samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 2

Le lundi suivant, je sonnais à nouveau à la porte de la maison de Madame Leblanc
La fin de la semaine avait été difficile. J’avais employé toute mon énergie à tenter de convaincre ma mère de continuer à chercher une autre chambre à louer. J’avais essayé tous les prétextes sans aborder ouvertement ce qui constituait la raison unique de mes réticences : la menace d’une fessée. En mon for intérieur, j’étais bien persuadé que le péril était relatif. Recevoir une fessée à mon âge me semblait impossible. L’avoir entendu évoquer publiquement m’avait semblé humiliant, suffisamment pour que je cherche à éviter de croiser de nouveau la route de Madame Leblanc.

Peine perdue. Le risque de ne pas trouver un autre hébergement à un prix raisonnable avant la rentrée universitaire fut l’argument décisif que je ne pouvais contrer sauf à laisser entendre que je pourrais manquer les premiers jours de cours. Le soir où j’utilisais cet argument me fut fatal. C’était la confirmation attendue par ma mère démontrant « qu’il ne fallait pas me laisser seul dans la grande ville » et « qu’un peu d’autorité me ferait le plus grand bien ». L’affaire était entendue. Il me fut même recommandé de ne pas continuer à argumenter plus avant, sous peine de sanction. Compte tenu de la nature des propos échangés entre Madame Leblanc et ma mère quelques jours auparavant, je jugeais plus sage de ne pas insister en prenant le risque de tester la résolution de ma mère et les moyens qu’elle jugerait bon d’utiliser pour me la démontrer. La menace était à peine voilée, elle me suffit.
J’ai passé de longs moments dans ma chambre à penser à ce qui m’attendait dès la semaine suivante. Plus j’y songeais, plus il m’apparaissait que Madame Leblanc n’avait pas parlé à la légère. Elle avait probablement l’intention de maintenir une stricte autorité durant cette année, mais de là à réussir à m’administrer une fessée, qui plus est après m’avoir baissé la culotte, il me semblait qu’il y avait un chemin qui n’était pas encore parcouru. Je me sentais de taille à résister. Ma résolution de ne pas me laisser faire s’affirmait. Les choses n’étaient peut-être pas si graves qu’elles avaient pu le paraître au premier abord. Je fis mes bagages, prêt à me défendre si nécessaire.

Le temps s’accordait à mon humeur. Il tombait un crachin pénétrant, une des ces pluies d’automne qui annonce des jours sombres.
- »Fabien, s’exclama Madame Leblanc, entre donc, ne reste pas sous la pluie. » Elle s’effaça pour me laisser entrer. « Enlève ton manteau, accroche-le ici. J’espère que tu as amené des chaussons ? A l’intérieur de la maison, on ne circule qu’en chausson. Où sont-ils ? »
- »Là, dans la poche de mon sac » Elle se pencha, et sans plus de cérémonie se mit à fouiller dans mes affaires pour en extraire ma paire de chaussons.
- »Allons, enlève des chaussures, tu les rangeras ici »
Qu’elle se permette de fouiner ainsi dans mon sac fit naître l’idée d’une protestation que je ravalais sans la laisser passer mes lèvres. Il n’était pas utile d’ouvrir les hostilités dés la première minute. Je m’exécutais.
- »Suis-moi, nous allons t’installer dans ta chambre. » Elle s’engagea dans l’escalier après s’être emparée de mon sac. Je n’avais pas d’autre choix que de la suivre.
- »Tu ranges tes vêtements dans ton armoire, tes affaires de toilette dans la salle de bain, m’ordonna-t-elle en pénétrant dans la chambre, j’exige que ce soit en ordre, je viendrai vérifier. Puis tu prendras tes livres et tout ce qui doit aller dans le bureau. Je t’attends dans la salle d’études pour te montrer où tu dois t’installer. »
Une chose était sûre, elle avait réellement l’intention d’organiser à sa manière mon quotidien. Moi qui n’avais pas une grande affinité pour le rangement et la propreté, ça promettait quelques discussions orageuses avant qu’elle ne comprenne que j’étais assez grand pour décider de tout cela moi-même.
Ne voyant rien de mieux à faire, je défis mon sac de voyage et j’entassais ce qui s’y trouvait dans l’armoire. Il importait de marquer mon territoire dès le début de mon séjour. Le résultat avait un petit air désorganisé qui pouvait passer pour une vision originale de la notion de rangement. Bien évidemment je ne jugeais pas nécessaire de me déplacer jusqu’à la salle de bain pour y déposer ma trousse de toilette.
Assez satisfait de cette marque d’indépendance, je saisis mes livres et je descendis au rez-de-chaussée.

