au collège .

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    4. Effectivement, une bonne fessée déculottée clarifie bien des choses : il est alors clair, pour celui qui l'a reçue comme pour la personne qui l'a donnée, qu'un écart a été commis et qu'il a été sanctionné ; elle incite à y réfléchir à deux fois avant de recommencer, si elle a été suffisamment dissuasive, c'est à dire suffisamment sévère ; elle met en évidence, pour celui qui a été puni, qu'il n'est pas assez responsable pour que ses privilèges d'adulte (pudeur, libre arbitre...) soient considérés comme des priorités.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  19. J’ai lu votre récit très personnel concernant votre compagne, sa sévérité, votre rapport à la fessée déculottée nécessaire dans bien des cas pour les adultes immatures. Je vous félicite de ce récit qui évoque votre situation personnelle. Ça doit être difficile d’avouer publiquement qu’on reçoit la fessée déculottée pour être enfin remis dans le droit chemin. J’espère que malgré tout vous avez eu autant de plaisir à écrire ce texte que j’en ai eu à le lire.

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    1. Bonjour lecteur anonyme,
      Je vous remercie de ce commentaire. C'est toujours agréable de savoir qu'un texte dans lequel on a investi un peu de soi, touche également d'autres personnes.
      Il doit être extrêmement difficile d'avouer publiquement qu'en tant qu'adulte, on reçoit la fessée déculottée en guise de punition. L'anonymat de ce blog permet ce genre de révélation.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  20. Oui c’est vrai. En tout cas je me sens concerné par votre récit. Mais j’ai un doute, avant de connaître votre compagne vous n’étiez jamais puni. Ce devait vraiment vous manquer je crois…non?

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  21. Bonjour,
    Je ne sais pas trop à qui j'écris. C'est l'avantage, mais aussi l'inconvénient de l'anonymat. Il est cependant possible de garder l'anonymat en utilisant un pseudonyme pour pouvoir identifier ses correspondants.
    Non, je n'ai jamais été puni avant de rencontrer ma compagne. Je me contentais de "gérer" le fantasme de la fessée, notamment en écrivant des récits que j'ai publié sur le blog "une bonne fessée".
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  22. Si vous voulez ce sera mon pseudonyme pour nos échanges

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  23. Bonjour Pascal,
    Voilà qui est un progrès.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Oui bien sûr je connais très bien votre remarquable blog apprécié de tous. Mais personnellement je trouve très intéressant car réaliste votre histoire personnelle. Vous démontrez que le fantasme peut devenir réalité ce qui est mon aspiration. Et tjs une belle émotion pour nous lecteurs. Vous avez enfin trouvé une compagne qui a pris en charge votre éducation avec toute la rigueur nécessaire pour vous faire filer droit. Et pour ça en cas de mauvais comportement rien ne vaut une bonne fessée déculottée. Votre compagne a la main leste pour vous rougir les fesses et vous devez vous y soumettre parce vous savez que c’est mérité. Sur les genoux ou ployé son le bras, culotte baissée, la fessée punitive est souvent au rendez-vous. Votre éducation l’impose. Et puis la fessée vous est donnée même hors de la maison. Une étape est assurément franchie. Vous voilà puni, déculotté et fessé, au bord d’un chemin ou d’une route. C’est sûr les automobilistes et les passants ont dû vous voir alors que la fessée vous était administrée cul nu. Fesses rougies. Il y a de quoi vous faire réfléchir avant de faire des bêtises. Je suis sûr que ça vous a servi de leçon, pendant un certain temps tout au moins. Et puis votre naturel a repris le dessus nécessitant de nouvelles corrections sévères et justifiées.

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    2. Pascal,
      C'est exactement cela. Je n'ai rien à rajouter.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. Votre compagne maîtrise parfaitement la fessée punitive et n’hésite pas à faire usage du martinet en cas de récidive. Mais si je me souviens bien vous n’aviez pas de martinet avant de la connaître. Peut-être est-ce votre compagne qui en avait un et l’a introduit dans votre quotidien. L’avez vous acquis ensemble....?

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    4. Désolé pour le commentaire précédent qui a été posté comme anonyme alors qu’il émane de moi…

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    5. Ah le martinet…il a bcp servi jusqu’à mes 17 ans. Je le redoutais plus que tout. C’était vraiment la fessée magistrale, celle qui laissait des traces sur les fesses et sur les cuisses. Je m’en souvenais et je réfléchissais avant de faire des bêtises. J’en faisais quand même, espérant ne pas me faire prendre. Le martinet, j’avais à son égard un sentiment trouble, je le redoutais et il m’attirait invinciblement. Mais ces fessées m’étaient administrées pour mon bien et elles étaient toujours justifiées.

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    6. Bonsoir JLG. Qu’en est-il de l’arrivée du martinet….

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    7. Ouais, le martinet. Evidemment, le martinet...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    8. Rien ne vous est épargné même pas les orties… ça je ne l’ai jamais connu. Étant ado en vacances à la campagne des copains de mon âge y goûtaient parfois. Un bouquet d’orties sur les cuisses et les fesses et le short remonté avec les orties dedans. Le cuisson …ça durait un bon moment… ils s’en souvenaient

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  24. Bonjour JLG. C’est vrai ce que me disaient mes copains sur la fessée aux orties…? Quant au martinet je vois qu’il évoque la fessée punitive pour vous aussi ´. Celle que l’on redoute même si elle est méritée. Mais vous n’avez pas répondu à la question, certes indiscrète, sur le martinet.

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    1. Bonjour Pascal,
      Il est vrai que je n'ai pas répondu à la question.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Libre à vous bien sûr.

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    3. C’est donc si difficile…?

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    4. Oui c’est difficile de faire des confidences sur les fessées que l’on reçoit et surtout d’avouer que ces corrections nous sont nécessaires alors qu’on est adulte. Merci JlG de nous avoir révélé votre expérience personnelle. La fessée déculottée par une personne qui a l’autorité ça évite bien des débordements et des conflits dès lors que l’on s’en remet à cette personne pour assurer notre éducation. C’est elle qui décide avec bienveillance mais avec rigueur et sans faiblesse. Pascal

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  25. J’ai encore bien d’autres souvenirs de fessées déculottées reçues au cours de mon adolescence.

