samedi 10 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 25

 Enfin, cela cesse, Lucie a abandonné son instrument de torture et passe à présent sa main sur mon fessier tuméfié.

« Venez toucher les filles, je lui ai parfaitement cramé les fesses, je crois qu'il va s'en souvenir de celle-là. »

Tu parles qu’elles se font un plaisir d'obtempérer.

« Y a pas à dire, c'est de la belle ouvrage, tu as couvert toute la surface et même le haut des cuisses.

– On dirait qu'il a revêtu un boxer rouge vif.

– C'est sûr que ça remplace avantageusement celui d'avant. »

Des mots, des rires, qui blessent, qui flagellent à nouveau, qui font mal. Les filles ne se privent guère en venant évaluer le degré de cuisson de mes fesses, d'en profiter pour me soupeser les couilles en se marrant.

« Le petit vicieux, il ne s'est pas privé de nous exhiber ses burnes, je me demande si ça ne justifierait une punition supplémentaire.

– C'est vrai qu'elles sont toutes douces, dépouillées de leurs poils, on en mangerait !

– Bon suffit comme ça, il va aller se calmer au piquet et ensuite il nous servira le thé tout nu, ça nous permettra de bien nous régaler de la vision de mon œuvre. »

Elle m'a redressé et, comble de la honte, m'a entraîné vers le coin de mur auquel j'étais hélas habitué en me tirant par l'oreille. Pour ne pas l'indisposer, j'ai mis les mains sur ma tête, j'étais toujours en larmes, autant de douleur qu'humiliation. C'était vraiment très cruel de me fesser aussi sévèrement devant ses copines somme toute pour des vétilles, je la haïssais de toute mes forces.

J'ai pris sur moi pour tarir mes sanglots après la menace de me ramasser une nouvelle fessée si ce n'était pas le cas, ça les dérangeait dans leurs échanges les chipies.

Je les entendais se marrer et même si je ne distinguais pas tous leurs propos, il me semblait bien que l'essentiel portât sur le supplice que je venais de subir.

Margaux et Clémence devaient déjà songer aux récits qu'elles feraient à tous leurs copains et copines de cette belle et étrange après midi.

J'étais déjà pas mal grillé après ma petite fessée publique de la plage, mais là c'était définitivement terminé pour moi, plus jamais je n'oserais affronter les regards de notre petit groupe d'amis et surtout, plus jamais, je n'accepterais d'aller passer une partie de l'été dans la résidence balnéaire de la tante Maud.

J'ai eu droit à mon quart d'heure de piquet, le temps de cesser de renifler et de sécher mes larmes,

 

Lucie m'a fait venir devant elle, toujours assise, mon sexe se trouve ainsi pile à hauteur de son visage, plutôt agréable par ailleurs.

« Regardez-moi cet insolent, à peine vient-on de le corriger qu'il recommence à bander. Fabien je te veux tout petit et décalotté pour faire ton service. »

C'est vrai que je ne sais trop pourquoi, mon sexe a commencé à grossir quand je me suis trouvé nu en face de ma cousine et avec le regard des quatre filles sur mes parties intimes.

Lucie m'a envoyé deux petites gifles sur la queue qui l'on vite ramenée à la portion congrue, m'abaissant au passage le prépuce qui s'était relevé pendant la fessée. Elle s'est ensuite levée, s'est positionnée juste derrière moi, frôlant mon fessier toujours aussi douloureux et s'est emparé de mes couilles avec sa main droite qu'elle a fait passer entre mes cuisses et qu'elle a commencé à serrer, me mettant à nouveau les larmes aux yeux et me faisant gémir.

« On croit que c'est du costaud ces mecs, alors que c'est du fragile, un rien te les fait mettre à genoux. »

La garce me pressure de plus en plus les burnes et ça me fait un mal de chien, je n'ose pas me rebiffer, mes larmes commencent à couler de nouveau et à toutes fins utiles, je commence à m'agenouiller en mettant les mains sur ma tête en guise de soumission. Ce devait être ce qu'elle attendait car ma cousine a relâché mes bijoux de famille en ricanant de plus belle.

« Vous avez vu les filles, ce n'est pas très compliqué.

– On peut essayer nous aussi a avancé Margaux.

– Non, ça suffit pour l'instant, il a assez souffert notre petit Fabien, entre le devant et le derrière on ne te l’a pas raté, allez, occupe-toi des boissons et gare à tes fesses si le service n'est pas parfait, j’exige que tu gardes ton prépuce descendu. Vu ?

