mercredi 14 avril 2021

Une pension de famille bien tenue - chapitre 6

 Les deux mains de la boulangère saisirent la culotte de François de chaque côté de ses hanches et d’un mouvement sans précipitation, elle la descendit jusqu’en bas des cuisses. Une rapide sensation de fraîcheur. François sentit les regards converger vers son pénis et ses testicules. C’était encore un spectacle peu commun pour les trois spectateurs. François craignait qu’il ne devint banal. Son sexe commença à se durcir et à se dresser. La honte d’être déculotté en public et d’être vu dans une situation intime furent trop fortes. Il plaça ses mains devant son sexe.

Une claque sur les fesses sanctionna ce geste déplacé.

« Tu ne vas pas nous faire une comédie à chaque fois que tu seras déculotté. Il va falloir t’y habituer. C’est une punition qui semble bien fonctionner avec toi comme avec Louison. Il y aura donc d’autres fessées. Aussi souvent que tu les mériteras. »

La première claque n’avait pas suffi, il en fallait quelques autres. La boulangère ne s’en priva pas.

« Montrer ses fesses nues en public fait partie de la punition. Tu te comportes comme un petit garçon, on te punit comme un petit garçon : la culotte baissée. C’est normal. Après tout, tu n’as pas trouvé anormal de voir les fesses de Louison hier, il n’y a donc aucune raison qu’on lui dissimule les tiennes. »

Cette fois-ci, ce fut une véritable fessée que reçut François. Il accusa le coup par quelques gémissements, mais il ne bougea pas ses mains.

« Bon, tu l’auras voulu ! C’est donc une nouvelle désobéissance. Tu auras donc une autre fessée ce soir et nous allons passer à quelque chose de plus sérieux. »

Elle se tourna vers Louison.

« Apporte-moi la grande spatule en bois qui est dans le tiroir. »

Louison s’empressa d’obéir. La boulangère continua la fessée avec la spatule. Elle claquait sur les fesses de plus en plus fort. Une fois, deux, trois… François fit deux pas pour s’éloigner de sa correctrice.

« Reviens ici, la fessée n’est pas finie, loin de là ! »

François jeta un œil désespéré autour de lui. Il ne pouvait espérer d’aide de personne. Tous pensaient, et lui avec, qu’il subissait une correction méritée.

« Pardon Madame, je ne le ferai plus ! »

Il vint se replacer à portée de spatule qui retomba cinq fois sur chaque fesse.

« Crois-tu que tu vas pouvoir désobéir sans qu’il y ait des conséquences ? »

Encore une longue série de coups de spatule.

« Enlève tes mains ! »

François obéit. Il n’y avait pas d’autre issue. Il écarta ses mains.

« Tu obéis enfin ! Il serait temps ! »

La spatule claqua encore une bonne dizaine de fois sur ses fesses. François relevait un peu le pied du côté où la spatule avait atterri. Il serrait les dents, mais elles laissaient passer des gémissements de douleur.

« Tu vas comprendre qu’il est préférable d’obéir en toutes circonstances et que montrer tes fesses, et le reste, la boulangère fit un geste vers ses organes génitaux qui avaient perdu de leur superbe, ce sera désormais ton lot quand tu seras puni. »

La spatule reprit son office.

« Aujourd’hui, ce n’est que devant trois personnes qui te connaissent, mais demain, si tu le mérites, ce sera devant bien plus de gens et tu ne les connaitras pas. Je tiendrai compte de ta pudeur d’adulte quand tu te comporteras comme un adulte. »

La boulangère était arrivée au niveau d’obéissance qu’elle souhaitait. Elle était à peu près certaine que François ne ferait plus de difficulté quand elle déciderait, à l’avenir, de lui baisser la culotte. C’était indispensable. Il devait prendre conscience qu’à n’importe quel moment, la fessée déculottée pouvait tomber et que quand sa patronne l’avait décidé, plus rien ne pouvait la lui éviter. Elle attrapa le bras de François et le força à s’allonger à plat ventre en travers de ses genoux. François ne résista presque pas. Il était maintenant en bonne position pour apprendre la leçon qu’elle voulait lui donner.