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    1. Oui raconte nous ces fessées

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    2. C’était au cours de mes vacances d’été que je passais à la campagne comme tous les ans. La plupart de mes journées j’étais avec mon ami Cédric, fils d’un fermier voisine que connaissaient mes parents. Nous avions 13 ans tous les deux et nous étions inséparables. Nous occupions nos journées à faire des balades à vélo ou à pied et à jouer au ballon. J’aimais beaucoup jouer au ballon et au collège je faisais partie de l’équipe de foot. Nous avions aussi bcp d’idées pour faire des bêtises et je n’étais pas de dernier a faire les quatre cents coups avec mon copain. Le père de Cédric était gentil mais très sévère et il ne passait rien à son fils. Il m’impressionnait par sa taille et sa voix forte. Il avait aussi la main leste. Cédric filait doux et le craignait car son père n’hésitait pas à lui donner la fessée. Le garçon devait obéir sans rechigner. J’aimais bcp ces vacances à la ferme. Un jour pour faire le malin j’avais apporté des cigarettes et un briquet dans mon sac à dos. Je les montrais à Cédric prétendant avoir déjà fumé. Lui aussi l’affirmait la même chose. En fait on mentait tous les deux. Je voulais simplement faire le crâneur et lui ne voulait pas être en reste. On a décidé de se planquer. On rigolait. Cédric m’a amené derrière une meule de paille d’où on ne pourrait pas être vus. Mauvaise idée car un soupirail de la grange était juste en face. Cédric confirmait qu’on ne pouvait nous voir. On a allumé une cigarette et tous les deux l’un après l’autre on tirait une bouffée et toussant. Ça nous faisait rire. La cigarette terminée, je l’ai jetée parterre. Quelques brindilles de paille se sont enflammées que je le suis empressé d’éteindre avec mon pied. A ce moment là le père de Cédric fait irruption très en colère , montrant les brindilles de paille brûlées. Il nous grondait et a pris Cédric par une oreille l’attirant vigoureusement à lui. En un instant, Cédric se trouvait cul nu sous le bras de son père, son petit short et son slip aux cheville. La fessée a duré au moins cinq minutes. Cédric pleurait au fur et à mesure que ses fesses devenaient cramoisies. La fessée terminée, le fermier se dirige vers moi. Je sais ce qui m’attend. Sans cesser de mon gronder il veut prévenir mon père.
      Non s’il vous plaît.
      Mais il insiste. De mon côté je ne Veux pas que mon père soit prévenu. Il me laisse alors le choix entre prévenir mon père ou la fessée…
      Je n’entends alors dire d’une voix à peine audible…la fessée.

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    3. On attend la suite avec impatience. C’était toi qui avait fait la bêtise, et c’est ton copain qui a été fessé en premier. …bien sûr Cédric n’était pas en reste mais c’était plutôt un gros bêta… Tu étais vraiment une gamin insupportable…

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  26. Suite… je ne voulais pas que mon père soit informé de mes frasques car il m’aurait empêché de revenir chez Cédric, peut-être jusqu’à la fin des vacances, et ça c’était mon inquiétude bien plus que le martinet auquel a coup sûr j’aurais eu droit… j’avais honte de me faire prendre comme un gamin pour une grosse bêtises dont j’étais seul responsable et déjà j’avais les larmes aux yeux et les joues rouges. Je méritais d’être puni bien plus sévèrement que Cédric que j’avais entraîné dans cette aventure. Mon copain sanglotait et massait ses fesses en remontant son petit short…
    Le papa de Cédric n’avait demandé de choisir entre prévenir mon père ou recevoir la fessée.
    J’avais dit en sanglotant et d’une voix éteinte et presque incompréhensible: une..la..la fessée…
    Le papa ne pend par l’oreille qu’il tire très très fort et fourrage dans mon sac à dos dont il retire les cigarettes. Je dis pardon en pleurant et promet de ne pas recommencer mais c’est trop tard.
    Je n’attends à être ployé promptement sous le bras du fermier et à recevoir la fessée comme Cédric. C’est vrai que je l’ai bien mérité. Mais il me tire par l’oreille de plus en plus fort…ouille ouille.
    Allez avance dit-il en ne grondant.
    Je traîne un peu les pieds, je pleurniche ce qui met le père de Cédric très en colère. Sans me lâcher l’oreille, de sa main libre, il remonte mon petit short, découvrant une bonne partie des fesses et clac clac. Deux bonnes claques sur les fesses à demi nue. Ouille ouille. Un dernier baroud sans conviction. Je sais que la punition s’impose..
    Non monsieur, S’il vous plaît, pas la fessée, pas la fessée…
    La réaction ne se fait pas attendre:
    Tu vas voir tiens je vais t’en coller une bonne et tu vas t’en souvenir.
    Non pas culotte baissée monsieur, je recommencerai pas.
    Allez avance et dépêche toi, tu vas voir comment je punis les gamins de ton espèce, culotte baissée.
    Arrivés dans la cour de la ferme le fermier prend place sur un petit banc en pierre et me bascule sur ses genoux, mon petit short glisse le long de les cuisses et se retrouve aux chevilles. Je vais être fessée sur le slip, c’est moins la honte. Mais les illusions sont de courte durée et le slip rejoint très vite le short. Je le retrouve cul nu en position pour la fessée magistrale qui ne se fait pas attendre. Une première claque vigoureuse sur la fesse droite suivie immédiatement d’une seconde claque sur la fesse gauche. Et les claques se succèdent de plus en plus vigoureuses et les cuisses sont également rougies. Ah les cuisses ça fait vraiment très mal. Ouille ouille. Puis une nouvelle volée de claques a la volée s’abat sur les pauvres fesses. J’ai honte, mes fesses et mes cuisses sont en feu. Cette fessée est interminable… et je n’avais pas observé le martinet posé sur le petit banc de pierre. Son manche en bois clair et ses lanières redoutables. Il est aussi pour moi et va faire connaissance avec mon fessier. Le papa de Cédric sen saisit et m’administre une dizaine de fouettées sur les fesses et sur les cuisses.
    La fessée prend fin, je suis en pleur…je remonte mon slip et mon petit short. Les traces de la fessée sur les cuisses laisseront peu de doute sur la punition que j’ai reçue.
    Cédric est derrière nous. Pendant que je me reculotte son père le prend par un bras et lui single les cuisses d’une dizaine de fouettées au martinet. Et le père de conclure :
    Comme ça pas dé jaloux. Et tenez vous tranquille à l’avenir sinon vous savez tous les deux ce qu’il en coûte…. La moindre incartade désormais c’est la fessée…compris… !

