samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 12

Je me tenais devant Maman, la lettre à la main. Que disait-elle ? Comment Maman allait-elle réagir ? Je lui tendis le courrier et, les yeux foncés, elle se mit à lire. La lettre était longue, cela lui prit un petit moment.
Je ne savais pas exactement ce qu’il y avait dans la missive, mais je me doutais qu’il ne s’agissait pas de louanges.
Quelques jours plus tôt Madame Leblanc, m’avait donné une fessée quand elle avait lu mon bulletin scolaire.
- »Tes résultats sont très insuffisants, m’avait-elle dit. Il est urgent que tu travailles mieux à l’école. »
Si je comparais avec mes notes obtenues les années précédentes, à mon sens, c’était plutôt en progrès. Je n’avais plus de notes en dessous la moyenne que de temps en temps. Je commençais à n’être pas mauvais dans certaines matières. Madame Leblanc attendait un niveau de performance plus élevé, cela m’avait clairement été annoncé.
Nous étions à quelques jours des vacances de Noël, et je me préparais à retourner chez moi pour la première fois depuis le début de l’année scolaire. Deux semaines à la maison, deux semaines sans fessée.
Ma sérénité avait été ébranlée quand Madame Leblanc avait rajouté :
- »Je vais écrire à ta mère. J’espère qu’elle se montrera sévère. »
Maman pouvait être sévère, mais ses colères ne duraient jamais longtemps et la fessée ne faisait pas partie des habitudes familiales.
La lettre m’avait été remise cachetée avec consigne impérative de la remettre à ma génitrice dès le lendemain de mon arrivée. La première soirée avait été celle de nos retrouvailles. Maman souhaitait tout connaître de ce que j’avais vécu durant ces trois premiers mois. Le souvenir de la conversation de la première rencontre planait sur nos échanges. Je ne révélais rien de compromettant.
Maman posa la lettre sur la table basse du salon et me demanda :
- »Fabien, sais-tu ce qui est écrit dans le courrier de Madame Leblanc ? »
- »Euh … non Maman, elle ne ma l’a pas montré. »
- »Je vais t’en lire quelques extraits :
« … Sachez que durant ce trimestre, j’ai dû donner la fessée à Fabien très souvent. Il a essayé, au début de résister, ce qui lui a valu une correction plus sévère. A plusieurs reprises, j’ai dû lui administrer le martinet ou la baguette. Il sait maintenant qu’il vaut mieux se soumettre. Il baisse tout seul sa culotte et reçoit courageusement les fessées qu’il a méritées … »
Est-ce vrai, Fabien ? »
- » … oui Maman. » Mon séjour chez Madame Leblanc m’avait guéri des mensonges scabreux. Un simple coup de téléphone pouvait révéler la vérité, sans compter la punition que j’aurai reçue à mon retour pour avoir menti.
- »Combien de fois as-tu été puni de cette façon ? »
- »Je ne sais pas, … souvent, … plusieurs fois par semaine, … »
- »Je vois, que penses-tu de la suite ?
« … les fessées aidant, il a fait beaucoup de progrès. Il sait maintenant ranger sa chambre et se tenir propre, bien que, de ce coté là, il y ait encore des ratés que je corrige systématiquement. Il est devenu très obéissant. Cela fait au moins un mois que pas un gros mot n’a franchi ses lèvres, du moins en ma présence … »
Peux-tu m’expliquer ce que cela veut dire : « il y a encore des ratés quand on parle de la propreté » ?
Je dus m’étendre sur les inspections et sur les toilettes que Madame Leblanc me faisait elle même. Je ne soufflais mot des moments où Madame Leblanc prenait en charge mon hygiène corporelle et de la semaine que j’avais passé avec une couche et une culotte en plastique.
Aborder des sujets aussi intimes ne m’était pas habituel avec ma mère. Je ne crois pas qu’elle avait contemplé mes fesses nues depuis que j’avais dépassé l’âge de 7 ou 8 ans. Le trimestre passé chez Madame Leblanc me contraignait à aborder des sujets tabous au sein de ma famille. Ma réticence était évidente.
