samedi 10 décembre 2016

St Marie - chapitre 4

J’hésitais encore une fois, mais il me fallait bien aller au bout. Madame Lambret m’attendait et j’avais déjà tardé, passant d’abord chez moi. Puis j’avais pris le temps de la réflexion, envisageant encore une fois de tout laisser tomber. J’avais dû me convaincre que le plus dur était passé après ce que j’avais subi dans le bureau de la directrice de Sainte Marie.
Malgré ma ferme résolution, les 5 pas qui séparaient la porte de mon appartement de celle de ma voisine m’avaient paru bien trop courts.
Mon carnet de correspondance à la main, j’appuyais brièvement sur la sonnette. Quelques secondes plus tard, Madame Lambret ouvrait la porte.

-          Enfin ! Je me demandais si tu allais venir.
Elle avait du mal à cacher son sourire épanoui.
-          Entre donc, Marc. C’est bien Marc ton prénom ?
-          Oui Madame !
Elle me précéda dans le séjour où elle prit place sur un canapé. Faute d’une invitation plus précise, je restais debout.
-          Voici donc mon nouveau pupille ! Je vais devoir t’apprendre à obéir plus scrupuleusement. Ne devais-tu pas venir me voir dès ton retour de Sainte Marie ?
-          Si Madame.
-          Est-ce que tu as fait ?
-          Non, Madame.
-          Alors cela s’appelle désobéir. N’est-ce pas ?
-          Oui, Madame.
-          Nous verrons cela tout à l’heure. Commence par me raconter ton histoire.
Je lui expliquais le marché passé avec ma tante.
-          Si je comprends bien, tu as le choix entre abandonner tes études ou te soumettre à la discipline de Sainte Marie.
-          Oui, Madame.
-          Et tu as choisi …
-          De poursuivre mes études, Madame.
-          Bien que cela implique de recevoir la fessée à l’école ?
Le mot « fessée » exprimé en public me fit hésiter un court instant tant il semblait incongru dans une discussion entre deux adultes approximativement du même âge. Madame Lambret devait avoir quelques années de plus que moi, mais elle ne devait pas avoir passé les 40 ans.
-          Oui, Madame, finis-je par lâcher entre mes dents.
-          As-tu bien compris qu’à Sainte Marie, les motifs qui justifient de devoir baisser sa culotte pour avoir la fessée, sont légion et que ton âge … quel âge as-tu ?
-          32 ans, Madame.
-          … que tes 32 ans ne seront pas un obstacle pour que tu sois copieusement corrigé, en public la plupart du temps ?
Elle entrait de plus en plus précisément dans le vif du sujet.
-          Oui, Madame.
-          La sœur directrice t’a mis au courant qu’il en serait de même avec moi ?
-          Oui Madame.
-          Que désormais je te déculotterai et je te fesserai aussi souvent que cela me semblera nécessaire ?
J’étais au pied du mur. Je ne pouvais plus reculer.
-          Oui, Madame.
-          Et tu n’as pas protesté quand la directrice m’a choisie comme tutrice ?
-          Non, Madame.
-          Oui, Madame, non, Madame. Je t’ai connu moins poli. Est-ce que par hasard …
Elle ne finit pas sa phrase lorsqu’elle se rendit compte que je tenais mon carnet de correspondance dans ma main.,
-          Donne-moi ce carnet !
Elle le feuilleta et tomba très vite sur la page que la directrice avait remplie.
Et bien dis-moi, tu ne te refuses rien. 4 fessées ! dont deux avec la règle ! Tes fesses doivent être toute rouges ! Hélas, cela ne va pas s’arranger d’ici ce soir. Nous règlerons les détails de ta nouvelle vie dans un petit moment. Pour l’instant je crois qu’il est temps de punir tes désobéissances de l’école.
Ses intentions étaient claires et bien que je m’y fusse préparé, je me pu m’empêcher de sentir mes jambes devenir toutes cotonneuses, presque incapables de soutenir mon poids.
-          Ici, tu ne seras pas fessé à l’aide d’une règle. Par contre j’utilise volontiers le martinet.
Elle laissa sa phrase faire son effet, puis elle continua.
-          Il vaut mieux que tu saches où il se trouve. En général c’est toi qui iras le chercher lorsque j’en aurai besoin.
