samedi 17 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 26

 Je suis retourné chez ma mère soulagé, j'avais encore trois semaines de vacances avant de réintégrer l'ECS et j'entendais bien en profiter après ces derniers jours de calvaire.

Je me suis efforcé de respecter à la lettre les consignes de ma mère et miracle, je ne me suis pas ramassé de fessée !

Elle était ravie de ma nouvelle attitude et se félicitait de ses méthodes et de celles de sa sœur, je me suis bien gardé de lui confier que durant la dernière semaine de mon séjour chez la tante Maud, je m'étais retrouvé sous les fourches caudines de ma jeune cousine, qui avait tout pouvoir sur moi y compris celui de m'infliger des châtiments corporels.

Je craignais qu'elle approuve ces dispositions et puis, elle devait être au courant puisque selon la tante, la tutelle de Lucie reprendrait dès la reprise ces cours, je préférais rester dans le flou.

Ces semaines furent enchanteresses, ma mère, apparemment convaincue de ma soumission à ses préceptes me laissait la bride sur le cou et je m'efforçais de ne pas en abuser.

A l'occasion d'une boum où j'avais été invité, je me disais que chez la tente Maud, compte tenu de ce que mes copains et copines savaient de mon abaissement, il n'y avait guère de chance que cela m'arrive ou alors aux fins de se moquer de moi, j'étais sorti avec une jolie jeune fille d'un an plus jeune que moi, Justine, les journées que nous avions ensuite passées ensemble à nous faire des gâtés dès qu'on était à l'abri des regards indiscrets m'avaient en partie redonné un peu de confiance en moi et fait oublier mes précédentes misères que je m'efforçais de chasser de mon esprit même si ce n'était pas simple.

En dépit de nos précautions, ma mère avait été informée de mon flirt, à ma grande surprise, elle m'en avait félicité et même demandé d'inviter ma copine à la maison pour faire sa connaissance.

Je n'y tenais pas des masses, j'avais peur qu'il soit fait allusion au régime disciplinaire auquel j'étais astreint, c’est-à-dire les fessées déculottées et parfois publiques que je me ramassais régulièrement depuis à présent presque une année, que ce soit chez ma logeuse, à la maison, chez ma tante et pis encore à l ECS.

Justine serait interne, ses parents avaient opté pour un pensionnat de jeunes filles, un truc privé géré par des sœurs ursulines, au sein duquel elle avait déjà effectué son année de première qui n'avait pas l'air très marrant.

Hélas, il n'était géographiquement pas très éloigné de mon école et je redoutais déjà qu'elle rencontre quelques uns de mes condisciples qui pourraient éventuellement se répandre quant à la terrible fessée déculottée que m'avait infligée Madame Bruno devant toute la classe, quand elle m'avait surpris en train de copier, j'y reviens, on voit que cela m'avait réellement traumatisé.

Encore heureux qu'en tant que pensionnaire, ses sorties à l'extérieur seraient très limitées, j'espérais qu'elle en passerait l'essentiel en ma compagnie.

 

Je suis très vite tombé amoureux et ma mère si sévère par ailleurs, en tout cas depuis une année, me laissait la bride sur le coup et acceptait que je reçoive ma copine à la maison.

J'étais angoissé par la crainte qu'elle vienne à se répandre quant aux corrections qui m'était infligées, mais pour un temps il n'en fut rien.

Au contraire, pour une fois je sortais de mon rôle de petit garçon et elle me prit à part pour me demander où j'en étais précisément avec Justine.

– Ne tournons pas autour du pot, est ce que vous avez déjà fait l'amour et si oui avez-vous pris quelques précautions ? »

J'étais très gêné d'aborder le sujet et en quelques secondes mes joues prirent l'habituelle couleur rubiconde de mes fesses après une bonne raclée.

« Eh bien, non... mais, ça peut venir… je ne sais pas trop.

– Ecoute, je sais à quelle époque on vit et on ne va se raconter d'histoire, d'abord est ce que tu es vierge.

– Oui.

