samedi 3 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 24

 Je prends beaucoup sur moi pour ne pas aggraver mes misères, si je me laissais aller, je lui enverrais, qu'elle avait raison de bien profiter de ma sujétion actuelle, car si les choses venaient à s'inverser, ce qu'à Dieu ne plaise, je serai me souvenir des turpitudes infligées. Je me retrouve donc dans la très humiliante position de repentance souhaitée.

« Tu demandes pardon et tu nous remercies de t'avoir corrigé. »

Au point où j'en suis, n'est ce pas, un peu plus un peu moins. Je réussis entre deux sanglots à prononcer la phrase souhaitée, qu'elle me fait répéter, parce qu'une première fois, inintelligible, je bois le calice jusqu'à la lie, tandis que Corinne un peu surprise que sa copine aille jusque là, sourit largement.

« C'est bien, tu commences à devenir raisonnable, encore quelques bonnes roustes et seras à peu près dressé. Bien, à présent, tu vas passer le tee shirt et le shorty en question.  Qu'est ce que tu en penses, Corinne, tu crois qu'il a besoin de mettre un slip en dessous.

– C'est peut-être plus hygiénique, voyons s'il ne se voit pas trop, celui que tu as amené est plutôt soft, ça devrait faire.

Tu parles, la coquine a récupéré au fond de mon tiroir, un truc que je ne mettais plus depuis longtemps, il va être trop petit et surtout en me serrant va accentuer les brûlures de mes fesses, mais comme je suppose que tout cela est parfaitement calculé, il est vain de protester.

Je m'efforce donc de passer la culotte en question, elle est à l'évidence trop étroite et Lucie qui ne veut surtout pas s'embarrasser, me la fait ôter et d'un coup de ciseau, l'ouvre presque complètement en son milieu, côté verso. Du coup, bien entendu, je parviens à la mettre, mais je me trouve parfaitement ridicule avec une bonne partie de mes fesses et surtout la raie, complètement à l'air libre, je prie pour qu’elles ne m'emmènent pas comme la veille essayer des trucs dans des boutiques, à moins que cela soit précisément ce qu'elles manigancent.

En attendant, j'ai été bien obligé de mettre, l'horrible boxer shorty, on aurait vraiment dit un truc de cycliste, il me serrait les cuisses, pourtant plutôt minces et n'en dépassait guère le sommet.

Une paire de tongs complétait ma tenue et je me sentais complètement con, encore heureux, je venais de le vérifier dans le miroir de la sale d'eaux que les marques sur mes fesses, elles étaient en train de passer du cramoisi au rouge brique avec des nuances de bleu et de jaune foncé du plus bel effet, étaient néanmoins masqués par le boxer aussi court soit-il, pour une fois Lucie avait été sinon clémente, à tout le moins raisonnable.

 

Et nous voilà parti pour rejoindre les copains, je suis encadré par les deux filles, qui ne me tiennent pas par la main comme un petit garçon, mais c'est tout juste.

Tu parles que je ne suis pas pressé de rencontrer qui que ce soit dans ce triste appareil.

Pour mon grand bonheur, on se casse les dents à deux reprises à la porte des copains chez qui on se rend, pour la seconde, on est tombé sur la mère d'un pote qui m'a longuement contemplé d'un air affligé, toute réflexion faite, je pense que je ressemblais à une sorte de… de je ne sais quoi.

La bonne femme s'était même permise de glisser narquoisement :

–Je ne savais pas que c'était jour de carnaval !

Pour finir, les filles ont réussi à retrouver deux de leurs amies dans une brasserie en bord de mer, Clémence et Margaux, deux chipies qui bien que physiquement moyennes surtout la première un brin enveloppée se la jouaient grave et que j'appréciais assez peu.

Elles se moquent d'entrée de mon accoutrement et bien entendu Corinne et Lucie en rajoutent, on est à peine installés autour d'un verre que ça part en live.

– Et encore mes chéries, vous ne savez pas tout, il faudrait que vous voyiez son slip, c'est à se tordre.

–Lucie, tu ne leur as pas dit qu'on l'avait épilé aux endroits stratégiques !

– Ce n’est pas possible !

– C'est pourtant vrai, on a fait ça avec Corinne.

– On ne vous croira pas si on ne le voit pas.

