Le lundi suivant, je sonnais à nouveau à la porte de la maison de Madame Leblanc
La fin de la semaine avait été difficile. J’avais employé toute mon énergie à tenter de convaincre ma mère de continuer à chercher une autre chambre à louer. J’avais essayé tous les prétextes sans aborder ouvertement ce qui constituait la raison unique de mes réticences : la menace d’une fessée. En mon for intérieur, j’étais bien persuadé que le péril était relatif. Recevoir une fessée à mon âge me semblait impossible. L’avoir entendu évoquer publiquement m’avait semblé humiliant, suffisamment pour que je cherche à éviter de croiser de nouveau la route de Madame Leblanc.
Peine perdue. Le risque de ne pas trouver un autre hébergement à un prix raisonnable avant la rentrée universitaire fut l’argument décisif que je ne pouvais contrer sauf à laisser entendre que je pourrais manquer les premiers jours de cours. Le soir où j’utilisais cet argument me fut fatal. C’était la confirmation attendue par ma mère démontrant « qu’il ne fallait pas me laisser seul dans la grande ville » et « qu’un peu d’autorité me ferait le plus grand bien ». L’affaire était entendue. Il me fut même recommandé de ne pas continuer à argumenter plus avant, sous peine de sanction. Compte tenu de la nature des propos échangés entre Madame Leblanc et ma mère quelques jours auparavant, je jugeais plus sage de ne pas insister en prenant le risque de tester la résolution de ma mère et les moyens qu’elle jugerait bon d’utiliser pour me la démontrer. La menace était à peine voilée, elle me suffit.
J’ai passé de longs moments dans ma chambre à penser à ce qui m’attendait dès la semaine suivante. Plus j’y songeais, plus il m’apparaissait que Madame Leblanc n’avait pas parlé à la légère. Elle avait probablement l’intention de maintenir une stricte autorité durant cette année, mais de là à réussir à m’administrer une fessée, qui plus est après m’avoir baissé la culotte, il me semblait qu’il y avait un chemin qui n’était pas encore parcouru. Je me sentais de taille à résister. Ma résolution de ne pas me laisser faire s’affirmait. Les choses n’étaient peut-être pas si graves qu’elles avaient pu le paraître au premier abord. Je fis mes bagages, prêt à me défendre si nécessaire.
Le temps s’accordait à mon humeur. Il tombait un crachin pénétrant, une des ces pluies d’automne qui annonce des jours sombres.
- »Fabien, s’exclama Madame Leblanc, entre donc, ne reste pas sous la pluie. » Elle s’effaça pour me laisser entrer. « Enlève ton manteau, accroche-le ici. J’espère que tu as amené des chaussons ? A l’intérieur de la maison, on ne circule qu’en chausson. Où sont-ils ? »
- »Là, dans la poche de mon sac » Elle se pencha, et sans plus de cérémonie se mit à fouiller dans mes affaires pour en extraire ma paire de chaussons.
- »Allons, enlève des chaussures, tu les rangeras ici »
Qu’elle se permette de fouiner ainsi dans mon sac fit naître l’idée d’une protestation que je ravalais sans la laisser passer mes lèvres. Il n’était pas utile d’ouvrir les hostilités dés la première minute. Je m’exécutais.
- »Suis-moi, nous allons t’installer dans ta chambre. » Elle s’engagea dans l’escalier après s’être emparée de mon sac. Je n’avais pas d’autre choix que de la suivre.
- »Tu ranges tes vêtements dans ton armoire, tes affaires de toilette dans la salle de bain, m’ordonna-t-elle en pénétrant dans la chambre, j’exige que ce soit en ordre, je viendrai vérifier. Puis tu prendras tes livres et tout ce qui doit aller dans le bureau. Je t’attends dans la salle d’études pour te montrer où tu dois t’installer. »
Une chose était sûre, elle avait réellement l’intention d’organiser à sa manière mon quotidien. Moi qui n’avais pas une grande affinité pour le rangement et la propreté, ça promettait quelques discussions orageuses avant qu’elle ne comprenne que j’étais assez grand pour décider de tout cela moi-même.
Ne voyant rien de mieux à faire, je défis mon sac de voyage et j’entassais ce qui s’y trouvait dans l’armoire. Il importait de marquer mon territoire dès le début de mon séjour. Le résultat avait un petit air désorganisé qui pouvait passer pour une vision originale de la notion de rangement. Bien évidemment je ne jugeais pas nécessaire de me déplacer jusqu’à la salle de bain pour y déposer ma trousse de toilette.
Assez satisfait de cette marque d’indépendance, je saisis mes livres et je descendis au rez-de-chaussée.
Dans la salle d’études, 4 jeunes filles étaient assises, chacune à un bureau. Elles étaient absorbées par un travail qui semblait mobiliser toute leur attention. Madame Leblanc se tenait près de l’une d’elle et supervisait l’organisation de l’espace de travail.
- »Classe tes livres par matière Julie ! Ne met pas tes crayons en désordre dans le fond du tiroir ! »
M’apercevant enfin, elle se tourna vers moi;
- »Fabien, viens t’asseoir ici. Tu ranges tes livres sur cette étagère et le reste de tes affaires dans le bureau. Ensuite, tu remplira ton emploi du temps et tu l’afficheras à coté de celui de tes camarades. »
J’avais hérité du bureau qui se trouvait au fond de la pièce, j’avais donc vue sur les 4 personnes qui se tenaient devant moi. Une semblait avoir approximativement mon âge, c’est elle qui se prénommait Julie. Il était difficile de se prononcer pour celle qui se trouvait juste devant moi. Les 2 autres étaient visiblement plus âgées que moi, 5 ou 6 ans peut-être. Se pouvait-il qu’elles aussi soient soumises à la même menace que moi ? Pour l’instant, elles avaient adopté une attitude démontrant leur assiduité au travail. Lors de l’entretien avec ma mère, Madame Leblanc avait semblé dire que le régime s’appliquait à tout le monde. Peut-être, après tout, n’était-ce qu’une menace théorique qui ne se concrétisait jamais ?
- »Crois-tu que tu es suffisamment attentif à ton travail en baillant ainsi aux corneilles, Fabien ? »
Le rappel à l’ordre me fit retourner rapidement aux activités qui m’avaient été prescrites, abandonnant, pour le moment, l’observation de mes co-locataires.
Nous passâmes à table à 19h30 précises.
Chacun avait sa place où l’attendait une serviette soigneusement pliée dans un rond à son nom. Madame Leblanc fit les présentations.
- »Voici Carole qui a 25 ans. Elle termine ses études cette année. Elle passe un DESS d’Anglais. Elle habite ici pendant ses études depuis 5 ans maintenant. A coté, c’est Sylvie. Elle a 24 ans et c’est la troisième année qu’elle vit parmi nous. Elle recommence, pour la deuxième année une maîtrise de mathématique. Il va falloir travailler un peu plus que l’année dernière. Il n’est pas question d’échouer une nouvelle fois. N’est-ce pas Sylvie ? Ou alors j’ai bien peur que tes fesses seront très souvent toutes rouges ! »
- »Oui Madame » répondit la jeune fille interpellée. Elle rougit jusqu’au bout des oreilles et baissa la tête.
A 24 ans, la fessée était toujours envisagée comme punition en cas de travail insuffisant !
- »Bien. Parmi les anciennes il reste Béatrice qui a 21 ans. C’est la deuxième année qu’elle loge ici. Elle fait des études de lettre. Et il y a nos deux nouveaux : Julie et Fabien qui ont tous les deux 18 ans. Que fais-tu comme étude Julie ? »
- »Je commence des cours de médecine, Madame. »
- »Et toi Fabien ? » Je sursautais comme si j’étais pris en défaut.
- »Je fais des études d’économie, répondis-je en rougissant »
La cuisinière apporta un potage fumant qu’elle déposa sur la table.
« - »Je vous présente Madame Sand qui s’occupe de la cuisine. Faites attention, elle est très pointilleuse sur la propreté de sa cuisine. »
J’appris à cette occasion que, chacun à son tour, nous étions désignés pour aider Madame Sand à débarrasser la table, à faire la vaisselle et à ranger la cuisine. Avec l’entretien de notre chambre, c’était notre contribution matérielle à la tenue de la maison.
Madame Leblanc se chargea de servir la soupe.
- »Julie, approche ton assiette. »
- »Non merci Madame, je n’aime pas la soupe. »
- »Sache, jeune fille, qu’ici tout le monde mange de tout et finit tout ce qu’il y a dans son assiette. Est-ce compris ? »
- »Oui Madame, répondit Julie en tendant son assiette »
Durant le reste du repas les anciennes racontèrent leurs vacances échangeant avec Madame Leblanc leurs impressions sur les contrées qu’elles avaient visitées. L’atmosphère était plutôt détendue, Madame Leblanc se révélait une hôtesse tout à fait charmante. Julie et moi restions silencieux. La question des punitions qui planaient au dessus de nos têtes m’empêchait de me mêler à la conversation. Les quelques indices glanés dans la conversation, me laissait à penser, qu’au moins l’année dernière, la fessée avait été administrée à certaines des étudiantes qui habitaient ici. Ce n’était pas fait pour me rassurer. L’autorité stricte de notre logeuse était bien réelle.
A la fin du repas, nous fûmes envoyés dans notre chambre avec ordre de nous déshabiller pour nous mettre au lit
- »N’oubliez pas de vous laver les dents, rappela Madame Leblanc, je viendrai éteindre les lumières. »
J’eu l’impression de me retrouver petit garçon : au lit à 21h00, avec des recommandations de propreté, … Décidément Madame Leblanc ne s’était pas rendu compte que c’était des adultes qu’elle avait en face d’elle. Je me demandais combien de temps j’allais pouvoir supporter cette situation avant de lui dire son fait.
Après avoir mis mon pyjama, je m’allongeais sur mon lit pour lire. J’entendis notre hôtesse interpeller Béatrice qui était ma voisine de chambre. Sans en comprendre le contenu, il fut bien vite évident que la jeune fille avait dû commettre une bêtise. D’un ton ferme, d’une voix haute, Madame Leblanc signifiait son mécontentement. Bientôt, le silence relatif qui suivit, fut remplacé par un bruit régulier saccadé, sec, qui passait aisément à travers la cloison qui séparait nos chambres. Il fut bien vite accompagné par des supplications, puis des cris et enfin des sanglots. Il me fallu me rendre à l’évidence : Béatrice recevait une fessée. Compte tenu des sons qui l’accompagnaient, j’eus l’impression qu’elle lui était donnée sur les fesses nues. Elle sanglotait sans aucune retenue quand la punition s’arrêta.