– Dans ces conditions et puisqu'il n'y a pas d'homme dans cette maison, il va falloir que je t'instruise à minima, même si ça me gêne terriblement, ce sera toujours mieux que les bêtises que tu entendras de tes copains. Une première chose, je vais t'acheter des préservatifs et tu ne pénètreras pas Justine, ou une autre après tout, sans t'en être recouvert le pénis, c'est très important Fabien. D'ailleurs cela me fait penser que monsieur Bonnet, le pharmacien acceptera peut-être de me remplacer dans ton instruction sexuelle, puisqu'il faut bien nommer les choses. Coïncidence, Maud a fait de même avec Lucie avant-hier, mais c'est évidemment plus facile entre femmes, elle lui a même conseillé de s'épiler la foufoune, c'est plus hygiénique parait-il, soit, je pense plutôt que c'est une question de mode, bref, ce n'est pas ton affaire.

J'eus tout de suite une belle érection en songeant que ma cousine se verrait également dépouillée de sa toison intime, car j'avais bien compris que les conseils de la tante Maud valaient désormais obligation.

 

Le pharmacien voulut bien m'accorder une quinzaine de minutes de son temps et retiré au fond de son officine, me permis d'améliorer mes connaissances sexuelles, il insistait beaucoup sur les préliminaires et les caresses au clitoris de la dame. Fort de ces instructions, je demandais à Maman la permission de recevoir Justine dans ma chambre, ce qui me fut accordée.

Autant ma mère pouvait se montrer extrêmement sévère dans la plupart des domaines, autant elle manifestait une grande ouverture d'esprit dans celui du sexe.

C'est ainsi que je pus perdre mon pucelage dans la quiétude de la maison qu'elle m'avait laissée à disposition.

Justine n'était plus vierge mais son expérience restait limitée, il n'empêche mon initiation à l'amour fut satisfaisante et cela me remontât grandement un moral qui en avait bien besoin après les tourments que j'avais subi chez la tante Maud.

Cela me fit tout drôle quand cette dernière se pointa à la maison en compagnie de ses deux filles pour préparer la rentrée imminente de Lucie.

J'étais tout à fait gêné, tout le bénéfice de mon amourette s'évanouit en quelques secondes, je me revoyais les fesses à l'air couché sur les genoux de l'une ou de l'autre et j'avais l'impression à leurs regards qu'elles lisaient dans mes pensées.

Je rougis beaucoup lorsque Maman fit allusion à ma conquête et au fait que j'étais désormais "un homme".

« Mais rassure toi Maud, pour le reste, cela reste un petit garçon, même si depuis son retour je n'ai pas eu l'occasion de lui administrer une bonne déculottée, à croire que son séjour chez toi lui a été très profitable, je ne doute pas que cela perdure sous la double férule de Madame Leblanc et de sa cousine. »

On y était, ma mère confirmait à mon grand désespoir que Lucie continuerait à jouir d'une pleine autorité sur moi, je trouvais cela très injuste, mais que faire pour l'heure ?

Je réussis à échapper à la visite de présentation que firent Maman, sa sœur et Lucie à Madame Leblanc. Les deux femmes me firent un retour tout à fait enthousiaste, alors que ma cousine l'était nettement moins.

J'appris que Béatrice, Julie et Sylvie qui avaient assisté à nombre de mes humiliations et surtout à mes fessées déculottées, faisaient toujours partie des pensionnaires, Carole avait été remplacée par une jeune Virginie à qui je souhaitais bien du plaisir, tandis que ma place allait à un garçon qui ne serait pas forcément plus à la fête que moi dans ce gynécée.

Lucie me prit à part.

« Elle n'a pas l'air trop facile la vieille.

– C'est rien de le dire, ce n'est pas la peine que je t'explique, tu pigeras vite toute seule. Sache seulement pour ta gouverne que c'est à cause d'elle que le système des fessées rédemptrices a été remis en vigueur dans nos familles et que non seulement, elle ne s'embarrasse guère du respect de la pudeur des uns ou des autres, mais qu'en plus ce ne sont pas des fessées pour de rire qu'elle t'envoie. Sans compter, Madame Sand qui se permet également de te claquer le cul.