– Qu'à cela ne tienne, Fabien, tu sais ce qui te reste à faire.

– Mais ça ne va pas non, jamais de la vie.

– Allez, fais nous plaisir, on a déjà vu tes fesses et le reste à la plage, alors un peu plus, un peu moins, tu vas aller aux toilettes et on va te suivre l'une après l'autre pour que ce soit plus discret.

– Il n'en est pas question, je ne le ferai pas.

– Tu sais ce que tu risques, si j'en parle à Maman.

– Tu n'oseras pas le faire, car elle risquerait de me donner raison et ce sont peut-être tes fesses qui seront mises à contribution. »

Lucie était horriblement vexée par ma rébellion devant ses copines et encore plus par l'allusion que je venais de faire à la possibilité qu'elle se ramasse à son tour une fessée, ce qu'elle ne devait pas crier sur les toits, à mon sens seule Corinne était vaguement au courant sans avoir assisté à une véritable correction de ma cousine.

« Bien, c'est qu'on va voir, allez on rentre à la maison, les filles si vous voulez en avoir le cœur net, vous nous accompagnez, je vous promets que vous ne le regretterez pas. »

Le chemin du retour fut très désagréable, on me faisait marcher devant les quatre filles et ma tenue ridicule attirait les regards des passants et parfois les commentaires innocents des marmots.

Cela me rappelait mon affligeant retour de plage en slip d'abord puis complètement nu pour les cinquante ou cent derniers mètres des jours derniers.

J'en rougissais à chaque fois et surtout je redoutais notre retour à la piaule, j'aurais dû accepter d'exhiber mon pubis épilé devant ces deux connasses et on n'en aurait  plus parlé, alors qu'a présent je craignais le pire, Lucie voudrait se venger de ma rebuffade publique et il fallait m'attendre au pire, à savoir me faire mettre nu devant ses deux copines, voire pire avec en prime une bonne fessée, qui s'ajoutant à la sévère correction à la planche à découper que je venais de me ramasser naguère, serait infiniment dure à supporter.

Je m'angoissais tellement que j'envisageais l'intervention de la tante Maud et l'éventuelle abominable fessée aux orties qui pourrait en résulter.

A moins que ce soit ma cousine qui se fasse tancer pour avoir abuser de ses prérogatives.

J'avais observé avec accablement la nouvelle attitude de Clémence et Margaux à mon égard, elles n'avaient pas assisté personnellement à la terrible humiliation infligée par Lucie à la plage, mais comme il se doit, ma mésaventure avait fait le tour des copains et surtout des copines, j'étais désormais tenu pour un moins que rien, aux ordres de ma cousine plus jeune et je me disais qu'il faudrait bien du temps pour me refaire une réputation possible, à tout moment, je pouvais m'attendre à des réflexions du style " Fabien, fais ce qu'on te dit, sinon , je te baisse la culotte et je te fesse devant tout le monde ".

J'étais partagé entre deux sentiments, la volonté de me hâter pour échapper le plus vite possible aux réflexions et aux regards étonnés des passants et le fait que je ne me faisais aucune illusion sur la dérouillée qui m'attendait dès notre arrivée, ce qui ne me rendait guère impatient.

J'en étais là de mes réflexions quand on est parvenu au portail de la villa, les quatre filles n'avaient pas cessé de me brocarder tout au long du parcours en riant comme des folles et envisageant sans doute de passer un meilleur moment encore à mes dépens dès notre arrivée à la maison.  

 

Et ça n'a pas manqué, elles se sont assises sur le sofa et les fauteuils du salon et se sont servies des sodas, tandis que j'étais "invité" à patienter au piquet, face au mur, les mains sur la tête, dans une position qui hélas m'était désormais habituelle.

La tante Maud n'était pas encore rentrée, de toutes façons, il n'était nullement certain qu'elle serait venue à mon secours, peut être même aurait-elle ajouté une couche à mes misères du moment, j'avais désobéi à ma "responsable", quel qu'en soit le motif, c'était du lourd.

