samedi 10 décembre 2016

St Marie - chapitre 5

Ainsi placé, je n’eus plus que des informations très fragmentaires sur ce qui se passait derrière  moi. J’entendais ma tutrice vaquer à ses occupations et je ne réussissais à la situer que lorsqu’elle faisait un léger bruit en utilisait l’un des objets quotidiens. Au bout de quelques minutes, je l’entendis prendre place dans le canapé.
-          Voyons, quel est le numéro de téléphone de la tante de ce grand jeune homme si sage dans son coin ?
Il y eut quelques légers bruits que je ne parvins pas à identifier.
-          Ah, voila ! Très pratique ce carnet de correspondance, il y a tout ce qu’il faut.
Il y eut un bruit de téléphone.
-          Allo ? Madame Letourneur ?

-          …
-          Bonjour !
Ma tante ! Madame Lambret téléphonait à ma tante.
-          Je suis la tutrice de votre neveu.
Maintenant, j’étais certain que mon infortune fera certainement le tour de mes proches. Ma tante ne s’en priverait pas.
En quelques mots, elle expliqua la charge qu’elle avait acceptée.
-          Marc ? Et bien, il est à quelques pas de moi. Malheureusement il ne peut pas venir vous saluer, sauf si vous insistez. Je l’ai mis au coin après lui avoir administré une fessée déculottée avec le martinet.
-          …
-          Si j’en juge par mon expérience, montrer ses fesses est le cadet de ses soucis. Actuellement, il cherche surtout à se tenir sage dans le coin de façon à s’éviter une nouvelle fessée.
Elles échangèrent quelques phrases sur les bénéfices apportés par la fessée, convenant que je devais y être soumis aussi souvent que nécessaire, si besoin était, et autant que je puisse en juger en n’entendant que la moitié de la conversation, ma tutrice avait reçu tous les encouragements possibles de la part de ma tante.
-          Je voulais discuter avec vous de certains arrangements matériels.
On en venait enfin au sujet principal de l’appel.
-          Je suis donc chargée de surveiller son travail et son comportement scolaire. Il me semble, si nous souhaitons que cette année lui soit profitable, qu’il convienne également que je m’assure que son hygiène de vie lui permette une grande disponibilité pour ses études.
-          …
-          Et bien, par exemple ses heures de coucher, ses sorties, ses fréquentations, sans oublier son régime alimentaire et sa propreté.
Dans mon coin, je suffoquais à l’écoute de ce programme. Il était approprié pour un enfant de 12 ans au plus. Je songeais à protester, mais la perspective de recevoir une autre fessée m’arrêta aussitôt.
-          Si j’ai bien compris, vous versez une allocation à Marc.
-          …
-          Je préfèrerais avoir à la gérer moi-même.
-          …
-          Vous savez, pour moi il n’est qu’un petit garçon et je ne crois pas raisonnable de le laisser s’occuper d’un telle somme. Il n’a besoin que d’un peu d’argent de poche. Je pourvoirai à tous ses besoins. De plus certaines de ses habitudes doivent changer : prenez par exemple son habillement. Vous savez, je préfère acheter moi-même ses vêtements, ce qu’il porte est bien trop négligé, je vais l’habiller plus classique. Bien évidemment, je vous rendrai des comptes détaillés de l’utilisation de cet argent.
Bien vite, les deux femmes se mirent d’accord. Il fut question d’un notaire qui règlerait les formalités dès le lendemain, puis après quelques échanges de politesse, la conversation téléphonique prit fin.

Madame Lambret reprit ses occupations. J’essayais d’imaginer la vie qui allait être mienne durant toute cette année. Je me représentais assez bien les fessées qui me seraient administrées, j’en avais eu un échantillon assez démonstratif. Je m’étais également habitué à l’idée de passer du temps à mon travail scolaire. Je savais maintenant que ma tutrice aurait les moyens de m’y contraindre. Me représenter le reste de ma vie, sous la coupe de ma plus proche voisine, me plongeait dans un abîme de questions dont je n’avais pas les réponses. Etait-ce possible, à mon âge, de m’habituer à un tel contrôle ? Fort heureusement, en dehors du temps passé à l’école et de celui qui serait consacré à mes devoirs, il resterait des moments que je pourrai remplir à ma guise. Il suffirait de m’éloigner physiquement de ma tutrice pour retrouver une autonomie qui convienne mieux à mon âge.