– Qui c'est encore celle-là.

– Une sorte de bonne à tout faire ou d'assistante comme tu voudras qui est également autorisée à fesser les pensionnaires.

– Eh bien, ça promet !

– Tu peux préparer tes jolies fesses ma chérie.

– Ne fais pas le malin, car je ne compte pas ménager les tiennes.

– Il faudra mesurer tes élans, car Madame Leblanc, si elle est très sévère, déteste par ailleurs les injustices et il pourrait t'en cuire au niveau de ton bas du dos, si tu te permettais de me punir sans raison valable.

– Cela n'a jamais été le cas, non ?

–En effet, je ne sais même pas pourquoi j'aborde la question, méfie toi quand même car je n'ai pas l'intention de me laisser faire comme chez ta mère.

– Alors, il parait que tu as perdu ton pucelage, il était temps ! Si tu arrives à voir un peu ta copine, cela t'évitera de te branler dans les chiottes ou dans ton pieu, avec les funestes conséquences qui en résulteraient pour l'état de tes fesses. Quand tu c'est que tu me présentes cette personne exceptionnelle ?

– Je ne suis pas spécialement pressé.

– Quoi, tu aurais honte de ta cousine, je te signale au passage que je suis pourvu de nombres de soupirants.

– Je n'en doute pas car, même si ça ne fait pas spécialement plaisir de te le dire, tu es devenue plutôt jolie ces derniers mois.

– C’est toujours agréable à entendre. Ah, j'ai pigé, tu t'es bien gardé de lui confier que tu te ramassais des fessées y compris par l'entremise de ta jeune cousine. »

Je me mis à rougir tel le coquelicot, elle avait comme souvent visé juste, elle savait frapper où ça faisait le plus mal, au propre comme au figuré d'ailleurs.

« Tu as eu tort de lui cacher, car elle sera fatalement mise au parfum et tu te trouveras encore plus bête, mais moi, ce que j'en dis n'est ce pas, c'est ton problème. »

Le pire c'est qu'elle avait parfaitement raison, il fallait que je prenne grave sur moi et que j'avoue à Justine qu'à presque dix-neuf ans, je me prenais encore des fessées déculottées, non seulement par ma mère, ma tante et une de ses amies, sans parler de Madame Leblanc, de Madame Sand, de Carole, fort heureusement remplacée, et surtout de ma jeune cousine, je crois bien que c'était le plus dur à expliquer.

Je laisse sous silence les fessées que je m'étais ramassées, par Corinne, la directrice du super marché et sa secrétaire, la mère d'une de mes copines et surtout la plus humiliante de toute, celle qui m'avait été infligée cul nu devant toute la classe par Madame Bruno pour avoir copié en composition, pardon d'en reparler.

 

Pourtant, il fallait bien que j'effectue mon "coming out", car tôt ou tard, ma fiancée serait informée de ma triste situation, je me raccrochais au mince espoir, qu'elle pouvait se trouver dans les mêmes contraintes comme cela avait été le cas avec Eve et d'autres potes, filles ou garçons.

Mais Justine n'intégrait pas l'ESC, dont l'usage des châtiments corporels était forcément connu des parents, ma mère ne m'en avait pas parlé, mais j'imaginais qu'elle avait dû signer une décharge en ce sens.

Bien que ma copine intègrât une école religieuse, dont on pouvait supposer que la discipline restait rigoureuse, il était peu probable qu'on emploie les mêmes méthodes, quoique…

J'avais tâté prudemment le terrain lors de nos épanchements, je ne connaissais pas encore ses parents, mais le fait que ce soit ma mère qui soit obligée de nous accueillir ne prouvait pas pour autant leur sévérité.

J'évoquais à mots couverts le sujet de l'obéissance que l'on m'imposait, tentant de la faire rebondir sur la question, en vain.

