samedi 17 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 9

 Les deux sœurs Johanson se regardèrent. Elles avaient enfin obtenu une confession à peu près complète, pensaient-elles, qui leur donnait une bonne idée des mesures disciplinaires dont leurs deux pensionnaires avaient l’habitude.

Cela n’avait pas été sans mal et elles comprenaient la réticence qu’avaient ces deux jeunes adultes à confesser comment ils étaient punis par leur patronne. A la boulangerie, ils étaient considérés comme des enfants et tout écart se traduisait pas une fessée.

Elles avaient dû menacer.

« Si nous nous apercevons que vous avez oublié quelque chose d’important quant à la façon dont vous êtes punis, vous recevrez une fessée. »

La confession des fessées administrées en public n’avait été obtenue qu’après avoir fait appel à ce qui était vu, par les deux jeunes gens, comme l’autorité tutélaire suprême : la boulangère.

« Nous vérifierons demain, auprès de votre patronne, si vous nous avez bien tout raconté. »

Cette menace avait relancé le récit à deux voix de Louison et de François. Ils avaient raconté comment, deux jours auparavant, ils avaient été déculottés et fessés dans la boutique, alors à moitié pleine de clientes.

Les deux sœurs se contentèrent de ce tableau. Il leur donnait des précisions sur le niveau de sévérité qu’elles devaient adopter avec Louison et François et de l’attention qu’elles devraient dorénavant porter sur les petites choses de la vie quotidienne.

Donner la fessée à ce grand garçon et à cette grande fille ne leur posait aucun problème de conscience, puisqu’il s’agissait de les aider à devenir des adultes responsables, ce qu’ils étaient loin d’être aujourd’hui. Elles en comprenaient la nécessité, quoiqu’en pensaient leurs deux pensionnaires. Ils en reconnaitraient le bien-fondé plus tard.

 

Les récits avaient occupé toute la durée du dîner. Il était temps de passer à la suite.

« Vous débarrassez la table tous les deux. Cela fera désormais partie des tâches que vous devrez prendre en charge chaque jour. Vous rangerez la cuisine et la rendrez propre.

– Je vérifierai, compléta Solveig. »

François et Louison se regardèrent interrogatifs. Ils n’avaient jamais fait ça ni l’un ni l’autre. Débarrasser une table, si, mais ranger et nettoyer une cuisine, non, jamais sans avoir la supervision d’une grande personne qui leur donnait des ordres qu’il suffisait d’exécuter.

Ils disparurent dans la cuisine, les mains pleines des assiettes et des plats qui avaient servi pour le repas. Ils revinrent une dizaine de minutes plus tard.

« Vous avez tout rangé ? »

L’hésitation dans la réponse était perceptible.

« Oui, Mademoiselle Solveig.

– Voyons si je suis du même avis que vous. »

Elle ne l’était pas.

« Croyez-vous que je vais me contenter d’un travail aussi approximatif ? »

Elle prit les deux jeunes gens par le bras et elle les amena vers l’évier.

« Pourquoi y a-t-il encore de la vaisselle sale dans l’évier ?

– Mais Mademoiselle le lave-vaisselle est plein. Il n’y avait plus de place.

– Et que fait-on de la vaisselle, quand il n’y a plus de place dans le lave-vaisselle ? »

L’absence de réponse se traduisit par deux claques sur les fesses de Louison et de François.

« On la fait à la main, ce n’est pas compliqué ! François, tu t’y mets tout de suite ! »

Elle entraîna Louison derrière elle, vers la table de la cuisine. Elle la prit par le cou et l’obligea à se pencher pour regarder sous la table.

« Vas-tu prétendre que le balai a été passé sous la table ?

– Non Mademoiselle, j’ai oublié.

– Dépêche-toi de le faire avant que je ne décide de te donner une fessée pour apprendre à ne pas oublier. »

Louison se précipita vers le balai et elle revint en courant.