– Oui Lucie.

–S'il je n'avais pas peur que ça lui échappe devant ma mère ou ma petite sœur, je t'obligerais à m'appeler maîtresse, car à la sortie, c'est bien ce que je suis, non ?

– Oui maîtresse.

– C'est bien, tu auras droit à ton susucre. »

 

Je m'empressai donc de servir le thé à ces quatre grognasses dans le plus simple appareil.

Je réussi à ne rien casser, en dépit du fait qu'à chacun de mes passages devant l'une ou l'autre, ces demoiselles s'amusaient à me toucher les fesses, me gratifiant presque à chaque fois d'une petite claque, certes pas très forte, mais qui faisait des ravages sur ma chair meurtrie, se régalant du petit cri que je poussais à chaque fois.

« Qu'il est douillet le garçon, il ne supporte même pas une petite gifle ! »

J'espérais que la tante finirait par se pointer et je me demandais si elle apprécierait véritablement la situation, rien n'était moins sûr, cependant j'avais si mal supporté la dernière fessée à la règle que je ne risquais pas de lui rapporter toutes les misères que l'on me faisait subir, j'avais trop peur de me prendre une nouvelle raclée que je ne me sentais pas de supporter.

Je pouvais toujours rêver de la voir survenir et qu'outrée, elle inflige dans la foulée une sévère fessée déculottée à sa fille en présence de ses amies, quelle belle revanche ce serait.

En attendant, les filles s'en prenaient à présent à mon service trois pièces, prenant mes testicules à pleines mains, comme l'avait fait Lucie, sans les serrer toutefois, se contentant de les soupeser en riant et jouant à descendre et remonter mon prépuce, transformé en une sorte de jouet pour adolescentes délurées.

Cela déclenchait inévitablement un début d'érection qu'elle moquait puis calmait d'une ou deux torgnoles.

« Il n'est pas très bien équipé ce jeune homme, j'ai vu bien plus gros et ces couilles ne sont même pas égales, regarde comme celle de droite pend lamentablement.

– C'est encore plus laid sans poils, vous ne trouvez pas ?

– Calmez-vous les filles, je ne voudrais pas qu'il vous éjacule dessus le salopard. »

Et ça a continué encore un petit moment dans le même registre, j'avais subi bien des humiliations, entre autres mon horrible fessée déculottée devant toute la classe, j'y reviens, pardon, mais je crois que j'ai là atteint des sommets.

Je me sentais quasiment ravalé au rang d'animal de compagnie, pire d'objet, je me disais que même les esclaves devaient être mieux traités, je n'existais plus en tant qu'individu et on s'amusait avec ma virilité comme avec un sex toy, pareil pour mes fesses, je m'attendais à tout moment à ce qu'un doigt s'égare dans mon trou de balle, heureusement, j'y ai échappé. Je redoutais aussi de me prendre une nouvelle dégelée, Margaux avait notamment avancé que mon fessier avait perdu sa belle couleur rouge vif, ce qui était bien dommage et s'était proposé pour lui rendre ce joli ton qui lui allait si bien.

Mais les trois autres probablement lasses de mes diverses mortifications, rendues presque banales sans doute par ma totale soumission aux ordres de ma cousine, avaient entamé une conversation relative à quelques garçons qu'elles avaient dans leur viseur qui leur semblait bien plus passionnante.

Mon service effectué, Lucie m'avait dit de retourner au piquet dans la position habituelle, les mains sur la tête jusqu'à ce qu'on ait besoin de moi.

Il s'en était fallu de peu que je me retrouve sur les genoux de Margaux pour me faire à nouveau rôtir le fondement, son regard me disait bien qu'elle en crevait d'envie. J'aurais eu bien du mal à le supporter tant mes fesses me cuisaient encore, la règle m'avait pincé et entre autres martyrisé la hanche droite qui me piquait furieusement et j'avais bien du mal à ne pas passer mes doigts dessus aux fins d'un illusoire soulagement.

 

Enfin la compagnie se décidât à se séparer et les trois invitées s’apprêtèrent à regagner leur domicile respectif, non sans me gratifier d'un dernier salut en actionnant ma verge en guise d'adieu, une sorte de "shake sexe", ce au seuil de porte d’entrée ouverte, je priais pour que des passants ne découvrent pas leur étrange manège.