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    1. Bonjour JLG.
      Vous n’avez pas répondu à ma question. C’est peut-être volontaire, ce que je peux tout à a fait comprendre. Sinon votre confession que j’ai appréciée suscite aussi d’autres interrogations. En tout cas félicitation pour ce texte dans lequel on aimerait se reconnaître.

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  27. Bonjour Pascal,
    Il est vrai que je n'ai pas répondu.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Bonjour JLG
      Merci de votre réponse rapide et d’avoir pris le temps de lire mes derniers commentaires. J’aurais bien d’autres souvenirs de punitions datant de la même époque. Fessées qui reçues ou administrées à des copains et dont j’ai été le témoin. Je ne sais pas si de tels commentaires ont leur place dans ce blog.
      À vous lire. Pascal

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    2. Bonjour JLG.
      Est-ce que vous méritez d’être puni pour votre absence de réponse….votre compagne décidera.

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  28. Cette fessée bien méritée je ne m’en suis pas vanté à la maison cela semble évident…mes parents étaient d’ailleurs absents pendant une semaine, j’étais seul à la maison et je passais l’essentiel de mes journées avec mon copain.

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    1. Au début de ces vacances j’avais assisté à une correction de Cédric. Son père lui avait filé une sacrée beigne pour avoir désobéit et mal parlé à sa mère. Une bonne engueulade et la fessée puis interdiction de sortir de sa chambre. Je suis arrivé à la ferme à ce moment la et m’ayant entendu jouer au ballon dans la cour et comme je lui faisais des signes par la fenêtre, il a désobéit à son père et quitté sa chambre sans son autorisation. Cette fois-ci son papa est arrivé avec le martinet et il n’y est pas allé de main morte… les slac slac slac…il y en a eu pas mal. Le martinet était levé très haut et cinglait les fesses et les cuisses déjà bien rougies de la précédente fessée.

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    2. Lorsque Cédric a reçu cette fessée dans la cour je n’en menais pas large. Lors de mon arrivée à la ferme j’étais surpris de ne pas voir Cedric alors que nous devions aller jouer au foot avec deux autres copains du village. J’aimais beaucoup jouer au foot et lui aussi. Je faisais rebondir le ballon sur la porte de la grange une ou deux fois pour le prévenir mais c’était sa mère qui était sortie. “Tu attends Cédric..?” “Oui Madame” « Il est puni. C’est un insolent, son papa lui collé la fessée et l’a consigné dans sa chambre. Tu peux l’attendre si tu veux mais va jouer au ballon dans le pré. Tu sais que papa ne veut pas vous voir jouer au ballon dans la cour, il vous l’a dit plusieurs fois » puis la maman était rentrée dans la maison. Je continuais a taper dans le ballon de plus en plus fort et à ne faire rebondir très haut sur la pointe de mes baskets. Cédric m’avait entendu, c’était le but, et il me regardait par la fenêtre de l’étage. Je lui ai fait signe de venir me rejoindre. Il a hésité mais la tentation était trop forte et quelques minutes plus tard il était dans la cour, les yeux encore rougis. A cet instant, prévenu je ne sais comment, le papa sort de la grange et se dirige vers Cédric qu’il pré détient par une oreille. « Dis moi qui t’a donné la permission de descendre alors que tu est puni…? » mon copain bredouille une réponse inintelligible, en fait ne sait quoi dire. “Je crois que la correction que je viens de te donner ne t’a pas suffit. Alors viens ici.” Je remarque que le papa tient le martinet de sa main droite, les lanières repliées sur le manche. Cédric sanglote. “Non papa s’il te plaît, pardon, pas le martinet, pas cu nu, et puis il y a Pascal. » “Oui justement il y a Pascal, ca tombe bien. C’est bien lui que tu voulais voir alors ta fessée tu vas la recevoir devant lui. Et ça lui servira de leçon, il verra comment on punit les gamins de ton espèce” le papa prend place sur un petit banc en pierre. Cédric est basculé sur les genoux de son père le petit short en nylon et le slip sont aux chevilles et le martinet déployé entre en action. Les fesses et les cuisses encore bien rouges de la précédente fessée reçoivent la fouettée. Une fessée magistrale. Cédric est en pleur lorsque la fessée prend fin. Il se relève masse ses fesses sans même penser à se déculotter. Avant de repartir le papa me regarde l’air sévère. Il sait que j’ai désobéi en jouant au ballon dans la cour et en incitant son fils à désobéir. Il agite sa main de haut en bas en un geste évocateur. « Pascal, je t’ai déjà averti tu deviens insupportable. La main me démange, la prochaine incartade c’est la fessée déculottée » je baisse la tête.

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    3. Et oui je m’en suis pris une autre par le papa de Cédric pendant ces vacances...

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    4. Tu peux nous raconter… dis-moi il est sévère le papa de Cédric et il à la main leste. Je suppose que c’est encore tes fesses ont été rougies. Mais tu devais quand même être un sacré garnement.

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    5. Et oui tu as raison le papa de Cédric était très sévère, il nous grondait souvent et nous promettait une punition et la punition nous le savions d’avance c’était « la fessée ». Cela nous calmait quelques temps sachant qu’il allait joindre le geste à la parole, nous soulever promptement sous son bras pour nous baisser la culotte et nous allonger sur ses genoux pour la fessée. Moi à 13 ans j’étais encore un vrai gamin ne pensant qu’a jouer et à faire des bêtises. Avec Cédric j’avais trouvé un copain de mon acabit toujours près à me suivre dans mes aventures et lui aussi avait parfois des idées peu appréciées des parents. On était inséparables et on comprend pourquoi. La fessée, bien qu’étant fils unique, je la recevais aussi à la maison et mon père était tout à fait en accord avec celui de Cédric auquel il accordait le droit de me corriger comme son propre fils. C’était d’ailleurs réciproque. Nous étions punis de la même manière chez nos parents et beaucoup de nos camarades l’étaient aussi. « Une bonne fessée n’a jamais fait de mal à personne. » il n’y avait pas à discuter, une désobéissance, une bêtise, une insolence et on passait aussitôt sur les genoux. On avait beau demander pardon, dire qu’on ne le referait plus pleurnicher, dans le genre : « Pardon, pardon, je ne le referais plus» et comme la menace se précisait c’était : « Non, non, pas la fessée, pas la fesssséeeee. » et la réponse ne se faisait pas attendre : « Allez viens ici tu vas voir. Je vais t’en coller une dont tu te souviendras. » tiré par l’oreille, sous le bras, culotte baissée et un aller-retour sur les genoux les petites fesses a l’air sévèrement claquées. On repartait en sanglotant, les yeux rouges autant que les fesses. Encore heureux si en dehors de nous il n’y avait personne pour assister à la punition. Et la présence d’autres personnes n’empêchait pas que nous soyons corrigés séance tenante. Et oui la fessée, ça nous servait de leçon. Jusqu’à la prochaine bêtise. Mais on essayait quand même de ne pas se faire prendre. Pascal