Quelques instants plus tard, sans frapper, Madame Leblanc s’invita dans ma chambre.
- »Fabien, il n’est pas question de lire ce soir, on va éteindre la lumière tout de suite. »
Elle fit, du regard, le tour de ma chambre.
- »Va plier tes vêtements sur la chaise. On ne les jette pas comme ça pour la nuit. Je te le dis aujourd’hui pour la dernière fois, j’attends de toi que tu prennes soin de tes affaires. »
Encore sous le coup de la scène dont je venais d’être l’auditeur involontaire, je me levais rapidement et réparais cet oubli qui, dans cette maison, pourrait porter à conséquence.
- »Viens ici Fabien ! » Madame Leblanc venait d’ouvrir mon armoire.
Je m’approchais prudemment quand elle me saisi par le bras et me planta devant mon désordre savamment organisé. Sa prise était tellement ferme qu’il n’était pas question de me dégager. Elle m’attira à ses cotés sans effort apparent.
- »Qu’est-ce que c’est que ça ? C’est comme ça que tu ranges ton armoire ? » Elle accompagna cette dernière question avec une claque qui s’abattit sur ma cuisse. « Ne t’avais-je pas demandé de ranger correctement tes vêtements ? » Une deuxième claque atterrit sur mes fesses.
- »Aïe ! » mes mains se portèrent instinctivement vers mon postérieur, cherchant à le protéger. « Ca ne va pas non, ça fait mal ! » Je tentais de m’éloigner mais elle me tenait solidement.
- »Lâchez-moi, il n’est pas question que vous me frappiez de cette façon ! »
- »Ah non ? Mais où te crois-tu ? » Elle me fit passer sous son bras, puis elle enserra ma taille, me courbant sous son coude. Je me sentis alors soulevé, mes pieds ne touchant plus terre. Sans difficulté apparente, en me portant, elle se dirigea vers mon lit. De sa main libre, elle saisit l’élastique de ma culotte de pyjama et sans plus de cérémonie elle me déculotta, abandonnant le vêtement maintenant inutile à hauteur de mes genoux.
Elle s’assit sur mon lit et me coucha, à plat ventre, sur ses genoux. Aussitôt, je tentais de me relever. Elle affermit sa prise, me replaçant en position disciplinaire et une première fessée claqua sur mon postérieur que je couvris de ma main libre. Elle se saisit alors de mon poignet et replia mon bras dans mon dos.
Une deuxième claque tomba sur mes fesses, suivie d’une autre. C’était une véritable grêle de coups qui rougissait mes fesses.
- »Aïe, aïe, » Très vite la douleur devint intolérable. Toutes mes tentatives pour me relever étaient vaines. J’étais maintenu solidement en position. Chaque fois que je réussissais à glisser de quelques centimètres, elle marquait une pause, me remettait en place et la fessée reprenait de plus belle.
- »Aïe, aïe, arrêtez, aïe, je vais ranger, aïe, mon armoire »
Rien n’y faisait la fessée continuait. Bientôt, je cessais de me débattre, me concentrant sur la brûlure qui, partant de mes fesses, irradiait tout le bas de mon corps. Mon seul souci était que s’arrête enfin cette punition.
- »Aïe, pardon, je ne le ferai plus, aïe ! » Ma supplique se brisa en un sanglot, immédiatement suivi d’un autre. Quelques instants plus tard, je pleurais, à chaudes larmes, sanglotant comme un petit garçon attendant que sa punition soit achevée. Elle dura un temps qui me sembla sans fin. Puis, après une dernière série sur le haut de mes cuisses, ce qui raviva la douleur, la fessée cessa. Je crois bien que je ne m’en rendis pas tout de suite compte, l’esprit tout occupé par la souffrance concentrée sur mes fesses.
Elle me prit par le bras et me remis sur mes pieds.
- »Va au piquet, le nez contre le mur ! » Je me baissais pour remonter mon pyjama quand je reçus une nouvelle claque sur mes fesses.
- »Qui t’a dit de remonter ta culotte ? Tu vas aller au piquet, culotte baissée. Je te conseille, si tu ne veux pas recevoir une autre fessée, de t’y faire oublier. Tu colles ton nez contre le mur, tu mets les mains sur la tête et tu ne bouges plus. Attention à toi si je te vois remuer ne serait-ce qu’un petit doigt ! »
Sans demander mon reste, je m’exécutais, bien décidé à ne pas risquer une nouvelle punition. Je l’entendis ranger mon armoire, replier ce qui devait l’être, porter ma trousse de toilette et mes serviettes dans le placard de la salle de bain. Enfin, elle sortit de ma chambre.
Je dus rester ainsi 15 à 20 minutes. Au début, je continuais à pleurer sans pouvoir atténuer la douleur. L’envie de frotter mes fesses me tenaillait, mais je n’osais pas bouger. Puis la souffrance devenant plus sourde, je commençais à réaliser ce qui m’était arrivé. Je me rendis alors compte que je venais d’être puni exactement comme elle l’avait annoncé à ma mère lors de notre première visite. Le bruit de la fessée, mes supplications puis mes sanglots avaient dû s’entendre dans toute la maison. J’étais au piquet, cul nu, face à la porte qui était ouverte, si j’en croyais les bruits que j’entendais. En passant dans le couloir, n’importe laquelle des filles qui habitaient dans la maison pouvait me voir dans cette position humiliante. Des larmes recommencèrent à couler silencieusement le long de mes joues.
Madame Leblanc revint quelques instants plus tard.
- »Fabien, viens ici. » Tout en laissant mes mains croisées sur ma tête, je me dirigeais vers mon armoire où m’attendait Madame Leblanc. Mon déplacement ne fut pas aisé, mon pantalon de pyjama entravait mes jambes, me donnant une démarche qui devait être un peu ridicule. Je dus traverser ma chambre dans cette tenue.
- »J’ai rangé ton armoire comme elle devra l’être tout au long de l’année. Tu sais maintenant ce que tu risques si tu n’y fais pas attention. Je n’hésiterais pas à recommencer, voire à utiliser le martinet. Est-ce compris ? »
- »Oui Madame, lui répondis-je entre deux sanglots. »
- »Remonte ton pyjama et va au lit. »
Je ne pus pas retenir un petit cri lorsque l’élastique du pyjama effleura mes fesses douloureuses. Je me couchais. Madame Leblanc s’approcha, borda mon lit puis déposa un baiser sur mon front.
- »Allons, dit-elle, c’est fini. Quand on a reçu sa punition, la bêtise est oubliée et pardonnée … jusqu’à la prochaine fois. »
En sortant elle éteignit la lumière, me laissant à mes pensées qui étaient pour le moins contradictoires. La douleur était encore bien réelle. Je dus me tourner sur le ventre. Mes mains se portèrent à mes fesses et doucement je les massais. Des larmes coulaient encore de mes yeux. D’une part je me promis de tout faire pour éviter une autre punition de cette nature ; d’autre part, je me révoltais, intérieurement contre le traitement qui m’avait été infligé. J’étais impressionné par la facilité avec laquelle elle m’avait déculotté. Etait-il possible de résister ? J’avais été pris par surprise et il était beaucoup plus facile de baisser une culotte de pyjama qu’un pantalon. La prochaine fois, je ne me laisserais pas faire.
Sur cette résolution définitive je m’endormis, épuisé par les émotions de la première journée chez Madame Leblanc.
J'ai trouvé cette histoire en faisant des recherches sur l'internet. L'un de mes récents amis m'a avoué qu'il aimait recevoir des fessées cul nu. Je trouve cela étrange. Nous sommes des adultes, mais en même temps l'idée de donner ou de recevoir une fessée est plutôt excitante. Quelques temps plus tard, je lui ai proposé en hésitant de lui donner la fessée. Je ne l'ai pas encore fait. Je vais lire votre histoire que je trouve bien écrite avant de me lancer dans cette aventure.
RépondreSupprimerBonjour anonyme. Ton ami n’est pas le seul à recevoir la fessée déculottée. Moi aussi je la reçois et souvent. Oui l’idée de recevoir la fessée est assezexistante. Moi moi c’est toujours la fessée punitive en raison de mes bêtises et de mon comportement immature. Il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée si elle est méritée. Toi aussi tu aurais peut-être besoin d’être fessée. Merci de nous faire partager ton expérience. Je veux bien te faire partager les miennes. Moi je sais que les fessées que je reçois je les mérite.
SupprimerBonjour anonyme. Alors j’espère que tu as pris connaissance des récits de ce blog. Tu as pu te lancer dans l’aventure de la fessée avec ton ami…? Je suis sûr qu’il est impatient. Nous aussi. Tu nous racontes…
SupprimerBonjour anonyme. Moi tu vois hier j’ai reçu une bonne fessée déculottée. D’abord une sévère claquée sur les fesses et ça chauffait bien. Ensuite comme j’avais agi comme un vilain garçon en faisant de grosses bêtises j’ai eu droit au martinet cul nu. Une bonne fouettée qui a zèbré mes fesses et mes cuisses. C’était vraiment mérité. Et toi tu as fessé ton ami ?
SupprimerBonjour cher anonyme. Tu as donné la fessée cul nu à ton ami...? Et peut-être toi aussi tu as reçu une bonne déculottée.
SupprimerBonjour anonyme.
SupprimerAlors tu as fessé ton ami...
comment ça s’est passé...?
Cordialement.
