samedi 24 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 27

 Je me relève comme je peux, j'ai juste le temps de m'essuyer les yeux, avant de poser mes mains sur ma tête et d'exhiber en passant devant Justine d'abord "mon attirail" comme disait la tante Maud en se moquant, je suis tellement effondré par ce qui vient de m'arriver, que mon sexe est au repos complet, un spaghetti quasi, puis mes fesses cramoisies, avant d'aller me placer face au mur dans une position qui m'est hélas habituelle.

Une heure, elle n'y va pas de main morte ma mother, encore heureux, qu'elle ne m'ait pas obligé à me mettre à genoux. Je suis au fond du trou, je ne pense plus à rien, Justine fera bien ce qu'elle voudra, de toutes façons, elle aurait été mise au courant un jour ou l'autre, tu penses bien que ma chipie de cousine n'y aurait pas manqué. Je songe avec horreur, qu’elle a toujours barre sur moi, avec la vidéo de mon abaissement total qu'elle a toujours en sa possession, il faudrait que je les récupère, mais ce serait inutile, elle a dû en faire des copies, au moins une en tout cas qu'elle aura confié à Corinne.

Je n'ai plus qu'à filer doux, faute de quoi, tous mes copains et mes copines profiteront du spectacle de mes fessées par les deux filles, plus les mises au piquet.

 

A mon grand dam, Justine n'a pas l'air pressée de s'en aller, elle continue à deviser tranquillement avec Maman, comme si elles n'avaient pas face à elle un adolescent à moitié nu, le cul porté à incandescence, planté au piquet, les mains sur la tête comme un gosse de six ans !

Je n'entends pas tout, car elles parlent bas, mais il me semble bien que Justine demande des précisions sur les nouvelles pratiques éducatives de ma mère. Je suis sûr qu'elle ne va surtout rien lui cacher et se faire un plaisir de narrer en long et en travers comment ma logeuse les a mises en place.

Je n'ose imaginer les réactions de Justine, à priori, elle ne semble pas tout à fait indignée, faute de quoi, elle se serait barrée aussi sec, alors que là, cela ne semble pas la gêner outre mesure d'avoir en face d'elle, son fiancé cantonné au piquet, pantalon et culotte baissée avec les fesses cramoisies.

Encore heureux que j'ai pu réprimer mes restes de sanglots, autant dus à la sévérité de la fessée qu'à l'humiliation ressentie, j'aurais pu me ramasser un complément. J'entends Justine prendre congé.

« Viens ici Fabien, le piquet n'est pas terminé, mais il convient que tu viennes dire au revoir à ton amie. »

Il ne manquait plus que ça, je me retourne et m'avance vers Justine, toujours les mains sur la tête, ma démarche entravée par mon pantalon aux chevilles et ma culotte aux genoux, parfaitement ridicule, je ne sais trop pourquoi, j'ai un début d'érection qui me gêne atrocement dans ces horribles circonstances. C'est horriblement humiliant, ma garce de mère aurait pu m'autoriser à me reculotter.

J'embrasse Justine en faisant en sorte de ne pas frotter ma queue contre son jeans, je me dis qu'après cet épisode, c'est peut-être la dernière fois que je le fais, possible qu'écoeurée par le spectacle avilissant auquel je me suis prêté, bon gré, mal gré, elle décide de mettre fin à notre relation.

Elle s'en va sans qu'on échange un mot et je me retrouve face au mur pour assumer la fin de ma punition, tandis que mes fesses refroidissent peu à peu. J'en veux terriblement à ma mère, je me dis qu'elle a fait exprès de m'infliger cette humiliation en présence de ma copine, qu'elle est quelque part jalouse de ce flirt très poussé qui me fait échapper quelque peu à sa férule. D'un autre côté, il est certain qu'un jour ou l'autre, il serait venu aux oreilles de Justine, qu'en dépit de mes presque dix-neuf ans, je me ramassais encore des fessées cul nu, y compris par ma jeune cousine qui n'aurait pas manquer d'en faire état.

 

Environ une demi-heure plus tard, ma mère met fin à ma punition et aussi à mes funestes pensées, je lui en veux terriblement pour la terrible humiliation qu'elle m'a infligée devant Justine, mais je suis bien conscient qu'il va falloir que je prenne sur moi et faire comme si de rien n'était et ne pas risquer de nouvelles sanctions.

« Viens ici Fabien ! »

Je viens me planter devant elle, les yeux rouges et les mains sur la tête, très gêné par une semi-érection incontrôlable.

