mardi 6 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 21

 La diversification

Quelques jours plus tard la deuxième réunion stratégique de la SFID commençait.

Madame Leroy en tant que Présidente avait ouvert la séance en réexpliquant la nécessité de trouver de nouvelles pistes pour la pérennité de l’entreprise. Comme annoncé lors de la précédente réunion, elle commença un tour de table pour connaître les idées des cadres la SFID qui composaient le comité de Direction.

Il y avait là outre même représentant le marketing et le développement et donc directement concerné, Céline la DRH, Monsieur Muller le Directeur Commercial, Monsieur Granger le Directeur Financier et Madame Simone la Directrice de Production. C’est d’ailleurs par elle que Madame Leroy commença le tour de table. On voyait bien que madame Simone n’étais pas dans son assiette ce jour-là. Cette forte Alsacienne qui menait son monde à la baguette et qui était une experte dans le maniement du fouet sur les fesses de ses ouvriers fautifs,  se frottait les mains comme une personne angoissé qui a un problème. Lorsque Madame Leroy lui passa la parole elle ne put que dire la tête baissée et d’une faible voix que malheureusement elle n’avait pas d’idée à proposer.

« Eh bien voilà qui commence mal ! la voix de Madame Leroy claqua comme un coup de cravache sur une croupe. Nous en reparlerons tout à l’heure Madame Simone. Nous réglerons nos comptes à la fin de la réunion. J’espère que vos collègues auront eu plus d’idée que vous sinon cette réunion ne sera plus un brain storming mais une fessée storming dont vous vous souviendrez tous. »

Heureusement vint ensuite le tour de Céline qui exposa son idée de SFID Tube. Madame Leroy trouva l’idée excellente et félicita Céline. Elle se tourna vers moi pour me demander pourquoi nous n’avions pas eu cette idée plus tôt et je sentis dans son expression un reproche sous-jacent.

Ce fut ensuite le tour du Directeur Commercial qui suggéra d’organiser une journée de la fessée chaque année à la même date pour instituer une sorte de Saint Valentin de la flagellation. Patronné bien sûr par la SFID avec un concours de la plus belle fessée ou tous les participants auraient le droit de voter. Bref un évènement d’ampleur international qui ne pourrait que profiter au développement de la fessée et donc de la SFID.

Le Directeur Financier proposa lui que l’on institue une carte de fidélité pour nos bons clients avec des primes à l’appui, incitant nos clients à acheter exclusivement leurs instruments chez nous et à les renouveler plus souvent.

Ce fut enfin à mon tour d’exposer mon idée. J’avais au cours des jours précédents, découvert un nouvel objet que je ne connaissais pas mais qui pouvait être une diversification intéressante pour la SFID. Il s’agissait de la cage de chasteté pour homme déjà utilisé par de nombreux couple au grand bénéfice de la femme mais aussi de l’homme dont les pulsions se trouvaient par le fait contenue et domptée au gré de la bonne volonté de son épouse. Cette alternative à la fessée conjugale pouvait présenter pour la SFID une opportunité de rentrer sur un marché parallèle et complémentaire à celui des instruments de discipline. J’avais soigneusement préparé mon exposé avec un power point présentant les différents produits existants sur le marché, la mise en place de la cage, les commentaires des femmes mais aussi des hommes qui la portaient. Et tous était unanime sur les bienfaits de la cage pour la bonne santé du couple. Les plus enthousiastes étant évidemment les femmes.

Et pour couronner le tout, j’avais en guise de conclusion une grosse surprise à présenter au comité de direction. J’expliquai alors que le port de la cage impliquait un porteur de clef. Que ce porteur fût évidemment dans la plupart des cas la femme, et que celle-ci arborait les clefs accrochées tel un bijou sur une chainette autour du cou. Le symbole était fort car à chaque fois que l’homme regardait sa femme il pouvait voir accrochés à son cou le symbole de sa soumission sexuelle. Et pour les personnes initiées, voir une femme avec ce type de pendentif sur son décolleté pouvait laisser penser que son homme était encagé. C’était un signe de soumission supplémentaire inscrite en permanence dans le cerveau de l’homme en cage.

A ce moment, je fis signe à Céline de se lever. Ce qu’elle fit avec grâce et détachant de sa gorge une chainette d’or jaune, elle montra les deux minuscules clefs dorées qui y étaient accrochée.

Nous nous rejoignîmes sur la scène où elle entreprit de déboucler ma ceinture pour ensuite baisser mon pantalon sous les yeux ébahis des participants. J’apparu en caleçon avec une bosse bien visible au niveau de mon sexe.