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    6. C’est sûr que si mon père avait eu connaissance de mes bêtises de gamin je crois qu’il m’aurait collé une bonne paire de baffes sans attendre pif paf aller-retour. Et il m’aurait tiré par l’oreille jusqu’à la ferme. La honte. Et la je te dis pas la suite. Sous le bras cul nu la fessée magistrale devant tout le monde. Fesses et cuisses bien rouges. Et j’aurais dû demander pardon sans mêne remonter mon short.
      Pascal

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    7. Le papa de ton copain t’a fessé un autre fois pendant ces mêmes vacances d’été. Tu peux nous raconter…?

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    8. Et oui, pendant ces vacances, j’ai reçu une autre fessée du papa de Cédric. Une sévère correction bien méritée pour désobéissance et insolence. Non loin de la ferme, il y avait une grande maison, une vieille bâtisse quasiment en ruine qui nous paraissait bien mystérieuse et nous attirait. Le papa de Cédric nous avait fait interdiction absolue d’y entrer. Malgré cette interdiction et peut-être à cause d’elle, le papa nous y avait surpris plusieurs fois. Bien sûr chaque fois il nous grondait sévèrement. Nous repartions tout confus en baissant la tête comme deux gamins pris en faute sans demander notre reste. Et tout était oublié. Lorsque nous passions devant cette maison j’incitai souvent Cédric a m’y accompagner. Je ne sais pas pourquoi elle m’attirait, sans doute aussi la transgression de l’interdit par un ado rebelle. Il cédait cependant a ma demande, un peu inquiet. Il faut dire qu’il craignait beaucoup son père et il savait pourquoi. Cette fois, après nous être assurés qu’il n’y avait personne nous sommes à nouveau entrés. Quelle malchance, le père passait par là et nous y surpris encore une fois-ci-joint. Le papa était très en colère et après nous avoir passé un savon, il nous a promis une correction s’il nous retrouvait dans cette maison. C’était clair : « dernier avertissement, le premier que je prends à désobéir je lui baisse la culotte et je lui promets une fessée dont il se souviendra. C’est compris oui ou non. » . Les joues rouges de honte nous filons tous les deux sans attendre la suite. Cédric avait presque les larmes aux yeux. Il me regarde confus : « Tu vois je te l’avais bien dit, on va avoir droit à la fessée. » et moi de répondre en crâneur que je suis. « Mais non t’inquiète tu l’auras pas ta fessée. Et puis c’est moi qui ai fait la bêtise…alors. » cela nous a servi de leçon un certain temps…
      A suivre. Pascal

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  29. Suite. La promesse d’une fessée a été vite oubliée. Un après-midi j’arrive à la ferme et Cédric n’est pas là. Sa mère m’apprend qu’elle l’a envoyé faire des courses au village mais que je peux l’attendre. Je cours vers le pré derrière la maison. Je tape dans un ballon de foot comme d’habitude. C’est un bon entraînement en attendant Cédric. Je suis tout fier, j’ai enfilé un maillot de foot de mon équipe préférée acheté le matin même et mon petit short rouge. Invinciblement je suis attiré vers la vieille ferme interdite. C’était pas prévu mais je m’en rapproche de plus en plus. Un coup d’œil à droite et à gauche, personne. Cédric n’est pas là, tant mieux. Quel trouillard… alors moi je vais rentrer. Je pousse la porte et la referme aussitôt. Ouf ça y est. Je pose mon sac a dos au bas de l’escalier et grimpe a l’étage. Je m’engouffre dans une suite de pièces en enfilade au milieu d’un bric-à-brac. Tout à coup, un bruit, la porte d’entrée grince. C’est le papa de Cédric c’est sûr. Un pas lourd se fait entendre au rez-de-chaussée et bientôt dans l’escalier. Je suis comme paralysé sans voix. Je vais me prendre une sacrée dérouillée. Comment m’a-t-il vu entrer…? En un instant il est devant moi. Il m’impressionne par sa taille et je connais sa sévérité. Ça va barder. Sans prononcer un mot il m’attrape vigoureusement l’oreille et me soulève. J’ai beau me hisser sur la pointe des pieds, il tire de plus en onus fort. Aille ouille aille. Sans tenir compte de mes jérémiades et sans me lâcher l’oreille il ne gronde sévèrement. “Dis moi Pascal tu sais que j’ai interdit de venir ici. Tu le sais oui ou non. » je reste muet. Je bredouille quelques mots. « Pardon, pardon, je recommencerai pas pardon” les larmes me montent aux yeux. Rien n’y fait, l’oreille s’allonge. “Tu sais ce que je t’ai promis…tu le sais…” je le sais mais ne réponds rien, je sanglote. “Alors je t’écoute Pascal. Qu’est-ce que je t’ai promis. Je t’écoute et plus vite que ça.” “Oui Monsieur promis, la… la…la fessée.” Et je me mets à pleurnicher. “Oui la fessée et c’est tout ce que ça te fait. Alors cette fois ci tu vas y avoir droit. Et une bonne je t’assure mon garçon.” Aussitôt il remonte vigoureusement mon petit short de penche en arrière et m’expédie une bonne dizaine de claques bien senties sur les fesses. Je me retrouve face à l’escalier. «File et que je ne te revois pas ici. Sinon… » mes fesses sont bien chaudes mais tout compte fait je m’en tire bien. Je dévale l’escalier sans demander mon reste et me retrouve en bas les fesses à demi nues. Je ramasse mon petit sac et ne peux éviter une nouvelle insolence. « C’est nul cette baraque on y reviendra avec Cédric et puis la fessée, même pas mal… ». Mais le papa qui avait tout entendu pose mon sac à terre et le soulève sous son bras gauche. « Je crois que tu n’as pas compris alors maintenant c’est la fessée déculottée. » Mon petit short et mon slip se retrouvent sur le sol, mes cuisses sont claquées à la volée pendant que le père se dirige vers un petit banc où il prend place. Sans que je mette pied à terre il le bascule ferment sur ses genoux et pas question de bouger. Un bonne leçon de morale pendant que la main poursuit son mouvement de va-et-vient claquant alternativement chacune de mes fesses et parfois les deux en même temps. Et puis c’est au tour des cuisses de recevoir leur dû. Les cuisses ça fait encore plus mal. Cette fessée n’en finit pas. Je me mets à pleurer à chaudes larmes. Lorsqu’enfin la correction prend fin c’est cul nu et en massant mes pauvres fesses que je vais récupérer mon slip et mon short que j’enfile sans demander mon reste. Une dernière leçon : «Et je te préviens à l’avenir tu as intérêt à obéir. La prochaine fois c’est le martinet. Je vais t’apprendre à être poli et à obéir. ». Arrivé à la porte Cédric m’attendait. Il avait peut-être assisté à la punition.
    Pascal