« Bien, c'est pas tout ça, il va falloir passer aux choses sérieuses, mes chéries puisque vous n'avez pas eu le bonheur d'être présentes sur les plages quand j'ai fessé, à peine, le jeune Fabien, vous allez pouvoir vous rattraper. Allez viens ici. »

Je n'ai d'autre choix que d'obéir, à peine suis-je devant elle, toujours les mains sur la tête qu'elle empoigne mon "shorty- boxer" et qu'elle le descend jusqu'à mes chevilles, dévoilant le slip découpé par ses soins, qui découvre mes fesses, ainsi que mes testicules qui se balancent lamentablement faute de soutien.

« Alors il n'est pas tout mignon comme ça, notre jeune Fabien ? Et attendez, vous n'avez pas tout vu. »

Après m'avoir fait tourner sur moi-même aux fins de bien exhiber mon verso, elle baisse ce que j'ose même plus nommer un slip jusqu'à mes genoux.

« Oh, Il est complètement épilé ! Comment tu as fait ça ?

– Devine ? J'ai inventé une histoire de poux et j'ai obtenu l'accord de ma mère, on a fait ça avec Corinne, compte que ça a été un grand moment. Elle s'esclaffe et les autres suivent.

–Mais il tout mimi comme ça, on dirait vraiment un gamin. »

Margaux en profite pour passer sa main sur mon pubis, ce qui déclenche à ma grande confusion un début d'érection.

« Il banderait presque !

– On va y remédier sous peu, reprend Lucie, et regarde, il est encore plus nu comme ça. »

Elle vient de me décalotter, décidemment, c'est sa nouvelle manie, du coup Margaux fait de même, me remonte le prépuce et s'amuse à le baisser ensuite.

« Vas-y doucement Margaux, il ne faudrait pas qu'il nous éjacule à la figure. Allez Fabien, tu enlèves tout, on va vérifier que tes fesses sont également exemptes de tout poil. »

J’obtempère, je suis très gêné de me mettre tout nu devant ces quatre filles, mais par ailleurs pas mécontent de me dépouiller de cet horrible boxer et du slip « assorti » qui ne cache pas grand-chose de mon intimité et qui me rend encore plus ridicule.

« Tourne-toi et penche-toi en avant. Allez ! »

Décidemment elles ne m'épargnent rien, je fais ce qu'on a exigé, posant mes mains sur mes cuisses, écartant même mes fesses et exhibant honteusement mon trou de balle afin que ces dames veuillent bien considérer après un examen attentif, qu'il est bien vierge de tout follicule pileux. J'ai même droit au passage à quelques mains qui s'égarent au plus près de mon anus.

« Eh bien dit moi, c'est du bon travail, sans compter l'état de son fessier, tu l'aurais travaillé récemment à je ne sais quoi que ça ne m'étonnerait pas, ses fesses vont passer par toutes les couleurs de l'arc en ciel, ça a même déjà commencé.

– C'est bien ça, chère Margaux, pas plus tard que tout à l'heure, il nous a chanté quelques airs d'opéra, les marques que tu vois proviennent d'une planche à découper la viande, un truc nouveau que j'ai inauguré, mais c'était juste un petit en cas avant ce soir, à présent je vais faire les choses sérieusement. »

Je suis véritablement effondré, non seulement, je vais me ramasser une correction maousse, tu parles que Lucie ne va pas vouloir déchoir devant ses copines, mais de surcroît, je vais être définitivement grillé dans le secteur, déjà que ma mini fessée sur la plage avait évidemment fait grandement jaser, tant et si bien que si j'avais bien compris, nombre de copains et copines avaient du mal à croire à la réalité de la chose, il faut dire qu'à dix-huit ans, se faire mettre à poil sur une plage par sa cousine plus jeune et se faire claquer le cul, ça pouvait effectivement surprendre, mais avec ce qui allait m'arriver dans quelques secondes, c'en était définitivement fini, j'entrais dans la catégorie des mauviettes, aux ordres de Lucie et pourquoi pas de toutes les autres filles qui voudraient s'en donner la peine, à commencer par Corinne et les deux autres garces de ce soir. Sans parler des garçons qui ne pourront faire autrement que de me mépriser.

Après comme on l'a vu après ma terrible fessée déculottée par Madame Bruno devant toute la classe, le pire n'est pas toujours certain et j'avais découvert à cette mortifiante occasion, je ne vois guère ce qu'il peut y avoir de plus humiliant, que nombre de mes camarades de classe filles et garçons étaient également soumis au régime de la fessée, même si à l'évidence, ils préféraient ne pas s'en vanter.