Lorsque j’étais étudiant vers dix-neuf ans j’ai fait la connaissance d’un garçon de mon âge qui faisait ses études avec moi. Nous n’avons pas tardé à devenir de très bons copains. J’avais remarqué qu’il lui arrivait très souvent, au détour d’une conversation, de prononcer le mot « fessée ». Moi étant un ado difficile, la fessée je connais bien pour l’avoir reçue jusqu’à l’âge de dix-sept ans au moins. Un jour, il m’a enfin avoué que lui aussi avait souvent reçu la fessée de ses parents et qu’en fait il la recevait encore. Quel aveu… Pour ma part la fessée, j’y pensais souvent et je savais que j’en avais encore besoin, mais étant plus timide que mon copain, je n’en parlais jamais et je ne prononçais même pas le mot. Je savais néanmoins que j’avais encore besoin de discipline et d’autorité. Le seul fait d’entendre la mot fessée et je devenais tout rouge. Et puis un jour, alors que nous étions aller faire un jogging, mon copain avoué que lui aussi avait besoin de sévérité et d’être souvent recadré lorsqu’il faisait des bêtises. Je ne savais pas trop ce qu’il voulait dire, mais je devinais quand même un peu où il voulait en venir. Et puis tout de go, étant détendu et en confiance, il m’a demandé si je serais d’accord pour lui donner la fessée lorsqu’il le méritait. Je n’ai pas répondu tout de suite, mais j’étais soulagé par sa franchise et me mon côté je me devais de lui parler aussi franchement. Oui moi aussi jétais comme lui et j’avais besoin d’être corrigé. J’acceptais donc de lui donnait la fessée qu’il méritait à condition que lui aussi de son côté, prenne en charge mon éducation et me fesse pour sanctionner mes fautes. Et des fautes j’en commentais beaucoup. Paresse, désobéissance, insolence et j’en passe. Nous avons ce jour là décidé de nous corriger réciproquement. Et cela n’a pas tardé, dès le lendemain c’est lui qui m’a corrigé et je me retrouvais déculotté en travers de ses genoux à recevoir la fessée magistrale. Je lui retournais aussitôt la pareille en le grondant. Nous n’avons pas tardé à aller ensemble acheter le martinet. Il jugeait que c’était nécessaire. Tenant ostensiblement à la main le martinet, comme me l’avait demandé mon copain, j’étais rouge comme une pivoine en passant à la caisse.
RépondreSupprimerEn fait à dix-neuf ans j’étais encore un gamin plutôt timide. Alors la fessée que j’avais souvent reçue étant ado, je savais que j’en avais encore besoin, mais je n’aurais jamais osé en parler à personne. Domi était plus déluré que moi et c’est lui qui en a parlé le premier, me demandant si je serais d’accord pour le corriger et lui donner la fessée. Au premier abord je reconnais que j’ai été surpris, mais ma surprise s’est très vite transformée en soulagement. Très vite cela m’a permis de lui dire que moi aussi j’avais besoin d’autorité et que ce serait bien qu’il prenne en charge mon éducation. Je n’ai plus hésité à lui dire que moi aussi je méritais la fessée et que je souhaitais qu’il me la donne lorsque je la méritais. J’ai aussitôt accepté sa proposition de le punir et lui aussi à fait de même. Le moindre écart à aussitôt donné lieu à la fessée. Et puis est arrivé le martinet.
SupprimerSuite. Mon copain Dominique tenait beaucoup au martinet, c’est lui qui en a parlé le premier. Pour ma part, si j’y avais pensé aussi, je n’osais pas lui en parler, mais je n’étais pas contre, d’autant qu’étant ado j’y avais moi aussi eu droit. On devait aller tous les deux l’acheter, mais la question était de savoir lequel de nous deux se présenterait à la caisse pour le payer. On s’est gentiment chamaillé et finalement on a décidé de tirer à sort. Angoisse…
RépondreSupprimerLe sort en a décidé ainsi, et c’est moi qui devait me présenter en caisse, martinet en main pour le paiement. Dans le magasin nous nous sommes dirigé vers le fond du magasin où pendait une petite grappe de martinets, j’en ai détaché un et nous nous sommes dirigés vers la caisse. J’avais honte, j’étais rouge comme une pivoine. Je craignais que la caissière fasse une réflexion car je n’aurais pas su quoi répondre. En fait rien de s’est passé et la dame a seulement eu un petit sourire en coin. J’ai piqué un fard comme jamais… Nous ne nous sommes pas attardés dans la magasin et il me tardait vraiment de sortir. Il était prévu que celui qui avait été tiré au sort devait tenir à la main le martinet jusqu’à ce que nous soyons rentrés. J’avais un peu honte et peu de temps après, oubliant la consigne, je mettais en cachette le martinet dans la poche de mon jean. J’espèrerais que Domi de s’en apercevrait pas et que nous a pourrions rentrer tranquillement. Mon copain s’est très vite rendu compte de mon stratagème. Inutile de dire, que n’ayant pas respecté la règle dont nous avions convenu, j’ai été immédiatement grondé. Il m’a dit que je connais la sanction que je méritais et que j’allais la recevoir comme un gamin que j’étais. Il avait raison. Domi m’expédie à la volée deux paires de claques bien senties sur les fesses. Heureusement nous sommes encore en ville, et comme il pourrait y avoir du monde, je ne serai pas déculotté. J’ai de la chance, mais ça me fait bien honte et je peux dire que Domi n’y est pas allé de main morte. C’est vrai en effet que même en extérieur, lorsque nous faisons des randos en campagne nous sommes fessés tous les deux culotte baissée.
Arrivé chez moi, Domi est toujours très en colère contre moi et me dit que nous avons encore un compte à régler. J’ai beau lui dire que j’ai déjà été fessé, ça le faire rire. Allons donc, une fessée…c’est maintenant que je vais la recevoir et cul nu cette fois. Je m’approche de mon copain pour lui demander pardon d’avoir désobéi. Je sais que j’ai agi comme un gamin. Domi me prend vigoureusement par une oreille et m’attire vers une chaise où il prend place. Mon jean et mon petit slip sont vite descendus et je me retrouve en travers des genoux et les claques se succèdent. Lorsque je crois que la fessée est terminée je me relève en pleurs mais ce n’est pas fini. Domi s’empare du martinet me prend pas le bras et m’administre une fouettée sur les fesses déjà bien rouges et sur les cuisses. Il me demande si j’ai compris avant de m’envoyer dans ma chambre. Je ne me fais pas prier. Le soir même c’est Domi qui reconnais avoir été paresseux et je vais lui donner la fessée et lui essayer le martinet. Je crois qu’il a hâte de se faire corriger. C’est sur que lui aussi il me mérite…
Le martinet, c’est Domi qui en avait parlé le premier. J’avoue que moi aussi j’y pensais mais je n’osais pas évoquer le sujet. Ah le martinet, il avait largement participé à mon éducation étant gamin et ado. A plus de dix-sept ans je le recevais encore souvent et je considérais que je le méritais. J’avais toujours eu un rapport trouble avec le martinet. Je le redoutais bien sûr et je faisais tout pour l’éviter mais il exerçait sur moi une sorte de fascination. Le seul fait de prononcer le mot me perturbait et plus encore si on m’en menaçait, ce qui était assez fréquent… «Gare à tes fesses. Tiens, je te baisse la culotte et tu vas voir le martinet si tu continues… » ou en me tirant l’oreille : « Ici sale gamin, polisson, je vais te faire goûter au martinet. » et les jérémiades du genre : « Non pas la fessée, non pas le martinet…s’il te plaît pas la culotte baissée… » ne servaient à rien. Je le racontais maintenant plus librement à Domi qui lui a dix-neuf ans faisait encore chez lui la même expérience.
SupprimerLe martinet je ne le recevais plus depuis presque deux ans lorsque j’ai connu Dominique. J’étais content que ce soit lui qui en parle et nous impose de l’acheter. Je savais que j’en avais encore besoin tout autant que lui. Pour aller l’acheter nous y sommes allés tous les deux ensemble, mais le sort avait décidé que c’était moi qui irait le décrocher dans le magasin et me présenter à la caisse pour le payer. Au fond du magasin il y avait effectivement une grappe de martinets suspendus. Ils étaient tous les mêmes. Un manche en bois clair et une dizaine de bonnes lanières en cuir noir. En le décrochant mon cœur battait à cent à l’heure, comme si j’avais du l’essayer tout de suite… J’avais tellement honte. Dominique m’accompagnait mais la caissière a bien du comprendre que c’était pour moi et je m’en suis aperçu à son petit sourire en dessous. Mais elle n’a rien dit. J’avais les joues toute rouges. J’ai à peine pu remercier la dame et lui dire au revoir. J’ai plutôt bredouillé deux mots inaudibles et Domi a salué poliment, il surveillait. Je ne me suis pas trop attardé dans le magasin et je suis sorti tout penaud avec mon martinet tenu ostensiblement à la main.
SupprimerLe sort m’avait désigné et depuis je ne pensais qu’à cet instant où je devrais me présenter en caisse. Après avoir fait cette acquisition je ne regrettais pas du tout d’avoir été désigné bien au contraire et j’en étais même assez fier. Malgré ma honte, j’avais osé le faire… quelle honte y avait-il d’ailleurs à avoir. En fait je me demande si Domi ne m’enviait pas un peu secrètement… Il n’avait pas voulu se désigner au départ et avait voulu laisser le sort décider…tant pis pour lui.
C’était moi le plus timide des deux que le sort avait désigné pour décrocher le martinet dans le magasin et aller le payer à la caisse. Dominique lui était plus déluré. Je crois qu’il aurait eu moins honte que moi. Enfin je le crois … Dès que j’ai été désigné je rougissais déjà de honte et mon copain se moquait de moi. Il me traitait de trouillard, dégonflé … Je lui ai bien montré que je pouvais le faire. Et j’en étais fier. Il était a tous les deux mais c’était mon martinet. Nos prénoms on les a gravés de chaque côté du manche. C’était Domi qui avait exigé qu’on n’en fasse l’acquisition et il avait raison. Il a beaucoup servi par la suite… il avait de bonnes lanières plates en cuir bien solides…qui étaient très efficaces pour cingler les fesses et les cuisses… il donnait de bonnes corrections comme on les méritais tous les deux.
SupprimerAvec Domi nous aimions bien partir en rando le week-end. Il nous arrivait aussi lors de ces sorties se chahuter comme des gamins. Ça nous amusait et ça pouvait se terminer par une fessée déculottée. Et oui le plus dissipé se faisait gronder et recevait sa fessée. Ensuite au cours de la journée, celui qui n’avait pas été puni se montrait franchement odieux et à son tour il se faisait gronder et la fessée suivait. Pas de jaloux. Nous savions que nous avions besoin de sévérité et d’être punis lorsque nous le méritions. Je pourrai raconter comment ça c’est passé la première fois….