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    1. Cédric était vraiment un bon copain, il était venu m’attendre en rentrant du village, mais il n’avait pas assisté à ma punition. Au moment où il arrivait son père était déjà sorti de la maison et moi j’étais dans la cour en pleurs à me reculotter car inutile de dire qu’après l’admonestation paternelle, j’étais sorti cul nu sans demander mon reste de peur de m’en prendre une autre. Il m’avait d’ailleurs promis le martinet... Mon copain me regardait d’un air un peu triste mais souriant quand même. Il s’est approché de moi : «Allez Pascal, viens... ». Je ne dis rien, je suis tout honteux. Je sanglote mes yeux sont rouges. Je me sens tout petit comme un gamin pris en faute et qui vient d’être puni. Je sais que cette fessée je l’ai bien méritée. «Viens... » j’avance en massant mes petites fesses. Cédric me tire par une manche du teeshirt. « Allez viens... » «Oui, mais ton papa m’a puni sévèrement. »
      «Il t’a mis la fessée papa, c’est ça...? »
      « Oui il m’a baissé la culotte et il m’a fessé sur les genoux cul nu. Tu sais ça fait rudement mal la fessée déculottée. »
      « Ouai je sais qu’est-ce que tu crois, moi aussi je m’en prends de bonnes et il me baisse aussi la culotte. Les fesses a l’air et ça claque sec. Et en plus ça finit souvent avec le martinet alors... »
      « Tu sais ton papa me l’as aussi promis le martinet. »
      « Tu le reçois jamais le martinet chez toi. »
      « Si bien sûr que j’y ai droit. »
      « Alors pleure pas comme un gamin pour une simple fessée à la main, tu n’as pas eu le martinet, c’est pas bien grave. Et puis c’est vite oublié. »
      « Ouai, tu as raison, c’est vite oublié, mais mes cuisses sont encore toutes rouges. »
      « C’est rien t’inquiète ça va passer. Et puis quelle idée tu as eu de venir ici sans moi. Papa nous l’avait interdit et avait promis de nous punir. »
      « Oui je sais. Mais tu voulais jamais venir avec moi. »
      «je savais qu’on serait punis si on désobéissait. Alors si j’étais venu avec toi c’est sûr qu’on aurait été fessés tous les deux ».
      Nous marchons et arrivons bientôt à la ferme. Deux copains du village nous attendent pour jouer au foot. En arrivant je ne suis pas très fier, mais personne n’évoque ma fessée. Cédric est un vrai copain. La partie de foot commence. Mon nouveau maillot me fait oublier les péripéties du début de l’après-midi. Cette punition m’a servi de leçon. C’était la deuxième fessée reçue depuis le début de vacances. Elles étaient bien méritées. Je passais malgré tout de très bonnes vacances à la ferme avec mon copain. Il fallait simplement obéir et on savait comment s’y prendre pour nous faire obéir.

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    2. Les copains étaient eux aussi souvent punis et la fessée ils la recevaient aussi. J’avais même assisté pendant ces vacances à la fessée d’un copain fils d’une commerçante du village. C’était une femme acariâtre et sévère. Un jour alors que nous jouions au ballon, sa mère lui avait demandé de venir l’aider. Elle l’avait appelé plusieurs fois sans succès. Quelques instants plus tard la dame fait irruption très en colère. Elle prend son gamin par l’oreille l’attire vers elle vigoureusement. Elle gronde son fils, le pend sous son bras gauche et de sa main droite lui baisse le petit short et le slip. Le garçon cul nu reçoit une volée de claques sur les fesses et sur les cuisses. Le fessier prend une belle couleur rouge et notre copain se met à pleurer. La fessée terminée elle ne permet pas au puni de se reculotter, elle le tire par l’oreille pour le ramener à la maison. Elle sort son martinet d’une poche de son tablier et le retour à la maison s’accompagne une sévère fouettée. Cette dame était très sévère et elle me faisait un peu peur. Elle m’a aussi menacé de m’administrer la fessée un jour ou je lui avais mal répondu. Inutile de dire que je suis parti sans demander mon reste et en baissant la tête. Pascal

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    3. Et oui finalement cette fessée je l’ai bel et bien reçue quelques temps plus tard...
      Pascal

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    4. Je vous raconterai comment cette dame m’a mis la fessée, si vous voulez...
      Pascal