Dans la salle d’études, 4 jeunes filles étaient assises, chacune à un bureau. Elles étaient absorbées par un travail qui semblait mobiliser toute leur attention. Madame Leblanc se tenait près de l’une d’elle et supervisait l’organisation de l’espace de travail.
- »Classe tes livres par matière Julie ! Ne met pas tes crayons en désordre dans le fond du tiroir ! »
M’apercevant enfin, elle se tourna vers moi;
- »Fabien, viens t’asseoir ici. Tu ranges tes livres sur cette étagère et le reste de tes affaires dans le bureau. Ensuite, tu remplira ton emploi du temps et tu l’afficheras à coté de celui de tes camarades. »
J’avais hérité du bureau qui se trouvait au fond de la pièce, j’avais donc vue sur les 4 personnes qui se tenaient devant moi. Une semblait avoir approximativement mon âge, c’est elle qui se prénommait Julie. Il était difficile de se prononcer pour celle qui se trouvait juste devant moi. Les 2 autres étaient visiblement plus âgées que moi, 5 ou 6 ans peut-être. Se pouvait-il qu’elles aussi soient soumises à la même menace que moi ? Pour l’instant, elles avaient adopté une attitude démontrant leur assiduité au travail. Lors de l’entretien avec ma mère, Madame Leblanc avait semblé dire que le régime s’appliquait à tout le monde. Peut-être, après tout, n’était-ce qu’une menace théorique qui ne se concrétisait jamais ?
- »Crois-tu que tu es suffisamment attentif à ton travail en baillant ainsi aux corneilles, Fabien ? »
Le rappel à l’ordre me fit retourner rapidement aux activités qui m’avaient été prescrites, abandonnant, pour le moment, l’observation de mes co-locataires.

Nous passâmes à table à 19h30 précises.
Chacun avait sa place où l’attendait une serviette soigneusement pliée dans un rond à son nom. Madame Leblanc fit les présentations.
- »Voici Carole qui a 25 ans. Elle termine ses études cette année. Elle passe un DESS d’Anglais. Elle habite ici pendant ses études depuis 5 ans maintenant. A coté, c’est Sylvie. Elle a 24 ans et c’est la troisième année qu’elle vit parmi nous. Elle recommence, pour la deuxième année une maîtrise de mathématique. Il va falloir travailler un peu plus que l’année dernière. Il n’est pas question d’échouer une nouvelle fois. N’est-ce pas Sylvie ? Ou alors j’ai bien peur que tes fesses seront très souvent toutes rouges ! »
- »Oui Madame » répondit la jeune fille interpellée. Elle rougit jusqu’au bout des oreilles et baissa la tête.
A 24 ans, la fessée était toujours envisagée comme punition en cas de travail insuffisant !
- »Bien. Parmi les anciennes il reste Béatrice qui a 21 ans. C’est la deuxième année qu’elle loge ici. Elle fait des études de lettre. Et il y a nos deux nouveaux : Julie et Fabien qui ont tous les deux 18 ans. Que fais-tu comme étude Julie ? »
- »Je commence des cours de médecine, Madame. »
- »Et toi Fabien ? » Je sursautais comme si j’étais pris en défaut.
- »Je fais des études d’économie, répondis-je en rougissant »
La cuisinière apporta un potage fumant qu’elle déposa sur la table.
« - »Je vous présente Madame Sand qui s’occupe de la cuisine. Faites attention, elle est très pointilleuse sur la propreté de sa cuisine. »
J’appris à cette occasion que, chacun à son tour, nous étions désignés pour aider Madame Sand à débarrasser la table, à faire la vaisselle et à ranger la cuisine. Avec l’entretien de notre chambre, c’était notre contribution matérielle à la tenue de la maison.
Madame Leblanc se chargea de servir la soupe.
- »Julie, approche ton assiette. »
- »Non merci Madame, je n’aime pas la soupe. »
- »Sache, jeune fille, qu’ici tout le monde mange de tout et finit tout ce qu’il y a dans son assiette. Est-ce compris ? »
- »Oui Madame, répondit Julie en tendant son assiette »
Durant le reste du repas les anciennes racontèrent leurs vacances échangeant avec Madame Leblanc leurs impressions sur les contrées qu’elles avaient visitées. L’atmosphère était plutôt détendue, Madame Leblanc se révélait une hôtesse tout à fait charmante. Julie et moi restions silencieux. La question des punitions qui planaient au dessus de nos têtes m’empêchait de me mêler à la conversation. Les quelques indices glanés dans la conversation, me laissait à penser, qu’au moins l’année dernière, la fessée avait été administrée à certaines des étudiantes qui habitaient ici. Ce n’était pas fait pour me rassurer. L’autorité stricte de notre logeuse était  bien réelle.