- »J’espère, Fabien, que tu me dis la vérité. Je pense que je vais téléphoner à Madame Leblanc pour avoir plus de précision. C’est la suite qui mérite que tu t’expliques. Elle reprit la lecture :
« … Je crois que nous sommes en bonne voie pour l’ensemble des difficultés que rencontrait Fabien au début de cette année, même s’il sera probablement nécessaire de le fesser quelques fois à ce sujet d’ici la fin de l’année
 Il reste, toutefois, un gros point noir. Les résultats scolaires de Fabien sont insuffisants. Soyons juste, il a déjà effectué de gros progrès. A force de recevoir la fessée, il apprend maintenant ses leçons. Comme son bulletin le montre, il semble se contenter d’être dans la moyenne alors que ses capacités oui permettraient de briguer la tête de la classe … »
Alors ? »
- »Je, … je ne sais pas … »
- »Va chercher ton bulletin scolaire ! »
Je retournais dans ma chambre et je revins avec le document. J’avais espéré qu’il passe inaperçu. Ma mère le consulta.
- »Effectivement, dit ma mère, … et bien, … bon, tu restes juste au dessus de la moyenne. Il y a des matières où c’est même un peu en dessous : l’anglais et l’économie. Comment cela se fait-il ? »
N’ayant pas de réponse convaincante à proposer, je pris le parti de contempler la moquette entre mes pieds et de faire profil bas.
- »Si tu le veux bien, je vais prendre ton silence pour un accord, rajouta Maman, voyons la suite :
« … Je pense qu’une attitude très sévère de votre part pourrait lui faire comprendre l’importance qu’il y a à travailler beaucoup plus. Il est nécessaire qu’à votre tour vous lui montriez, de façon très concrète, que nous sommes toutes deux insatisfaites de ses performances … »
- »J’ai bien l’impression que je vais être d’accord avec Madame Leblanc. »
Je sentais l’angoisse monter en moi. Maman paraissait résolue, son opinion faite. Si elle avait adopté celle de Madame Leblanc, cela ne pouvait pas être une bonne nouvelle pour moi.
- »D’ailleurs la solution qu’elle préconise me semble adaptée, écoute plutôt :
« … Il conviendrait, en effet, que vous exigiez un travail quotidien durant les vacances et que vous le punissiez pour son médiocre bulletin scolaire. Une bonne fessée déculottée me semble appropriée. J’ai mis, dans le sac de voyage de Fabien, un martinet que vous devriez utiliser, si vous le jugez bon. Une bonne fessée doit le laisser sanglotant, c’est à ce prix que vous serez sûre que la punition a porté … »
Le mot était lâché. Maman allait-elle devenir, à son tour une adepte de la fessée ? En un éclair, je compris que Madame Leblanc venait de lui donner l’autorisation qui lui avait toujours manqué pour utiliser les châtiments corporels à mon encontre.
- »Ecoute attentivement la suite :
« … Si Fabien venait à résister lors de l’application d’une correction que vous auriez jugée bon de lui administrer, faites lui savoir que dans ce cas, il serait puni toute une semaine pour chaque refus lorsqu’il reviendra ici. N’hésitez pas à me téléphoner si nécessaire … »
- »Je crois, me dit Maman, que les choses sont claires. Veux-tu aller chercher le martinet qui est dans ton sac et me l’amener ici ! »
- »Mais Maman, je pense que tu sais me punir d’autres façons, et … »
- »Fabien, cela suffit. Tu vas me chercher ce martinet et tu reviens ici. Si dans 30 secondes, tu n’es pas de retour, je téléphone à Madame Leblanc. »
Comme malgré moi, je pivotais et je marchais vivement vers ma chambre. Le martinet était au fond de mon bagage. Je revins avec l’instrument de mon malheur à la main.
- »Il était temps, remarqua Maman. Rapproche-toi ici ! »
Elle me désignait le sol, à sa droite, tout près de l’endroit où elle était assise.
- »J’ai décidé de te punir pour te faire comprendre que tu ne travailles pas assez. Tu vas recevoir une bonne fessée, culotte baissée. J’attends de toi que tu obéisses. As-tu compris ? »
- »Oui Maman. »
- »Comment cela se passe-t-il chez Madame Leblanc ? Est-ce toi qui baisse ton pantalon ou bien Madame Leblanc s’en charge-t-elle elle même ? »
Je dus avouer que très souvent il était exigé que je me prépare moi-même à subir la punition.