RépondreSupprimerOui ok raconte. On a hâte de savoir .
SupprimerPeu de temps après l’achat du martinet que je vous ai raconté, nous avons décidé avec mon copain de faire une rando comme nous avions l’habitude de le faire. C’était eu mois de juillet et ce samedi là il faisait très beau. La veille nous avions décidé de nous retrouver à huit heures pour avoir une journée entière devant nous. Ce matin là, je me réveille tôt pour me préparer. Après avoir pris mon petit dej, j’enfile mon petit short en nylon, un teeshirt et me voilà prêt. Baskets au pieds, sac sur le dos je me retrouve dans la rue et file à la rencontre de Domi. Mon copain est à l’heure et lui aussi est en tenue légère car il va faire très chaud, maillot de foot et petit short en jean très court, taillé dans un vieux jean usagé. Et nous voilà partis. Au bout de deux heures de marche, comme il faisait très chaud, nous nous sommes arrêtés pour boire et manger des gâteaux. J’étais fatigué et en nage. Je crois que Domi aussi était fatigué mais il ne voulait pas le reconnaître. En riant, il m’a traité de faignasse. Je lui est répondu gentiment qu’il était un sale gosse. Ça nous a fait rire et on a chahuté un peu. Je me suis levé et suis parti en courant, il m’a rattrapé par le teeshirt et m’a expédié deux claques sur le fond du short. Étant reparti en courant dans l’autre direction, je l’ai à mon tour poursuivi et l’ayant rattrapé je lui ai à mon tour claqué les fesses. C’était un jeu, ça nous faisait rire, et nous l’avons poursuivi pendant un moment avant de reprendre notre marche. Vers midi nous nous sommes arrêtés à nouveau pour nous reposer et manger nos maigres provisions tout prêt d’un ruisseau. On était assis tout les deux sur un tronc d’arbre et on a dévoré nos sandwiches avec entrain. A suivre.
RépondreSupprimerAprès avoir repris des forces nous avons recommencé à chahuter. Je me suis approché du ruisseau, j’ai pris de l’eau dans le creux de ma main et j’en au aspergé Domi. «Arrête, arrête… » Ça m’a fait rire et j’ai continué à lancer de l’eau, de sorte que mon copain paraissait agacé. « Arrête, arrête…tu es ch… » Au bout d’un moment Domi à pris sa grosse voix pour me gronder comme il le faisant de temps en temps. «Tu es un vrai gamin, tu sais ce que tu mérites…tu le sais… ». Et moi de répondre dans arrêter de jeter de l’eau. « Oui je le sais… »
RépondreSupprimer«Alors maintenant viens ici et tout de suite, c’est la fessée mon garçon… » Le ton était ferme et n’admettait pas de réplique. Je me suis avancé vers Domi comme il me le demandait. « Oui je sais que je mérite une bonne fessée, c’est d’accord je sais que je la mérite, mais toi aussi tu as fait plein bêtises…alors…»
Et Domi de me répondre aussitôt : « Oui je sais que moi aussi je mérite d’être sévèrement corrigé, alors d’accord, tu me fesseras toi aussi, promis… »
« Oui d’accord… » Je n’ai pas le temps d’en dire plus et déjà Domi me prend par l’oreille et m’amène vers le tronc d’arbre où nous étions assis. Il s’y assoit à nouveau et d’un geste sec baisse mon petit short et mon slip et me bascule en travers de ses genoux cul nu. Je sens l’air frais sur mes fesses. C’est une drôle d’impression de me retrouver ainsi déculotté su les genoux de Domi qui me gronde. Et Clac clac clac…les claques se succèdent sur mes fesses et sur mes cuisses. Les premières ne sont pas très vigoureuses mais très vite mon copain prend de l’assurance et maintenant c’est une vraie fessée à laquelle j’ai droit. La fessée se poursuit pendant un bon moment et j’ai presque les larmes aux yeux. Lorsque je me relève je remonte mon short en massant mes pauvres petites fesses bien rouges. Domi ne veut pas être en reste, il a hâte d’être lui aussi puni. Déjà il a baissé son petit short en jean et c’est maintenant à moi à la punir… a suivre.
Très belles histoires . En effet la fessée se mérite à tout âge .
SupprimerLa fessée que m’a donnée Domi est cuisante et je remonte mon petit short. Domi a déjà baissé son short, je m’approche de lui pour lui tirer les oreilles et le gronder comme il le mérite. Je m’assois sur le tronc d’arbre et attire Domi vers moi et le voilà en travers de mes genoux, prêt à être puni ou presque car il a gardé son slip que je m’empresse de lui baisser. Le slip se retrouve à mi-cuisses glisse au niveau des chevilles alors que le short est déjà sur le sol. Ça me fait tout drôle de voir les fesses de mon copain toutes blanches alors que ses cuisses sont en revanche bien bronzées. Je continue à gronder Domi et lui dit qu’il va être puni comme un gamin. Un sale gosse qui mérite sa fessée déculottée. Je lève ma main et commence à claquer une fesse puis l’autre alternativement. Une marque rose commence à s’imprimer sur les fesses. Au début je ne claque pas trop fort mais peu a peu je fesse avec plus d’assurance et de vigueur. Et les cuisses ne sont pas en reste, elle aussi doivent être bien rougies. Le va-et-vient de ma main s’accélère et la correction dure un bon moment. Il faut que le puni prenne conscience de ses bêtises et se souvienne qu’il ne doit pas recommencer, faute de quoi… Lorsque je considère que la correction à produit ses effets, j’interroge Domi : « Alors c’est suffisant, maintenant j’espère que tu as compris et que tu vas bien te tenir. » Mon copain à les larmes aux yeux mais il me répond «Je mérite la fessée magistrale, tu le sais, alors si tu veux tu peux encore me fesser… » Je suis un peu surpris car la fessée que je lui ai administrée a déjà été bien sévère. «C’est vrai que tu le mérites gamin, alors je continue…? » « Oui si tu veux, encore une autre fessée… » Et clac clac clac…je reprend la correction. Lorsque la punition est enfin terminée Domi se relève remonte son slip et va chercher son short avec ses fesses et ses cuisses bien rouges. De mon côté mes fesses sont encore brûlantes sous mon petit short. Domi me sourit et nous reprenons le cours de notre balade.
RépondreSupprimerAprès cette séance punitive nous avons poursuivi notre rando. Nos fesses étaient brûlantes dans nos petits shorts. Nous nous sommes mis à rire comme deux gamins que nous étions. J’avais fait des bêtises et reçu ma déculottée. Domi avait été très sévère comme d’habitude. Mais cette correction je savais que je l’avais bien méritée. Je savais aussi que mon copain pensait la même chose. Je le voyais marcher à côté de moi avec ses cuisses rouges marqués des traces de doigts de la fessée. Il devait en être de m pour moi. Je ne pus m’empêcher de lui demander : « ça t’a fait mal la fessée… » et lui de me répondre : «Un peu mais c’est normal et puis c’est une punition… non. Et puis tu sais si je suis fessé c’est parce que je le mérite. Et toi.. » je réponds aussitôt : « Non, même pas mal la fessée. Et puis j’y suis habitué. Tu sais je fais beaucoup de bêtises alors j’ai besoin d’autorité. Une bonne fessée n’a jamais fait de mal à personne… » «Tu as raison ça nous fait filer droit… » Et Domi en riant de m’expédier à la volée deux claques sur le fond du short.
RépondreSupprimerNous bavardons et en marchant et Domi me dit que ses dix-neuf ans ne l’empêchent pas de recevoir encore la fessée déculottée à la maison. Son père qui le lui passe rien, le punit encore de cette manière, comme lorsqu’il était gamin. Il me l’avait déjà dit dès que nous avions évoqué ce sujet mais là il tient à m’en reparler de façon plus précise. Il me demande si je trouve ça normal. Je lui répond que oui et ça le rassure. Je sais comme lui qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée si elle est méritée et je le lui redis. Il reconnais qu’il fait beaucoup de bétises, qu’il a besoin d’autorité et de discipline et que la fessée participe à son éducation. Pour moi c’est la même chose. Je lui dis : « Tu vois tu as bien fait de me corriger tout à l’heure. » et comme je me remets à chahuter comme un gosse, Domi me dit : « Je crois que je devrais d’en coller une autre tout de suite… ». Je lui réponds : « Tu sais c’est toi qui décide si je mérite d’être corrigé…et si tu veux me mettre une autre fessée…oui Domi tu peux.»
RépondreSupprimerÀ dix-neuf ans nous étions encore de vrais gamins. Pour ma part je me comportait encore comme un sale gosse. Après avoir reçu la fessée, alors que nous avions repris notre marche, je continuais encore à chahuter et ça agaçait un peu Domi. Il m’a promis une nouvelle déculottée mais ça n’a eu aucun effet sur mon comportement, bien au contraire. Il m’a grondé sans résultat. Ce qui devait arrivé est arrivé. Mon copain s’est approché de moi et m’a attrapé par une oreille qu’il tire de plus en plus fort. « Maintenant ça suffit, viens ici tout de suite. Tu vas voir tes fesses mon garçon…je t’assure que tu vas t’en souvenir. » Cette phase ne me surprend pas, je l’ai souvent entendu à la maison lorsque j’étais puni. Domi me ploie vigoureusement sous son bras gauche et de sa main droite il baisse mon petit short et mon slip. « Allez c’est la fessée… » Je ne bouge pas, je sais que je vais la revevoir et c’est tout. Une volée de claques s’abattent à la volée sur mes fesses. Les cuisses aussi en prennent pour leur grade. Cette fessée dure une éternité, mes fesses sont en feu. J’ai les larmes aux yeux. Je sais que j’ai mérité cette correction. Lorsque la punition est finie, je me relève et frotte mes yeux rougis sans penser à me reculotter. C’est Domi qui me gronde à nouveau : « Allez remonte ta culotte, tout de suite, sinon je continue…c’est ce que tu veux je crois… » J’obéis sans attendre car la punition a été sévère.