« Fais un peu attention, en te précipitant tu vas casser quelque chose ! »

Mademoiselle Solveig continua son inspection. Entre l’agencement dans le lave-vaisselle, l’éponge à passer sur le plan de travail, le tri des déchets qui n’était pas correctement fait et la vaisselle qui n’avait pas été rangée à sa place, elle avait beaucoup de choses à redire sur la façon dont ses deux locataires avaient assuré leur part de tâche domestique.

« Vous me rectifier tout cela et je reviens vérifier ! »

Elle laissa les deux jeunes gens au travail qu’elle venait de leur donner. Ils devaient apprendre à monter leur niveau d’exigence vis-à-vis d’eux-mêmes. C’était la première fois qu’elle leur faisait des remarques sur la qualité de ce qu’ils faisaient. Il n’y avait donc pas de raison de sévir. Cela ne finirait pas de la même façon la prochaine fois.

 

Il y avait des propos murmurés de façon de plus en plus véhémente dans la cuisine. Sans qu’elles en comprissent le contenu, cela ressemblait à une dispute à mots étouffés. Les deux sœurs se demandaient si elles devaient intervenir.

« Vas-tu voir ce que se passe, demanda Olga ? »

C’est le bruit d’un objet et porcelaine qui se brisait sur le sol qui lui répondit.

« Mais ce n’est pas vrai ! »

Solveig se leva hâtivement.

« Qu’est-ce qui se passe, là-bas ? »

Le tableau qu’elle découvrit en arrivant dans la cuisine était éloquent. Louison et François se tenaient debout, l’air catastrophé, regardant Solveig pénétrer furieuse dans la cuisine.

« Qu’est qui s’est passé ? »

Entre les deux jeunes gens, une cruche en porcelaine gisait au sol, cassée en plusieurs morceaux.

« Qui a fait ça ?

– C’est elle, elle ne savait pas où la ranger. Quand j’ai essayé de le faire, elle n’a pas voulu me la donner.

– C’est pas vrai ! C’est lui qui me l’a arrachée des mains ! Et voilà !

– Si je comprends bien, vous vous êtes disputés et c’est la cruche qui en a fait les frais ? »

La situation était un peu résumée, mais c’était à peu près ça. Leur silence confirmait l’appréciation de la situation que venait de formuler Solveig. Ils baissèrent la tête.

« Je vois. Louison, tu ramasse les gros morceaux et tu les mets à la poubelle. François, tu prends le balai et tu t’occupes du reste. Allons : »

Les deux jeunes gens s’affairèrent pour réparer leur bêtise sous le regard attentif de Solveig. Quand ils eurent fini, ils revinrent se mettre devant leur hôtesse. Avec la boulangère, ils savaient comment cela aurait fini, mais ici, ils n’avaient pas encore l’habitude.

La réponse à leur question muette vint quand Solveig attrapa Louison, et qu’elle la courba sous son bras.

« Une dispute, une cruche cassée, cela vaut bien une fessée, n’est-ce pas ? »

Le glapissement de Louison quand elle sentit qu’on lui relevait la jupe, fit office de réponse. La culotte fut descendue le long des cuisses. La main de Solveig claqua sur la fesse gauche, puis sur la droite. Solveig voulait donner une fessée brève, mais intense qui faisait monter la température de l’épiderme en peu de temps. Elle abattait sa main de toutes ses forces, cherchant à bien épouser les rondeurs du postérieur de la jeune fille qu’elle tenait sous son coude. Les cris aigus que poussait Louison et les mouvements involontaires que faisaient ses jambes la rassurèrent. La fessée produisait l’effet voulu. Tout allait bien, comme c’était prévu.

Ce n’était pas l’avis de Louison, mais qui s’en souciait à part elle ? La cuisson sous la main devenait insupportable, mais elle devait s’avouer qu’elle ne l’avait as volée, cette punition. La prochaine fois, elle ne s’en tirerait probablement pas aussi bien.

« Aïe ! »

Une série de claques plus fortes et plus rapprochées vint conclure la fessée.