- »Bon, baisse ton pantalon puis ta culotte ! »
Les larmes me montèrent aux yeux, mais la situation était inextricable. Je ne me voyais pas refuser d’obtempérer face à la ferme résolution de ma mère, d’autant plus qu’elle était appuyée par toute l’autorité et les menaces de Madame Leblanc. Je portais un survêtement qui tenait à ma taille par un élastique. Il me suffit de le faire glisser le long de mes cuisses, laissant ma culotte blanche apparente. Je marquais un temps d’arrêt, espérant la clémence de ma mère.
- »Allons, la culotte dépêche-toi ! »
Je pris l’élastique de mon sous-vêtement de chaque coté de ma taille et je le tirais vers le bas, lentement, espérant un miracle. Il n’y en eut pas. Déculotté, je me tenais devant Maman, prêt à recevoir la fessée.
- »Est-ce que Madame Leblanc te couche sur ses genoux ? »
Je dus acquiescer.
Elle me bascula en travers de ses genoux, m’allongeant à plat ventre.
- »Je crois que la méthode de Madame Leblanc a du bon. Désormais, je te punirai de cette façon. Tu recevras la fessée à chaque fois que tu le mériteras, et crois-moi, je n’hésiterai pas. »
Sa main frappa mes fesses. La sensation m’était familière, mais le fait de la ressentir, pour la première fois, par ma mère à 18 ans me vexa. Je ne pus retenir mes larmes qui perlaient déjà sur le bord de mes paupières.
Maman me parut un peu hésitante au début. Sa main ne tombait pas toujours à plat, réduisant l’efficacité de la fessée. Puis, sa courte expérience lui permit de prendre de l’assurance et de claquer mes fesses plus fort, plus efficacement, plus régulièrement. Elle sentait mes réactions quand la fessée gardait toute sa vigueur. Elle apprit bien vite comment transformer son grand fils en un petit garçon sanglotant sur ses genoux.
Puis se saisissant du martinet, elle m’en cingla les fesses, m’arrachant des cris de douleur. A force de me tortiller sur ses genoux, je glissais et je me retrouvais allongé sur le sol.
- »Fabien, tu reviens te mettre en position sur mes genoux; tout de suite ! »
Le ton qu’elle avait adopté ne laissait pas de place à la discussion, ma tenue, culotte baissée, fesses marquées, ne m’incitait pas à m’engager sur le chemin de la désobéissance. Je me relevais et je repris ma place. Le martinet recommença sa sarabande, mes fesses l’accompagnèrent en une chorégraphie involontaire. Les terribles lanières s’acharnèrent sur mon postérieur sans que je tentasse de m’y soustraire. Mes cris et mes pleurs n’attendrirent pas ma mère qui jugea ma punition achevée quand tout mon derrière fût incandescent.
- »Que fais-tu chez Madame Leblanc après une punition ? »
Entre deux sanglots, j’arrivais à lui répondre :
- »Je vais au piquet. »
- »Alors hâte-toi de t’y mettre, comme tu en as l’habitude. »
Elle me désignait un espace dégagé du mur du salon. Je traversais la pièce avec la démarche de canard qu’on est contraint d’adopter lorsque la culotte et le pantalon baissés restreignent les mouvements. J’avais croisé mes mains sur ma tête, et je m’agenouillais le long du mur, le bout de mon nez en contact avec la tapisserie. Je m’immobilisais comme la pénitence l’exigeait, bien que je sois encore secoué par des sanglots.
- »Regarde bien cet endroit sur le mur, je te promets que, désormais, tu vas y passer de longs moments. Tu ne bouges pas de là avant que je ne t’y autorise ! »
Passés les premières minutes où mes pleurs s’espacèrent, je réalisais l’horreur de ma situation. A 18 ans, Maman venait de me donner une fessée déculottée pour la première fois. Cul nu, j’étais exposé au piquet. Il y avait toutes les chances que cette situation se reproduise au moindre prétexte que je fournirai. Ayant reçu la fessée une première fois, je ne voyais pas ce qui me permettrait d’éviter les suivantes. Les vacances à la maison risquaient d’être douloureuses.
Mes craintes furent confirmées dès le lendemain. A mon réveil, je tentais de me persuader que Maman ne recommencerait certainement pas. Mon travail insuffisant à l’école avait motivé la punition. Il n’y avait pas de risque que cela se reproduise avant la fin du prochain trimestre et je comptais bien, d’ici là, avoir des notes qui m’éviteraient d’être puni.