« Rappelle-toi, pas de main ! »

La spatule en bois fit son travail sur les fesses de François. Des marques sombres parsemèrent ses fesses. Elles avaient vaguement la forme de l’extrémité de l’instrument qui s’abattait sur le postérieur dénudé.

François criait, battait des pieds, mais il ne faisait rien pour interrompre la correction. Il avait compris que cela n’aurait fait qu’empirer sa situation. Ses deux mains tenaient chacune un pied de la chaise sur laquelle était assise sa patronne. Cela laissait le terrain parfaitement dégagé, situation idéale pour qu’une fessée produise tous les effets qu’on en attendait. Les réactions de François en attestaient.

 

La boulangère regarda François. Il était au coin depuis cinq minutes et ses sanglots diminuaient peu à peu. Elle était satisfaite. Elle était persuadée que ses deux employés étaient maintenant sur une toute autre voie que celle qu’ils avaient empruntée jusqu’à maintenant. Son autorité et celle de son mari ne serait plus contestée. Elle avait les moyens de l’imposer et François comme Louison semblaient y répondre favorablement.

« Le terme est peut-être un peu abusif, se dit-elle. Cela leur est très utile, mais je suppose que si on le leur demandait, ils préféreraient revenir à la situation d’avant. Mais il est clair qu’ils bénéficient de l’autorité que mon mari et moi exerçons sur eux. C’est ce que je voulais dire. »

De toute façon, personne n’allait demander leur avis aux deux jeunes gens concernés.

Louison avait une mine réjouie. Elle se rappelait les allusions de sa part dont, la veille, elle avait été victime.

« Après cette fessée déculottée, la deuxième de la journée, et ce temps passé au coin à montrer ses fesses à tout le monde, il n’était pas prêt d’y revenir. »

Louison ramassa les tasses de café, reliefs de la fin de repas. Intérieurement, elle jubilait. Elle était un peu euphorique de ne plus être la seule à recevoir la fessée et à devoir montrer ses fesses à son collègue de travail. Il était maintenant logé à la même enseigne qu’elle.

« Louison, fais attention à ce que tu fais. Je ne sais pas à quoi tu penses, mais tu n’es pas à ton travail !

– Oui, Madame, je fais attention ! »

Louison n’avait pas trop la tête à ce que la boulangère lui avait demandé de faire. Elle attendait d’être seule avec François pour aller l’asticoter un peu. Simplement lui rendre ce qu’il avait fait la veille, avec quelques intérêts. Il restait plus d’une demi-heure avant de reprendre le travail, des circonstances favorables devraient se présenter. L’occasion se présenta quand la patronne sortit dans la cour.

« Il faut faire vite, se dit Louison. »

Elle posa sur l’évier les deux tasses qu’elle avait en main. Elle se retourna, pressée d’exécuter son plan. Sa main heurta une tasse qui fit un vol plané et se fracassa sur le sol.

« Qu’est-ce que tu as encore fait, Louison ? »

Le bruit de la porcelaine sur le sol avait attiré la boulangère aussi sûrement que des mouches avec un pot de miel. Elle n’était pas venue pour féliciter son employée.

« Je t’avais pourtant dit de faire attention. Mets les morceaux à la poubelle ! »

Louison ramassa la tasse et passa un coup de balai sous la supervision de sa patronne.

« Maintenant, la punition ! »

C’était dans l’ordre des choses. Louison ne s’attendait pas à ce que cela finisse autrement. Le bras de la boulangère lui entoura la taille tout en l’obligeant à se pencher en avant. Elle sentit la prise se refermer en la ramenant contre la hanche de sa patronne. Elle était en place et il n’était plus question d’en bouger avant d’en avoir reçu l’autorisation et ce serait avec des fesses douloureuses.

Une main passée sous la jupe et celle-ci fut remontée sur ses reins. Sa culotte était accessible, ce qui était le but recherché, elle était à la vue de tout le monde, même si, en l’occurrence, tout le monde ce n’était que la boulangère. Louison ressentit le pincement de honte qu’elle éprouvait à chaque fois que sa patronne mettait sa culotte à l’air libre. Mais le sous-vêtement n’était pas destiné à rester là où il était.