« A ton tour, François ! »

Le garçon s’avança, résigné. Une fessée l’attendait, mais ce n’était que justice. Il s’attendait à être puni de la même façon de Louison. Il n’y avait pas de raison qu’il en aille autrement. Solveig avait déjà baissé son pantalon. Cela avait été fait sans manière. Elle savait comment s’y prendre et, bien que ce ne soit que la deuxième fois qu’elle le déculottait, elle savait parfaitement comment s’y prendre.

C’était grandement facilité par la passivité de François. Il la laissait faire. Il était conscient qu’elle était en droit de le préparer pour une fessée et cela passait par un pantalon descendu sur ses chevilles. Il se mordit les lèvres, mais il ne fit pas un geste pour empêcher sa culotte de descendre sur ses genoux. Solveig entoura la taille de François de son bras et l’obligea à se courber, pour mettre les fesses à disposition de sa main. C’était une évidence. La position était malcommode. François était trop grand. Solveig réfléchit un court instant. La solution s’imposait.

« Mets-toi à genoux, dit-elle en pesant sur le dos du garçon ! »

François se laissa tomber au sol, un genou de chaque côté du pied de Solveig, le buste collé le long de sa cuisse. Maintenant les fesses étaient à la bonne hauteur. Solveig fit descendre un peu plus la culotte. Tout était prêt.

Deux minutes plus tard, les gémissements de François s’étaient mués en cris étouffés, qu’il arrivait de moins en moins à retenir. Solveig avait pris de l’assurance et elle avait compris comment amener les fesses à un point d’incandescence qui faisait souhaiter à François que la correction soit près de sa fin.

Solveig n’en était pas encore là. Elle n’était pas certaine que si elle s’arrêtait maintenant, François retiendrait durablement la leçon et puis, la fessée n’avait pas été tout à fait assez vigoureuse au regard de celle que Louison avait subie. L’équité était primordiale dans pareil cas. Il s’agissait de faire comprendre aux deux garnements que la responsabilité de la casse de la cruche était également partagée. Il fallait donc que la fessée le soit aussi.

Ce sont deux jeunes gens bien contrits que Solveig amena, chacun tenu par une oreille, dans le séjour et qu’elle plaça au coin.

« Vous attendez là que nous soyons prêtes pour votre prochaine fessée ! »

Olga sourit. Les nouvelles habitudes que François et Louison devaient prendre, rentraient à grande vitesse dans leur tête. Le changement qui de profilait laissait supposer des moments bien plus simples à vivre. La frustration qu’elle avait ressentie à avoir sous son toit deux jeunes adultes indisciplinés, n’en avait plus pour longtemps. Elle prévoyait maintenant une cohabitation bien plus sereine.

« Des soucis, demanda-t-elle à sa sœur ?

– Pas le moins du monde. Tout est normal, tout va bien. »

 

« Peut-être est-il temps que nous rediscutions de leurs mensonges avec ces deux jeunes gens ?

– Oui, tu as raison. Si on veut qu’ils aient un peu de temps pour profiter du coin après leur fessée, et avant d’aller au lit, il va être temps de s’y mettre.

– Venez ici tous les deux ! »

Les deux sœurs Johanson s’étaient assises sur le canapé. François et Louison vinrent se placer debout devant elles. Comme lorsqu’ils étaient sous la coupe de la boulangère, ils avaient gardé leur vêtement retroussés au-dessus de leur taille. Ils étaient conscients de l’écart entre leur tenue et leur âge, mais qu’y pouvaient-ils ? Avec la punition qui s’annonçait leur nudité aurait bientôt une toute autre utilité que d’être exhibée devant leurs logeuses. Ils n’avaient pas oublié les deux badines qu’ils avaient dû aller couper. Elles entreraient bientôt en fonction.

« Dis-moi, Solveig, nous avons là deux petits menteurs. Que penses-tu que nous devrions faire ?

– Une punition s’impose ! Nous leur avons promis une fessée avec la badine. Ça m’ennuierait de ne pas respecter ma parole. Il a aussi été question de leur savonner la bouche.