RépondreSupprimerCette phrase que venait de prononcer Domi je l’avais souvent entendu étant ado: «Arrête tout de suite, sinon tu vas voir tes fesses. » ou « Si tu continues tu vas voir, je te baisse la culotte devant tout le monde. » ou « Dernier avertissement, maintenant ça suffit je te colle une bonne fessée. Et je le répéterai pas… » On n’hésitait pas même s’il y avait du monde. Je rougissais et me tenais tranquille pendant un moment mais c’était vite oublié. Et alors j’avais droit à la fessée déculottée. Papa ne répétait pas les choses deux fois. Et si c’était tata qui était présente et s’occupait de moi, ce qui était souvent le cas, j’avais droit au martinet. Elle me prenait par un bras, me baissait la culotte et me donnait le martinet en me grondant. Il arrivait que des copains soient présents lorsque j’étais puni. Un jour où avec mon copain Marc nous avions fait une grosse bêtise, j’ai été puni mais Marc n’y a pas échappé non plus. Après m’avoir corrigé ce fut au tour de Marc. Pas de jaloux. Tata l’a attrapé par une oreille, lui a baissé la culotte l’a mis en travers de ses genoux et elle l’a copieusement fessé avant de l’amener au coin martinet en main et Schlac schlac schlac…schlac… On se tortillait tout les deux dansant d’un pied sur l’autre…
SupprimerJe me suis très vite rendu compte que Domi était très sévère, peut-être plus que moi. Ça me convenait car je savais que j’avais besoin d’autorité. Avec lui le moindre écart était immédiatement sanctionné et il me faisait filer droit. La fessée n’était jamais loin. Et il savait se servir du martinet. C’était d’ailleurs lui qui avait demandé d’aller l’acheter dès que nous nous étions connus. Le martinet j’y étais habitué et je le recevais souvent lorsque j’étais gamin et ado. Je n’étais donc pas surpris que mon copain impose l’achat du martinet. Domi me disait que chez lui il y a encore doit. De mon côté j’essayais de me montrer sévère envers Domi et de le corriger lorsqu’il le méritait. Je savais que c'était souvent le cas car il était plutôt paresseux et faisait beaucoup de bêtises. Au début j’étais un peu hésitant mais très vite je lui claquais les fesses dès que cela me semblait nécessaire et je donnais aussi le martinet à ce grand garçon. Il me disait souvent qu’il le méritait. Je n’hésitais donc plus du tout à le fesser. J’avais bien honte lorsque Domi me menaçait d’une fessée en présence de témoins. Et il lui arrivait de le faire. Lorsqu’ils nous arrivait de nous donner la fessée déculottée en rando il y avait toujours le risque d’être vu par des passants. La honte et l’appréhension augmentaient alors l’efficacité de la correction. En rando, Domi se montrait souvent désagréable et chahuteur et il ne tardait pas à se retrouver ployé sous mon bras ou en travers de ses genoux cul nu. De mon côté, je reconnais que je n’étais pas en reste et que le petit short et le slip étaient vite descendus. Nous étions punis tous les deux et nous repartions avec nos fesses bien rouges dans nos petits shorts et les traces de doigts sur nos cuisses nues. Il était facile de savoir comment nous avions étés punis.
RépondreSupprimerLorsqu’il a été mis en confiance, et qu’il a compris qu'il pouvait se confier à moi, Domi m’a raconté que chez lui à la moindre incartade, il se prenait encore la fessée déculottée et le martinet. Il parlait de fessée magistrale. Son père ne plaisantait pas et avait la main leste. Mon copain pensait que c’était tout à fait mérité et qu’il avait besoin de cette autorité. Contrairement à moi, Domi n’était pas timide et n’hésitait pas à parler. Moi j’étais beaucoup plus réservé et c’est lui qui m’incitait à lui raconter comment j’avais été puni étant gamin et ado. Peu à peu je n’ai plus hésité à lui parler de mes corrections, fessées et martinet. J’étais vraiment heureux de tout lui raconter et j’avais beaucoup de choses à dire. Lorsqu’il m’a demandé si j’étais d’accord pour le corriger, après la surprise, ma première réaction a été de lui demander me punir sévèrement. «Et toi tu serais d’accord pour me mettre la fessée que je mérite…, » Sa revanche ne s’est pas faite attendre. «Mais oui bien sûr mon grand, tu seras fessé aussi souvent que tu le mérites…pan pan cul cul… » Moi aussi je lui ai promis d’être sévère.
RépondreSupprimerIl y a quelques temps, j’ai été invité à passer une semaine chez mon copain Dominique. Ses parents m’avaient invité à le rejoindre dans leur maison de campagne. J’étais tout content de retrouver mon ami et je crois que lui aussi en était très heureux. J’étais arrivé par train et le papa de Dominique accompagné de son fils était venu m’attendre à la gare. Il faisait très beau et mon séjour s’annonçait plus sous les meilleurs auspices. Tout le monde semblait heureux. Domi m’avait dit qu’il serait seul, sa petite sœur âgée de quatorze ans étant partie en colonie de vacances. Arrivé à la maison j’ai fait la connaissance de la maman qui m’a fait un très bon accueil et m’a paru très sympathique. Elle m’a aussitôt montré ma chambre où j’ai pu ouvrir ma petite valise et ranger mes affaires. Peu de chose en réalité…un jean, des shorts, quelques teeshirts et des sous-vêtements. La dame m’a indiqué que je pouvais me mettre à l’aise si je le voulais. J’étais arrivé en survêtement, veste et pantalon rouge et je comptais le conserver jusqu’au repas de midi, on verrait ensuite pour l’après midi. J’ai aussitôt rejoint Domi et nous avons parlé du programme de nos vacances. Il avait lui un job d’été depuis trois semaines et moi aussi d’ailleurs et je devrais rentrer en fin de semaine pour la même raison. Domi m’ a paru très heureux de me retrouver et il avait l’air très en forme. Il m’a proposé d’aller à la piscine après de déjeuner et cela me convenait tout a fait d’autant plus qu'il faisant très chaud. Mon copain de son coté s’était mis à l’aise. Un teeshirt jaune et un petit short très court en nylon vert. Son père était occupé dans la jardin et sa mère en cuisine. Dès que l’un l’un l’autre l’appelait il se précipitait tout de suite. En fait on voyait bien que malgré ses dix-neuf ans ils craignait beaucoup ses parents, surtout son père d’ailleurs qui le considérait encore comme un gamin. Il n’avait pas totalement tort d’ailleurs. Il était encore immature, un grand ado. Je l’étais tout autant que lui et c’est peut-être pour cela que nous étions copains. C‘est sûr que autant l’un que l’autre nous avions besoin d’autorité et souvent aussi d’une bonne reprise en main. Cependant, autant j'étais timide et réservé, autant Domi était déluré et parfois insolent. Ses parents ne lui passaient rien et dès mon arrivée je m’en suis aperçu. Dans l’entrée, suspendu et bien visible, j’ai eu vitre fait de repérer le martinet. Oui, un martinet… C’était donc vrai ce qu’il m’avait dit qu’il avait encore droit au martinet. Ses parents lui ont demandé de venir les aider, son père au jardin et sa mère pour mettre le couvert. Je peux dire qu’il obéissait sans moufter et moi je le suivais. Dans cette famille l’autorité et la discipline était le réglé, cela se sentait dès le premier abord. Pour tout dire, cela ne me gênait pas beaucoup ayant été éduqué de la même manière. A suivre.