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    5. Cette commerçante était la mère de Fabien un copain du village, de mon âge, qui venait souvent jouer avec nous lorsque j’étais à la ferme avec mon meilleur copain Cédric. D’autres camarades des alentours se joignaient parfois à nous. Ce jour la mes parents m’avaient envoyé au magasin pour apporter le règlement d’un achat qu’ils aient effectué la veille. Dès mon arrivée je remets l’enveloppe à la dame, mais je n’allais pas repartir sans acheter des chewing-gums et des bonbons. Il y avait d’autres clients dans la magasin, je me suis donc égayé sans les rayons de la boutique assez grand en surface pour un simple village. Le rayon des bonbons je le connaissais par cœur, j’y vais directement et j’en choisis plusieurs paquets. J’en prends quelques un de plus que je mets directement dans mon sac sans être vu. Je fourrage dans les rayons, je touche un peu à tout. La dame, de loin me fait quelques remontrances devant des clients. Je n’en tiens pas compte. Je tombe sur une grappe de martinet suspendue à un portant. Papa en a un tout à fait semblable. Je tends la main pour en saisir un et…catastrophe, c’est la grappe entière qui tombe. Je deviens tout rouge. Heureusement personne ne m’a vu. En vitesse, je remets tout en place…Enfin personne ne m’a vu, sauf la malheureusement patronne, en raison d’un miroir disposé à cet effet. Je poursuis mon avancée dans les rayons. Je fais tomber un paquet de gâteaux… Derrière son comptoir la dame se met en colère. « dis moi Pascal, qu’est-ce que tu fais, tu veux que je vienne… »
      « Non Madame, je fais rien… » et je continue a toucher à tout comme si de rien n’était.
      «Maintenant Pascal, ça suffit. Si tu me donnes la peine de me déplacer je t’assure que ce sera pas pour rien. C’est le dernier avertissement après c’est la fessée… »
      «La fessée, vous n’est pas ma mère… »
      Un client approuve la commerçante et l’appuie d’une remarque.
      « vous avez bien raison, pour se faire comprendre rien ne vaut une bonne fessée. C’est moi c’est pareil avec mes enfants, alors s’il n’obéissent pas c’est le martinet… »
      «Je suis bien d’accord avec vous Monsieur… celui la c’est pas un des miens mais il va la recevoir sa fessée et sans tarder. »
      Aussitôt le client parti, la dame se lève et se dirige vers moi en me grondant. Elle me prend pas une oreille et la tire très fort, j’ai beau me hisser sur la pointe des pieds…en vain. Tirer les oreilles c’est souvent la punition des gamins de notre âge, un paire de claques aussi. Chez moi c’est plutôt là fessée. Je m’en tire bien, enfin c’est ce que je pense.
      La dame me demande d’avancer. Je traîne un peu les pieds et deux claques sur les fesses à peine protégées par le petit short signifient que je dois obéir. Ouille ouille… j’ai compris…
      «Non Madame, pas la fessée, pardon je recommencerai pas…s’il vous plaît, pas la fessée »
      Mais c’est bien trop tard. Arrivée à son petit bureau la dame prend place sur son fauteuil et d’un geste sec elle baisse mon short et mon slip et me bascule sur ses genoux. Et c’est une avalanche de claques qui s’abattent sur mes fesses et mes cuisses nues. Madame me réprimande sans cesser de fesser le gamin que je suis. Cette fessée est interminable. Mes fesses sont en feu, je pleure. La correction terminée je ne relève en pleur cul nu. «Dépêche toi de remonter ta culotte, sinon je t’en colle une autre et cette fois ci c’est le martinet. »
      Je ne le lui fais pas répéter deux fois, j’ai compris. En sortant je croise un monsieur qui entre dans le magasin. Je n’attends pas cela va de soi les commentaires qui vont suivre…
      Bien a toi.
      Pascal





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    6. Les commentaires j’imagine ce qu’ils ont dûs être…
      Je me retrouve dehors, sur la place du village en pleurs massant ostensiblement mes petites fesses brûlantes. Mon petit short très court laisse bien visibles sur les cuisses et les traces de la punition reçue. La marque des doigts reste encore très nette et ne laisse aucun doute sur la nature de la punition reçue. J’ai honte à l’idée que quelqu’un pourrait passer sur la place à ce moment là et me voir pleurer. Heureusement il n’a a personne… Un peu plus loin j’entends des gamins qui jouent au ballon et bien sûr je les connais tous, ce sont des copains. Je devais aller jouer au ballon avec eux mais je décide de ne pas me montrer. J’ai honte. Ils ne me voient pas et je prends donc le chemin du retour vers la maison. Après avoir franchi quelques centaines de mètres, au détour de la route, c’est mon copain Cédric s’avance vers moi tout sourire. Je sais très bien où il va on, devait aller ensemble jouer au foot. Tout fier, il a mis un maillot de foot et un petit short en nylon vert. Ses parents lui ont acheté un nouvelle paire de baskets, celle qui me faisait tellement envie. Je n’y attache aucune importance. Mais moi je suis là, tout honteux, à sangloter comme un gamin et a frotter mes fesses. Cédric comprend tout de suite que ça ne va pas.
      «Qu’est-ce qui t’arrive Pascal. »
      Je marmonne quelles mots a peine audibles.
      «J’ai été puni…oui puni et puis la fésssséeee.
      « La fessée…et qui te l’a donnée…? »
      «C’est la maman de Fabien…oui »
      « Et elle t’a donné la grosse fessée. »
      « Oui, déculottée…elle m’a baissé le short et vite fait tu sais. Elle est vraiment sévère. »
      « Ça oui, Fabien s’en prend souvent et de bonnes et le martinet en plus. »
      «Mes fesses sont toutes rouges et les cuisses aussi, ta vu... »
      Ça fait rire Cédric.
      «C'est normal ton short est rouge… »
      Je me mets à pleurer.
      « Allez c’est rien, la fessée… »
      A suivre
      Pascal

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    7. Suite.
      Cédric est mon meilleur copain on se dit tout. Bien sûr j’ai honte mais avec Cédric c’est différent. Je sais que lui aussi reçoit souvent la fessée. On en a même reçu une ensemble l’un après l’autre une sacrée correction de son papa. On fait souvent les quatre centres coups ensemble comme deux garnements. Alors le résultat est connu. Nos pères ont la même sévérité à l’égard des gamins que nous sommes. Cédric a compris, il ne rigole plu et me regarde triste. Il veut me consoler.
      «Ça fait mal la fessée déculottée, tu sais. Regarde. » Je baisse rapidement mon short pour montrer mes fesses rouges.
      «Elle t’a pas raté la maman de Fabien. Quelle rouste. »
      «Allez Pascal, c’est pas grave. Viens on va jouer avec les copains. 
      Je sèche mes yeux et je suis Cédric pour rejoindre les copains.
      Pascal

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    8. J’arrive avec Cédric sur le pré où nos copains ont commencé une partie de foot. Ils sont six à courir derrière le ballon et parmi eux, Fabien, le fils de la commerçante du village qui vient de m’administrer la fessée déculottée. J’ai les cuisses encore bien rouges mais personne ne s’aperçoit de rien. Mes fesses sont en feu dans mon petit short en nylon. Ça va passer me dis-je. Je me mets à courir comme un dératé derrière le ballon. C’est vrai que j’aime beaucoup jouer au foot, au collège je fais partie de l’équipe et ça me plaît. Là c’est simplement une partie de ballon pour se défouler avec les copains. Ça me plaît bien quand même. Cédric a bien fait de me dire de le suivre. J’ai un maillot tout neuf, superbe, avec le numéro de mon footballeur préféré dans le dos… Cédric et Fabien ont aussi un maillot de foot et les autres un simple teeshirt. Une partie endiablée s’engage. Et très vite je ne pense même plus à la fessée, après tout j’en ai reçu d’autres…
      Pascal.