« Je sais que tu n'as pas apprécié de te prendre une fessée déculottée devant ta copine, cela te pendait aux fesses de toutes façons, même si depuis ton retour de chez Maud tu t'étais plutôt comporté correctement. Comme quoi, la médecine qu'elle t'a imposée a produit son effet. J'aurais pu attendre pour t'infliger la correction que tu méritais que Justine soit partie et je sais que tu m'en veux certainement de t'avoir châtié devant elle. Tu ne dis rien, mais tu n'en penses pas moins, note que je ne t'ai toutefois pas décalotté ta verge, comme le pratiquait si j'ai bien compris ta cousine quand elle voulait te punir sévèrement, ce sera pour une prochaine fois. Je suis certaine que Justine ne te tiendra pas rigueur de t'être trouvée en si fâcheuse posture en sa présence

– Tu parles, elle va me quitter et ce sera ta faute. Et je me remets à sangloter.

– Arrête de pleurnicher comme un gosse, sinon je t'en remets une sévère, tu as compris, tais-toi et écoute-moi bien.

– Oui Maman, pardon.

– Mon petit Fabien, je connais un peu mieux les femmes que toi, certes elle s'est trouvée un peu surprise de te voir en train de faire rôtir les fesses par ta Maman, mais elle a mieux compris la chose quand je lui ai expliqué que c'était pour ton bien qu'on avait enclenché ce processus à l'instigation de ta logeuse et que depuis sa mise en place, tu avais fait de considérables progrès dans tous les domaines, même si évidemment, il n'est pas question de te lâcher la bride, on a vu ce que cela donnait… Je te trouvais un peu trop macho avec cette gentille petite et je ne te cache pas que je guettais une occasion de te rabattre ton caquet devant elle, c'est donc fait et je suis certaine que vous m'en remercierez tous les deux. En attendant, je te rassure, elle n'a pas l'intention de la fesser à son tour, en revanche, il n'est pas dit que dans un proche avenir tu ne sois pas amené à la mettre au pli, si elle devient trop désagréable, je suis certaine qu'une solide fessée ne lui fera pas de mal.

– Mais Maman, je n'oserai jamais, ça ne se fait pas dans sa famille, ni dans la plupart des autres, nous sommes une exception.

– Détrompe-toi mon fils, la correction des ados est bien plus répandue que tu ne le crois, il me semble que tu as pu le constater à de nombreuses reprises avec tes copains et copines. Et quand bien même, chacun agit comme il l'entend et je me félicite encore une fois ainsi que ta tante des résultats produits par la fessée déculottée qu'il s'agisse de toi ou de Lucie et même de Marie, même si à son âge c'est plus courant. »

Le pire est que cette conversation, qui ressemblait d'ailleurs davantage à un monologue, se déroulait entre une personne tranquillement installée sur son canapé et une autre debout face à elle, à demi nue, lui exhibant ses attributs virils parfaitement exempts de poils en pleine face, toujours en position punitive avec les mains sur la tête, ce qui ne nous mettait pas tout à fait à égalité pour échanger nos arguments.

« Bien Fabien, cette conversation est terminée, comme ta punition d'ailleurs, ce qui est fait est fait et on verra bien la réaction de Justine à ton égard. Si cela ne correspond pas à nos espérances, tu en trouveras une autre. Mais ne te fais pas d'illusion, je ne renoncerai pas à te fesser si tu le mérites quelles que soit les personnes présentes tu le sais. Pour changer de sujet, je trouve que tu as très bien fait de t'épiler le pubis, cela fait plus propre et c'est plus hygiénique, tu devrais rester ainsi.

– Merci Maman. »

Je me gardais bien d'ajouter que je n'avais nullement été à l'origine du dépouillement de ma toison pubienne.

 

Les deux jours suivants, je n'ai pas osé appeler Justine au téléphone, j'étais trop angoissé, je m'étais couvert de honte et je redoutais terriblement sa réaction. Je me disais bien pourtant que c'était la pire des attitudes, il fallait que je prenne les devants, je ne savais que faire, tenter de minimiser mon humiliation en avançant que la fessée déculottée était largement usitée dans les milieux que je fréquentais, qu'il s'agisse de l'école, de Madame Leblanc et de son entourage, de nombre des parents de mes copains et copines ainsi que de mes cousines ou au contraire jouer les victimes, l'enfant battu, me faire plaindre.

Je fus ainsi tout à fait surpris quand le troisième jour après ma fessée, Maman m'invitât à descendre au salon où Justine m'attendait. 

Elle m'embrassât comme si de rien n'était et Maman eut la délicatesse de nous laisser seuls.

« Comme tu ne me donnais aucunes nouvelles, j'ai pris la décision de me pointer.

– J'étais gêné après ce qui s'était passé.