Après le petit déjeuner qui nous avions pris ensemble, Maman me dit :
- »Tu vas faire ta toilette tout de suite, puis tu redescends afin que nous puissions voir ensemble le travail que tu auras à faire ce matin. »
Je montais dans ma chambre et je repris mes vieilles habitudes. Toujours en pyjama, je flânais, reprenant contact avec l’environnement familier de ma chambre où je retrouvais tous les objets chargés de souvenir que j’avais laissés lors de mon départ chez Madame Leblanc. Une bande dessinée en mains, je m’affalais sur mon lit.
- »Fabien, es-tu lavé ? »
- »Presque Maman, j’arrive ! »
Le livre était presque terminé, j’avais bien le temps d’en finir la lecture et de me laver après.
- »Fabien, que fais-tu ? »
- »Ca y est, Maman, j’arrive tout de suite. »
Quelques pages plus loin, et la porte de ma chambre s’ouvrit pour laisser passer ma mère dont le visage était fermé.
- »Fabien, je t’attends depuis une demi-heure. As-tu fait ta toilette ? »
- »Oui, Maman, dis-je en reposant le livre prestement, il ne me reste plus qu’à m’habiller. » Je me dirigeais vers l’armoire pour y prendre mes vêtements. Je fus intercepté à mi-chemin. Maman me tenait par le bras.
- »Je viens d’aller inspecter la salle de bain. Tu n’y as pas mis les pieds. Je vais t’apprendre à ne pas me mentir et à m’obéir la première fois que je te dis quelque chose. »
Elle me fit passer sous son coude et m’entourant la taille, elle m’obligea à me courber puis elle me maintint solidement contre son flanc gauche. De sa main droite, elle fit glisser la culotte de mon pyjama jusqu’à mes genoux, découvrant mes fesses nues.
Je la sentis prendre son élan de sa main droite et elle claqua mes fesses. Ce fût une fessé brève au regard de celle d’hier soir, mais elle suffit à me chauffer les fesses et m’arracher des plaintes qui n’émurent pas Maman. Il faut croire que donner la fessée fait partie intégrante de l’instinct maternel car, en deux jours, ses punitions avaient atteint un niveau d’efficacité comparable à celui de Madame Leblanc ou de Madame Bruno. Quand elle me laissa me relever, je pleurais en me massant les fesses.
Maman n’ôta mon pyjama, d’abord le bas qui avait glissé sur mes chevilles pendant la punition, puis elle fit passer le haut par dessus ma tête. Je n’avais pas dû me tenir complètement nu devant Maman depuis que je n’étais plus un petit garçon, c’est à dire depuis près de dix ans.
Mes mains abandonnèrent mes fesses pour se placer devant mon sexe. Ce geste fût suivi d’une claque sur ma cuisse.
- »Ce n’est pas le moment, si tu veux être traité comme un adulte, conduis-toi comme tel. Tant que tu agiras comme un petit garçon, tu seras traité en petit garçon. Comme tu n’es pas assez grand pour te laver tout seul, c’est moi qui vais le faire. Allez ouste, dans la salle de bain ! » Elle accompagna ses paroles d’une série de claque sur mes fesses, me faisant démarrer vers le lieu où elle avait décidé de m’emmener.
Une nouvelle claque et je montais dans la baignoire. Maman me doucha comme elle n’avait dû la faire depuis que j’avais plus de 5 ans. Tout y passa. Elle commença par me laver les cheveux, puis elle descendit sans oublier aucune partie de mon corps. Quand elle voulu me laver les fesses, j’eus un mouvement de recul. Elle me tourna à sa convenance et de sa main, elle me fessa de nouveau. Après avoir reçu une dizaine de claques, je me laissais faire y compris quand, saisissant mon sexe, Maman le savonna et le lava. Après m’avoir rincé, elle me sortit de la baignoire et me tendit une serviette.