Comme il en avait été après la fessée que la directrice m’avait administrée avec la règle, la douleur vive avait disparu. Elle avait occupé mon esprit durant les premières minutes passées au coin. Cela n’en était que plus difficile maintenant. Je me sentais vulnérable, bien conscient que mes fesses étaient toujours immédiatement disponibles pour une nouvelle correction. Bien que mes attributs sexuels soient dissimulés, j’avais l’impression qu’ils étaient publiquement exposés. Parmi toutes les émotions que j’avais ressenties depuis la première fessée que j’avais reçue, c’était le sentiment de honte qui dominait.
Chaque fois que, au bruit de ses pas, j’entendais Madame Lambret entrer dans la pièce où je me tenais, je devais mobiliser ma volonté pour rester immobile. Immanquablement, je ressentais le besoin de couvrir mes fesses afin de retrouver une tenue plus décente. Rester au coin, culotte baissée, se révélait donc presque aussi pénible que de recevoir la fessée.

J’en étais là, suivant à l’oreille, les déplacements de Madame Lambret qui venait de pénétrer dans la cuisine, quand il me sembla que j’entendis un bruit venant, à l’opposé, de l’entrée de l’appartement. Je tendis l’oreille. Je distinguais alors nettement le bruit d’une porte qui se refermait.
-          Maman, c’est moi ! je suis …
C’était la voix d’une jeune fille qui, après avoir fait quelques pas dans le séjour dans le coin duquel je me tenais, avait brusquement interrompu sa phrase.
-          Oh, fit-elle !
Autant que je puisse en juger, elle se tenait tout près de moi et son regard avait dû tomber sur mes fesses dénudées. La nécessité de soustraire mon intimité à son regard fut plus forte que la consigne donnée par ma tutrice. Je me baissais et je commençais à remonter ma culotte.
-          Marc ! Il suffit !
L’autorité qui transparaissait dans la voix de Madame Lambret arrêta mon geste. Je laissais ma culotte en haut de mes cuisses et je me remis au coin. Je discernais les pas de ma tutrice qui se dirigeait vers moi. Elle me prit par le bras et me fit pivoter. Elle m’entraîna derrière elle vers le milieu de la pièce. J’aperçus furtivement une jeune fille qui se tenait, bouche bée, à moins de deux mètres de moi. Puis, ceinturé par Madame Lambret, je dus me courber sous son bras. Ma culote ne tarda pas à retrouver sa place d’origine. Je reçus une volée de claques sur la peau nue de mes fesses, puis Madame Lambret marqua une pause.
-          Qui t’a autorisé à remonter ta culotte ?
Elle fit suivre sa question d’une série de fessées avant de continuer.
-          Je t’ai dit que quand je te mets au coin, c’est pour t’y faire oublier et pour que je puisse contrôler que le rouge de tes fesses montre que tu as été correctement fessé. Il n’est pas question que tu en bouges y compris si quelqu’un entre dans la pièce où tu te tiens.
Elle claqua de nouveau mes fesses de sa main nue.
-          Le fait qu’il y ait d’autres personnes qui puissent te voir cul nu, n’est pas une raison suffisante pour enfreindre une consigne que je t’ai donnée. Ne te fait pas d’illusion, cela arrivera à d’autres occasions. Je n’ai pas l’intention de t’éviter une fessée, ni même de la différer, sous prétexte qu’il y aurait des témoins.
Sa main s’abattit de nouveau sur mon postérieur. Je commençais à réagir à la cuisson de mes fesses par des grognements qui finirent en cris.
-          Quand à la présence de Lucille, il faudra t’y habituer, comme elle devra s’habituer à la tienne. La présence de l’un ne m’empêchera pas de donner une fessée déculottée à l’autre. Au contraire. Je compte bien que de voir l’un recevoir la fessée mettra à l’autre du plomb dans la tête en songeant qu’au même motif, il recevra la même punition.
Je réagis fortement à la nouvelle fessée qui me fut alors administrée. Lucille, puisque tel était son nom, avait une vue totale sur mes fesses qui devaient de nouveau prendre une couleur rouge uniforme. Comme elle se tenait légèrement sur le côté, elle devait également pouvoir regarder mon sexe qui pendait entre mes jambes. Pour l’heure, mes préoccupations étaient tout autres.
-          Mon petit Marc, tu vas regretter ta désobéissance. Lucille, va chercher le martinet !
Elle me fit patienter, si on peut dire, en m’administrant une nouvelle fessée qui ne cessa que lorsque Lucille fut revenue.
-          Merci Lucille. Non, tu restes là ! Je veux que tu regardes et que tu penses bien à la fessée que tu recevrais pour la même désobéissance.
Je savais à quoi m’attendre quand le martinet entrait en jeu. Je ne tentais pas de maîtriser mes réactions. Bien que Lucille fût présente, j’extériorisais immédiatement la douleur que le martinet provoquait sur mes fesses. Dès la troisième ou la quatrième fois que ma tutrice me cingla les fesses avec les lanières du martinet, je passais des cris aux sanglots continus.
Courbé sous le bras de Madame Lambret, j’avais un peu plus de liberté de mouvement que lorsque je m’étais retrouvé à genoux entre ses jambes. Mes contorsions étaient cependant limitées par le bras de ma tutrice qui entourait ma taille. J’étais tenu suffisamment fermement pour comprendre quelles était les limites permises à mes gesticulations. Instinctivement, je les respectais, reconnaissant ainsi, de fait, la légitimité de ma voisine à me corriger.
Je fus presque surpris quand elle me relâcha. Je me redressais. Indifférent à la présence de Lucille, je croisais mes bras dans le dos, laissant les spectatrices jouir de la vue de mes fesses striées par les traces qu’avaient laissé les lanières du martinet et de mon sexe flasque entre mes cuisses.
-          Retourne au coin !
Afin de renforcer son propos, elle cingla le haut de mes cuisses à l’aide du martinet. Je me dépêchais d’obéir et je repris la pose que je regrettais d’avoir quittée. Montrer mes fesses nues aux deux femmes qui se tenaient derrière moi m’était indifférent, pourvu que la fessée soit terminée. Le coin était finalement un bon endroit où mes fesses n’étaient pas directement à disposition de ma tutrice.