Un soir pourtant à quelques jours de la rentrée et alors que j'avais laissé ma chambre complètement en vrac et que je craignais de payer cette négligence d'une copieuse fessée dès mon retour au bercail, je me décide à me jeter à l'eau.

On boit un verre dans une brasserie près de chez moi et je crains que Justine vienne à vouloir me raccompagner et qui sait passer un petit moment d'intimité, on a effectué quelques courses et il n'est encore que dix sept heures.

Ma crainte c'est évidemment de tomber sur ma mère et de me prendre dans la foulée une bonne fessée, je subodore qu'elle ne changera pas de profession de foi, la punition doit être infligée si possible sur le champ et le nombre de spectateurs présents ne peut être que salutaire et aggraver la sanction par l'humiliation provoquée. Je ne pense pas qu'elle fera une exception pour Justine, bien au contraire !

 

Et hélas, trois fois hélas, c'est bien ce qui est arrivé, mais paralysé par le trac, je n’avais rien dit à ma copine.

Pas pour ce que je craignais, la chambre en désordre ce n'était pas le plus grave, il se trouve que ma mère m'avait chargé d'aller porter sa déclaration de revenu à l'administration fiscale, elle avait négligé de la remplir en temps et en heure et avait attendu le dernier moment, un envoi par courrier l'aurait immanquablement fait arriver hors délais.

Tout à mes amours, j'avais complètement oublié de la déposer dans la boite des impôts et c'est la première chose que me demandât ma mère à son arrivée à la maison, alors que je flirtais sur le canapé avec Justine.

« Je suis désolé, je n'y ai plus pensé, mais je vais y aller tout de suite.

– Non, de toutes façons, il est trop tard, j'irai demain et je verrai si je peux échapper aux pénalités de retard. Décidément, je ne peux pas avoir confiance en toi. J'espérais que tu serais amélioré après ce séjour chez ta tante, mais je vois qu'il n'en est rien et qu'il faut encore recourir aux mêmes méthodes et je ne te parle même pas de l'état de ta chambre, allez tu sais ce qui te reste à faire.

– Si tu avais fait le nécessaire, on n'en serait pas là, je ne suis pas responsable de tes conneries. »

Qu'est ce que je n'avais pas dit. Elle était véritablement furieuse et j'avais aggravé mon cas en lui répondant, mais je me disais que je pourrais peut-être éviter le pire en m'excusant la suppliant, ce que je m'empresse de faire en la prenant à part dans la cuisine.

« Pitié Maman, pardon, tu ne peux pas me donner une fessée maintenant, pas devant Justine.

–C'est ce que tu crois, il est trop tard pour des excuses, tu m'as bravé devant elle et c'est devant elle que tu vas être puni, allez, cesse tes jérémiades, il fallait y penser avant et ne pas te prendre pour un homme, sous le prétexte que tu as à présent une vie sexuelle que j'ai été bien trop bonne d'accepter sous mon toit, voilà comment j'en suis récompensée. »

Elle me prend par le bras et on retourne dans le salon où on retrouve Justine toujours assise sur le canapé qui ne comprend pas tout ce qui se passe, mais se doute bien que ça va chauffer pour mon matricule.

« Fabien, baisse ton pantalon.

– Non, je refuse, pas ici.

– Dois-je comprendre que je dois le faire moi-même avec les conséquences que ça entraînera ?

– Non, Maman, je vais le faire, mais je t'en prie, pas devant Justine.

– Au contraire, il faut qu'elle soit édifiée et qu'elle voit la façon dont on doit te traiter pour obtenir quelque chose de toi, quand on se comporte comme un petit garçon, on est puni comme un petit garçon. »

Celle-là, je l'avais trop souvent entendue et cela a le don de me ramener illico à mon statut de gamin.

C'est l'horreur totale, je ne sais plus où je suis, comme dans un cauchemar, je défais ma ceinture, baisse mon jean et m'approche de Maman qui s'est installé sur une des chaises, prenant bien soin de la positionner perpendiculairement au canapé.