- »Tu te sèches. Puis tu viendras t’habiller dans la cuisine où je t’attends avec tes vêtements. »
Complètement nu, je traversais la maison et j’entrais dans la cuisine. Je ne savais plus quelle contenance adopter. Cacher mes attributs sexuels me semblait inutile, Maman avait pu les examiner sous toutes les coutures alors qu’elle me douchait. Je ne me résolvais pas à la situation où j’étais, traité comme un petit garçon exposant ses fesses et son sexe nus en attendant que sa Maman lui donne de quoi s’habiller. Je dus pourtant attendre, debout dans l’entrée de la cuisine que Maman veuille bien s’occuper de moi. J’avais laissé mes mains pendantes de chaque coté, afin de ne pas provoquer une nouvelle correction.
- »Viens ici que je t’habille ! »
Il me fallut boire le calice jusqu’à la lie. Maman se baissa devant moi et me présenta ma culotte ouverte.
- »Lève une jambe, … l’autre, … » puis elle remonta ma culotte. Un tee-shirt, ma chemise, mes chaussettes puis mon pantalon. Elle m’habilla sans me laisser la plus petite initiative.
- »S’il est nécessaire que je recommence demain, cela ne posera pas de problème. La fessée sera juste un peu plus sévère. C’est toi qui choisis. »
Des larmes coulaient encore le long de mes joues, prouvant l’efficacité de la punition que j’avais reçue. Je ne savais pas quoi faire. Avais-je le droit de remonter dans ma chambre ? Devais-je rester là à attendre ?
Maman m’observait. Elle sourit et son visage s’illumina. Elle fit ce qu’elle n’avait pas dû faire depuis autant de temps que de me doucher. Elle me prit la main et m’attira à elle. Elle me posa le visage sur son épaule et me caressa les cheveux.
- »Allons, allons, c’est fini. Tu as reçu la punition que tu as méritée, on ne va pas en faire un plat toute la journée. »
Sa main descendait en me massant les épaules, puis le dos et enfin les fesses à travers l’étoffe de mon pantalon.
- »Une bonne fessée de temps en temps, ça fait du bien. Je suis sûre que maintenant tu vas être beaucoup plus obéissant et je n’aurai plus à me fâcher, n’est-ce pas ? »
Sans quitter l’abri de son épaule, je hochais la tête.
Elle prit place sur un tabouret et me fit m’asseoir à cheval sur ses genoux. J’enfouis de nouveau ma tête dans son corsage. Sa main me tapotait le dos.
- »Tu sais, Fabien, je crois que ce qui s’est passé aujourd’hui est un peu de ma faute. Depuis que ton père nous a quittés, je ne me suis pas montré assez ferme avec toi. J’ai laissé passer trop de colères et de désobéissances, je n’ai pas réagi quand tu as commencé à être paresseux. »
Je me détendais, goûtant ce moment de douceur comme venu du plus loin de mon enfance. Je n’avais pas été cajolé par ma Maman depuis que j’étais tout petit. Elle avait senti mon désarroi et elle tenait à me faire comprendre tout son amour pour moi.
- »Désormais, je vais t’aider à devenir un adulte dont tout le monde pourra être fier. Tu peux me faire confiance, je ne te laisserai plus faire une colère ou désobéir ou encore te laisser aller à la paresse. A chaque fois je te donnerai une bonne fessée, et crois-moi, certaines seront plus grosses que celle que tu as prise ce matin. »
- »Oui Maman. »
- »As-tu encore mal aux fesses ? »
- »Oh oui Maman ! »
- »C’est bien, une fessée c’est fait pour faire mal aux fesses ! »
Sa main se glissa sous l’élastique de mon pantalon de survêtement, elle massait mes fesses. La fraîcheur de sa main sur ma peau me fit beaucoup de bien.
- »Voilà comment nous allons organiser tes vacances : le matin, tu travailleras, tu feras tes devoirs et tu réviseras ce que tu as appris ces derniers mois. A midi, tu viendras me montrer ton travail. Si j’en suis satisfaite, tu pourras aller voir des copains l’après-midi. Dans le cas contraire, je te donnerai une fessée et tu seras puni tout le reste de la journée. Sommes-nous bien d’accord ? »
- »Oui Maman. »
- »Monte dans ta chambre maintenant et mets-toi au travail. »
Maman tint parole. A chaque fois que je me comportais comme un enfant, je recevais la fessée. La plupart du temps, après m’avoir baissé la culotte, elle me fessait avec la main. Il y eut pourtant quelques fois où je reçus une correction dont la rigueur n’avait rien à envier à celles de Madame Leblanc.