Madame Lambret m’y laissa longtemps. Les deux femmes allaient et venaient et je me rendis vite compte qu’une obéissance sans faille était également exigée de Lucille. En fait, elle m’appliquait le même régime que celui auquel était soumise sa fille. Cependant, je tressaillais chaque fois que je me rendais compte que cette dernière traversait la pièce. Je n’arrivais pas à me faire à l’idée de son regard sur mes fesses nues. Cette gêne qui se traduisait par une honte encore plus forte, n’était toutefois pas suffisante pour que je prenne de nouveau le risque de me soustraire au regard de la jeune fille.
J’avais perdu tout repère temporel lorsque je sentais les effluves des préparatifs du dîner, ce qui me fut confirmé, quelques instants plus tard lorsque ma tutrice ordonna à sa fille :
-          Lucille, il est l’heure de mettre la table. Marc mange avec nous. Tu lui mettras donc un couvert.
Elle avait tant pris de décision à ma place que je ne portais pas attention à celle-ci. Elle avait, en effet, le pouvoir de décider de me fesser, elle pouvait donc bien décider où je mangerai. Je n’eus d’ailleurs pas le temps de réfléchir plus longtemps à la situation.
-          Marc, viens me voir !
N’ayant pas l’intention de lui fournir un autre motif de punition, je me retournais et, les bras toujours croisés dans le dos, je marchais vers le canapé où ma tutrice était assise. Je me campais devant elle. J’entendis Lucille remuer de la vaisselle dans la cuisine.
-          Bon, il me semble que ces deux fessées t’ont fait beaucoup de bien. Désormais, je compte sur ton obéissance.
Lucille, les mains chargées des assiettes, pénétra dans la pièce et me jeta un coup d’œil. Son regard descendit jusqu’à mon sexe, ce qui me fit rougir jusqu’aux oreilles. Madame Lambret surprit mon trouble.
-          Oh, ne t’inquiète pas. Tu verras bientôt Lucille dans la même tenue que toi. Elle aura également l’occasion de te montrer ses fesses à l’occasion de sa prochaine fessée.
Ce fut au tour de la jeune fille de se troubler. Le rouge lui monta aux joues, mais elle ne répliqua point, se sachant sans doute sur un terrain dangereux.
-          En ce qui te concerne, ce n’est pas fini. Je compte te donner deux autres fessées ce soir : l’une en réponse à celles que tu as reçues à l’école, et l’autre pour avoir refusé de te déculotter. Tu recevras la première juste après le repas, ce qui te permettra de passer la soirée au coin ; et je te donnerai la deuxième juste avant de te coucher. Tu auras ainsi matière à réfléchir sur la nécessité de l’obéissance durant la nuit. Nous verrons pour les autres demain.
A son ton, je compris que ce report à demain constituait une faveur qui m’était faite.
-          Nous avons deux ou trois choses à régler avant le repas. Pour commencer, reculotte-toi.
Ma pudeur serait donc épargnée durant le temps nécessaire pour manger. Je remontais ma culotte et je me rhabillais avec soin. L’expérience avec la directrice m’avait servi de leçon.
-          Désormais, tu prendras tes repas ici. Je préfère t’avoir sous la main, si je puis dire.
Elle sourit de cette plaisanterie que je ne trouvais pas très drôle. Il est vrai qu’elle était faite à mes dépends.
-          J’ai besoin du double des clés de ton appartement. Va le chercher tout de suite. Tu ramèneras également les clefs et les papiers de ta voiture. Tu n’auras plus à utiliser ton véhicule sauf si je t’y autorise explicitement. Le trajet jusqu’à Sainte Marie se fera en bus. Comme j’exige que tu rentres directement de l’école pour faire tes devoirs, ta voiture sera inutile en semaine.
J’intégrais cette nouvelle restriction de mon champ de décision.
-          Le week-end, tu ne sortiras que si j’y consens. Cela ne se fera que si tu as été sage dans la semaine. Dans tous les cas, j’exige de savoir très précisément où tu seras et je t’indiquerai l’heure à laquelle tu devras être de retour. Est-il utile de te préciser ce qui t’arriveras si tu outrepasses ces règles ?
Je baissais les yeux et je restais silencieux. Je reçus une claque sur la cuisse recouverte de mon pantalon. Elle ne me fit pas mal, mais sonnait comme un avertissement.
-          Quand je te pose une question, j’attends une réponse. Faut-il que je te déculotte encore une fois pour que tu comprennes cela ?
-          Oh non Madame, j’ai compris, m’empressais-je de répondre.
-          Voyons cela. Je te repose la question : quelle punition recevras-tu si tu n’es pas à l’heure pour ton retour ?
-          Une fessée, Madame.
-          Quelle sorte de fessée ?
Je n’hésitais qu’une fraction de seconde avant de répondre.
-          Une fessée déculottée Madame.
-          Bien ! Je vois que tu commences à comprendre. Ah, fit-elle, j’oubliais : tu prendras également ton carnet de chèque et ta carte de crédit. Je ne veux plus que tu t’en serves. Si tu as besoin de quelque chose, tu me le demanderas.
Sans autonomie financière, mes déplacements strictement limités et surveillés, il ne me restait que mes quelques moments d’intimité qui n’étaient pas contrôlés.
-          File chercher tout cela et dépêche-toi de revenir !
Je ne demandais pas mon reste et j’obéis sans discuter.