– C’est exact et ça me paraît bien adapté pour punir un mensonge. Chacun le sien ? Je veux bien essayer le garçon. Tu t’occupes de Louison ? »

Olga tenant François par l’oreille et Solveig faisant de même avec Louison, elles se dirigèrent vers la salle de bain. François fut assis sur le tabouret et Louison sur le bord de la baignoire. Chacune des deux sœurs prit un savon.

« Comment fait-on, demanda Olga ?

– La maîtresse mouillait le savon et elle le passait dans la bouche. Quel goût affreux !

– Comment sais-tu cela ?

– Euh… hé bien… »

Solveig était visiblement très ennuyée pour répondre.

« Tu t’es fait savonner la bouche par la maîtresse ?

– Oui, avoua Solveig, et j’en ai encore le souvenir. Pas agréable du tout !

– Et il y a eu une fessée avec ? »

Solveig rougit, mais le vin était tiré, il fallait boire le calice jusqu’à la lie.

« Oui, bien sûr que j’ai eu une fessée, culotte baissée si tu veux tout savoir et je n’en suis pas morte. Pourtant la maîtresse n’a pas épargné sa peine. Je n’ai plus jamais menti de ma vie. La leçon a été profitable.

– Tu me donneras les détails une autre fois. Pour l’instant, il faut que nous nous occupions de nos deux petits locataires. »

Olga observait comment Solveig s’y prenait. C’était elle qui avait un peu plus d’expérience sur le sujet. Solveig pinça le nez de Louison dont elle rejeta la tête en arrière.

« Ouvre la bouche, bien grand ! »

Louison obéit, mais sans enthousiasme particulier. Une claque sur la cuisse nue la rappela à une plus grande coopération.

« Plus grand, la bouche ! »

Dans un premier temps, François, entre les mains d’Olga, s’épargna, une fessée en ouvrant la bouche au plus grand qu’il le pouvait. Le goût du savon dans sa bouche était vraiment horrible, il le repoussa de la langue, ce qui lui fallut la main d’Olga claquant sa cuisse.

« Vas-tu me laisser faire ? »

Ils se rendirent à l’évidence, il n’y avait pas d’autre solution que d’en passer par la volonté des deux sœurs. Louison ferma les yeux et François se mit à gémir doucement, mais ils laissèrent leur bouche à disposition du savon dont les deux sœurs enduisirent généreusement les dents, le palais et la langue.

Le goût et le parfum du savon emplissait leur bouche, saturait leurs papilles gustatives et leur sens olfactif.

« Attention ! Pas de salive qui sort de la bouche ! Tu l’avales ! Je sais qu’elle n’est pas bonne, mais ça fait partie de la punition. Je pense qu’il restera moins de mensonge dans votre bouche après qu’elle a été bien récurée. »

Solveig trouva encore un petit coin, entre la gencive et la joue, où elle n’avait pas déposé assez de savon. Elle répara cet oubli. Puis, elles s’estimèrent satisfaite par leur travail.

« Il y en a assez pour durer jusqu’à demain matin. Passons à la fessée, maintenant ! »

Le cortège repartit dans l’autre sens.

 

Olga avait pris le canapé. Solveig s’était assise sur une chaise qui faisait face à sa sœur. Elles avaient, toutes deux, installé les deux jeunes gens à plat ventre en travers de leurs cuisses. Les vêtements qui en glissant avaient recouvert partiellement les fesses avaient été retroussés. Les deux sœurs avaient à la main leur badine. Tout était prêt.

Cette installation s’était faite sans cri, sans heurts et sans supplication. Les quatre protagonistes de la punition qui se préparait étaient conscient qu’elle était inévitable et nécessaire. Les deux sœurs étaient concentrées sur leur tâche éducative. Elles prenaient conscience, peu à peu, de la responsabilité qu’elles avaient endossée, sans en mesurer totalement tous les tenants et les aboutissants.

