mardi 27 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 22 bis

 La rencontre

J’étais remonté de Lyon satisfait et heureux. Madame Leroy allait être contente de ce que j’allais lui raconté. J’avais défini une stratégie de diversification, j’avais identifié une entreprise cible et cette entreprise était prête à se marier avec nous.

Madame Séverine était charmante, son entreprise une pépite et en plus elle était fan des produits de la SFID. Bingo sur toute la ligne.

En arrivant à la maison Céline me fit passer par la case salle de bain pour inspecter ma cage. Elle me libéra quelques minutes le temps que je fasse une toilette plus poussée de mon sexe et de ma cage et que je mette un peu de lait corporel pour le bien être de ma verge.

Mais après que j’eu remis en place ma prison, elle referma le cadenas d’un claquement sec en me disant que maintenant j’allais devoir m’occuper d’elle. Et qu’en fonction des résultats j’aurai peut-être droit à une jouissance le week end prochain. Docile je m’exécutais et m’agenouillai pour positionner ma tête sous la   petite chatte de Céline.

Celle-ci était fraichement épilée et c’était ma foi un vrai plaisir de sentir son petit bouton se gonfler sous les assauts de ma langue. Je sentais ma verge gonflé comprimé dans sa cage mais le nez enfouie dans Céline et la langue occupée je l’oubliais, fort concentré sur le plaisir de Céline. Céline avait due pas mal fantasmé pendant mon absence car elle ne tarda pas à haleter puis à crier tandis que sa cyprine coulait sur ses lèvres et sur ma langue.

J’avais fait un grand pas pour obtenir moi-même le droit de jouir dans 2 jours. C’est cela la chasteté masculine, il faut mériter et pour l’homme c’est quand Madame veut et comme Madame veut. Je ne décidais plus rien car Céline avait pris le pouvoir et détenait la clef.

Le lendemain matin j’allais voir Madame Leroy pour lui faire mon compte rendu de l’entretien avec Madame Séverine à L’oiseau en cage. Une fois mon récit terminé celle-ci me félicita et me dit son impatience à rencontrer Madame Séverine.

Je lui proposais dans un premier temps de l’inviter à la SFID pour faire plus ample connaissance et voir les modalités d’un futur rapprochement. Nous fixâmes une date et je fus chargé d’inviter madame Séverine  à venir nous visiter. Madame Leroy les recevrait à dormir dans sa propre maison et réservation fut prise à la table étoilé de la région à quelques kilomètres de l’usine. Madame Leroy voulais recevoir ses hôtes le mieux possible pour réunir toutes les conditions favorables à ce futur rachat.

 Le jour convenu Madame Séverine arriva en fin de matinée dans une berline Mercedes rutilant conduite par son mari qui lui servait de chauffeur. Celui-ci était employé par l’oiseau en cage au service exclusif de son épouse comme nous l’avait expliqué madame Séverine.

Elle se rendit directement chez Madame Leroy ou elle fut accueillie  dans le parc par Gisèle la bonne. Madame Leroy sorti sur le perron pour saluer son hôte de marque. Elle descendit les marches, ce qui était chez elle un signe de bienvenue manifeste, tandis que le chauffeur ouvrait respectueusement la porte de la voiture à madame Séverine assise à l’arrière.

Celle-ci s’adressa alors à Madame Leroy en lui prenant les deux mains :

« Chère madame Leroy je suis ravi de faire votre connaissance. Vous avez une propriété magnifique. Nestor va  sortir mes bagages pour les transporter dans ma chambre. Nestor c’est mon mari et mon chauffeur. En réalité il s’appelle Philippe mais je préfère l’appeler Nestor comme le domestique dans Tintin. Amusant non. Il adore gouter à vos instruments vous savez. Et Dieu si il en a eu l’occasion souvent. D’ailleurs il a mérité une bonne correction pour n’avoir pas respecté les limitations de vitesse. Si vous le permettez je le corrigerai plus tard. Je n’ai pas emmené avec moi mes instruments habituels, me disant que je pourrai les renouveler en venant chez vous. »

On ne pouvait rêver meilleure entrée en matière. Madame Leroy lui répondit aussitôt :

«  Chère Madame Séverine, vous ne pouvez pas savoir le plaisir que vous me faîtes en venant nous visiter. C’est pour moi un grand honneur de recevoir la Présidente de l’oiseau en cage, le meilleur de la chasteté. Et je vois que nous avons les mêmes valeurs de discipline vis-à-vis de nos gens ce qui ne peut que me contenter.