A la fin du repas, nous fûmes envoyés dans notre chambre avec ordre de nous déshabiller pour nous mettre au lit
- »N’oubliez pas de vous laver les dents, rappela Madame Leblanc, je viendrai éteindre les lumières. »
J’eu l’impression de me retrouver petit garçon : au lit à 21h00, avec des recommandations de propreté, … Décidément Madame Leblanc ne s’était pas rendu compte que c’était des adultes qu’elle avait en face d’elle. Je me demandais combien de temps j’allais pouvoir supporter cette situation avant de lui dire son fait.
Après avoir mis mon pyjama, je m’allongeais sur mon lit pour lire. J’entendis notre hôtesse interpeller Béatrice qui était ma voisine de chambre. Sans en comprendre le contenu, il fut bien vite évident que la jeune fille avait dû commettre une bêtise. D’un ton ferme, d’une voix haute, Madame Leblanc signifiait son mécontentement. Bientôt, le silence relatif qui suivit, fut remplacé par un bruit régulier saccadé, sec, qui passait aisément à travers la cloison qui séparait nos chambres. Il fut bien vite accompagné par des supplications, puis des cris et enfin des sanglots. Il me fallu me rendre à l’évidence : Béatrice recevait une fessée. Compte tenu des sons qui l’accompagnaient, j’eus l’impression qu’elle lui était donnée sur les fesses nues. Elle sanglotait sans aucune retenue quand la punition s’arrêta.