Durant le repas, Madame Lambret expliqua la situation à Lucille. Il fut convenu que je serai traité de la même façon que la jeune fille.
-          Tu es, en quelque sorte, mon grand garçon et comme tel tu seras puni comme je punis ma grande fille.
Elle accompagna sa déclaration d’un grand sourire à mon intention, comme si ce la devrait me réjouir. Je baissais les yeux, fixant les crudités dans mon assiette. Comme je maintenais ma posture pour cacher ma honte, à la vue de mes deux compagnes, elle fut interprétée comme une manifestation silencieuse de protestation.
-          Marc, je ne tolère pas que les enfants boudent lorsqu’ils sont en compagnie. En général, cela leur vaut une fessée immédiate. Relève la tête et mange correctement. Ici, les enfants se tiennent bien à table !
Avant la fin du repas, j’eu un aperçu de ce que cela voulait dire :
-          Ne mets pas tes coudes sur la table ! Vide ta bouche avant de boire ! Teins-toi le dos droit, on ne s’appuie pas au dossier de la chaise ! N’as-tu pas oublié de dire merci ? Ferme ta bouche quand tu mastiques !
Je m’empressais de me conformer aux demandes de ma tutrice. J’eu la chance de ne pas me faire prendre deux fois au même manquement lors de ce premier repas. Mes fesses en furent provisoirement épargnées, ce qui me fut expliqué sans détour :
-          Je te fais grâce pour cette première fois. A l’avenir, tu te le tiendras pour dit. Je n’hésiterai à sévir dès la prochaine fois !
Les repas seraient donc également une épreuve au cours de laquelle la punition serait suspendue au-dessus de ma tête, telle une épée de Damoclès. Je ne doutais pas de faillir à respecter ces règles, tant elles impliquaient une manière d’être qui différait notablement de mes habitudes.

Au cours du repas, la conversation abordait des sujets banaux. Je n’y participais que très peu, répondant par des phrases courtes aux questions qui m’étaient posé. Nous étions presqu’au dessert, lorsque Madame Lambret en vint à un sujet qu’elle avait visiblement oublié auparavant :
-          Dis-moi Lucille, as-tu déposé le tailleur à la laverie come je t’avais demandé de le faire ?
Il y eut une courte et fugitive lueur d’inquiétude dans les yeux de la jeune fille qui me faisait face. Puis, se reprenant, elle déclara :
-          Oui, maman, j’y suis allé en début d’après-midi.
Le trouble de la jeune fille avait été fugace, mais cependant bien visible. Alors que je m’attendais à ce que sa mère insiste afin d’en éclairer les raisons, elle passa à autre chose.
Le dîner s’acheva et je fus « invité », si on peut dire, à me joindre à Lucille pour débarrasser la table. Ce fut l’occasion d’une nouvelle remontrance :
-          On demande la permission avant de se lever de table !
Je repris place sur ma chaise et je demandais :
-          Puis-je quitter la table, Madame ?
-          Personne ne t’a appris à dire « s’il vous plait » lorsque tu demandes quelque chose à une grande personne ?
-          Puis-je quitter la table, Madame s’il vous plait ?
-          A la bonne heure ! Nous allons faire quelque chose de toi si tu continues à être aussi obéissant.

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