Quand je me suis retrouvé seul avec Lucie, j'ai été malgré tout soulagé, elle ne me ménageait guère, mais je m'y étais presque habitué, alors que devant les trois autres, c'était horrible, elle ne voulait pas déchoir et avait tendance à me tourmenter davantage. Une dont je ne regrettais guère le départ, c'était Margaux, Lucie était une vraie salope, mais j'avais eu de la chance de ne pas tomber entre les mains de Margaux qui semblait pire encore, plus démoniaque, plus vicieuse, je priais le ciel de ne jamais me retrouver sous sa férule, d'autant qu'à l'encontre de Lucie, plutôt fine, c'était une costaude, une sorte d'athlète, pas vilaine pour autant si on aime ce genre de fille.

« Alors qu'est-ce que tu attends pour te rhabiller, tu espères le retour de Maman, tu penses qu'elle va te plaindre, voire s'en prendre à moi pour avoir été trop dure avec toi ?

– Non Lucie, j'attendais juste que tu m'y autorises.

– Tu fais bien, car si tu t'avisais de te plaindre de quoi que ce soit, je te garantis que tu le regretterais, j'inventerai n'importe quoi quant à ton attitude avec mes amies, qui ne manqueront pas de confirmer si besoin est et tu te retrouverais avec à nouveau les fesses à l'air à cueillir des orties au fond du jardin. »

Elle en était bien capable et je me suis résigné à m'écraser, méditant néanmoins des idées de revanche, elle risquait de ne pas trop avoir la partie belle chez Madame Leblanc la chère Lucie.

C'était ma dernière soirée, puisque je regagnais mes pénates le lendemain en fin de matinée et j'espérais en avoir fini avec mes souffrances. Mais ma cousine voulant affirmer son autorité jusqu'au bout m'a envoyé au lit, faire la sieste. A dix sept heures ! Elle m'a enjoint de passer mon pyjama, ce qui m'a soulagé, j'en avais assez d'être complètement nu devant des personnes habillées. Vingt minutes plus tard, elle s'est pointée dans ma chambre, alors que j'étais en train de bouquiner, allongé sur le ventre, tant mes fesses me lançaient encore. Je me demandais si j'en avais le droit et j'ai bien cru me recevoir une dernière fessée, mais non Lucie, dans sa grande mansuétude venait soigner des fesses qu'elle n'avait pas ménagées tout au long de la journée.

J'ai dû me coucher sur ses genoux dans la position disciplinaire dont j'avais à présent l'habitude et elle m'a longuement massé le fessier à l'aide d'une crème apaisante, s'attardant tout près de mon anus et de mes roubignoles, ce qui immanquablement a déclenché un nouveau développement de ma personnalité dont elle s'est bien entendu aperçue.

« Oh le vilain garçon qui bande quand on vient le soigner, lève-toi que j'examine ça de plus près. »

Je me suis exécuté, très gêné, mon pantalon de pyjama à mes chevilles.

« Eh bien dis donc, à croire que je te fais de l'effet mon salaud, d'abord on va te décalotter, je préfère le voir comme ça. »

Je me demandais ce qui allait s'en suivre, pour la première fois, nos relations me semblaient prendre un caractère sexuel très inattendu.

Elle prend mes burnes dans la paume de sa main, j'ai peur qu'elle me les broie à nouveau, mais non, elle me remet sur mes pieds s'amuse à monter et descendre mon prépuce.

« Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?

– De quoi, on se rebiffe, tu es encore à ma disposition jusqu'à ton départ, tu ferais bien de t'en souvenir si tu ne veux pas aller dormir en sanglotant comme un gosse avec les fesses écarlates. »

Je m'écrase aussi sec, revenant sur mes idées de vengeance, pour le temps qui me reste à passer chez elle, je peux bien subir quelques misères supplémentaires.

« Bien ça suffit, puisque tu n'es même pas content que je m'occupe de te soulager, tu vas aller finir l'après-midi au piquet et c'est Maman qui jugera si tu mérites une nouvelle correction, allez, dépêche-toi, descends au salon et abandonne ton pyjama, haut et bas. »

J'ai obéi et je me suis retrouvé une nouvelle fois tout nu et au coin.

Mets-toi à genoux, ça t'apprendra à rouspéter. »

C'est dans cette position, très vite fatigante que m'a découvert la tante Maud, La gamine était restée chez une copine.