Alors qu’elle ramenait François là où se déroulerait la fessée, elle avait fait, mentalement, une liste de ce qu’elle aurait à contrôler : les horaires de leur coucher et de leur lever, leurs sorties, leurs fréquentations, le rangement de leur chambre et sa propreté, leur hygiène corporelle, leur participation aux tâches ménagère et d’entretien de la maison, sans oublier leur langage et leurs mensonges. Cela faisait une liste conséquente et elles découvriraient sans doute d’autres aspects de la vie de François et de Louison qu’elles devraient aussi superviser. La liste n’était pas exhaustive.

Ce n’était pas pour lui déplaire. Depuis le décès de son mari, sa vie était un peu vide. Avant, elle l’avait organisée autour des besoins de son conjoint. Sa disparition avait creusé un vide qu’elle n’avait pas réussi à combler. L’arrivée de François et de Louison avait ramené un peu de vie dans la maison… et beaucoup de désordre et de frustration. C’était difficile de cohabiter avec deux jeunes personnes qui avaient l’âge d’être ses enfants, qui menaient une vie qui les conduisaient tout droit vers des problèmes graves et de ne rien pouvoir y faire.

Mais tout cela, c’était du passé. Elle s’engagerait à fond dans ce nouveau rôle, comptant sur sa sœur pour faire comme elle. Elle regarda Solveig qui semblait aussi déterminée qu’elle. Elle abattit sa badine sur les fesses de François. Le cri qu’elle provoqua la rassura. Cette fessée serait sévère, c’est ce qu’elle voulait. Le cri en écho de Louison était de même nature. Cette fessée s’annonçait sous de bons auspices.

Olga s’attacha à dessiner de longues marques rouges parallèles sur les fesses de François. Elle commença tout en haut des fesses, puis elle descendit, centimètre par centimètre jusqu’à la jonction avec les cuisses. Les marques apparaissaient dès que la badine s’abattait. Elles étaient alors rouge sombre et de la largeur exact de la badine. Le corps de François réagissait à chaque fois et il s’étranglait presque, tiraillé entre la plainte qu’il ne pouvait retenir et l’obligation d’empêcher sa salive qui remplissait sa bouche, de couler. Il se résolut à l’avaler. Le goût était atroce, mais cela valait mieux que de défier sa logeuse en laissant couler un filet de bave.

La bouche dégagée, il put exprimer bien plus franchement la douleur que la baguette provoquait sur ses fesses.

Sans s’en rendre compte, il se livrait à un concours avec Louison, à qui crierait le plus fort. Il était difficile de dire qui l’emportait. Solveig qui, d’habitude ne supportait pas le bruit, trouvait celui-là bien adapté à la situation et plutôt utile. Les jambes de Louison qui battaient dans le vide, les contractions soudaines de son corps qui se tétanisait, tout indiquait qu’elle donnait à la jeune femme la leçon dont elle avait besoin. Louison apprenait que le mensonge était une option qu’il convenait maintenant d’éviter.

 

« Les fesses du mien sont à point, et la tienne ?

– J’ai bien l’impression que ça va aller aussi. Au moins pendant quelques jours, elle n’aura pas envie de recommencer. »

Si François et Louison avaient eu la disponibilité d’esprit pour comprendre la conversation entre les deux sœurs et pour donner leur avis, ils auraient confirmé. Mentir était une option oubliée.

« Parfait ! On les laisse au coin pendant une bonne demi-heure, puis on les met au lit ?

– Je ne vois pas quel autre programme serait plus adapté. »

Une claque à main nue sur les fesses de François qui poussa un hurlement.

« Au coin, mes chéris, tous les deux ! »

Il n’y eut ni hésitation, ni discussion. Ce n’était ni le lieu, ni le moment.



Il y a une suite ?

Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 8. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre

1 commentaire:

  1. jai deja recu la badine sur les fesses sur les cuisses sa fait tres mal jai eu mal plusieur jour le pire setait pas etre assie

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