Quelques instants plus tard, sans frapper, Madame Leblanc s’invita dans ma chambre.
- »Fabien, il n’est pas question de lire ce soir, on va éteindre la lumière tout de suite. »
Elle fit, du regard, le tour de ma chambre.
- »Va plier tes vêtements sur la chaise. On ne les jette pas comme ça pour la nuit. Je te le dis aujourd’hui pour la dernière fois, j’attends de toi que tu prennes soin de tes affaires. »
Encore sous le coup de la scène dont je venais d’être l’auditeur involontaire, je me levais rapidement et réparais cet oubli qui, dans cette maison, pourrait porter à conséquence.
- »Viens ici Fabien ! » Madame Leblanc venait d’ouvrir mon armoire.
Je m’approchais prudemment quand elle me saisi par le bras et me planta devant mon désordre savamment organisé. Sa prise était tellement ferme qu’il n’était pas question de me dégager. Elle m’attira à ses cotés sans effort apparent.
- »Qu’est-ce que c’est que ça ? C’est comme ça que tu ranges ton armoire ? » Elle accompagna cette dernière question avec une claque qui s’abattit sur ma cuisse. « Ne t’avais-je pas demandé de ranger correctement tes vêtements ? » Une deuxième claque atterrit sur mes fesses.
- »Aïe ! » mes mains se portèrent instinctivement vers mon postérieur, cherchant à le protéger. « Ca ne va pas non, ça fait mal ! » Je tentais de m’éloigner mais elle me tenait solidement.
- »Lâchez-moi, il n’est pas question que vous me frappiez de cette façon ! »
- »Ah non ? Mais où te crois-tu ? » Elle me fit passer sous son bras, puis elle enserra ma taille, me courbant sous son coude. Je me sentis alors soulevé, mes pieds ne touchant plus terre. Sans difficulté apparente, en me portant, elle se dirigea vers mon lit. De sa main libre, elle saisit l’élastique de ma culotte de pyjama et sans plus de cérémonie elle me déculotta, abandonnant le vêtement maintenant inutile à hauteur de mes genoux.
Elle s’assit sur mon lit et me coucha, à plat ventre, sur ses genoux. Aussitôt, je tentais de me relever. Elle affermit sa prise, me replaçant en position disciplinaire et une première fessée claqua sur mon postérieur que je couvris de ma main libre. Elle se saisit alors de mon poignet et replia mon bras dans mon dos.
Une deuxième claque tomba sur mes fesses, suivie d’une autre. C’était une véritable grêle de coups qui rougissait mes fesses.
- »Aïe, aïe, » Très vite la douleur devint intolérable. Toutes mes tentatives pour me relever étaient vaines. J’étais maintenu solidement en position. Chaque fois que je réussissais à glisser de quelques centimètres, elle marquait une pause, me remettait en place et la fessée reprenait de plus belle.
- »Aïe, aïe, arrêtez, aïe, je vais ranger, aïe, mon armoire »
Rien n’y faisait la fessée continuait. Bientôt, je cessais de me débattre, me concentrant sur la brûlure qui, partant de mes fesses, irradiait tout le bas de mon corps. Mon seul souci était que s’arrête enfin cette punition.
- »Aïe, pardon, je ne le ferai plus, aïe ! » Ma supplique se brisa en un sanglot, immédiatement suivi d’un autre. Quelques instants plus tard, je pleurais, à chaudes larmes, sanglotant comme un petit garçon attendant que sa punition soit achevée. Elle dura un temps qui me sembla sans fin. Puis, après une dernière série sur le haut de mes cuisses, ce qui raviva la douleur, la fessée cessa. Je crois bien que je ne m’en rendis pas tout de suite compte, l’esprit tout occupé par la souffrance concentrée sur mes fesses.
Elle me prit par le bras et me remis sur mes pieds.
- »Va au piquet, le nez contre le mur ! » Je me baissais pour remonter mon pyjama quand je reçus une nouvelle claque sur mes fesses.
- »Qui t’a dit de remonter ta culotte ? Tu vas aller au piquet, culotte baissée. Je te conseille, si tu ne veux pas recevoir une autre fessée, de t’y faire oublier. Tu colles ton nez contre le mur, tu mets les mains sur la tête et tu ne bouges plus. Attention à toi si je te vois remuer ne serait-ce qu’un petit doigt ! »
Sans demander mon reste, je m’exécutais, bien décidé à ne pas risquer une nouvelle punition. Je l’entendis ranger mon armoire, replier ce qui devait l’être, porter ma trousse de toilette et mes serviettes dans le placard de la salle de bain. Enfin, elle sortit de ma chambre.

