samedi 10 décembre 2016

Réprimande 7

- Entrez ! Ah, c’est vous, jeune homme. Approchez donc.
Je vous ai effectivement convoqué dans mon bureau pour aborder un problème qui commence à devenir récurrent. Votre cheffe de service s’en plaint et vos collègues commencent à penser que vous bénéficier d’un régime de faveur.
Malgré les nombreuses remarques qui vous ont été faites depuis votre embauche, vous persistez à arriver régulièrement en retard au travail. Parfois cinq minutes, souvent une dizaine et il n’est pas rare qu’on doive vous attendre presque d’une demi-heure. C’est avec une attitude indifférente, presque de l’insolence, que vous accueillez les remontrances qui vous ont alors été adressées. Cette méthode qui convient pour la plupart des adultes est sans effet sur vous.

Je me suis interrogée sur les mesures à prendre. J’ai bien évidemment envisagé de mettre fin au contrat qui nous lie. Vous savez que je suis en relation professionnelle avec votre mère. C’est d’ailleurs sur sa demande que je vous ai offert l’emploi que vous occupez dans ma société. Je n’ai donc pas voulu vous licencier avant de lui en parler. Je lui ai téléphoné afin de l’informer de ma décision. Elle m’a suggéré une autre solution.
J’ai eu la surprise d’apprendre que, malgré vos … voyons quel âge avez-vous ? Ah oui, voici … vingt-huit ans. Malgré vos vingt-huit ans, la fessée est encore en vigueur dans votre cadre familial. C’est même, si j’ai bien compris, une punition habituelle, voire assez fréquente. Votre mère m’a indiqué qu’à la moindre désobéissance, qu’au plus léger comportement répréhensible, elle vous déculottait pour vous fesser.
Elle m’a donc chaudement recommandé d’user de la même méthode à chaque fois que je le jugerai nécessaire. Elle m’en a garanti les effets sur votre comportement pour peu que les corrections vous laissent les fesses écarlates et brûlantes. Elle m’a conseillé, puisque je ne dispose pas d’un martinet, d’utiliser la règle plate que j’ai sur mon bureau pour renforcer le message que je vous adresserai quand, la culotte baissée, vous serez à plat ventre en travers de mes genoux. C’est, semble-t-il la position dont vous avez l’habitude depuis votre tendre enfance.
Votre mère vous fait d’ailleurs, passer un message : la promesse d’une correction magistrale dès votre retour à votre domicile ce soir, si vous ne vous soumettez pas à la fessée que j’ai décidé de vous administrer. Vous vous doutez bien, qu’à la moindre résistance de votre part, je me ferai un devoir de l’en informer.
Je vais donc sévir dès ce matin et, à l’avenir, je recommencerai aussi souvent que nécessaire. Je vous précise juste que, la prochaine fois que j’aurai à vous punir, je demanderai à votre cheffe de service d’assister à la punition et que je lui donnerai l’autorisation de vous corriger elle-même, quand elle ne sera pas satisfaite de votre travail et de votre comportement. Comme votre bureau est situé dans un openspace, j’ai peur que vous ne preniez alors le risque d’être déculotté et fessé devant vos collègues.
Passons à cette première punition tant méritée depuis longtemps. Venez-ici mon garçon ! »

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