« Tiens-en voilà un qui a encore fait des bêtises.

– Il a été désagréable avec mes copines et je l'ai fessé à la règle devant elles.

– Tout nu ?

– Ben oui, tu as bien fait, à croire qu'il est vraiment dur à la comprenette, même si cela va beaucoup mieux depuis que tu l'as pris en mains. Dommage que son séjour se termine demain, mais j'ai une nouvelle à t'annoncer.

– Je t'écoute.

– J'ai discuté avec ma sœur et elle est très contente de l'école de commerce qu'a fréquenté Fabien l'an dernier, il va y retourner et tu vas l'accompagner puisqu’étrangement ce sont également des études économiques qui t'intéressent, tu seras dans la même section avec une année de décalage, tu verras bien, si finalement cela ne te convient pas, tu es très jeune et tu pourras éventuellement changer d'orientation.

– Bien, j'imagine que ce n'est pas négociable.

– Non, toi aussi tu as fait des progrès depuis que je me suis remise à te flanquer des fessées, il ne faudra pas que je perde cette bonne habitude, tiens-le-toi pour dit.

– Oui Maman.

– Madame Leblanc, qui logeait Fabien l'année dernière, n'a pas deux places à nous proposer, en conséquence, je vais vous louer un grand studio à proximité.

– Super !

– Ne te réjouis pas trop vite ma fille, vous prendrez tous vos repas chez elle et elle exercera sur vous sa surveillance. J'ajoute que comme c'était le cas avec Fabien et d'ailleurs ses autres pensionnaires, elle aura tous pouvoirs pour vous punir y compris par des châtiments corporels. C'est bien compris ?

– Oui Maman. »

 

J'étais toujours au piquet nu, agenouillé et les mains sur la tête, la position devenait de plus en plus dure à tenir, mes bras, mes épaules et mes cuisses étaient de plus en plus ankylosés, sans parler de mes genoux qui me faisaient un mal de chien. Ces nouvelles n'en étaient pas tout à fait pour moi, j'avais en effet surpris quelques échanges téléphoniques entre les deux soeurs et même si je ne la voyais pas réagir, je me doutais bien que Lucie n'était guère enchantée.

« Un point important, Fabien restera sous ta surveillance, j'ai dit à ta tante que depuis quelques jours, tu avais fait du bon travail et elle est d'accord pour que tu le poursuives dans les mêmes conditions, c'est à dire fermement et sans excès. Ce garçon a besoin d'être sévèrement cadré et s'il ne t'obéissait pas, tu en réfèrerais à Madame Leblanc qui ne manquerait pas de le remettre dans le droit chemin.

– Bien Maman. »

Ça c'était le coup de pied de l'âne, je ne m'attendais certainement pas à passer toute une année scolaire sous la férule de ma garce de cousine, j'étais effondré par cette annonce.

– Fabien vient ici, tu gardes tes mains sur la tête. »

Je me relève péniblement et je viens me placer devant la tante Maud qui contemple quelques instants mon service trois pièces.

« C'est vrai que ça fait tout drôle de le voir avec le pubis épilé, on dirait presque un petit garçon, tu devrais continuer poux ou pas, enfin tu feras bien ce que tu voudras. Tu as entendu ce que j'ai dit Fabien ?

– Oui tante Maud.

– Tu vas donc avoir le bonheur d'être dans le même établissement que ta cousine adorée, toi en deuxième année et elle en première, vous logerez ensemble, ta mère vient de vous trouver un petit appartement à deux pas de chez Madame Leblanc. C'est elle qui se chargera de vous encadrer, de suivre vos études et éventuellement de vous punir de la façon dont elle le souhaitera. Tu expliqueras à Lucie de quoi il retourne, pour le reste, c'est ta cousine qui continuera de te diriger avec les mêmes attributions que ces derniers jours, elle sera responsable de ton hygiène, de ta santé, pareil pour vos sorties et vos fréquentations qu'elle devra gérer au mieux, quitte à en référer à Madame Leblanc au cas de problème. Il est bien entendu que ma fille bénéficiera des avantages de sa situation de tutrice, mais devra aussi en assumer les devoirs, quitte à se faire tanner les fesses d’importance si elle le mérite, comme j'ai cru comprendre que Madame Leblanc savait le faire. »

J'étais tétanisé, d'abord étant donné ma position, entièrement nu et les fesses encore meurtries, les mains sur la tête devant les deux femmes, dont les yeux avaient du mal à ne pas se plonger vers ma virilité dont le prépuce était toujours rabattu, ce qui n'avait entraîné nul commentaire de la tante, comme s'il était parfaitement normal que sa fille me mette le gland à l'air et ensuite par ce que j'apprenais. La situation ne me semblant pas très bien choisie pour cette annonce et encore moins pour une conversation de fond.