RépondreSupprimerJ’étais vraiment content de venir partager quelques jours de vacances avec Domi. J’ai vite constaté que ses parents n’hésitaient pas à lui faire des observations au moindre écart comme ils l’auraient fait avec un gamin. À midi nous avons déjeuné et tout s’est bien passé. Avant de partir à la piscine je suis monté dans ma chambre pour me changer. Teeshirt orange, petit short rouge en nylon, baskets aux pieds et sac a dos. Me voilà prêt. En bas dans la salle à manger j’entends une voix puissante celle du papa. J’allais sortir de ma chambre mais j’ai hésité. J’ai tendu l’oreille. C’était le père qui grondait Domi et ça avait l’air de barder. Sa mère lui avait demandé de ranger sa chambre depuis plusieurs jours et il n’avait rien fait. « Dis-moi, ça fait plusieurs jours que maman te demande de ranger. Tu la prends pour une bonne…! Je vais te faire obéir moi tu vas voir. Il y a eu du relâchement depuis le début des vacances mais je te prie de croire que ça va changer. On va en revenir aux bonnes vieilles méthodes. Vas ranger ta chambre tout de suite et reviens ici… » Domi est immédiatement monté dans sa chambre qui es contiguë avec la mienne et a commencé à ranger. Ça lui a pris un peu de temps. Je suis alors sorti en douce de ma chambre et j’ai poussé la porte de celle de Domi juste pour voir. J’ai tout de suite compris que ça n’allait pas, il avait les yeux rouges et sanglotait. « Tu sais il fait que je range ma chambre, je viens de me faire gronder par papa. » « Tu t’es fait gronder… » «Oui et ça chauffait je te pris de le croire…je pense que papa va me punir… » «Alors on n’ira pas à la piscine… » « Si, si t’inquiète on ira, mais il faut que je termine de ranger…attends moi en bas, j’arrive. » je suis descendu et le père toujours très en colère attendait. « Tu sais mon garçon, j’espère que tu auras une bonne influence sur Dominique. Je vois que toi au moins tu es plutôt bien élevé. Mais pour l’instant je vais être obligé de servir. » Je peux dire que je n’en menais pas large. Quelques instants après Dominique est arrivé tout penaud. « Ça y est tu as enfin rangé ta chambre…! » « Oui papa » « il faut te répéter les choses combien de fois pour que tu comprennes… alors moi je vais te le faire comprendre une bonne fois pour toutes… allez arrive ici ». Domi avait compris ce qui l’attendait. «Non papa, s’il te plaît, pas la fessée, non pas la fessée…et puis il y a mon copain, ». « Allez dépêche toi s’il te plaît, ici tout de suite et culotte baissée, je attends… » Domi gigotait un peu dans tous les sens mais il a du obéir et se rapprocher de son père. Il m’a regardé les larmes aux yeux en baissant son short comme papa l’avait demandé. J’ai compris que chez eux le puni devait se déculotter tout seul et se présenter fesses nues, sinon la punition était doublée. Le père a pris son fils par une oreille et après avoir pris place sur une chaise mon copain s’est retrouvé en travers des genoux paternels et la fessée est partie en trombe. Les fesses et les cuisses ont été bien rougies. Lorsque Domi s’est relevé en larmes, le papa s’est emparé du martinet. Ah la martinet, la père l’avait décroché pendant que Dominique faisait du rangement. Le père a pris son fils pas un bras et a fait tournoyer les lanières autour des fesses et des cuisses. Une bonne dizaine de fouettées laissant quelques belles marques rose foncé…
RépondreSupprimerMon copain venait de recevoir la fessée magistrale. Il n’avait pas menti et la sévérité de ses parents se confirmait. Je reconnais que cela me paraissait justifié pour un grand ado attardé et immature. Je l’étais tout autant que lui. J'avais moi aussi besoin d’autorité et souvent d’une solide reprise en main. J’avais assisté à la correction que le papa avait administrée à son grand garçon. Après la fessée Domi était en larmes. C’étaient ses fesses qui étaient en feu, rouges et cuisantes qui le faisaient pleurer et non la honte. Cela ne le gênait pas du tout d’avoir été corrigé cul nu devant moi. D’ailleurs ses fesses nues je les voyais souvent lorsque je le fessais. Et les miennes il savait aussi les dénuder promptement pour les fustiger à la main et au martinet. C’est vrai qu’il avait une prédilection pour le martinet. On savait qu’on le méritait tous les deux. Dès que l’admonestation fut terminée nous sommes partis avec Domi pour la piscine. Le complexe sportif se situait à un kilomètre environ. Nous avons donc fait le trajet a pied. La fessée au martinet laissait quelques traces sur les cuisses de mon copain dont le petit short en nylon vert était très court. Cela n’avait pas l’air de le gêner et peu lui importait d’ailleurs. Mon petit short rouge était également moulant et très court comme de Domi avec sa lisière juste au dessous des fesses. Je le sentais très à l’aise et j’aimais depuis toujours porter des petits shorts. Arrivé à la piscine il m’a dit qu’après le bain on pourrait aller faire de la muscu dans la salle voisine. C’était vraiment génial et cela me convenait tout à fait. On pouvait y accéder sans réserver et avec le même billet. Arrivés devant les cabines nous avons choisi deux cabines contiguës. À peine Domi était-il rentré que déjà il m’a appelé. Je pensais qu’il avait oublié quelque chose et je suis allé frapper a la porte de sa cabine. Il a ouvert et m’a dit «Regarde mes fesses… » Il avait en effet posé son slip et son short mettant en évidence une paire de fessée bien rouges et striées. Je les connaissais pour les avoir maintes fois fustigées. Mais la c’était différent c’était son père qui l’avait corrigé. Je lui ai dit : « Eh bien dis-moi, il t’a pas raté ton papa… » «Tu vois je ne t’avais pas menti lorsque je te t’avais dit que je recevais encore la fessée… Tu m’as d’ailleurs dit que tu trouvais ça normal n’est-ce pas. Tu le penses toujours que c’est normal… » Avant de refermer la porte je lui ai répondu. «Oui Domi, ça me paraît tout à fait normal…et moi aussi je mérite la même punition…la fessée est le seul moyen de me faire obéir et de m’obliger à travailler. Tu sais combien je suis paresseux… » Mon copain était rassuré. Lorsqu’il est sorti de sa cabine en maillot de bain je reconnais que j’avais envie de le fesser. Malheureusement il y avait du monde et c’était impossible. En passant dans le pédiluve je n’ai pas pu m’empêcher en douce de lui expédier deux petits claques sur le cul… il s’est aussitôt remis a pleurer en me disant : «Oh tu sais tu peux le fesser si tu veux, je sais que j’en ai besoin et que je le mérite…papa le sait bien… » C’était impossible car il y avait beaucoup de monde… on s’est jeté dans la piscine et on y est resté au moins deux heures… après nous sommes allés dans la salle de muscu…
RépondreSupprimerNous avons passé deux bonnes heures à la piscine et j’ai trouvé ça très agréable. Je crois que Dominique a oublié que son papa l’avait sévèrement puni. Nous sommes repassés en cabine pour nous changer. Dès que nous sommes sortis mon copain m’a demandé : « Tu veux qu’on aille faire de la muscu, c’est juste à côté. » et moi de répondre : « Oui bien sûr, si tu veux, ce serait bien… » La salle était très bien équipé et il n’y avait personne, nous étions seuls . En allant à la salle de gym je me suis aperçu que les cuisses de Domi portaient encore les traces du martinet. Ça m’a fait de la peine et je me suis culpabilisé. Peut-être était-ce à cause de moi que mon copain avait eu droit à la fessée. J’étais sur le point de pleurer et Domi s’en est aperçu. Il m’a demandé si ça allait. « Ça va tu es sur, tu n’as pas envie de faire de la muscu…? » « Si bien sûr je t’assure. C’est pas ça… C’est que ta punition, c’est peut-être de la faute. Tu m’en veux pas trop j’espère… » « De ta faute mais pourquoi, je comprends pas… » « Ben tu sais ce matin tu sais on a bavardé ensemble pendant un bon moment et tu vas pas pu ranger ta chambre et j’ai bien vu que ça agaçait ton père… » « Non tu sais pas du tout tu sais, pas du tout… Ce matin déjà avant de venir te chercher, papa s’est mis en colère parce que j’avais mal répondu à maman qui me demandait depuis plusieurs jours de ranger ma chambre… Tu sais d’ailleurs il avait bien failli me fesser… » j’étais rassuré. « Tu sais moi non plus j’ai pas trop rangé les affaires avant de partir, j’ai laissé tout en vrac sur le lit… j’espère que personne ne s’en apercevra… Tu crois que s’ils s’en rendent compte, ton papa pourrait me fesser…? » «Non je ne crois pas, on t’a rien demandé pour l’instant. Enfin je te conseille quand même de ranger si tu veux pas d’histoire… D’ailleurs tu lui a dit que chez toi tu recevais encore la fessée… alors il pourrait bien t’en coller une… » «Oui tu as raison je vais d’écouter… » «Il vaudra mieux, bien sûr tu n’es pas son fils, mais avec lui on ne sait jamais. Fais quand même attention à tes fesses. Tu as vu comment je me suis pris la déculottée…et le martinet en plus… En tout cas, toi tu n’y est pour rien… » « Merci, tu es vraiment un copain… » Et nous avons commencé notre séance de muscu. Domi avait mis un short d’athlétisme noir. Moi j’avais gardé mon petit short en nylon rouge, il était parfait aussi pour la gym. Nous avons transpiré pendant au moins une heure…
RépondreSupprimerAprès une bonne heure de gym intense, on a décidé d’arrêter. On était tous les deux en nage. On est allé prendre une douche et se changer dans les vestiaires. Comme j’avais beaucoup transpiré j’ai pris dans mon sac à dos un petit short de rechange, le même que celui que j’avais précédemment mais de couleur verte. Le même que celui que portait Domi le matin. De son côté Domi a pris dans son sac un petit short en jean très court avec les lisières un peu frangées que je ne lui connaissais pas. Avant de partir nous sommes passés dans un gymnase où se disputait un match de handball. Nous avons traversé la salle pour rejoindre un petit banc dans un coin un peu obscur et nous nous sommes assis côte à côte. On voyait tout mais on nous voyait quasiment pas. Avant qu’il ne soit assis, j'ai remarqué que les traces du martinet sur les cuisses de Domi commençaient à s’estomper mais il en restait encore quelques stries bien visible. Ça m’a fait de la peine et le l’ai dit à mon copain. J’avais presque les larmes aux yeux. Il m’a dit : « Tu sais c’est pas bien grave. Et puis ça m’a fait plaisir à midi lorsque tu as dit à papa que toi aussi chez toi tu recevais la fessée… oui c’est sympa d’avoir dit ça… » «Oh tu sais il n’y à pas si longtemps je m’en prenais encore de bonnes, mais maintenant je suis presque jamais à la maison, alors…mais j’en ai quand même besoin, tu le sais…» On est repartis chez Domi. Il était déjà tard. On nous a demandé d’aller ranger nos affaires dans nos chambres et de redescendre pour le dîner. Je pense que la maman avait du faire l’inspection des chambres car elle m’a regardé en faisant une réflexion. Le père a confirmé disant qu’ici tout le monde devait obéir, sinon on était puni… Et il a ajouté : «N’est-ce pas Dominique… » Domi est devenu tout rouge. «Oui papa… » Je me tortillais un peu dans tous les sens et je suis monté dans ma chambre sur les pas de Domi.
RépondreSupprimerJe ne me suis pas fait prier pour montrer dans ma chambre et me suis dépêché de ranger mes affaires dans le placard. Ensuite j’ai frappé à la porte de Dominique qui lui aussi était entrain de faire du rangement. Il avait beaucoup plus de travail que moi parce que sa chambre était un véritable capharnaüm. Il m’a demandé si j’avais rangé ma chambre. Je lui ai répondu que oui. Lorsque le papa a appelé tout était prêt. Nous sommes descendus ensemble pour nous installer aussitôt à table. Inutile de dire qu’ayant fait du sport une bonne partie de l’après-midi, nous avions de l’appétit. Le papa nous a demandé ce que nous avions fait de notre après-midi. C’est moi qui lui ai tout raconté par le détail et il paraissait très satisfait. Nous avons bavardé un bon moment. Les parents voulaient tout savoir sur les études et sur mon éducation. Je n’ai pas été avare de détails. Domi et moi avons aidé la maman à débarrasser la table. Au moment de monter dans nos chambres nous avons dit bonsoir aux parents avant de nous diriger vers l’escalier. Domi m’a demandé si je voulais faire une petite de Scrabble avant d’aller me coucher. Je lui ai dit que c’était d’accord. «Je passe dans ma chambre et j’arrive tout de suite. » Je passe à la salle de bain pour une toilette rapide et je me mets en pyjama. Je frappe à la porte et Domi m’ouvre tout de suite. Il a installé une petite table pliante et le jeu de Scrabble. J’ai l’impression que j’arrive trop tôt car Domi n’a même pas eu le temps de se mettre en pyjama. C’est pas grave, il se changera juste avant d’aller se coucher. Et nous commençons notre partie de Scrabble. On décide aussi du programme du lendemain. On ira faire du vélo. Domi me prêtera un de ses vélos. C’est d’accord. Je remarque que dans sa chambre à droite de la porte suspendu à un clou, qu’est-ce que je vois… un martinet… Tout en jouant, j’en viens à lui faire une observation concernant le martinet. J’ai toujours redouté le martinet tout en étant fasciné et attiré par cet instrument punitif… ah le martinet je l’ai souvent reçu moi aussi.