Ces présentations faîtes, les deux femmes montèrent le perron côte à côte en continuant d’échanger poliment sur la région, la météo et d’autres choses de moindre importance.

 Nestor ouvrit le coffre pour prendre les deux valises de Madame Séverine et monta le perron à la suite des deux femmes tandis que Gisèle  rejoignait prestement  sa cuisine ayant le déjeuner à servir bientôt.

Madame Leroy emmena Madame Séverine directement au premier pour lui ouvrir la chambre d’amis. Celle-ci avait été préparée par Gisèle, briqué et frotté dans les moindres recoins afin d’éviter d’éventuels reproches de sa patronne ce qui lui aurait valu une sanction immédiate. Madame Leroy inspectait de son œil aigu la chambre tout en bavardant avec Madame Séverine. Elle cherchait visiblement quelque chose des yeux qu’elle ne trouvait pas. Contrarié elle appuya sur le bouton de la sonnette de la chambre qui permettait de sonner les domestiques. Dans la cuisine Gisèle vit s’allumer la lampe correspondant à la chambre d’amis et sut que sa patronne la sonnait. Immédiatement elle abandonna ses casseroles pour se précipiter dans l’escalier et aller voir ce que Madame Leroy lui voulait.

« Gisèle ce matin je suis allé spécialement au village acheter un beau bouquet que je vous avais demandé de mettre en vase pour le placer dans cette chambre. Ou est ’il ? demanda t’elle d’une voix sèche.

Gisèle lui répondit d’une voix blanche. « Dans la cuisine madame, je l’ai oublié.

« Allez le chercher immédiatement et remontez avec le martinet. Je vais vous apprendre à ne pas oublier les choses.

Pendant ce temps Nestor posait les valises et attendait les ordres.

«Vous pouvez disposer Nestor dit alors Madame Séverine. Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois et tourna les talons.

« Il m’accompagne dans tous mes déplacements expliqua madame Séverine. Il dort dans la voiture et mange avec les domestiques. Il porte en permanence une cage avec plug d’urètre. C’est très pratique, cela évite qu’il mette de l’urine partout au toilette,

 Amusant non ?

Madame Leroy rit poliment à cette remarque et répondit :

Il faudra que vous m’expliquiez toutes ces choses sur la chasteté chère Madame, car je n’y connais rien. Mon pauvre mari est mort il y a déjà quelques années et cette façon de faire était peu répandu. Mais je crois qu’aujourd’hui de plus en plus de couple s’équipe.    Enfin ce sont surtout les hommes qui sont équipés par leurs femmes. Car nous n’avons pas besoin de cela nous les femmes pour savoir ce qui est bon ou pas bon pour nous. Par contre les hommes sont souvent guidés par leur engin qui leur sert de cerveau. Les mettre encage ne peut qu’être une bonne chose pour eux. En plus de la discipline domestique bien évidemment. A ce sujet donnez-moi ce martinet Gisèle et allez-vous mettre à genoux sur le fauteuil.

Gisèle entre temps était remontée avec les fleurs et le martinet aux longues lanières fauves que saisit Madame Leroy. Gisèle installée sur le fauteuil elle lui remonta sa robe sur le dos et descendis son panty sur ses chevilles.

« Allez vilaine fille , je vais vous corriger pour votre étourderie.

Levant son martinet elle abattit les lanières sur les fesses serrées de peur de Gisèle qui commençait à geindre.