C'était l'horreur, moi qui pensais que mon supplice sous l'entière domination de Lucie se terminerait dès le lendemain et mon retour chez ma mère, j'apprenais que dans moins d'un mois, dès la prochaine rentrée scolaire, je serais à nouveau sous la terrible férule de cette morue de Lucie, sans compter celle de Madame Leblanc, certes plus juste, mais pas moins sévère.

Du coup, les larmes envahissent mes paupières, ce qui fait rire la tante Maud.

« Tu n'as pas l'air heureux de retrouver ta cousine, tu es bien ingrat, avec tout ce qu'elle fait pour toi, sachant que c'est une lourde responsabilité qu'elle va devoir assumer et puis je te rappelle que c'est toi qui t'es mis dans cette situation de dépendance par d'honteuses manœuvres pour la faire punir, il faut assumer ses erreurs mon garçon et puis tu verras, ce ne sera pas si terrible, Madame Leblanc veillera comme je le fais à ce que Lucie n'aille pas au-delà de ses attributions, n'est ce pas ma fille ?

–Bien sûr Maman. »

Tu parles qu'elle allait dire autre chose la garce, je parviens à retenir mes larmes pour ne pas lui donner ce plaisir, je me trouve complètement ridicule en train d'échanger avec ma tante et ma cousine sur mon prochain avenir, alors que je suis toujours en position disciplinaire, entièrement nu, les mains sur la tête, avec les fesses qui me brûlent encore. Mais cela ne semble pas gêner mes interlocutrices.

« L'affaire est donc entendue, Fabien, je compte sur toi pour aider ta cousine à s'intégrer dans sa nouvelle école n'est ce pas ?

– Oui tante Maud, c’est entendu. »

Tu parles qu'elle peut s'attendre à ce que je fasse tout mon possible pour la griller d'entrée, je rêverais de la voir se ramasser une fessée devant toute la classe comme cela m'était arrivé avec Madame Bruno.

« Bien, je vais aller préparer le souper, Lucie, la punition de ton cousin est elle terminée.

– Pas tout à fait Maman.

– Il va donc se remettre au piquet pour le temps qu'il lui reste, j'imagine qu'il en a jusqu'à ce qu'on passe à table.

– C'est à peu près ça, mais je vais être indulgente, tu peux rester debout. »

Tu parles d'une indulgence, c'est horrible, il me reste environ encore une heure à me farcir, complètement nu, rien ne m'aura été épargné dans ces dernières heures chez tante Maud.

Je retourne donc me mettre au piquet contre le mur, bien droit et les mains sur la tête, en espérant seulement qu'il n'y aura pas trop de personnes qui viendront assister à mon ultime humiliation dans cette maison.

Pas de chance, j'entends Marie qui arrive et elle est semble-t-il en compagnie.

Je n'ose évidemment pas me retourner, mais je subodore qu'elle est accompagnée de sa copine et de la mère de celle-ci.

 

Oh, ne vous étonnez pas chère amie, c'est Fabien mon neveu qui vient de recevoir une bonne fessée et qui a été mis au coin.

– Ça lui arrive souvent ?

– Un peu trop à mon goût, mais je ne désespère pas que les quelques jours qu'il a passé chez nous aient contribué à lui mettre un peu de plomb dans la tête et à lui faire acquérir le minimum des conditions d'hygiène, d'obéissance et de politesse, je vous la fais courte.

– Mais quel âge a-t-il ?

– Dix-huit ans.

– Mais n'est-ce pas un peu âgé pour recevoir la fessée déculottée ?

– Je ne le crois pas, non plus que sa Maman qui nous l'a confié, ce n'est pas une question d'âge, mais de maturité et quand on se comporte comme un petit garçon, il est naturel que l'on soit puni comme un petit garçon, d'ailleurs Lucie et évidemment Marie, n'échappent pas aux mêmes sanctions quand elles le méritent et croyez-moi, depuis que j'ai institué ce régime, toute la maisonnée s'en porte mieux.