RépondreSupprimer«Dis moi Domi, qu’est-ce que je vois… il y a un martinet dans ta chambre… » «Ben oui, ça t’étonne… tu sais il y en a un aussi dans la chambre de ma sœur.» « Et puis il y a aussi celui qui est suspendu dans l’entrée n’est-ce pas… »
«Oui, et tu a vu, papa s’en est servi à midi… »
Après notre partie de Scrabble, je me suis dirigé vers le martinet de mon copain comme j’en avais envie depuis un certain temps sans oser lui en parler.
«Wouaou, ce martinet à l’ancienne… ça doit faire mal, non…»
«Ben oui, c’est fait pour punir et donner la fessée, alors oui ça fait mal…mais tu sais c’est pas bien grave de recevoir la fessée »
«Oui tu as raison…et puis on a souvent besoin »
Je me suis avancé pour décrocher le martinet. Je le tenais par le manche en bois avec les lanières repliées. Et j’ai libéré les lanières pour les agiter devant mon copain. J’ai essayé de fouetter un peu mes cuisses encore protégées par la pantalon de pyjama. Juste pour voir… Fouetter les fesses tout seul il ne fallait même pas y penser. Alors devant mon comportement, c’est Domi qui m’a grondé sévèrement. « Allez viens ici tout de suite… » Il m’a attrapé par un bras et en un instant le pantalon de pyjama était descendu et mes fesses entièrement nues. Domi s’est emparé du martinet et m’a fessé. Fesses et cuisses bien rouges. Je n’ai pas pleuré. Lorsque la correction a été terminée je ne suis pas parti tout de suite… J’ai grondé Domi et lui ai promis la fessée qu’il méritait. Il avait encore son petit short en jean très court et c’était facile de donner la cuissée. En ce qui concerne les fesses c’était autre chose il m’a fallu déculotter le grand garçon et dégrafer son short certes très court mais bien moulant. En descendant le short le slip a suivi et j’ai poursuivi la fessée…
Après avoir été copieusement corrigés tous les deux nous avons ensemble reconnu que nous le méritions….et que cette sévérité nous était nécessaire. Nous sommes quittés. « Bonne nuit, dors bien… » «Merci, toi aussi et à demain… »
Arrivé dans ma chambre j’avais mes fesses et mes cuisses en feu. J’ai posé mon pantalon de pyjama, me suis allongé sur le lit cul nu et j’ai massé soigneusement mon postérieur. La cuisson était à la hauteur de la fessée que j’avais reçu. Je savais que Domi avait eu raison de me fesser car cette correction je l’avais bien méritée. Je me suis mis à pleurer. Lorsque nous sommes rentrés de la piscine, j’ai vite compris que la maman avait fait l’inspection de nos chambres. Celle de Dominique était un vrai capharnaüm mais dans la mienne pas mal de choses trainaient aussi sur le lit. La dame en avait fait l’observation et m’avait également regardé avec insistance. Le papa avait renchéri en disant qu’ici tout le monde devait obéir. Le message était clair. J’avais intérêt à me tenir à carreau si je ne voulais pas me retrouver dans la même situation que mon copain et me prendre la fessée. Je redoutais d’autant plus d’être puni que j’avais dit avant de partir à la piscine que moi aussi je recevais la fessée à la maison. Bien sûr j’avais dit ça pour faire plaisir à Domi et être solidaire avec lui…mais quand même le papa allait sûrement me croire. Et puis je me suis dit que c’était pas bien grave. Si nous désobéissions le papa nous punirait tous les deux en même temps. Comme ça pas de jaloux. Si Domi était fessé en même temps que moi cela voulait dire que nous étions traités de la même manière. Dans ces conditions ça me faisait rien de me prendre une bonne correction. J’étais rassuré et je me suis endormi.
RépondreSupprimerLe lendemain matin lorsque je me suis réveillé, mes appréhensions de la veille s’étaient estompées. Il faisait très beau et j’avais hâte de partir avec Domi faire du vélo. Une belle journée nous attendait. Je suis passé à la salle de bain faire ma toilette. Je ne savais pas si Domi était réveillé j’ai donc frappé à sa porte. Il était encore tout endormi et de mauvaise humeur, s’est retourné dans son lit. « Fais ch…je dors… » Je suis donc reparti dans ma chambre tout penaud et me suis allongé sur le lit. Une instant plus tard, Domi a frappé à son tour à ma porte. «Désolé. Excuse moi. Tu as eu raison de me réveiller. Tu ne m’en veux pas j’espère… c’est sûr… »
RépondreSupprimer«Mais non bien sûr pas du tout…tu t’en doutes. »
«Oh merci, tu vois je commence mal la journée… je mériterais déjà une fessée. Si tu veux, tu sais où se trouve le martinet. Et puis je le mérite. »
« Mais non, c’est rien, ne t’inquiète pas je ne t’en veux pas. Au fait j’ai vu hier que tu avais un petit short en jean… »
« Oui j’en ai même plusieurs… »
« Et tu vas en mettre un aujourd’hui…
« Je sais pas, pourquoi… »
« Tu pourrais pas m’en prêter un… »
« Si, bien sûr. Tu viens le choisir. De toute façon ils sont tous à peu près identique, ils sont taillés dans de vieux jeans… »
« Oui je sais j’ai les mêmes mais je les ai oubliés. Tu es vraiment sympa. »
Je suis allé dans la chambre de Domi et il m’a fait choisir. J’ai pris le premier qui me tombait sous la main. Ça tombait bien Domi et moi avions la même taille. C’était un petit short très court en jean usagé avec les lisières un peu frangées. Domi lui aussi a décidé de mettre un short en jean. Je l’ai remercié et suis reparti dans ma chambre. Le short m’allait à merveille. Je l’ai enfilé et j’ai mis un teeshirt rouge et des baskets. J’étais prêt. Domi avait mis un maillot de foot représentant son équipe fétiche avec un numéro dans le dos. Il était fan de foot, faisait partie d’une équipe à la fac et m’y avait entraîné. Nous avons pris notre petit déjeuner en vitesse. Le papa de Domi était parti travailler et sa maman faisait les courses. Nous avons préparé nos sacs à dos et sommes allés chercher les vélos. C’était de beaux vélos vtt. Après avoir vérifié les pneus, nous voilà partis. On pédalait côte à côte tout joyeux en bavardant.
Une belle journée s’offrait à nous. On s’est arrêté pour boire après une bonne heure. En regardant Domi je me suis aperçu qu’au niveau de la selle lorsqu’il pédalait, son petit slip blanc dépassait la lisière du short. On est reparti plein d’entrain avoir bu et grignoté quelques gâteaux. Moi aussi je voulais que mon petit slip blanc soit visible entre mes cuisses au niveau de la selle et dépasse un peu la lisière du short. Ça n’a pas été difficile mais je ne sais pas si Domi s’en est aperçu. En tout cas nous étions tous les deux pareils, deux vrais collégiens. On a parlé de vélo et de foot en pédalant avec entrain. A midi on s’est arrêté sur une petite aire de pique-nique où nous étions seuls. Inutile de dire que nous étions affamés et que le repas a été vite expédié. Nous n’étions pas pressés de repartir. Comme souvent lorsque nous partions en rando on s’est mis à chahuter gentiment. C’est Domi qui a commencé à me provoquer. Il m’a tiré par le bas du teeshirt et m’a grondé me traitant de feignasse alors que j’étais assis en tailleur.
« Je vois ton slip, et rien dessous, t’as pas de zizi, comme les filles… »
« Moi aussi je le vois ton slip. Je le voyais d’ailleurs tout à l’heure quand tu pédalais. C’est toi qui n’a pas de zizi. Oh la fille…d’ailleurs tu a un prénom de fille »
On a continué à chahuter comme deux gamins. Je me suis relevé et d’un geste vif j’ai baissé mon short et mon slip à suivi. « Tiens regarde… » Domi piqué au vif s’est lui aussi mis cul nu. Nous étions tous les deux d’accord pour reconnaître que notre attitude de gamins méritait une bonne fessée. Domi a décidé que cette correction devait être donnée aux verges. J’étais d’accord. Nous avons décidé de tirer au sort pour savoir qui allait devoir aller chercher les verges.