Au bout d’une trentaine de coup qui avait fait passer les fesses de Gisèle du blanc au rouge vif avec de belles traces de lanières sur le côté des cuisses, Gisèle criait et suppliait.

« Taisez-vous étourdie ! je suis obligé de vous corriger plusieurs fois par semaine pour votre mauvais travail. Bientôt je passerai à des instruments plus sévères si je ne constate pas d’amélioration.

Se tournant alors vers Madame Séverine elle lui tendit le fouet en lui disant :

« Allez-y, prenez ma suite car elle me fatigue cette gourgandine. Et frappez fort car elle a la peau dure.

Ne se laissant pas dire deux fois, madame Séverine saisit le fouet avec gourmandise et montra son savoir-faire sur les fesses de Gisèle qui passèrent du rouge vif au cramoisie après une nouvelle série de 30 coups.

Madame Séverine remit le martinet à Madame Leroy qui lui dit :

« Félicitations chère Madame, je n’aurai pas fait mieux. On voit que vous avez une grande habitude du maniement de nos instruments.

Rosissant de plaisir sous le compliment, Madame Séverine lui répondit :

« Oui je les utilise depuis notre mariage avec Philippe, enfin Nestor. Je suis pour une discipline conjugale stricte ou le moindre écart doit être sévèrement puni. Philippe est corrigé plusieurs fois par semaine car sa conduite laisse à désirer.

A propos de conduite il faut que le punisse pour ses excès de vitesse.

« Je vais vous montrer mon fauteuil à fesser conçu spécialement pour moi par un fabricant de fauteuil de dentiste. Il est motorisé et sa forme et ses positions sont spécialement adaptées à la fessée, Dit fièrement madame Leroy.

Les deux femmes descendirent l’escalier pour rejoindre le salon de correction ou se trouvait le fauteuil à fessée ainsi qu’un mur entier des instruments de fessée de la SFID. Madame Séverine n’en revenait pas.

Sur ces entrefaites Georges et Céline qui avaient été invités au déjeuner par Madame Leroy étaient arrivés. Après avoir salué Madame Séverine, Georges lui présenta Céline un peu intimidé par cette belle femme.

« Je vous félicite Céline lui dit ‘elle aussitôt. Je sais que vous avez fait le choix de la chasteté masculine pour Georges, ce qui est une excellente chose pour lui et surtout pour vous. Je ne peux qu’encourager, vous vous en doutez, les couples qui choisissent ce mode de vie pour leur bonne santé physique et mental à tous les deux.

Après ces paroles qui firent rosir de plaisir Céline et moi plutôt rougir de honte,  tout le monde se retrouva dans le salon de fessée ou Madame Leroy fit servir le champagne.

Madame Séverine ne quittait pas le fauteuil à fesser des yeux subjuguée par cet objet qui la fascinait.

« Pourrais-je corriger Nestor sur ce fauteuil demanda Madame Séverine ?

«  Mais bien sûr chère Madame, il est fait pour cela. Beaucoup de puni y sont passé dit ’elle en me regardant dans les yeux. Voulez-vous que je demande à Gisèle d’aller chercher Nestor.

« Ce n’est pas nécessaire Chère madame, j’ai ma propre sonnette. Nestor est équipé d’une cage à impulsion électrique. Il suffit que j’appuie sur le bouton de cette télécommande et il va arriver. S’il ne vient pas assez vite je renvoie une impulsion plus forte et croyez-moi il passe la vitesse supérieure.

Madame Séverine n’était pas fâchée d’en boucher un coin quant à ses cages de chasteté face au fauteuil à fesser de Madame Leroy.

Une minute après, Nestor frappait à la porte du salon.

Madame Séverine lui demanda de se déshabiller et de s’allonger  sur le fauteuil en position ventrale. Ce qu’il fit soumit de longue date qu’il était.