Louison reconnut, sans surprise, la sensation des doigts qui, en saisissant l’élastique de la culotte, entraient en contact avec le bas de son dos. C’était un frôlement devenu presque familier. Il annonçait des moments des plus désagréables. Au fur et à mesure que la culotte descendait, la main touchait les fesses, puis le haut des cuisses. Cela n’avait rien de douloureux, mais c’était un avertissement qui annonçait la suite. C’était une caresse qui portait en elle un message des plus clairs. La main prenait possession de son territoire en douceur. Pour l’instant.

La boulangère était loin de toutes ces sensations. Elle avait une tâche des plus sérieuses à accomplir : punir Louison dont l’étourderie et la maladresse avait encore provoqué des dégâts. Bien sûr, cela signifiait qu’elle devait toucher l’épiderme intime de sa salariée. C’était nécessaire et n’avait pas d’autre signification que de la préparer à sa correction. Que ce soit celui d’une jeune femme n’avait pas d’importance, pas plus que quand il s’agissait de François.

Etait-ce d’ailleurs vraiment des adultes ? Ils avaient tous les deux bien plus de vingt ans, mais quand on constatait combien recevoir la fessée leur était profitable, on pouvait en douter. Tout cela confortait la boulangère dans la nouvelle méthode qu’elle avait mis en place depuis hier.

Elle accordait peu d’importance aux entorses qu’elle devait faire avec la pudeur de ces deux jeunes gens. Le contact avec les parties intimes de ces jeunes adultes n’était que péripétie, un passage obligé qui pouvait amener à toucher leurs organes génitaux pour les besoins d’une punition. Compte tenu de l’attention qu’elle leur portait maintenant et des nouvelles responsabilités éducatives vis-à-vis de ses deux employées, cela faisait partie de ses prérogatives. Ce n’était donc pas quelque chose qui la préoccupait.

La fessée administrée à Louison fut brève.

« Je t’avais dit de faire attention ! Mais tu n’es jamais à ce que tu fais. Si tu continues à être aussi tête en l’air, tu vas te faire corriger très souvent ! Tu peux compter sur moi pour m’en occuper ! »

La boulangère lui administra une correction intense mais qui ne dura pas très longtemps. Il s’agissait juste de marquer le coup de la maladresse. Louison devait se souvenir de faire plus attention, mais il ne s’agissait pas de lui donner une correction mémorable. La culotte baissée et l’échauffement des fesses seraient suffisants pour que la leçon soit retenue. Il restait à passer un petit moment au coin et la punition serait finie.

Louison alla se placer dans le coin disponible. Il n’était plus question de tourmenter son collègue. L’obligation de silence ne lui en laissait pas la possibilité et l’envie lui en avait passé. Les conditions n’étaient plus favorables à ce qu’elle prît sa revanche, c’était le moins qu’elle pouvait dire.

Quand le boulanger ou la boulangère passaient dans la pièce, ils ne pouvaient louper leurs deux vauriens et leurs fesses qui pâlissaient lentement. Ils y restèrent jusqu’à ce qu’il soit l’heure de reprendre le travail.

 

Dans le milieu de l’après-midi, des éclats de voix amenèrent la boulangère à aller voir ce qui se passait dans le fournil. Le boulanger était hors de lui il tonnait et c’était François qui était la cible de sa colère.

« Que se passe-t-il ?

– Quel irresponsable ! Monsieur jouait avec la boite de sel et ce qui devait arriver arriva. Elle est tombée dans la pâte. Je l’avais pourtant prévenu. Il n’écoute jamais les avertissements. Tout est à recommencer, tout est à jeter. Nous ne finirons jamais à l’heure.

– Eh bien, je crois que cela va jouer sur l’heure à laquelle ce jeune homme va finir sa journée. Cela va être beaucoup plus tard que d’habitude. Mais tu ne devrais pas te fâcher comme cela.

– Pas me fâcher ? Mais il faut bien que je réagisse à ses bêtises.

– Bien évidemment, mais pas besoin de crier. Il y a d’autres méthodes bien plus efficaces.