Je ne sais plus où je suis, je m'efforce de m'extraire du moment, l'impensable va se produire, ce que je redoutais le plus, être fessée cul nu devant ma copine. Elle empoigne mon slip et le descend jusqu'à mes genoux dévoilant toute mon intimité.

«  De toutes façons, j'imagine bien que tu n'as plus rien à cacher à Justine, tu as de la chance qu'il n'y ait personne d'autres de présent, car tu te doutes bien que cela n'aurait rien changé, allez, viens sur mes genoux. »

Je m'y précipite, au point où j'en suis, autant ne plus tarder et cacher au regard de ma fiancé le spectacle de ma verge et de mon pubis toujours épilé, elle adore et je me sers désormais régulièrement de la crème épilatoire de Maman. Bien entendu, elle ne le découvre pas, mais ma position, pantalon aux chevilles et slip aux genoux ne me semble pas très reluisante.

Et c'est parti pour la fessée, Maman est très énervée par mon attitude et j'imagine que je vais prendre cher, les premières claques qu'elles m'assènent me le confirment. Comme d'habitude, je ne suis plus qu'à ma douleur, ne songe plus à l'humiliation que représente le fait de se ramasser une fessée déculottée à plus de dix-huit ans, devant sa copine, il sera temps plus tard de constater les dégâts, peut être que Justine écœurée par la situation : voir son copain être ramené à l'état de gamin qu'on fesse le cul à l'air, préfèrera aller chercher fortune ailleurs.

De toutes façons, elle l'aurait su tôt ou tard, mais je m'en veux de ne pas avoir pris les devants, même si dans tous les cas, mon coming out n'aurait rien apporté à ma gloire. Là, c'est le pire qui m'arrive, elle peut contempler à loisir le spectacle de mes fesses qui rôtissent sous ses yeux.

Car ma mère ne me ménage pas, elle est toute à son affaire, j'ai été insolent, grossier même et c'est ce qu'elle tolère le moins surtout en présence de tierces personnes, je tente comme toujours de ne pas me ridiculiser complètement en serrant les dents pour ne pas crier sous le déluge de claques qui envahit mon fessier et je suis soulagé quand il cesse enfin. Mais je comprends vite que je ne suis pas au bout de mes peines.

« Justine, soyez gentille, allez me chercher le martinet qui se trouve dans le premier tiroir à gauche de la cuisine. »

Je me dis qu'elle pourrait refuser de se rendre en quelque sorte complice de ma correction, quitter la maison en clamant que c'est n'importe quoi, qu'on ne donne pas la fessée à un jeune homme de mon âge, mais non, j'entends ma mère qui la remercie et les lanières du martinet viennent me claquer les hémisphères, sans que j’aie le temps de souffler.

Et là, c'est trop dur, trop de souffrances et trop de tension, je ne sais pas si c'est la honte ou la douleur de plus en plus prégnante qui l'emporte, mais je craque très rapidement, en apportant le martinet, Justine s'est en quelque sorte associée à ma fessée, l'a validée et je me dis que dans ces conditions je n'ai plus à rien à perdre.

Je me laisse aller, si je me tortille sur les genoux de ma mère, ce n'est que dans un vain réflexe pour éviter que le martinet s'abatte sur une zone déjà marquée, je sais bien que la moindre de ma rébellion serait sanctionnée par une, voire plusieurs autres fessées.

Maman d'ailleurs ne cherche pas à me maintenir, sa main gauche qui m'enserre la taille reste lâche, tandis que je me mets inévitablement à geindre, supplier et enfin à sangloter toute honte bue comme à chaque fois que le martinet ou tout autre instrument, vient renforcer les effets d'une fessée manuelle rondement menée.

Je pousse des cris de plus en plus forts et hachés et je pleure à présent à chaudes larmes, ce qui n'émeut guère ma mère qui tient à aller au bout de la correction, elle s'attaque à présent à mes cuisses, ce qui me fait atrocement mal et m'oblige à remuer en tous sens, de sorte que mon slip atterrit lui aussi sur mes chevilles et que je me mets à hoqueter entre deux sanglots.