Nous pûmes tous admirer la cage en acier brillant qu’il portait avec le bouchon d’urètre au bout. Céline semblait très intéressée par ce modèle.

Une fois Nestor en place et bien sanglée, Madame Leroy montra à Madame Séverine comment régler le fauteuil, l’amener à la bonne hauteur, l’incliner de façon optimale afin que les fesses du puni soient bien présentées à l’instrument. Elle alluma le projecteur situé au-dessus pour éclairer les fesses de Nestor. Celles-ci présentaient encore les marques atténuées d’une précédente fessée.

Madame Séverine se déplaça alors devant le mur d’instruments pour en faire le tour. Au bout de quelques minutes elle se saisit d’une longue et fine cravache noire de dressage qu’elle caressa avant de la faire siffler dans l’air plusieurs fois.

Elle revint se positionner derrière le fauteuil et déclara :

«  Vous avez une superbe collection d’instrument, c’est remarquable, je le savais mais les voir c’est impressionnant. Vous allez maintenant assister à la correction de Nestor pour avoir dépassé la limitation de vitesse. Pour les fautes de conduite en voiture j’utile toujours la cravache car cet instrument est relié à l’équitation. Et quand on parle de puissance des voitures, ne parle-t-on pas de chevaux ? Nestor a dépassé de plus de 30 Km/h la vitesse sur l’autoroute comme j’ai pu le constater. Il aura donc 30 coups de cravache.

Ce faisant elle commença à cingler les fesses de son chauffeur de mari et elle n’y allait pas de main morte. La cravache était plutôt fine mais de ce fait très cinglante et Nestor même bien sanglée devait ressentir la douleur coupante de l’instrument car il gigotait.

Les trente coups appliqués on pouvait presque compter les fines rayures alignées sur les fesses qui commençaient déjà à bleuir.

Nous étions tous impressionnés par cette maîtrise parfaite de l’instrument. Alors que Nestor récupérait toujours attaché, Madame Séverine complimentait Madame Leroy sur son fauteuil. Elle en voulait un identique.

« Pas de problème chère Madame, j’en ai déjà vendu à certain très bon client et je me ferai un plaisir de vous le faire réaliser.

Puis Céline lui demanda des explications sur la cage avec plug d’urètre et électrostimulation. Elle trouvait cela formidable, moi pas mais je n’allais pas y couper. Céline allait m’équiper avec le must des cages de chasteté.

Mais pourquoi avais-je eu cette idée de diversification ?



Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 22
La suite, c'est le chapitre 23 puisque le 22bis avait été oublié. Voila qui est rectifié.

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1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et des fessées comme dans un fauteuil... Bonjour.
    Georges bonjour, aussi!

    Oula la... la tension monte à la SFID, à l'inverse de la bistrouquette à Nestor, coincée derrière les barreaux! Entre le fauteuil à fesser orientable pour une bonne présentation des fesses aux instruments, et la cage à oiseaux à tête chercheuse et impulsion électrique, ces messieurs ont intérêt à se tenir à carreau! L'Enfermement psychiatrique, non, l'emprisonnement de la trique... oui ! Euh, bon, un peu raide comme formule... Je vous le concède...

    C'est qu'elles s'amusent comme des petites folles, les Madame Leroy et Madame Séverine! Echanges d'arguments frappants, sur les fesses de Gisèle et du mari de madame qui a trop appuyé sur le champignon. Son champignon à lui c'est le bouchon à Urètre... Dur dur, ou plutôt mou mou... Au prêteur sur cage, les bijoux de famille!
    "Ouvrez , ouvrez la cage aux oiseaux" chantait Pierre Perret.
    De toute évidence, ce n'est pas au programme des privés de réjouissances.
    Episode bien délirant, ou nos maîtresses femmes préférées, sévères comme on les aime, rivalisent d'imagination pour affirmer leur pouvoir sur la gens masculine à grands coups d'électrostimulation sur l'asperge... Merci la fée électricité, on n'arrête pas le progrès !
    Cordialement
    Ramina

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