La première fois où cela m’est arrivé, c’était deux ou trois jours après que j’aie reçu ma première fessée. J’étais monté travailler dans ma chambre. Ce que j’avais à faire ne me passionnait pas. Je commençais et rien ne venait. Au bout de dix minutes, je n’avais encore rien écrit.
- »Bon, je vais faire une pause et je recommencerai plus tard, » pensais-je.
Je pris un CD Rom de jeu et je m’immergeais dans l’univers qui m’était proposé. Cela faisait longtemps que je n’avais plus joué comme cela. J’étais totalement absorbé par ce que je faisais quand la voix de Maman me ramena dans l’univers réel.
- »Que fais-tu Fabien ? »
Elle se planta derrière ma chaise, et consulta l’écran de mon ordinateur. Je n’avais pas le temps de camoufler ce que je faisais. Toute tentative dans ce sens ne ferait qu’aggraver mon cas.
- »C’est donc comme cela que tu travailles ! »
Elle me prit par la main et je dus la suivre jusqu’à mon lit où elle s’assit. Elle déboutonna aussitôt mon pantalon et le baissa. Je savais ce qui allait m’arriver et, en fin de compte, je savais que je l’avais mérité. Ma culotte suivit. Je m’allongeais sur ses genoux dès sa première invite.
Elle commença par une fessée qu’elle me donna avec sa main. Je savais qu’il était inutile de contenir mes cris et mes pleurs. Malgré l’humiliation que cela rajoutait à la douleur de la punition, il valait mieux se sentir transformé en un petit garçon criant sous la fessée que d’étouffer ses sanglots. J’avais remarqué que, dans ce cas, la fesseuse se faisait un point d’honneur à ne pas s’arrêter avant que les plaintes du puni accompagnent la correction. Je laissais libre cours à l’extériorisation de ma souffrance et de ma honte.
Puis, attrapant la règle qui était sur mon bureau en se soulevant à peine, Maman passa aux choses sérieuses. La règle rendit la punition beaucoup moins supportable. Maman la maniait de toutes ses forces et de toute sa dextérité. Elle fessa toute la surface de peau nue à sa disposition : du bas du dos au haut des cuisses. Elle insistait sur les zones qui ne lui semblaient insuffisamment rouges.
Je ne pouvais éviter de gigoter dans tous les sens. Mes jambes se démenaient particulièrement. A aucun moment cette gymnastique désordonnée ne gêna l’application de la fessée. Je savais que si je donnais un quelconque signe de résistance, je serai puni plus sévèrement encore.
Maman reposa la règle à sa place. N’étant plus maintenu en place, je glissais de ses genoux et je tombais agenouillé sur le sol à sa droite. Je ne pouvais me relever, la douleur de la fessée continuait à cuire la peau de mon postérieur. Loin de s’atténuer, j’eus l’impression que la brûlure s’étalait et qu’elle gagnait les endroits qui avaient été épargnés par la règle.
Maman me remit debout et remonta ma culotte. Je poussais un cri lorsque ma culotte fut appliquée sur mes fesses. Le tissu du pantalon ma sembla fait de papier de verre tant il eut un effet irritant sur mes fesses.
- »Tu te remets à tes devoirs. Il est 11h30, il te reste une demi-heure pour finir ce que tu avais à faire ce matin. Je t’attends à midi précisément pour contrôler ce que tu as fait. »
Une nouvelle bouffée de souffrance accompagna le contact de mes fesses avec la chaise de mon bureau. Encore pleurant, je me remis au travail, souhaitant montrer ma bonne volonté.
Il me fût vite évident que je ne pourrais pas finir mon travail avant midi. Je n’eus d’ailleurs même pas le temps de finir mon premier exercice quand, consultant ma montre, je la vis avec horreur marquer 12h05. C’était l’heure d’aller montrer mes devoirs de la matinée à Maman, alors que je n’en avais pas fait un quart.
Je déposais mes cahiers devant Maman. Elle y jeta un œil.