– Tu veux dire…

– Oui, c’est ce que je veux dire. Comme ce matin. »

Le boulanger resta pensif quelques instants. Il n’avait pas envisagé cette solution. Après réflexion, elle lui parut une évidence. Il se tourna vers François et il lui attrapa la main.

« Viens ici ! »

François avait compris ce qui allait lui arriver. Il écarquilla les yeux dans lesquels la frayeur se lisait.

« Non, s'il vous plait, non. Je vais recommencer la pâte, je…

– Pour ça, tu peux être sûr de la recommencer, mais ce sera avec des fesses brûlantes ! »

Une main appuyant sur le dos, une autre sous le ventre, François dut se courber sous le coude du boulanger.

« Tu ne lui baisses pas la culotte, demanda la boulangère ?

– Si, bien sûr ! »

Le boulanger farfouilla sous le ventre de François, cherchant le cordon qui retenait le pantalon. Il mit un peu de temps à réussir à le trouver. François était tétanisé. Il n’osait pas s’opposer au geste de son patron tout en en connaissant les conséquences, pourtant il ne pouvait s’habituer à l’idée de recevoir une nouvelle fessée pas plus que d’être de nouveau déculotté.

Il n’eut rien à décider, rien à faire. Cela suivit son cours sans qu’il ait eu besoin d’intervenir. Le boulanger tira sur le cordon et le pantalon, tendu sur les fesses par la position penchée de François, s’affaissa et commença à glisser de lui-même. Son patron accéléra le mouvement. En baissant le pantalon, la main du boulanger entrait en contact avec les fesses puis les cuisses nues. A chaque fois François avait un geste de recul, limité par le bras qui ceignait sa taille.

Ce fut encore bien pire quand le boulanger s’attaqua à la culotte. C’était la peau nue que touchait la main. Le boulanger ne faisait pas attention à éviter le contact. Il passa à frôler les testicules. François ne se méprenait pas sur les motivations de son patron. Ces attouchements n’avaient aucune intention équivoques. Au contraire, c’était ceux d’un père préparant son grand garçon pour une correction. Le dévoilement de l’intimité de François en faisait partie. C’était l’expression d’une autorité légitime.

La main du boulanger commença son travail. Les paumes cuites par la manipulation des pains sortant brûlants du four, ne sentaient pas l’échauffement que provoquait la punition… à la différence de l’épiderme des fesses de François. Cela permettait de faire durer la fessée sans dommage pour le fesseur, mais avec de brûlantes conséquences pour les fesses de François.

Le boulanger avait décidé que François n’oublierait pas cette fessée. Il voulait faire cesser les facéties malencontreuses et les négligences insouciantes de son employé. Il décida de lui administrer une vigoureuse correction à chaque fois qu’il serait pris en défaut. Il ne fallait rien laisser passer pour le mettre sur la voie d’une plus grande auto-responsabilisation vis-à-vis de ses actes.

Tout en administrant la fessée, le boulanger regrettait d’avoir laissé ces détestables habitudes s’installer. Il serait, bien évidemment, bien plus difficile maintenant de les éradiquer. François ne prenait pas assez au sérieux la rigueur nécessaire pour devenir un professionnel accompli. Cela ne pouvait pas durer. Il ne voulait pas former un professionnel dilettante dont le niveau de qualité au travail dépendrait son humeur du jour.

« Tant pis s’il faut lui donner la fessée quatre, cinq fois par jour, même plus souvent s’il le faut, mais à la moindre incartade, il sera puni. »

Cette décision prise, le boulanger s’appliqua à faire de la correction qu’il donnait, un moment mémorable dans la vie de François. Il y aurait un avant cette journée et un après. Pour cela il fallait que François sorte de cette fessée avec un souvenir des plus déplaisants et l’envie de faire les efforts nécessaires pour ne plus se retrouver une autre fois dans la même situation. Le boulanger accentua l’énergie qu’il mettait à abattre sa main sur les fesses de François.

François, de ses deux mains, saisit le bras qui passait sous son ventre. C’était un point de stabilité auquel il pouvait se raccrocher. Il sentait sous ses doigts la puissance des muscles noués de son patron. C’était une façon de se persuader qu’en aucun cas il ne pourrait se dégager de la position punitive dans laquelle il était.