– Il ne faut pas, tu t'es pris une bonne fessée déculottée devant moi et alors, ce n'est pas si grave. Il n'y pas de raison que je t'en veuille parce que tu as une mère très sévère et qui pratique encore les châtiments corporels en dépit de tes dix-huit ans passés.

– Vraiment, tu es gentille.

– Tu en doutais ?

– Non, mais je me suis senti tellement humilié, je pensais que tu ne voudrais plus me voir.

– Au contraire, après cette correction, je me sens plus proche de toi, j'imagine que tu seras moins macho, plus vrai, que c'en sera fini de tes attitudes orgueilleuses, à présent que ta mère t'a remis à ta place. Pour tout te dire, cela m'a même donné des idées.

– De quel genre ?

– Eh bien, de t'appliquer éventuellement le même traitement quand tu te montreras trop désagréable.

– Tu n'y penses pas ?

– Oh que si, mais rassure toi, ce n'est pas pour tout de suite, je suis certaine que tu vas faire amende honorable, durant un moment...

– Et après ?

– Après, si tu dérapes un peu trop, je m'occuperai ce tes fesses.

– C'est donc ça, tu veux que je fasse tout ce que tu veux.

– Tu n'y es pas, je ne veux pas changer la nature de nos relations et je serais toujours très gentille avec toi devant les autres, mais une nouvelle fois, si tu fais trop le con, tu en paieras le prix dès que nous serons seuls, cela peut d'ailleurs pimenter notre vie amoureuse. De toutes façons, c'est à prendre ou à laisser. Je vais te laisser réfléchir jusqu'à demain. A bientôt mon chéri. »

 

Elle s'éclipsât juste après avoir salué ma mère et j'en restais tout abasourdi. J'étais à la fois soulagé et dubitatif, j'avais du mal à envisager le nouvel état de nos relations amoureuses. En y réfléchissant cependant, je me disais qu'après tout, je ne m'en sortais pas trop mal.

Justine avait finalement assez bien vécu mon humiliation, la conversation qu'elle avait eu avec ma mère pendant que j'étais au piquet, finissant de sangloter, les fesses rouges et le slip aux genoux n'avait pas été neutre. Mais je me doutais bien que c'en était bien fini du statut de mâle dominant que j'avais tenté d'imposer, j'allais désormais passer sous les fourches caudines de ma fiancée, je pouvais cependant espérer que compte tenu de l'affection qu'elle semblait encore me porter, je n'osais pas parler d'amour, je pouvais raisonnablement espérer qu'elle ne serait pas aussi méchante que Lucie.

Effectivement, on est allé au ciné le lendemain et notre sortie s'est effectuée comme si de rien n'était, même si toujours honteux de ma mésaventure, je restais très en dedans, ce qui pour finir semblât parfaitement convenir à ma copine. On allait reprendre nos cours tous les deux et on ne se retrouverait si tout allait bien qu'en fin de semaine.

 

Pour ma part, ma mère m'accompagnât chez Madame Leblanc en compagnie de Lucie que tante Maud avait déposée à notre maison en coup de vent, il fallait qu'elle s'occupe de la rentrée de Marie au collège.

Ma cousine faisait sa belle, elle inaugurait une nouvelle coupe de cheveux, un carré me dit-elle qui lui allait plutôt bien et avec sa mini jupe, elle était très bandante, même s'il m'en coûtait d'en convenir.

En présence de Maman, elle avait abandonné son attitude autoritaire des derniers jours où pour mon malheur, la tante m'avait mis sous son emprise. Nonobstant, je me méfiais de l'eau qui dormait et je n'oubliais pas qu'à tout moment, elle pouvait redevenir une horrible mégère, forte de la vidéo qu'elle possédait où on me découvrait dans la plus fâcheuse des postures. 

Je me disais qu'elle ferait moins la maligne quand elle serait prise en mains par notre logeuse.

Son accueil fut tout à fait chaleureux et elle m'embrassât comme du bon pain avant de nous offrir un thé.

« Alors te voilà de retour, vilain garçon, vous savez qu'il m'en a fait baver et que j'ai dû fortement m'employer pour le mettre au pli. Je crois qu'il s'est ramassé une fessée aux orties à peine quelques jours après son arrivée. J'imagine que tes fesses s'en souviennent ?

– Oui Madame Leblanc, je m'en rappelle évidemment. »

J'étais rouge comme après les sévères fessées qu'évoquaient Madame Leblanc, tandis que Lucie était partagée entre le sentiment de se réjouir du rappel de mes misères passées et l'angoisse de ce qui était susceptible de lui arriver si on la mettait au même régime.