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    9. Enfin c’est sur que l’ai reçu une sacrée fessée mais j’ai tout de même échappé au martinet… Ouf. Le martinet le connais, ça fait mal et ça laisse des traces sur les fesses et les cuisses… Difficile de cacher qu’on a reçu la fessée…
      Pascal.

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  30. Bonjour JLG. Quelques exemples de fessées déculottées qui m’ont marquées parce qu’elles étaient administrées par des personnes assez proches mais étrangères à ma famille.

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  31. J’en ai reçu beaucoup d’autres car j’étais un ado difficile et je les méritais ces fessées .Je peux raconter aussi si vous voulez...

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  32. Oui racontez-nous les autres fessee . Fais ce que vous avez reçu et si vous avez également reçu la fessee entièrement nue sans aucun vêtement ni slip ni chaussettes

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    1. Oui je veux bien raconter. Quel est ton pseudo...
      Pascal

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    2. Oui je vais te raconter d’autres fessées reçus alors que j’étais ado. A commencer par celle reçue de la mère d’un copain, commerçante au village où je passais mes vacances et dont je viens de parler et qui m’avait promis de me donner la fessée.
      Pascal.

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  33. Il y’a pas d’âge pour recevoir une bonne fessee si elle est méritée . Il y’a pas non plus de honte à l’avoir ni à le dire . J’ai 35 ans et me parents me donne encore là fessee quand je fais des bêtises ce qui est parfaitement normal même à mon âge ( j’habite encore chez mes parents ) pour moi même que l’on n’est majeur et que l’on habite encore chez nos parents on doit obéir et si il nous demande de faire quelque chose comme faire la vaisselle ou autre et que l’on ne fait pas et qu’on ne veut pas obéir. Bah c’est tout à fait normal de recevoir une bonne fessée . Un jour j’ai refusé d’obéir mon père m’a dit que j’étais puni il me demande de monter dans ma chambre est de me déshabiller entièrement de me mettre entièrement nue ( sans aucun vêtement ni slip ni chaussettes ) c’est ce que j’ai fait et j’ai repensé à la bêtise que tu me fais et je me suis dit que mon père avait parfaitement raison et que je méritée cette punition je suis descendu entièrement nue . Mon père m’a pris pour le bras et ma emmener promener dans une pièce qui serre à la fessée . Une fois rentré dans la pièce, mon père a pris une chaise et il m’a demander de venir m’allonger sur ses genoux, c’est que je sais ce que j’ai fais et j’ai reçu une bonne fessée, ce qui est de tout ce qui est tout à fait normal, car la fessée de la mérite même que j’ai 35 ans . Malgré mes 35 ans, la fessée me fait encore pleurer. Mon père n’a pas besoin de martinet pour me faire pleurer . Je reçois en moyenne environ 4 a 5 fessee par semaine. Et toutes les fessee sont bien sûr mérité. Je n’ai jamais reçu de fessée habillé. Toutes les fessées que je reçois. Elle me sont donner entièrement nue. J’ai demandé à mes parents qu’il continue à me donner la fessée.

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  34. Bonjour Fredo,
    A la lecture de votre commentaire, certains accords laissent supposer que vous êtes de sexe féminin, mais l'emploi de certains mots (slip) font penser le contraire. De quel genre êtes-vous ?
    Vous dites que votre père vous donne la fessée. Votre mère le fait-elle également ?
    Pour ma part, je trouve que la tenue entièrement nu ne s'impose pas quand il s'agit d'une fessée punitive. Au contraire, baisser juste la culotte permet, quand il s'agit d'une punition, de rester concentrer sur le côté immature de l'écart commis qui entraîne une punition faisant déchoir de son statut d'adulte. Mettre le puni entièrement nu amène la fessée beaucoup plus sur le côté érotique.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Bonjour JLG . Je suis un garçon. C’est mon père qui a toujours voulu me donner la fessee entièrement nu pour mon père aucun vêtement doit être laissé et en plus il a dit que comme ça c’est beaucoup facile. Ma mère me donne aussi la fessee quelque fois , mais c’est surtout mon père. Malgré mes 35 ans je suis parfois , immature donc je besoin de recevoir la fessee ça me fait du bien de la recevoir il y’a quelques personnes que je connais qui savent que je reçois encore la fessee . Comme je l’ai dit dans un autre commentaire j’ai demandé à mes parents qui continue à me donner la fessee . Pour moi il y’a pas de honte de recevoir une fessee même à 35 ans si on la mérite c’est parfaitement normal de la recevoir

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    2. Fredo,
      Oui, je comprends, cela fait beaucoup plus érotique... et beaucoup moins réel. C'est comme ça.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  35. Bonjour Fredo.
    Moi j’ai reçu la fessée paternelle jusqu’à mes 17 ans et je peux te dire que c’étaient de bonne fessées et toutes étaient bien méritées. Ces fessées m’étaient toujours données culotte et slip baissée...cul nu. Je ne gardais que le haut... par contre je recevais souvent le martinet.
    Au plaisir de te lire Fredo.
    Pascal

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    1. Bonjour Pascal . Ça t’aurait dérangé ? De recevoir la fessee entièrement nu si ton père avait pris cette décision . Est-ce que tu pleurer pendant et après la fessee . Est-ce que tu reçois encore la fessee ou est-ce que tu aimerais bien encore la recevoir

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    2. Fredo.
      Recevoir la fessée nu, je ne sais pas, moi c’était la fessée déculottée. C’est mon père qui décidait et inutile de discuter sinon c’était le martinet. C’était déjà une punition sévère qui me mettait les fesses et les cuisses bien rouges. Oui ces corrections méritées me faisaient pleurer. Oui je reçois encore la fessée éducative et c’est Marraine qui me l’administre.
      Au plaisir de te lire Fredo.
      Pascal.