Je me jure bien de ne plus jamais revenir dans la petite cité balnéaire, ce qui règlera la question.

Les choses ne traînent pas et je suis "invité" d'un petit geste de la main par ma "tutrice" à venir me coucher sur ses cuisses. La grognasse pourra se vanter de m'avoir fait marcher au doigt et à l'œil, au sens propre du terme. 

Une fois en position disciplinaire, elle me caresse quelques instants le fessier comme pour en prendre possession, tandis que j'entends le bruit des chaises et des fauteuils qu'on remue, les trois "grâces" s'installent de manière à ne rien perdre du spectacle qui s'annonce, en demi cercle autour de mon cul qui va être sous peu le roi de la fête.

Et c'est parti, sur des bases élevées ; Lucie ne tient pas à amuser la galerie, elle a de jolies petites mains fines, mais il n'empêche, elle prend de l'élan et frappe avec force comme j'en ai hélas pris l'habitude.

Je prends sur moi pour ne pas donner le plaisir à ces pétasses de me voir craquer d'entrée ; c’est-à-dire geindre et supplier avant de me mettre à pleurer.

Ma fesseuse ne me ménage pas, ça tombe comme à Gravelotte avec vigueur, mais je tiens le choc en serrant les dents, parvenant à conserver mes cuisses à peu près jointes, même si la terrible correction précédente m'a littéralement mis le cul à vif, je ne veux pas complètement déchoir devant cet aréopage de gonzesses, même si hélas, l'essentiel est fait.

Mais tu parles que ma tourmenteuse veut briller devant ses copines, après m'avoir complètement rôti les fesses et m'avoir par là même arraché des couinements, des plaintes, puis enfin des cris de douleur, elle se reprend quelques instants, je sens qu'elle est essoufflée.

Elle demande à Corinne d'aller récupérer la règle qui se trouve dans sa chambre sur son bureau, tout en me malaxant mon fessier meurtri, me tirant de nouveaux hurlements, comme pour bien vérifier qu'aucune surface n'a échappé à son traitement méthodique.

C'est bien le cas, la salope s'est même attaquée au sommet de mes cuisses, là où la chair est moins épaisse et où ça fait le plus mal et je ne pense pas que ce soit par mégarde.

Hélas la pause n'a duré qu'une à deux minutes, le temps pour les deux filles restantes de ricaner devant la couleur de mon arrière-train, joignant le geste à la parole en venant vérifier in situ de leurs menottes que Lucie a parfaitement et vigoureusement couvert la surface à corriger.

« On pourrait y mettre un œuf à cuire, comme le dit Marie, Lucie tu as bien travaillé.

– Ce n'est encore rien, vous allez voir quand je vais le travailler à la règle, compte qu'il va chouiner et hurler comme un goret qu'on égorge. »

On se doute que ces perspectives ne me réjouissent guère, déjà que vu ma position, allongé complètement nu sur les genoux de ma cousine plus jeune, en présence de ses copines, je ne me grandis guère, mais j'ai désormais dépassé le stade de l'humiliation, je ne vois pas trop ce qui pourrait m'arriver de pire, on a beau dire que la douleur n'est rien, que c'est la mortification qui est la plus dure à vivre, je leur souhaite de se ramasser une fessée à coups de règles, qui succède à une première à la planche à découper reçue quelques heures plus avant, sans compter la rude séance manuelle préparatoire dont vient  de me gratifier ma cousine, devenue par la grâce de la tante Maud, ma tutrice, heureusement provisoire.

 

Et c'est parti pour la danse de mes fesses, les premiers coups assénés sans nul ménagement, me font d'entrée me tordre, dans de vaines tentatives pour dérober les parties déjà atteintes, cependant, je m'efforce de ne pas pour autant manifester ce qui pourrait être assimilé à une tentative de rébellion, outrage ultime qui me vaudrait un passage au fond du jardin avec l'abominable torture des orties, sachant que Lucie ne me tient pas véritablement, se contentant de poser presque négligemment sa main gauche sur ma taille.