Elle se leva et me prit par le bras. Je la suivis dans la cuisine où, juste à l’entrée de la pièce, le martinet pendait suspendu à un crochet. Elle me laissa là et retourna s’asseoir sur le canapé.
-          Prend le martinet et apporte le moi.
Je dus faire un effort pour saisir l’instrument destiné incessamment à me châtier. Je le portais devant moi, un peu écarté, comme si le tenir plus près de moi pouvait s’avérer dangereux. Madame Lambret tendit la main quand j’arrivais à ses côtés. Je le lui remis.
-          Baisse ton pantalon mon petit Marc !
Je posais mes mains sur la boucle de ma ceinture et … j’en restais là, incapable de continuer. La situation resta figée plusieurs secondes. D’une voix douce, Madame Lambret reprit.
-          Marc, tu n’as pas le choix. Je suis ta tutrice et tu vas devoir t’habituer à m’obéir en toutes circonstances, y compris lorsque je t’ordonnerai de préparer pour recevoir une fessée déculottée.
Elle patienta plusieurs secondes.
-          Marc, c’est une désobéissance. Tu seras également fessé pour cela. Marc, le pantalon !
J’étais comme paralysé. Je crois que même si je l’avais voulu, je n’aurai pas su quel geste il me fallait faire pour obéir à ma tutrice.
-          Bien, tu as gagné le droit de recevoir une deuxième fessée dès ce soir. Passons aux choses sérieuses.
Son ton était plus ferme, mais elle ne paraissait pas fâchée.
-          Faut-il, petit garçon, que je téléphone à la directrice pour l’informer que tu refuses d’obéir à ta tutrice ?
Je ne bougeais pas plus. Madame Lambret laissa passer un long moment.
-          C’est d’accord !
Elle se leva et fit deux pas vers le téléphone. Cela me fit sortir de ma léthargie.
-          Non, pardon, sil vous plait, ne faites pas cela !
Madame Lambret s’arrêta et se tourna vers moi.
-          Dans cette maison, on ne peut être pardonné qu’après avoir été puni. Question punition tu as une ardoise qui s’allonge : 4 fessées pour celles que tu as reçues à l’école et une pour ta désobéissance actuelle. Ne te fais pas d’illusion. Tu les recevras toutes les cinq. Es-tu disposé à obéir maintenant ?
-          Oui Madame je vais obéir !
-          Il y a une seule façon d’obéir : tes mains doivent déboucler ta ceinture …
Je suis, encore aujourd’hui, persuadé que je ne pris pas la décision d’obéir. Ce fut plutôt un réflexe. Je débouclais ma ceinture.
-          Bien ! Maintenant le bouton du pantalon.
C’était le premier geste qui était difficile. Une fois commencé, le reste suivit sans que je réalise qu’en dégrafant ma ceinture, j’avais reconnu le droit de Madame Lambret de me punir. Je déboutonnais mon pantalon.
-          Il faut encore faire glisser la fermeture éclair.
Je m’exécutais immédiatement. Mon pantalon glissa de lui-même jusqu’au milieu de mes cuisses. Madame Lambret vint reprendre sa place assise sur le canapé.
-          Bon, une première étape de franchie. Ce n’était pas si difficile. Cela ne valait pas la peine de se faire punir et de mériter une autre fessée, n’est-ce pas ?
Je ne savais plus où j’en étais. Madame Lambret faisait preuve de douceur, comme si elle raisonnait un petit garçon imperméable à l’évidence.
-          Il faut que tu descendes ton pantalon plus bas, en dessous des genoux. Là où il est, il va gêner.
Je me penchais et je fis passer à mon pantalon l’obstacle des genoux.
-          Tu vois, quand tu veux tu es très obéissant. Bon, la culotte maintenant.
Elle plaça ses mains de chaque côté de mes hanches et glissa ses pouces sous l’élastique de ma culotte. Aussitôt, mes mains couvrirent les siennes, l’empêchant d’achever son geste.
-          Marc, dit-elle d’une voix désolée, tu ne vas pas me faire un autre caprice maintenant !
Elle me donna une petite tape sur les mains.
-          Enlève tes mains de là avant que je doive te punir une nouvelle fois.
J’écartais mes mains, tout en les laissant à proximité de l’élastique de ma culotte.