Elle me demanda alors de baisser mon slip et mon sexe apparu encagé dans une prison en acier chirurgicale du plus bel effet. Elle entreprit alors d’ouvrir le cadenas et de me libérer sous les applaudissements de nos collègues et de Madame Leroy qui ne cachait pas son plaisir.

J’avoue que cette libération était attendue de ma part car je ne portais cette cage que depuis la veille ou nous l’avions reçue par chronopost et je n’étais pas du tout habitué à porter cet engin qui était quand même inconfortable quand on a gouté à la liberté pendant plus de 30 ans.

Céline expliqua alors qu’elle allait me remettre en cage car nous avions décidés dorénavant d’adopter cette nouvelle philosophie de chasteté masculine par la cage et que c’est elle qui régirait mes périodes de liberté en fonction de mon attitude. Elle précisa toutefois que ce nouveau régime ne me dispenserait nullement de fessée magistrale en cas de fautes et que le régime des châtiments corporels à la maison perdurerait parallèlement à la chasteté. Ceci enfin de rassurer Madame Leroy quant à l’emploi des instruments disciplinaires de la SFID. L’un ne devant pas remplacer l’autre mais bien le compléter.

A moi elle n’avait pas franchement demandé mon avis étant tombé immédiatement sous le charme de ce bel objet et de ce nouveau pouvoir qu’elle allait pouvoir exercer à plein temps. C’était donc une décision unilatérale à laquelle je n’avais pas eu franchement mon mot à dire.

Pour moi j’appréhendais de perdre le contrôle de mon sexe. Mais en même temps, le fait de me sentir complètement pris en main par Céline m’excitait paradoxalement. Et puis ce serait l’occasion de découvrir d’autres pratiques suggérée par cet emprisonnement du sexe. Beaucoup de couple vivait comme cela, pourquoi pas nous après tout. Quant à l’origine de l’idée c’est bien de moi qu’elle émanait. J’étais pris à mon propre piège !

Une fois le cadenas refermé, mon petit oiseau à nouveau en cage, la clef raccroché sur le pendentif de Céline, je me rhabillais pour rejoindre ma place.

Madame Leroy me félicita publiquement et se félicita de m’avoir embauché car elle trouvait ce concept excellent et me demanda de travailler immédiatement dessus et au plus vite.

Le tour de table étant terminé et Madame Leroy satisfaite de ce qu’elle avait entendue, une dernière formalité restait à accomplir. Et Madame Simone le savait qui attendait fesse serrée sur sa chaise.

Lorsque Madame Leroy l’appela pour lui demander de venir la rejoindre sur la scène elle savait pourquoi. D’autant que madame Leroy avait attrapé sa cravache noire et la faisait siffler dans l’air, impatiente de s’en servir sur le postérieur coupable.

« Et bien Madame Simone, nous allons maintenant sanctionner votre manque d’idée. C’est inimaginable pour une chef de service comme vous, avec une ancienneté comme vous avez, d’être aussi stérile quant à l’avenir de votre entreprise. Je vais vous faire rentrer par les fesses ce qui n’a pas pu sortir de votre tête. Mettez-vous en position mais aux chevilles que je vous châtie comme vous le méritez. »

Madame Simone ne se le fit pas dire deux fois et s’exécuta promptement, attrapant ses chevilles à pleine main, les fesses tournées vers l’assistance. Madame Leroy passa derrière elle et lui retroussa sa robe sur son dos. Une large culotte blanche apparue qu’elle baissa aussitôt sur les chevilles de la condamnée.

Un vaste fessier plantureux s’exposa indécent, d’une blancheur diaphane.

Madame Leroy se positionna légèrement sur le côté et arma son bras. Le premier coup claqua fort dans la salle de réunion provoquant un léger mouvement de la punie qui resta cependant en place et n’exprima rien de plus. Une belle strie rouge apparue immédiatement sur toute la largeur du fessier. Le comité de direction était captivé par la scène qui se déroulait sous ses yeux.

Car Madame Leroy appliquait la cravache sur toute sa longueur et pas seulement avec la claquette. Cette dernière venait percuter le côté de la fesse et ponctuer l’impact d’un joli claquement sonore.

Le cravachage en règle continua au rythme d’un coup toutes les 30 secondes, histoire que l’impact fasse bien son effet et que la douleur ait le temps de rejoindre le cerveau de la punie avant que le coup suivant n’arrive. Les coups étaient forts car le derrière le justifiait ample et charnu. C’étaient des fesses de jument qui recevait la fessée avec l’instrument pour lequel il avait été conçu.