La règle, c'est particulier, rien à voir avec le martinet dont tu as l'impression que les lanières te pénètrent littéralement, c'est plus insidieux, la surface couverte est plus importante et ça te pince, la douleur résonne à l'intérieur avec un temps de retard, comme une sorte de réplique, au-delà d'une quinzaine de coups, c'est véritablement insupportable et en plus, ça te marque durablement les fesses, qui vont passer au fil des heures et parfois des jours, du rouge vif, au brique, puis au bleu en passant par le jaune foncé, un vrai régal.

Je fais mon maximum pour ne pas ajouter au ridicule de me situation en serrant les dents et les poings, mais au bout d'une douzaine de coups, je craque complètement et je me mets à hurler comme un cochon qu’on égorge, donnant raison aux pronostics de ma cousine, ce qui déchaîne l'hilarité des spectatrices.

« Il en prend pour son grade le Fabien, sûr qu'il fait plus trop son malin à présent. »

Je passe assez vite aux supplications que je sais d'expérience parfaitement inutiles.

« Pardon Lucie, je ne te résisterai plus jamais, aie, ça fait trop mal, je t'en supplie, arrête, pardon, je ferai tout ce que tu voudras, aie, assez ! »

Tu parles que ma bourrelle n'en a cure, elle continue de m'envoyer avec autant de vigueur ces horribles coups de règles. Je ne sais pas si elle s'est fixée un nombre dans sa tête ou si elle attend que je sois complètement en larmes.

Ce qui ne tarde guère, on se souviendra que cette terrible raclée s'ajoute aux coups de planche que je me suis pris auparavant et que mes fesses ont déjà été rudement chauffées par la fessée manuelle qui a précédé.

Ce sont d'abord des reniflements, puis des sanglots et enfin les grandes eaux, alors  que dévasté de souffrance, je n'ai même plus la force de tenter de dérober mon cul aux coups, je reste inerte sur  les genoux de ma cousine, dans un réflexe, j'ai même assez largement désuni mes cuisses, c'est fréquent quand on arrive au bout d'une sévère fessée et j'ai pu naguère me régaler de ce que dévoilait Lucie de son intimité quand elle braillait sous les fourches caudines de sa Maman.

Je ne sais pas, on a l'impression que ça laisse pénétrer un peu d'air frais sur les parties les plus massacrées par les coups.

C'est ainsi que ça excite les filles.

« Regarde, on voit bien ses balloches qui remuent, c'est trop marrant. »

Margaux, elle préfère contempler mon visage dévasté, elle vient de se placer à l'opposé de ses copines, délaissant la vision de mon fessier tuméfié, de mes bourses et du reste pour celui de mon visage défiguré. Ce doit être la plus cruelle finalement !

Pourtant le spectacle que je donne à mon corps défendant doit être fort attractif, j’ai si mal que je me mets à pédaler dans le vide, ce qui ne calme pour autant Lucie qui ne mollit pas avec sa putain de règle.

J'ai désormais abandonné toute dignité, je ne sais plus où je suis, je braille à pleine voix, supplie de plus belle, sanglote sans retenue.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 23

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de l'usage de la planche à découper sur les fesses, bonjour!
    On aurait pu croire que la fessée à la planche du chapitre précédent était un sommet des méthodes punitives de la douce Lucie... C'était sans compter sur un récit aux multiples rebondissements, tout aussi passionnants que ceux des fesses de Fabien, soumis aux caprices disciplinaires de ces intraitables demoiselles. Les délicieuses petites vicieuses ne manquent pas d'imagination pour ajouter une bonne dose d'humiliation aux cuisantes fessées successives, qui en font voir de toutes les nuances de rouge au derrière de leur victime.
    C'est ainsi qu'elles ont la judicieuse initiative de montrer qu'un slip n'a pas forcément pour seule utilité l'hygiène du corps. Astucieusement découpé sur le fond, il permet d'offrir le spectacle permanent d'une paire de fesses à l'air libre, généreusement exposée, avec l'avantage appréciable, d'en rendre l'accès immédiat en cas d'urgence de fessée. Evidement, direz vous, ça prive du plaisir de les déculotter, mais bon... On ne peut pas tout avoir en même temps !

    Les présentations étant faites, Fabien s'en prend plein les fesses, humilié jusqu'au fond de la raie, sur les genoux de Lucie, devant un parterre de voyeuses en pâmoison! Mis à part le puni dont le derrière est mis à rude épreuve, tout le monde se régale, y compris le lecteur.
    Cordialement
    Ramina

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