L'ambiguïté ne dura guère.

« Ma petite chérie, dès demain, il faudra t'habiller autrement, il n'est pas question que tu ailles à l'école avec les cuisses à l'air ni maquillée comme une voiture volée, crois bien que j'y veillerai. Il me semble que tu as bien besoin d'une reprise en mains, si tu ne mets pas rapidement au diapason des pensionnaires de la maison, tu peux préparer tes fesses à souffrir. Mais venez que je vous les présente justement. »

Ils étaient tous les quatre dans la salle d'études et je retrouvais avec bonheur Béatrice qui poursuivait sa licence de lettres, Sylvie toujours dans les maths et Julie en deuxième année de médecine, Carole qui m'avait plusieurs fois fessé, venait de terminer ses études. Je n'en étais pas fâché tant cela me rappelait des souvenirs douloureux à tous points de vue, c'était en effet la première fille à peine plus âgée que moi à m'avoir corrigé si j'excepte la secrétaire de la directrice du super marché. Et puis un petit nouveau, un blondinet de dix huit ans, assez mignon et qui me semble intimidé, à moins qu'il vienne justement de se ramasser une bonne fessée, histoire de le mettre tout de suite dans l'ambiance de la baraque.

« Venez tous les trois, je vais vous installer dans la maison d'en face, vous avez de la chance, le premier étage vient de se libérer, il y a deux chambres et je pense que vous y serez bien, en plus glisse-t-elle malicieusement, vous êtes tout près et je pourrai vous surveiller, sans compter le fait que vous prendrez tous vos repas chez moi, sauf le week end. »

Maman nous a quitté en nous recommandant de ne pas nous disputer et d'être sérieux ; de toute façon, avec Madame Leblanc, je suis bien tranquille, gare à vos fesses si vous bronchez.

 

L'appartement était sympa, modeste mais propre, pas de télévision au grand dam de Lucie, qui commençait à se demander où elle mettait les pieds. Ne voulant pas entamer trop tôt les hostilités et compte tenu de sa mauvaise humeur, je lui laissais le choix de la chambre où elle balança ses fringues en vrac, alors que de mon côté je m'applique un max à bien tout ranger, envisageant une visite de la mère Leblanc qui doit à l'évidence posséder une clef des lieux.

J'ai dû insister pour qu’on ne se pointe pas en retard au repas de notre tutrice, c'était officialisé vis-à-vis de l'école, Lucie sans surprise rechignait et m'a envoyé me faire voir, avant de se résigner à m'accompagner. On a tout de même eu cinq minutes de retard et les pensionnaires étaient à table avec leur logeuse.

« Vous n'êtes pas à l'heure, Fabien sait que les repas se prennent à heure fixe, je passe pour cette fois, mais sachez bien et toi en particulier ma petite Lucie, que si ça se renouvelle tu auras droit à une punition, à ce sujet Fabien t'expliquera tout à l'heure le fonctionnement du tableau de conduite, vous ne manquerez pas d'abaisser votre note de la semaine d'un point chacun. »

Ça partait sur les chapeaux de roue, Lucie ne disait mot et gentiment je lui glissais qu'elle ferait bien de cesser de faire la tête.

« Mêle-toi de tes affaires, petit con, fut sa seule réponse. »

Pour son malheur, Madame Sand qui assurait le service l'entendit et s'empressa d'aller répéter ses paroles à Madame Leblanc.

« Jeune Lucie, je crois que tu n'as pas encore bien compris le fonctionnement de cette maison et nous aurons une conversation à ce sujet après le repas. A présent, si tu ne souhaites pas que cette conversation soit trop longue, je te conseille d'avoir une attitude plus amène. »

Elle devient livide ma cousine, tu parles qu'elle a compris de quoi il retourne et elle essaie de se recomposer une attitude correcte. Bien que je me réjouisse intérieurement de ce qui va lui arriver sous peu, à savoir une bonne fessée déculottée, je lui murmure qu'elle a intérêt à ne pas se rebiffer. J'ai encore le douloureux souvenir de ma première révolte qui m'avait valu quatre fessées successives dont une agrémentée d'une frottée aux orties. Je ne sais pas pourquoi je me penche sur son sort, après tout ce qu'elle m'a fait subir, l'esprit de famille peut être, à moins que je souhaite voir nos relations prendre une meilleure tournure, sait-on jamais.

Et ça ne rate pas, sitôt la table débarrassée, nul ne s'égaille, tous veulent assister au spectacle qui s'annonce. Madame Leblanc installe tranquillement une chaise au milieu du salon, face au canapé et aux deux fauteuils qui l'encadrent et mande Lucie qui sait ce qui l'attend et baisse les yeux tandis qu'elle répond à l'appel de notre tutrice.