Ce qui restait de sa fierté était sauve. Il recevait une fessée déculottée, certes, mais c’était à son corps défendant. Il ne faisait rien pour l’éviter, mais c’était parce que c’était impossible. Il se résignait donc à être corrigé et à l‘humiliation qui en découlait, faute de pouvoir faire autrement. Cela l’aida grandement à reconnaître la légitimité de ses patrons à lui administrer la fessée.

La vigueur de la fessée augmentant, la main droite de François qui s’agrippait au bras du boulanger, s’en détacha peu à peu. Insensiblement, elle glissait vers ses fesses. Elle y était presque quand le boulanger intervint.

« Ta main, François, remets là où elle était ! Si elle arrive jusqu’à tes fesses, je serai obligé de te donner une autre correction. Tu te souviens de ce qu’on t’a dit ce matin ? Tu ne veux pas d’une nouvelle fessée ?

– Oh non Monsieur, non ! »

La main de François revint à sa place initiale. La punition, brièvement interrompue, put reprendre. Le boulanger n’était pas encore parvenu au summum de ce qu’il pouvait faire en matière de fessée.

 

François se ressentait encore de la cuisson de ses fesses. Cela faisait pourtant plus d’une heure et demi que le boulanger l’avait relâché et qu’il avait été envoyé, les fesses brûlantes et des larmes dans les yeux, recommencer la pâte qu’il avait gâchée.

Ce n’était plus la fournaise intense qui emportait ses fesses quand il avait eu l’autorisation de remonter sa culotte pour se remettre au travail. C’était une gêne discrète quand il faisait certains mouvements, un peu comme les derniers reliquats d’un ancien coup de soleil, mais cela lui gardait à l’esprit pourquoi il était là au-delà de ses horaires habituels de travail.

Il était puni. C’était la boulangère qui le surveillait, maintenant que son patron avait fini sa journée. Elle lui avait ordonné de laver à fond le four à pâtisserie, après avoir lavé et rangé tous les petits ustensiles de cuisine dont ils se servaient à l’occasion. Cela faisait quarante-cinq minutes qu’il y était et il avait presque fini. Il voyait enfin le bout de cette journée cauchemardesque.

Il finit de rincer le produit qu’il avait utilisé pour dégraisser la surface en inox. Il prit soin d’effacer toutes les traces de séchage. Il était content de son travail. C’était impeccable. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas mis autant de soin dans l’entretien des outils de travail.

« Il a fallu une bonne fessée, se dit-il pensif. Autrement, je ne m’y serais jamais mis. »

Il ne pouvait s’empêcher de reconnaître l’efficacité de la correction qu’il avait reçue. Elle l’avait obligé à se concentrer uniquement sur son travail, ce qu’il ne faisait jamais jusque-là, mais il ne l’aurait ouvertement reconnu pour rien au monde. Il savait que cette résolution ferme était une futilité dont il aurait pu se passer.

Qu’il reconnaisse ou pas le bien que lui faisait la fessée, cela ne changerait rien à ce qui se passerait désormais. Ses patrons s’étaient aussi aperçu qu’elle lui était profitable et il lui avait promis qu’il serait déculotté et fessé aussi souvent que nécessaire. François comprenait leur décision, mais il se demandait, malgré tout, comment il pourrait les faire changer d’avis. Cela semblait perdu d’avance.

Il avait fait tout ce qui lui avait été ordonné de faire. Il avait donc fini sa punition. Il se changea et enfila son manteau. Seule Louison était dans la boutique. Il ne savait pas où était la boulangère.

« Tant pis, se dit-il, je la verrai demain. »

Il avait hâte de partir, soucieux qu’elle ne lui donne pas d’autres tâches à faire pour prolonger la punition. C’était plutôt arrangeant qu’elle ne fût pas là.

Il se dirigea vers la porte.pas fait deux pas dehors.

« Crois-tu que ta punition soit terminée ? »

« Où vas-tu ? »

La boulangère l’avait rattrapé alors qu’il n’avait pas fait deux pas dehors.

« Crois-tu que ta punition soit terminée ? »



Il y a une suite ?

Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 5. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre

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