Après s’être provoqués mutuellement comme deux gamins on s’était déculottés tous les deux l’un après l’autre. C’était moi qui avait commencé. Me mettre cul nu devant Domi c’était pas un problème et lui non plus ça ne le gênait pas du tout. Comme il était fréquent qu’on s’administre la fessée déculottée toute gêne avait disparu, pour autant qu’il y en ait jamais eu, ce dont je doute. Ce qui est certain c’est que nous étions tous les deux d’accord pour reconnaître que notre comportement de gamins justifiait qu’on soit fessés tous les deux. Domi avait décidé que la correction serait administrée aux verges… Mon copain était beaucoup plus autoritaire que moi et j’acceptais volontiers ses décisions sans même avoir l’idée de les contester. Autant lorsqu’il était face à son père c’était un gamin soumis autant lorsque nous étions tous les deux il reprenait le dessus. Les verges c’était donc d’accord. Il suffisait de s’entendre pour savoir qui irait couper les verges. Comme à notre habitude on s’est chamaillé un peu. Domi voulait y aller. Il prétendait que c’était moi qui était allé acheter le martinet et que par conséquent c’était maintenant à lui de s’occuper des verges. J’étais pas trop d’accord et moi aussi je voulais y aller. Je considérais que ça devait être comme pour le martinet. J’irai couper les verges et je les remettrais à Domi. Mais c’est lui qui voulait le faire. Il allait faire un véritable caprice. À son âge… J’ai proposé encore un fois de tirer au sort et nous avons accepté tous les deux. En fin de compte le sort a tranché en sa faveur et c’est Domi qui a été chargé de s’occuper des verges. Inutile de dire qu’il était content que le sort lui ait donné raison. Avec un canif qu’il avait dans son sac il s’est éloigné un peu et a commencé à couper quelques branchettes. Il les choisissait avec soin, ni trop grosse ni trop fines, bien flexibles, les lier ensemble. J’étais jaloux. Nous étions dans un coin assez isolé et il n’y avait personne. On allait donc pouvoir se mettre la fessée sans risque d’être vu. J’étais tout de même un peu angoissé à l’idée que quelqu’un pouvait surgir d’un moment à l’autre. Mais en fait mes inquiétudes se sont vite dissipées. Quant à Dominique, lui il n’avait jamais d’inquiétude. Je crois que si quelqu’un était passé pendant qu’il recevait la fessée, cela ne l’aurait pas gêné…
RépondreSupprimerDomi avait décidé que la fessée que nous méritions devait être donnée aux verges. Je voulais moi-même aller couper les verges. Mon copain m’a dit que c’était à lui de le faire. Après une petite chamailleries le tirage au sort lui a été favorable. J’étais très déçu. Domi s’est éloigné vers des haies et a commencé son travail. Il avait l’air de faire ça avec soin. Il s’est mis à couper des petites branchettes. Certaines ne lui convenaient pas et il les a jetées. Les verges doivent être bien adaptées, fines mais pas trop. En tout cas très flexibles pour épouser la forme des fesses auxquelles elles sont destinées. Il faut une dizaine de verges, pas plus. Domi les a sélectionnées et a enlevé les petites branches et les feuilles. Il faut que les verges soient bien lisses et sans trop d’aspérités. Domi a fait ça avec soin. Je le regardais à distance et j’aurais vraiment aimé être à sa place. Son travail fini mon copain s’est dirigé vers moi, tout sourire. « Tiens, regarde… » En effet il avait en main une belle collection de verges prêtes à l’emploi et il a ajouté : « Tu sais la fessée on va s’en coller une bonne parce qu’on l’a méritée. Mais attention, on fouette les fesses seulement, pas les cuisses. Parce que tu sais ça laisse des traces pendant un bon moment et ce soir en rentrant mes parents s’en apercevraient. Et là je peux te dire que ça chaufferait… Fouettés au martinet et consignés dans notre chambre dès ce soir et peut-être jusqu’à ton départ. Ce serait moche, non… Alors, pas les cuisses, c’est clair… » « Oui d’accord Domi, tu as raison, j’ai compris. »
RépondreSupprimerEn effet j’avais bien compris ce que m’avait dit Dominique et il avait raison. Les fesses seulement et pas les cuisses. D’ailleurs la fessée comme son nom l’indique ça se donne d’abord sur les fesses. Bon, je reconnais que les cuisses sont rarement épargnées…mais là il fallait faire attention. Il n’aurait pas fallu que les parents de Domi s’aperçoivent de quoi que ce soit. Sinon c’était le martinet pour tous les deux. Consignés tous les deux dans nos chambres et en plus mon séjour aurait vite été abrégé. C’est ce que je redoutais le plus. Le martinet c’était pas le plus grave mais je tenais à poursuivre cette semaine de vacances avec mon copain dont je rêvais depuis longtemps. Dominique radieux tenait son bouquet de verges à la main. Il s’est approché de moi et a pris un air sévère. Il m’a attaqué par l’oreille. « Allez viens ici et tout de suite… »
RépondreSupprimer« Mais… »
« Il n’y a pas de mais qui tienne…allez baisse ta culotte…et plus vite que ça… » j’ai obéis et Domi m’a ployé fermement sous son bras gauche et a remonté un peu mon teeshirt. Et les verges ont commencé à fouailler mes fesses. Ça faisait mal et je me suis mis à pleurer. Tout en me grondant Domi a continué à me fouetter sans tenir compte de mes jérémiades. La fessée a duré un bon moment. Je je suis relevé en pleurs et j’ai remonté mon slip et mon petit short. Ça cuisait. J’ai pris en main les verges. Domi n’étant jamais en reste s’était déjà mis cul nu. Je l’ai pris sous mon bras gauche et l’ai copieusement fouetté. Les verges étaient bien souples et épousaient bien les fesses. J’étais un peu angoissé à l’idée que quelqu’un aurait pu passer pendant la correction. Heureusement cela n’a pas été le cas. Moi ça m’aurait fait bien honte, je crois par contre que Dominique s’en fichait complètement…
J’ai administré une bonne fessée à Domi, cul nu ployé sous mon bras gauche. À défaut des cuisses, ses fesses étaient bien striées. J’ai fouetté au moins une vingtaine de fois. J’ai demandé à Dominique s’il avait compris ou si je devais encore le fesser. Il m’a répondu que cette fessée il l’avait bien méritée, qu’il avait la tête dure et que si je voulais je pouvais encore le fesser pour qu’il comprenne bien. J’ai donc poursuivi la fessée. Une vingtaine de fouettées supplémentaires. Puis Domi a remonté son slip et son petit short. Il avait les larmes aux yeux et me souriait à travers un voile de larmes vite dissipées. On se regardait tous les deux en souriant et en massant nos fesses. Nos petits shorts très courts moulaient bien nos fesses en feu. Je tirais un peu la lisière du short vers on le bas mais c’était difficile car le short était bien moulant. Aucune trace de la fouettée cependant. On n’était pas pressés de repartir. On a bavardé et on s’est assis sur un tronc d’arbre. On a parlé de nos vacances, de la rentrée, et surtout du foot. Domi était passionné de foot et m’avait entraîné à faire partie de son équipe. Sur le sentier où nous nous trouvions il n’y avait personne.
RépondreSupprimerNous étions contents tous les deux d’être à la campagne. Nous avons bavardé au sujet de plein de choses et on a ensuite surtout parlé de foot et de l’équipe dont nous faisions partie tous les deux. Domi était passionné et m’avait communiqué son virus. Mes fesses étaient encore en feu et je n’en parlais pas à mon copain. Je crois que les siennes devaient être bien cuisantes aussi car il se tortillait un peu. Il avait l’air en pleine forme et souriait. Et Domi a posé sa main sur ma cuisse. Il m’a regardé et je n’ai rien dit. Je pensais le donner une cuissée, mais non.
RépondreSupprimerNous étions tous les deux assis sur un tronc d’arbre, nos vélos appuyés à un gros châtaignier et nos sacs à dos à terre. On aurait dit deux frères ou plutôt deux jumeaux. Avec nos teeshirts et nos petits shorts en jean, et malgré nos dix-neuf ans passés on aurait pu nous prendre pour des collégiens. On n’avait aucune hâte de repartir. On bavardait, on rigolait. Et puis soudain Domi a posé sa main sur ma cuisse. Il m’a regardé en souriant et je n’ai rien dit. Au bout d’un moment sa main a glissé le long de ma cuisse pour passer progressivement sous la lisière du petit short qu’il a écarté un peu. Et la main s’est insinuée dans le slip jusqu’au zizi. C’est ensuite le slip qui a été écarté sur le côté laissant libre accès au zizi en pleine érection. Domi a pris mon zizi en main et l’a sorti hors de la lisière du short. J’étais très excité et il s’en est vite aperçu. Domi s’est mis à caresser mon zizi d’abord très lentement puis plus vite. Il a dit qu’il allait me récompenser. Et la masturbation a continué pendant un bon moment et et j’ai joui. Après quelques instants j’ai à mon tour glissé ma main dans le short de mon copain. Le slip écarté j’ai pris son zizi bien tendu dans ma main et l’ai sorti hors de la lisière du short. Et j’ai commencé le mouvement de masturbation jusqu’à ce que Domi atteigne la jouissance à son tour. Après cela nous sommes repartis vers nos vélos.
RépondreSupprimerAprès cet arrêt un peu prolongé nous nous sommes dirigés sans hâte vers les vélos qui nous attendaient au pied d’un arbre. Avec Domi on se regardait en souriant, tout étonnés de ce qui venait de se passer. Tout s’était passé si vite. Autant Domi était un vrai gamin timide et soumis en présence de ses parents, autant il était déluré lorsque ses parents n’étaient plus là. C’était un autre garçon et c’était toujours lui qui prenait les devants. C’est lui qui le premier avait évoqué avec moi son besoin d’autorité et m’avait demandé de le fesser, c’est lui qui avait imposé l’achat du martinet et l’usage punitif des verges et maintenant le zizi. On est remonté sur nos vélos et on est repartis. On pédalait côte à côte et on s’est remis à bavarder. Je sentais bien que Domi voulait me dire quelque chose et était un peu gêné. Tout d’un coup, il m’a demandé si je ne lui en voulais pas pour ce qui venait de se passer. Je lui ai répondu que non. Il a insisté et je lui ai confirmé que non je ne lui en voulais pas du tout, au contraire. Et Domi a poursuivi : « Tu sais je peux te dire quelque chose… » « Oui bien sûr je suis ton copain…non » « Et voilà, moi je sais depuis toujours que j’aime les garçons… » «Tu es gay… moi tu sais ça ne me dérange pas. » « Et bien oui j’aime bien les petits mecs comme toi… » « Mais moi tu sais je m’intéresse surtout aux filles. » En effet j’avais déjà eu plusieurs copines. L’année du bac j’étais très copain avec Isa, une petite blondinette qui en cours se mettait toujours à côté de moi. Lorsqu’elle était en minijupe je reconnais que ça me déconcentrait. Pour les révisions on avait décidé de les faire ensemble tantôt chez elle tantôt chez moi. On travaillait pendant deux ou trois heures, c’était déjà beaucoup et après…bisou bisou et un peu plus. Malheureusement Isa est partie à l’étranger, on s'est téléphoné et puis plus rien… Après pendant un job d’été j’ai connu Nathalie. Autant Isa était blonde autant Nat était brune et un peu plus grande. Elle aussi m’attirait beaucoup et je crois que c’était réciproque. Nous n’avons pas tardé à faire des galipettes.
RépondreSupprimerJ’ai raconté tout ça à Domi qui n’en a pas été surpris. « Et les garçons, non jamais…? » «Non jamais…pourquoi…? » «Et bien on peut être attiré par des filles et parfois aussi par des garçons… » Je reconnais que je ne m’étais jamais posé la question pour moi c’était clair. J’aimais les filles et elles m’attiraient c’était tout. En regardant Domi qui pédalait, je me suis rendu compte que c’était bien ce qu’on peut appeler un beau petit mec.