Elle a certes ramassé quelques fessées de sa mère et une par mes soins si on s'en souvient, mais cela remonte à plusieurs semaines, j'imagine que ça lui fait tout drôle de passer du statut de bourreau à celui de victime.

Tu parles que je bichais, j'allais enfin prendre une petite revanche sur tous les tourments qu'elle m'avait infligés. Je m'installe du mieux que je peux sur une chaise pile en face de Madame Leblanc qui ne s'embarrasse pas de préalables.

« Baisse ton jeans et viens te coucher sur mes genoux pour y prendre ta fessée et encore tu as de la chance que comme c'est ton premier jour, je ne fasse pas également manger du savon pour avoir prononcer un mot qui n'est pas le bienvenu dans cette maison, tiens-le-toi pour dit. »

Lucie s'est prudemment changée après les remarques sur sa jupe trop courte, son jean est très serré et elle a un peu de mal à le faire descendre jusqu'à ses chevilles, enfin c'est fait et Madame Leblanc amène une culotte raisonnablement échancrée à ses genoux dévoilant à l'assemblée son joli petit cul, la couchant dans la foulée sur ses cuisses.

Et c'est partie pour la fessée, je me régale les mirettes, je tiens enfin ma revanche, même si je suis encore loin du compte, avec tout ce que cette garce lui a fait subir, mais c'est un début prometteur.

La mère Leblanc n'a rien perdu de sa vigueur et les fesses de Lucie passent assez rapidement au rouge vif, on doit en être à une centaine de claques et elle finit par craquer et en arriver à ce qu'on doit attendre de toute bonne fessée. Elle se tortille tel le ver, tentant ainsi, vainement, de d'échapper à de nouvelles claquées, se met à pédaler dans le vide, écartant les jambes en tout sens et dévoilant sa motte, que je découvre comme annoncé complètement épilée.

Je m’étais déjà rendu compte qu'elle n'était pas très velue de ce côté, mais là c'est bien autre chose, les spectateurs et moi le premier, profitons d'une vision sympathique de sa fente et de son œillet quand son corps se tord après que la main vengeresse de Madame Leblanc s’est abattue pour la énième fois sur la même fesse. Je suis excité comme une puce et j'essaie de masquer comme je peux, une terrible érection. Evidemment, elle s'est mise à chouiner, piauler, ce n'est pas encore un air d'opéra, mais ça vient, je me demande si sa bourelle va poursuivre la fessée manuelle ou si elle va se munir d'un instrument punitif, ce qui me comblerait.

Elle a d'abord gémi avant de se mettre à sangloter tout doucement à mesure que son fessier prenait la couleur de la fraise écrasée, il faut dire qu'elle s'y entend sa logeuse, même si tante Maud ne laissait pas sa part aux chiens, elle doit pratiquer l'art de la fessée depuis des lustres, c'est une vraie pro et Lucie s'en rend bien compte, elle pleure à présent à gros sanglots, hoquette, poussant des cris à chaque fois que la main correctrice s'égare sur le haut de ses cuisses, là où la peau est la plus fine.

Comme dans toute bonne fessée menée à bien, elle a passé un cap et ne remue presque plus, résignée, brisée en quelque sorte, sachant que toute résistance restera vaine, ses réflexes d’auto-défense ne jouent plus et elle a positionné ses jambes en cuisses de grenouille, permettant à la petite compagnie d'avoir une vision meilleure encore de son entre cuisses.

Enfin, cela cesse, sa tourmenteuse passe sa main droite sur le fessier écarlate, comme si elle voulait vérifier que sa tâche avait parfaitement été exécutée, sûr qu'elle a pris cher ma cousine, on l'entend sangloter à gros bouillons, certainement autant de douleur que d'humiliation. Se prendre une bonne fessée à peine arrivée devant cinq jeunes gens dont un garçon qui doit ne pas en revenir et qui a peut-être éjaculé dans son slip, sans parler de moi-même qui suis bien la dernière personne devant qui elle souhaite être corrigée.

Madame Leblanc la relève et sans surprise l'envoie se calmer au piquet, face au mur qui sépare le salon de la cuisine, elle n'a nul besoin de lui dire de ne pas remonter son jean et elle est pathétique la pauvre Lucie avec sa démarche en canard et ses mains sur la tête, j'ai aperçu au passage son profil droit complètement ravagé par les larmes, son rimmel a coulé sur sa joue, ce qui n'arrange rien. Elle comprendra vite que ce genre de maquillage n'est pas spécialement recommandé par Madame Leblanc.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 26

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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