Madame Leroy s’arrêta au douzième coup, le front mouillé de sueur tellement elle avait mis d’énergie à appliquer la cravache sur sa Directrice de production. Celle-ci stoïque attendait la suite. Elle n’avait pas bronché, serrant ses chevilles avec les mains à faire blanchir la jointure de ses doigts.

Pas une plainte, pas un râle. C’était une dure à cuire qui en avait déjà encaissé beaucoup plus que cela. Et ce n’était pas 12 petits coups de cravache même donné par madame Leroy qui allait l’impressionner. Il lui en fallait beaucoup plus à Madame Simone. Seul le chat à neuf queues aurait pu la faire bouger, et encore à partir du Trentième coup !

En attendant ses larges fesses striées de douze lignes rouges étaient en train de tourner au violacé.

Madame Leroy lui désigna le coin de la scène où elle se rendit en avançant un pied après l’autre avec sa culotte qui lui entravait les chevilles. Elle avait docilement mis ses mains derrière la nuque se gardant bien de toucher ses fesses car c’était un motif de répétition immédiat de la punition à la SFID.

Madame Leroy reprit la parole pour conclure cette réunion stratégique productive comme nous l’avons vu plus haut.

« Mon cher Georges, je suis fier de vous. Vous avez eu une très bonne idée. Vous et Céline l’avez immédiatement mis en pratique parallèlement à la discipline domestique que vous pratiquiez déjà.

Cela me conforte dans cette idée car cela veut dire que cela marche. Adjoindre une gamme de cage et d’accessoire de chasteté masculin comme féminin à notre gamme d’instrument de discipline est une excellente idée car la complémentarité saute aux yeux. Même pour le sexe féminin la ceinture de chasteté doit pouvoir s’imposer car les meurs d’aujourd’hui sont beaucoup trop permissive et laxiste. Je suis certaine que les religieuses de Sainte Marie seront intéressées de pouvoir protéger la vertu de leurs pensionnaires après les avoir corrigés de leurs fautes.

Quant aux hommes il est évident que les mettre en cage ne peut avoir que des avantages pour leurs épouses ou compagne. Ils ne sont, la plupart du temps, que guidés que par leurs quequette, leurs bittes ou autre phallus qui vient littéralement prendre la place de leurs cerveaux et de leurs discernements. Le fait de confier celle-ci à leur femme ne peut que les conduire sur les voies de la sagesse et de la soumission.

Je vous félicite d’avoir choisir cette voie avec Céline. Vous êtes un exemple pour nous tous.

En attendant il vous atteler rapidement à ce nouveau dossier. Mettre au point une gamme de cage et de ceinture de chasteté va nous prendre des mois pour ne pas dire des années. Il nous faut gagner du temps et racheter un fabricant de ces articles. Ainsi nous disposerons immédiatement du savoir-faire et des clients de cette entreprise à trouver.  Cherchez bien, Georges, et trouvez la moi vite ! »

Sur ces dernières paroles madame Leroy se leva, salua ses directeurs, se retourna vers Madame Simone les mains toujours derrière la tête pour lui dire que sa punition était maintenant terminée et impériale comme toujours, ses notes sous le bras, retourna dans son bureau en faisant claquer ses talons sur le parquet de l’étage.

Une nouvelle tâche s’ouvrait à moi en même temps qu’une nouvelle vie, encagé que j’étais maintenant.



Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 20
La suite au prochain chapitre... la semaine prochaine

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1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et des angoissés de la bébette... Bonjour!

    Et il y a de quoi être angoissé... Se faire enfermer le costume trois pièces dans une cage en ferraille, même chrômée, ça fout les boules! Avec ça, la clé des champs des bijoux de famille en pendentif au cou de Madame...ça en dit long sur l'émancipation de la femme. Si on y ajoute les fessées à répétition, il y a de quoi tenir ces messieurs en respect tout en redressant le chiffre d'affaire de la SFID.

    On se demande tout de même si l'entreprise ne va pas perdre en vente d'instruments de discipline ce qu'elle va gagner dans le commerce des cages à oiseaux ? Espérons que ces oiseaux seront de bonnes augures.

    Car qu'on se le dise, il y a encore de beaux jours pour martinets et cravaches, qui font merveille sur le "vaste fessier plantureux" (et superbement endurant)de Madame Simone... Des paires de fesses comme celle là ça fait marcher le commerce! (rire)
    Cordialement
    Ramina

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