-          Je vois que tu ne sais pas quoi faire de tes mains. Mets-les plutôt sur ta tête. Là elles ne gêneront plus.
Sans doute jugea-t-elle que je n’obéissais pas assez vite. Elle m’administra alors 3 claques sonores sur la cuisse qui était à sa portée.
-          Mon petit Marc, j’ai dit : « les mains sur la tête » tout de suite. Veux-tu que je me fâche ?
Elle appuya son propos en claquant, à plusieurs reprises, ma cuisse de sa main nue. Je n’osais pas interposer ma main, craignant les conséquences d’une opposition active. Après une dizaine de claques, la peau de ma cuisse commença à s’échauffer. Madame Lambret interrompit la fessée. Elle semblait beaucoup moins prête à la patience.
-          Les mains sur la tête tout de suite ou je poursuis, mais avec le martinet.
Je ne sais pas si c’est la fermeté que je sentis dans son regard et dans sa voix, ou bien la menace du martinet, mais je plaçais mes mains sur le sommet de mon crane, laissant le champ libre à ma tutrice.
Lentement, elle reprit son geste interrompu précédemment. Elle glissa de nouveau ses pouces sous l’élastique de ma culotte, puis elle marque une pause d’une ou deux secondes afin que je prenne conscience de ce qui m’attendait.
Puis elle fit glisser ma culotte, dévoilant mes fesses et mon sexe qui me sembla jaillir de mon sous-vêtement et s’immobilisa comme un étendard mi dressé, mi pendant. De mes mains je couvris mes parties génitales tandis que Madame Lambret baissa ma culotte jusqu’à mes genoux.
-          Qui t’a dit d’ôter tes mains de sur la tête ?
Sa main s’abattit à quatre ou cinq reprises sur mes fesses maintenant idéalement préparées pour être l’objet de l’attention de ma tutrice. Cet avertissement me suffit et je replaçais mes mains là où elles auraient dû rester laissant mon sexe à la vue de Madame Lambret.
-          Je comprends qu’à ton âge, tu ais honte de te montrer dans cette tenue, surtout devant une femme qui est à peine plus âgée que toi. Il faut que tu saches que cela fait partie de la punition. Comme tu le sais, maintenant, lorsque tu auras mérité une punition tu seras déculotté quelles que soient les personnes présentes, je pense que tu vas être plus attentif à obéir et à surveiller ton comportement. Je compte sur la honte d’exposer tes fesses en public pour t’y faire réfléchir à deux fois. Il n’est donc pas question que tu caches quoi que ce soit, ni le devant, ni le derrière. Tout le monde doit pouvoir constater, de visu, que tu n’es, en fait, qu’un petit garçon qu’il convient de punir. As-tu compris ?
Ma bouche était sèche et je dus m’y reprendre à deux fois pour répondre.
-          Oui Madame.
Ma tutrice, en me guidant de ses deux mains posées sur mes hanches, me plaça alors devant elle.
-          Par ma part, je ne vois devant moi qu’un petit garçon immature qui a besoin d’être contrôlé. Il est vrai qu’il est dans le corps d’un jeune homme avec ce que cela implique.
De sa main, elle désigna mon sexe et pinça quelques poils pubiens.
-          Mais en fait, à l’intérieur, ce n’est qu’un petit enfant, poursuivit-elle. Je m’en suis bien rendu compte depuis que tu as emménagé dans l’appartement voisin : pas d’attention aux autres, de graves lacunes question politesse. Je suis sûr qu’il y a beaucoup à dire du côté de la propreté et du rangement.
En un flash, je retrouvais beaucoup de ce que me reprochait ma tante. Intérieurement, je dus convenir que cela me ressemblait assez.
-          Depuis que je peux t’observer, je me suis souvent dit que tu l’on n’a pas dû avoir beaucoup d’exigence avec toi lorsque tu étais plus petit. Je suis sûre que tu n’as pas été puni bien souvent. Est-ce exact ?
La culotte baissée, les mains sur la tête, je ne pensais à rien d’autre qu’à dire la vérité. Sa clairvoyance à mon égard m’avait subjugué. Etait-ce donc si facile de décrypter les lacunes de mon éducation ?
-          Oui Madame, lui répondis-je.
-          Quand un gamin n’a pas été suffisamment puni quand il était petit, il est possible de rattraper le retard. C’est seulement plus long. Il faut, en général le corriger plus souvent et plus sévèrement que ce qui est nécessaire avec un enfant.