- »Comme je m’y attendais, tu n’as presque rien fait, me dit-elle. Tu sais ce que cela signifie. Je vais te punir et cet après-midi, tu restes à la maison pour travailler. Allons, prépare-toi ! »
- »Maman, s’il te plait, tu m’as déjà donné une grosse fessée et j’ai encore très mal aux fesses. Punis-moi cet après-midi, comme je l’ai mérité mais pas la fessée. »
- »Il fallait y penser avant, mon petit garçon, maintenant c’est trop tard. Tu vas recevoir une autre fessée et tu finiras ton travail cet après-midi. Déculotte-toi tout de suite ! »
A la pensée de ce qui m’attendait, je ne réussis pas à retenir mes larmes. Comme je sentais l’impatience de Maman monter, je trouvais plus prudent de baisser mon pantalon. Il me fallut des trésors de douceur afin de ne pas toucher la peau de mes fesses. J’écartais largement ma culotte pour la faire glisser. D’une part, l’air frais sur mes fesses calma un petit peu la cuisson qui embrasait mes fesses, d’autre part, me retrouver cul nu devant Maman pour attendre ma fessée me submergea de nouveau de honte.
- »Tu vas aller, maintenant, cueillir une baguette dans le noisetier qui est dehors. Puis, tu me la ramènes. Je veux qu’elle soit longue comme ça, elle écarta les mains pour me montrer la longueur adéquate, et grosse comme un doigt. File ! »
- »Mais, Maman, je ne peux pas aller dehors avec ma culotte baissée. »
- »C’est pourtant ce qui va se passer. N’oublie pas que c’est un petit garçon que je punis. Qu’un petit garçon montre ses fesses à tout le monde n’a rien de choquant, surtout si c’est parce qu’il va recevoir la fessée. »
J’hésitais encore, cherchant une porte de sortie moins humiliante.
- »Fabien, si tu n’y vas pas immédiatement, c’est moi qui t’y emmène et j’en profiterai pour te donner la fessée dehors dans le jardin. »
C’était un argument convainquant qui me décida à me dandiner jusque dans le jardin en priant pour qu’il n’y ait pas de passant ou de voisin dehors à ce moment là.
Je revins avec la baguette qui, fort heureusement se trouva conforme à la commande. Que dire sur la fessée elle même ? Peut-on imaginer, quand on ne l’a pas reçu soi même, les ravages que peut faire une baguette succédant à la règle après seulement une demi-heure de récupération ?
La baguette traça ses sillons là où la règle avait déposé ses marques. La douleur n’était pas la même. Celle de la règle est massive, chaque coup s’écrase sur les fesses puis se diffuse alentour. La baguette provoque une souffrance aigue, localisée à une fine ligne avec un paroxysme quand son extrémité touche la peau des fesses. C’est alors comme si une aiguille était enfoncée dans la peau, ponctuant la douleur du sillon par une douleur plus grande encore.
Je me démenais sur les genoux de Maman en prenant garde à ne pas laisser à penser que je tentais de ma soustraire à la punition. La fin de la fessée ne signifia pas l’arrêt de mes hurlements. Quatre jours durant, mes fesses furent suffisamment sensibles pour se rappeler à mon souvenir à chaque fois que je m’asseyais.

7 commentaires:

  1. J'adore ce récit.
    Fabien a beaucoup de chance!

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  2. La maman de Fabien a raison, elle a enfin compris que son fils doit être repris en main. La fessée déculottée et au besoin le martinet et il filera droit ce garçon. C’est d’ailleurs pour son bien.

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    1. Oui ce garçon a beaucoup de chance d’être éduqué par une dame sévère. Et les fessées qu’il reçoit sont vraiment justifiées.

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  3. Même un grand garçon comme Fabien s’il se comporte comme un gamin doit être traité comme un gamin, déculotté et fessé cul nu…pas de discussion sur les genoux

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  4. Et au besoin le martinet ou les orties

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    1. Je suis un homme qui fait souvent des bêtises, en fait je suis resté un vrai gamin et j’ai besoin que l’on me traite comme un collégien. J’ai besoin d’être éduqué et puni par F ou H sévère qui ne fasse filer droit…et me donne là fessée déculottée sur les genoux, même s’il y a des témoins, lorsque je le mérite est à dire souvent, le martinet aussi et les orties pour les grosses bêtises.

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  5. Je donne très bien la fessée déculottée sur les genoux de soft a très sévère selon les demandes sans pantalon ni slip a main nu uniquement qui la merite vraiment ??? Je suis en Picardie proche de Paris laisser vos messages svp merci je suis très souvent sur messenger le soir

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