Enfin, les lanières cessent de me massacrer fesses et cuisses, ma fesseuse, satisfaite de son œuvre, passe sa main sur l'ensemble de la surface qu'elle a corrigée d'importance, comme pour vérifier qu'aucune partie de chair n'a échappé aux coups, que l'ensemble a bien pris la belle couleur cramoisie qu'elle souhaite.

 

« Ah, tu l'as cherché cette bonne fessée, il y avait longtemps, je pensais que t'étais amélioré après ton séjour chez Maud, c'est d'ailleurs peut être le cas, mais un bon petit rappel était nécessaire. Justine est à présent édifiée sur les us et coutumes qui régissent désormais les comportements fautifs des habitants de cette maison. Qu'est ce que tu en penses ma chérie ? »

C'est horrible, elle est en train d'engager une conversation de salon avec ma fiancée, l'est-elle encore d'ailleurs après ce qui vient de m'arriver, alors que je suis toujours affalé en position disciplinaire, les fesses et le reste en l'air en train de sangloter comme un bambin ?

J'entends Justine qui ne sait pas trop que répondre évidemment et qui balbutie.

« Je ne savais pas, Fabien ne m'avait rien dit.

– Tu penses bien qu'il ne va pas sa vanter de recevoir des fessées déculottées à dix-huit ans passés. Cela dit, cela ne fait pas si longtemps qu'il est soumis à ce régime, c'est Madame Leblanc, sa logeuse de l'an dernier qui a institué ce système pour tous ses pensionnaires et comme cela a donné d'excellents résultats tant sur le comportement en général de Fabien que sur la qualité de ses études, je m'y suis mise et je te garantis que je m'en félicite, ce n'est plus le même jeune homme. Et d'ailleurs, je ne suis pas sûre que tu te serais amouraché de l'ancien Fabien, celui d'avant les fessées, tant il était trop souvent détestable. Après, de temps à autre, comme tu viens d'y assister, il a besoin d'une petite remise à jour, mais à présent que le pli est pris, il ne peut que s'améliorer. »

Pauvre de moi, je l'entends pérorer, vanter sa méthode en caressant machinalement mes fesses meurtries, comme si de rien n'était, alors que j'exhibe mon cul et mes balloches qui doivent pendre entre mes cuisses largement écartées par la douleur à ma fiancée qui est plein axe dans la vision de ma déchéance. Il n'empêche, je ne me risque pas à me relever avant d'en avoir la permission, cela me revaudrait à coup sûr une nouvelle dégelée.

« Vos parents n'appliquent pas ces méthodes je suppose ?

– Non, mon frère a été fessé jusqu'à ce qu'il entre au collège et me concernant, je crois bien que la dernière fois que cela m'est arrivé, je ne devais pas avoir plus de sept ans, c'est toujours mon père qui officiait et il ne ménageait pas nos fesses, mais je n'aurais jamais imaginé que l'on pouvait donner la fessée déculottée à de jeunes adultes.

– Eh bien, il faudra vous y faire car je n'ai nullement l'intention de mettre fin à une méthode qui donne de si bons résultats, vous verrez que vous vous y ferez, quitte à ce que vous les mettiez vous-même en application pour dresser Fabien s'il se montre trop désagréable.

– Oh non, je ne pourrais pas, ce n'est pas possible.

– On en reparlera ma jolie, en attendant on va envoyer votre fiancé au piquet, il va y rester une bonne heure et vous n'êtes évidemment pas obligée de patienter jusque-là. »



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 25

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

2 commentaires:

  1. Excellent tournant dans cette histoire. Ca relance tout scenaristiquement en redonnant un fort intérêt par cette cette nouvelle situation et le personnage de Justine. Une seule fessée mais si bien amenée, quelle montée de suspens. Un grand bravo à vous Serge !

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    1. Merci pour vos compliments qui me vont droit au coeur, d'autant plus que reprendre un récit si palpitant et si excitant reste un challenge.
      Cordialement .

      Serge

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