Elle marqua une pause, en me fixant droit dans les yeux, comme pour vérifier que je comprenais bien les informations qu’elle me donnait.
-          Chez moi, continua-t-elle, la punition réservé aux enfants, quel que soit leur âge, c’est la fessée déculottée. Et quand il faut insister un peu, c’est avec le martinet. Est-ce compris ?
Je dus avaler ma salive avant de répondre.
-          Oui Madame.
-          Il est important que le puni accepte d’être corrigé : baisser son pantalon, sa culotte, se soumettre la fessée aussi rigoureuse soit-elle, … Je ne suis pas sûr que tu ais répondu à toutes ces exigences. Tu recevras donc une bonne fessée supplémentaire, ce soir avant de te coucher.
Elle me fit pivoter d’un quart de tour pour tourner mes fesses vers la lumière venant de la fenêtre. Puis elle passa sa main sur mon postérieur.
-          Et bien, s’exclama-t-elle, la sœur a fait du bon travail. Je ne vais pas pouvoir de donner toutes les fessées que tu as mérité dès ce soir. Il va falloir étaler cela sur plusieurs jours.
Elle prenait la peau de mes fesses entre son pouce et son index, comme pour en tester l’élasticité.
-          Bon, passons à la fessée.
A ces mots, je sentis la boule qui s’était formée dans mon estomac alors que j’étais dans le bureau de la directrice et qui n’avait pas disparu depuis, grossir jusqu’à prendre toute la place. Madame Lambret ne me laissa pas le temps de réfléchir. Elle écarta les jambes et me désigna le sol entre ses pieds.
-          Mets-toi à genoux, là !
Je me mis, à genou face à elle. Sa main pesant dans mon dos elle me courba sur sa cuisse gauche. Alors, son bras gauche entoura ma taille et elle ma plaque contre sa hanche.
-          Je vais commencer par une fessée à main nue. Je tiens à ce que tu éprouves le contact direct de ma main sur tes fesses afin que tu comprennes bien qui te punit ainsi.
Sa main caressait doucement mes fesses.
-          Puis, je te donnerai le martinet.
Sans plus de commentaire, je sentis sa main claquer mes fesses en même temps que j’en entendis le son résonner dans la pièce et comme un écho, le cri que je poussais l’accompagna.
Je reconnu tout de suite les sensations que j’avais découvertes dans le bureau de la directrice : le sentiment d’impuissance à contrecarrer la volonté de la femme qui me punissait.
La position qu’elle m’avait fait adopter lui permettait de contrôler la grande majorité de mes mouvements. Son poids pesant sur mon buste rendait improbable toute velléité de me redresser. De plus, mes genoux constituaient un point d’appui insuffisant pour tenter de me relever, si tant est que j’en eusse eu la volonté. Enfin, ma culotte restreignait l’ampleur des gestes que j’aurais pu tenter pour me libérer. Mes pieds pouvaient battre l’air autant qu’ils le voulaient encore que leur mouvement fût limité par mon pantalon. Mon bras gauche, passé derrière sa taille, était totalement immobilisé. Seul ma main droite pouvait s’interposer, … mais j’avais appris à mes dépends à ne pas utiliser cette défense. Il ne me restait plus qu’à subir ma fessée selon le bon vouloir de ma tutrice.
Sans doute, souhaitait-elle me démontrer que même administrée uniquement à main nue, la fessée constituait une punition effective pas uniquement du fait du déculottage, mais également parce qu’elle permettait de provoquer une douleur que le puni était contraint d’extérioriser. La démonstration fut concluante. Certes, depuis mon passage dans le bureau de la directrice, j’avais abandonné toute fierté qui consisterait à recevoir stoïquement la fessée. Je ne tentais donc pas de contenir mes cris et mes pleurs. Je crois que bien que même si j’avais voulu arquer ma volonté vers cet objectif, je n’aurai pas tenu au-delà d’une petite dizaine des claques que Madame Lambret assénait sur mes fesses.
Tout d’abord, à chaque fois que sa main nue tombait sur mes fesses, je poussais un cri et je battais frénétiquement des pieds. Au début de la fessée, il y avait encore de la place pour des promesses ou des supplications :
-          Aïe, … j’obéirai, aïe, … pardon, aïe, … je serai sage, aie, …
Cette litanie n’avait apparemment pas d’influence sur le sort que me réservait ma tutrice. Silencieuse, concentrée, elle accomplissait la tâche qu’elle s’était elle-même assignée.