– Je vous bien vous croire et cela me donne des idées pour ma grande fille.

– L'essayez c'est l'adopter chère amie, vous prendrez bien un apéritif ? »

Ma seule satisfaction est d'imaginer ma tourmenteuse rougissante, j'espère bien que notre visiteuse va se répandre et que le fait qu'elle se ramasse également des fessées va faire le tour de notre petite communauté. En attendant, je suis bien obligé de donner le spectacle de ma nudité et de mes fesses marquées aux cinq personnes qui se sont installés derrière moi et dont les regards doivent forcément s'en régaler, j'entends d'ailleurs Marie et sa copine qui pouffent.

 

Enfin, nos deux visiteuses prennent congé, probablement impatientes de se retrouver seules pour se gausser de mon infortune avant d'aller porter la bonne parole un peu partout dans la petite station balnéaire.

Je reste encore dix minutes le nez collé contre la cloison, mes bras et mes épaules me tirent et me font atrocement mal, cette pouffiasse de Lucie a adopté le régime de sa mère, avec des stations au piquet interminables, ni chez ma mère, ni chez Madame Leblanc, je ne suis resté aussi longtemps dans cette position, non seulement mortifiante, mais surtout très pénible sur la durée.

Pourtant Lucie qui l'a éprouvé devrait savoir de quoi il retourne, mais je n'ai pas le souvenir que sa mère, ni moi quand j'ai eu le bonheur trop bref de lui imposer ma volonté, l'ayons mise au piquet au-delà d'une demi-heure, ce qui n'est déjà pas rien.

Elle m'oblige à boire le calice jusqu'à la lie, me convoquant devant elle, toujours les mains sur ma tête pour une ultime admonestation, le procédé est évidemment très humiliant, après avoir interminablement exposé mon fessier meurtri, c'est à nouveau au tour de mes attributs sexuels d'être mis sous les yeux de tous les présents.

Heureusement en l'état, elle est seule, sa mère s'affairant dans la cuisine avec Marie qui m'a tellement vu dans des situations disons "embarrassantes" qu'elle n'en a plus cure.

« C'est bien, tu as conservé ton pénis décalotté, ça n'a pas toujours été le cas et je sévirai si cela se reproduisait. C'est ta tenue de punition et je vais te le rabattre. »

La pétasse joint le geste à la parole et me remets le prépuce en place pour bien me démontrer que la gestion de mon sexe fait partie intégrante de son territoire.

« Tu peux aller te remettre en pyjama et descendre dîner. Tu as bien compris que contrairement à tes attentes, ce n'est pas la dernière fois que je te punis. Allez mets toi à genoux, baise la main qui t'a châtié et demande-moi pardon. »

Ça c’est nouveau, elle s'y croit vraiment, la donzelle se prend vraiment pour une autre, compte que quand elle va se trouver drivée par Madame Leblanc, elle va revenir sur terre, j'étais certain que même sans que je m'en mêle, elle allait prendre cher la garce de Lucie. Car me concernant, les manœuvres soi-disant subtiles aux fins de faire punir ou mieux de punir moi moi-même ma cousine, on se souvient que j'avais eu le bonheur de la fesser cul nu, c'était bien terminé, je mettais fait coincer et j'avais payé trop cher, à savoir, toute une semaine sous la coupe de Lucie, à qui ma tante avait attribué les pleins pouvoirs, y compris ceux de me fesser, de me laver, de me soigner, de m'habiller, j'en passe et des meilleures.

Non, c'était bien fini, elle était bien trop habile et manipulatrice pour moi, j'avais trop subi et trop souffert durant ses sept jours interminables, le pire étant pour moi, ma réputation complètement détruite auprès des copains et des copines.

Plus jamais, je n'oserai me présenter devant eux, les corrections, même sévères, au fond, ce n'était rien, la vérité c'est que je n'existais plus en tant que jeune homme de dix-huit ans, étant ramené en somme toute très peu de temps, au rang de petit garçon, qu'on pouvait déculotter et fesser sur la plage à la vue de tous.

Je me disais que je mettrais beaucoup de temps à me relever de cette épreuve, si je ne m’en relevais jamais ! Quand, je pensais que cela allait continuer peu ou prou, j'avais envie de vomir.

En attendant, je cédais aux injonctions de ma cousine, lui baisant la main et lui demandant pardon, nu, agenouillé et les yeux baissés.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 24

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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