Je dus rester ainsi 15 à 20 minutes. Au début, je continuais à pleurer sans pouvoir atténuer la douleur. L’envie de frotter mes fesses me tenaillait, mais je n’osais pas bouger. Puis la souffrance devenant plus sourde, je commençais à réaliser ce qui m’était arrivé. Je me rendis alors compte que je venais d’être puni exactement comme elle l’avait annoncé à ma mère lors de notre première visite. Le bruit de la fessée, mes supplications puis mes sanglots avaient dû s’entendre dans toute la maison. J’étais au piquet, cul nu, face à la porte qui était ouverte, si j’en croyais les bruits que j’entendais. En passant dans le couloir, n’importe laquelle des filles qui habitaient dans la maison pouvait me voir dans cette position humiliante. Des larmes recommencèrent à couler silencieusement le long de mes joues.
Madame Leblanc revint quelques instants plus tard.
- »Fabien, viens ici. » Tout en laissant mes mains croisées sur ma tête, je me dirigeais vers mon armoire où m’attendait Madame Leblanc. Mon déplacement ne fut pas aisé, mon pantalon de pyjama entravait mes jambes, me donnant une démarche qui devait être un peu ridicule. Je dus traverser ma chambre dans cette tenue.
- »J’ai rangé ton armoire comme elle devra l’être tout au long de l’année. Tu sais maintenant ce que tu risques si tu n’y fais pas attention. Je n’hésiterais pas à recommencer, voire à utiliser le martinet. Est-ce compris ? »
- »Oui Madame, lui répondis-je entre deux sanglots. »
- »Remonte ton pyjama et va au lit. »
Je ne pus pas retenir un petit cri lorsque l’élastique du pyjama effleura mes fesses douloureuses. Je me couchais. Madame Leblanc s’approcha, borda mon lit puis déposa un baiser sur mon front.
- »Allons, dit-elle, c’est fini. Quand on a reçu sa punition, la bêtise est oubliée et pardonnée … jusqu’à la prochaine fois. »
En sortant elle éteignit la lumière, me laissant à mes pensées qui étaient pour le moins contradictoires. La douleur était encore bien réelle. Je dus me tourner sur le ventre. Mes mains se portèrent à mes fesses et doucement je les massais. Des larmes coulaient encore de mes yeux. D’une part je me promis de tout faire pour éviter une autre punition de cette nature ; d’autre part, je me révoltais, intérieurement contre le traitement qui m’avait été infligé. J’étais impressionné par la facilité avec laquelle elle m’avait déculotté. Etait-il possible de résister ? J’avais été pris par surprise et il était beaucoup plus facile de baisser une culotte de pyjama qu’un pantalon. La prochaine fois, je ne me laisserais pas faire.
Sur cette résolution définitive je m’endormis, épuisé par les émotions de la première journée chez Madame Leblanc.

6 commentaires:

  1. J'ai trouvé cette histoire en faisant des recherches sur l'internet. L'un de mes récents amis m'a avoué qu'il aimait recevoir des fessées cul nu. Je trouve cela étrange. Nous sommes des adultes, mais en même temps l'idée de donner ou de recevoir une fessée est plutôt excitante. Quelques temps plus tard, je lui ai proposé en hésitant de lui donner la fessée. Je ne l'ai pas encore fait. Je vais lire votre histoire que je trouve bien écrite avant de me lancer dans cette aventure.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour anonyme. Ton ami n’est pas le seul à recevoir la fessée déculottée. Moi aussi je la reçois et souvent. Oui l’idée de recevoir la fessée est assezexistante. Moi moi c’est toujours la fessée punitive en raison de mes bêtises et de mon comportement immature. Il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée si elle est méritée. Toi aussi tu aurais peut-être besoin d’être fessée. Merci de nous faire partager ton expérience. Je veux bien te faire partager les miennes. Moi je sais que les fessées que je reçois je les mérite.

      Supprimer
    2. Bonjour anonyme. Alors j’espère que tu as pris connaissance des récits de ce blog. Tu as pu te lancer dans l’aventure de la fessée avec ton ami…? Je suis sûr qu’il est impatient. Nous aussi. Tu nous racontes…

      Supprimer
    3. Bonjour anonyme. Moi tu vois hier j’ai reçu une bonne fessée déculottée. D’abord une sévère claquée sur les fesses et ça chauffait bien. Ensuite comme j’avais agi comme un vilain garçon en faisant de grosses bêtises j’ai eu droit au martinet cul nu. Une bonne fouettée qui a zèbré mes fesses et mes cuisses. C’était vraiment mérité. Et toi tu as fessé ton ami ?

      Supprimer
    4. Bonjour cher anonyme. Tu as donné la fessée cul nu à ton ami...? Et peut-être toi aussi tu as reçu une bonne déculottée.

      Supprimer
    5. Bonjour anonyme.
      Alors tu as fessé ton ami...
      comment ça s’est passé...?
      Cordialement.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.