Puis, assez vite, des sanglots coupèrent mes propos pour rapidement les remplacer totalement. Quand on la reçoit, une fessée paraît toujours trop longue. Je ne crois cependant pas que celle-ci le fut particulièrement. Madame Lambret se faisait une spécialité de fessées courtes mais très vigoureuses qui embrasaient le postérieur du puni en à peine plus d’une minute.
Il dut y avoir une courte pause pour lui permettre de saisir le martinet, mais je ne m’en rendis pas compte. La première fois, par contre, que les lanières cinglèrent mes fesses, reste, encore aujourd’hui, gravée dans mon esprit, bien que, depuis, j’en eusse souvent connu la morsure.
Régulièrement, ma tutrice appliquait le martinet sur mes fesses à un rythme soutenu. Je n’avais qu’à peine le temps de manifester ma douleur qu’une nouvelle fois je goûtais la brûlure que provoquait le terrible instrument de nouveau appliqué sur mon postérieur. Je pus alors juger de la maîtrise que la position qu’elle m’avait fait prendre, lui donnait pour juguler mes ruades. Seuls les mouvements désordonnés de mes jambes accompagnèrent le début de ma correction. Le reste de mon corps était parfaitement maintenu entre ses deux cuisses. Je rends grâce d’avoir pu éviter que ma main libre ne s’interpose. Les marques de mes dents que je relevais plus tard sur mes doigts témoignèrent de la difficulté que cela avait représentée.
Alors que le martinet s’était abattu moins d’une vingtaine de fois sur ma peau nue, je renonçais à lutter. Je subis mon châtiment n’exprimant ma douleur que par mes cris et mes pleurs continus et les crispations involontaires qui parcouraient mon corps.

Ce fut un véritable soulagement quand la fessée prit fin. Je ne cherchais pas à me relever. Je restais courbé sur la cuisse de ma tutrice, toujours secoué de sanglots irrépressibles bien qu’elle ait relâché la pression que sa main exerçait sur mon dos. Je sentis la main de Madame Lambret se poser sur mes fesses. A ce contact, j’éprouvais un mélange de douleur et d’apaisement qui fit naître de la chair de poule là où elle avait placé sa paume. Elle me laissa dans cette position, attendant que mes cris se calment.
-          Bon, voila qui est fait ! Pour une première fessée, tu t’es bien comporté.
Me prenant par les épaules, elle me releva et je me trouvais de nouveau à genou entre ses jambes. Elle me prit le menton de sa main droite, m’obligeant à la regarder droit dans les yeux.
-          Tu verras, la fessée fait beaucoup de bien aux garçons désobéissants. Mets-toi debout !
Je me relevais et j’esquissais un geste de mes mains vers mes fesses douloureuses.
-          Attention, cela est interdit !
Je suspendis mon geste immédiatement.
-          Je crois que tu vas être un petit garçon très obéissant. Ne te fait pas d’illusion, cela ne t’évitera pas la fessée, mais tu la recevras sans doute un peu moins souvent. Croise tes bras dans le dos !
Une fois prise cette position, j’exposais mon sexe pendouillant entre mes cuisses au regard de ma tutrice. Je n’en ressentais aucune honte contrairement à ce qui c’était passé lors de mon déculottage. Pourtant, ma culotte était toujours au même endroit et la femme qui se tenait devant moi avait une vue parfaite sur mes attributs sexuels. La fessée était passée par là et elle ne laissait pas de place à une pudeur déplacée.
-          Va te mettre au coin !
Elle me désignait l’un des angles de la pièce. Elle posa alors une main dans mon dos et me guida vars le lieu de ma pénitence.
-          Le nez dans le coin !
Elle accompagna son ordre d’une petite claque sur mes fesses nues. Je pris aussitôt la position indiquée.
-          Généralement, après une fessée, tu iras au coin. On s’y tait, on ne bouge pas et on y reste jusqu’à ce que je t’autorise à en bouger. Si tu ne t’y fais pas oublier …
Elle m’administra une nouvelle petite claque sur les fesses.
-          … le martinet est toujours disponible.

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