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    3. Pascal : tu pleure encore que tu reçoit la fessee , la fessee tu a reçoit allongé sur les genoux

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  36. J’ai lu plusieurs commentaires et certaines personnes ont peur de dire qu’ils reçoivent encore la fessée mêmes qui sont adultes ( majeurs ) , pour moi il n’y a pas du honte à le dire . Si on reçoit encore la fessée, c’est que l’on est immature . Il y a une différence entre être mature et être adulte. On peut très bien avoir 16 17 ans est être mature ou comme moi qui a 35 ans être immature. Donc eu peut avoir 16/17 ans être parfaitement mature ne pas recevoir de fessee et avoir 35 ans être immature est recevoir la fessee. J’en ai parlé à quelques personnes de mon entourage. Ils m’ont dit que mes parents entièrement raison de me punir et de me donner encore la fessée à 35 ans . Qui pense que j’ai raison qu’il ne faut pas avoir honte de dire que l’on reçois encore la fessee a l’âge adulte

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    1. Fredo,
      Je suis curieux de savoir à quelles personnes de votre entourage avez-vous parlé des fessées que vous recevez de la part de vos parents, à 35 ans ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Moi la seule personne qui sait que je reçois la fessée déculottée c’est la voisine de Marraine. Elle le savait depuis un c’était temps mais il y a trois mois j’ai été fessé devant elle. En dehors d’elle, il y a peut-être quelques personnes dans mon entourage qui se doutent que je reçois la fessée mais je n’ose pas en parler. De même, je pense aussi que certains dans mes relations sont également puni d’une fessée mais je n’en sais pas plus. Et toi tu Fredo, comment réagissent les personnes auxquelles tu en parles. Comment abordes tu ce sujet..?
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    3. JLG : je l’ ai dit à Mes Ami . Un jour je me suis fait recadrer par l’un de mes ami qui a 7 ans de moins . Il m’a dit que j’étais immature. Et qu’il trouvé ça normal que mes parents me punisse encore . Je lui est dit que je recevais la fessee , et que mes parents avait entièrement raison et que c’était tout-à-fait normal même à 35 ans . Même mon ami m’a dit qu’il serait capable de me donner une bonne fessee si il le fallait .

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    4. Fredo,
      Difficile de caler ça dans une conversation entre amis : "Ah oui, je reçois encore la fessée tout nu de la part de mon père". Je ne me vois pas dire cela à qui que ce soit. Cela me paraît très improbable.
      Il faudrait être bien plus factuel pour qu'on puisse admettre cette réalité : dans quel contexte le sujet est-il venu sur la table ? Quels ont été les mots prononcés avant que la révélation fatidique soit faite ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    5. JLG et Pascal : Le sujet à été abordé par une ami à moi qui a un ado elle a parlé d’éducation et que certains parents été beaucoup trop cool avec leurs enfants et que certains mériterait une fessee. Il ont été plusieurs a été d’accord. Ils savent que j’habite encore chez mes parents. L’un d’eux m’a demandé comment ça se passe chez mes parents et si je fais je que je veux. Je leur et dis non que c’est encore mes parents qui commande à la maison. Mon amie qui a commencé à aborder le sujet m’a demandé si j’étais puni . Je lui dit que oui elle m’a alors demandé qu’elle punition je recevais. Je lui est dis que je reçois la fessee . Deux de mes amis m’on dit que c’est toute a fait normal vu que j’habite encore chez mes parents et que pour eux l’âge n’a rien à faire là-dedans. Il m’on dit que j’étais très courageux de leur dire que je recevais encore la fessee à mon âge

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    6. Fredo.
      Il est sympa ton ami de te dire qu’il te donnerait une bonne fessée si nécessaire. Que lui as-tu répondu.... L’a-t-il fait...? Peut-être est-ce toi qui souhaiterais qu’il te mette en travers de ses genoux pour te fesser...
      En tout cas tes parents ont bien raison de te faire filer droit et au besoin de t’administrer la fessée déculottée. C’est ce qu’il ont de mieux à faire compte tenu de ton immaturité...
      Au plaisir de te lire.
      Pascal,

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  37. Pascal : tu ne m’a pas répondu à ma question : tu pleure encore quand tu reçois la fessee

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  38. Bonjour Fredo.
    Oui Fredo, je pleure encore lorsqu’on m’administre la fessée déculottée...
    Pascal.

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    1. Pascal : est-ce que pour toi c’est tout à fait normal de pleurer et que sa fait également partie de la fessee et qu’il ne pas nécessaire de se retenir de pleurer

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  39. Oui la fessée je la reçois en travers des genoux.
    Pascal

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  40. Bonjour Fredo.
    Oui il m’arrive souvent de pleurer lorsque je reçois la fessée. Ça fait aussi partie de la punition et c’est tout à fait mormal. Mais pour moi la punition, et je la mérite ,c’est surtout d’être mis en travers des genoux déculotté. Et puis il y a aussi les traces sur les fesses et sur les cuisses. Tu peux nous dire les bêtises qui justifient la fessée qui t’est administrée par ton père. Raconte nous une de tes dernières fessées. Si tu a demandé à tes parents de continuer à te fesser c’est que tu considères que tu en as besoin pour ton éducation.
    Sois sage et sinon attention à la fessée.
    Pascal.

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  41. Bonjour Fredo.
    Moi aussi je suis puni lorsque je le mérite. Hier soir après une journée où j’avais fait plein de bêtises, Marraine, m’a collé une fessée déculottée sur ses genoux... après la fessée, je suis reparti cul nu et en pleurs dans ma chambre. Aujourd’hui je vais me tenir à carreau. Ça m’a servi de leçon, jusqu’à la prochaine fois.
    Pascal

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    1. Bonjour Fredo.
      La fessée c’est normal de la recevoir quand on fait des bêtises peu importe que l’on soit adulte. Il n’y a pas d’âge pour être puni.
      Ce qui me fait le plus honte c’est quand on me baisse la culotte et que je ne retrouve en travers des genoux de Marraine.
      Pascal

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    2. Bonjour Fredo.
      C’est tout de même difficile de reconnaître qu’étant adulte on reçoit encore la fessée déculottée. Ça prouve qu’étant immature on a fréquemment besoin d’être recardé. Je suis dans ce cas. Je trouve que c’est très courageux d’en faite l’aveu à d’autres personnes. Je voudrais bien pouvoir le faire moi aussi.
      Pascal

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