vendredi 30 octobre 2020

Il ne manquait plus que Cyrielle

 « Il ne reste plus que toi ! Tu sais ce qui t’attend ? Comme les copines, il n’y a pas de raison !

– Mais vous n’avez pas le droit !

– Ah, oui ? Je n’ai pas le droit ? C’est ce qu’on va voir !

– Non vous ne pouvez pas, vous n’êtes pas ma mère !

– C’est exact, je ne suis pas ta mère et c’est bien dommage ! Autrement, tu recevrais la fessée un peu plus souvent que cela ne t’arrive !

– Vous n’avez pas le droit ! Je ne suis pas votre fille et de toute façon je suis majeure ! J’ai vingt ans ! La fessée, c’est pour les petites ! Maintenant je suis grande ! Je ne vous laisserai pas faire !

– Tu ne te laisseras pas faire ? C’est ce qu’on va voir !

– Aïe, mon oreille !

prise par l'oreille

– Que crois-tu ? Que c’est la première fois que je dois amener, en la tirant par l’oreille, une grande fille vers le lieu de sa punition ? Demande à Chloé, je pense qu’elle se souvient encore, du lendemain de ses dix-huit ans.

– Ah, mon oreille ! Vous me faites mal !

– Il ne tient qu’à toi que la douleur cesse ! Avance !

en route vers la fessée

– Non, pas la fessée ! Je n’ai rien fait !

– Eh bien, vois-tu, moi je suis persuadée du contraire ! Non seulement tu as participé à cette promenade en disparaissant des radars toute l’après-midi, comme tes deux complices, mais de plus, je crois que tu es l’instigatrice de cette ballade interdite.

– Non, ce n’est pas moi !

– Je pense que tu vas me confesser toute l’affaire avant que j’en aie fini avec toi. Pour le moment, c’est à plat ventre en travers de mes genoux. C’est là où finissent toutes les grandes filles qui n’ont pas encore compris, que même à vingt ans, on doit obéir aux grandes personnes.

En position disciplinaire

– Non, non… je vais le dire à ma mère ! Non, à mon père !

– Ah nous y voilà ! Pour ce qui est de ta mère, tu ne pourras plus la mettre au courant, je m’en suis chargée. Elle a bien un peu hésité quand je lui ai parlé de fessée déculottée, mais elle a fini par céder. De toute façon, je ne lui ai pas laissé le choix.

– Ah, non, attendez !

– J’attends juste que tu me laisses te placer en bonne position pour recevoir ta fessée. Vas-tu enfin me laisser faire ou faudra-t-il que je demande à Chloé d’aller chercher le martinet ?

à plat ventre au travers des genoux

– Ma jupe, non, je ne veux pas !

– Ah ça, je m’en doute bien. Je comprends ! Tu as parfaitement raison de redouter la fessée à venir. Comme tes deux copines, tu vas finir les fesses brûlantes. Mais pour cela, il faut écarter la jupe du trajet de ma main. C’est comme ça qu’il faut punir les petites filles désobéissantes, surtout quand elles se croient trop grandes pour être obéissantes.

– Non, non, non !

– Dis-moi, tu ne serais pas en train de me faire une colère ? Parce que si c’est le cas, je vais devoir te donner non pas une, mais deux fessées. Note bien que ce ne sera pas moi qui sentirait notablement la différence. J’ai bien peur que ce soit surtout toi qui la perçoives.

relever la jupe pour donner la fessée

– Non, pas la culotte !

– Et pourquoi donc ne faudrait-il pas te baisser la culotte ? Tu as bien vu que tes deux copines, avant toi, ont reçu une fessée déculottée. Je ne vois pas pourquoi il ne faudrait pas faire pareil avec toi. Tu as mérité une correction au moins aussi sévère.

– Mon père ! Mon père il ne veut pas !

– Ah, nous y voilà ! La petite chérie à son Papa ! Je sais. Ta mère m’a expliqué combien il était laxiste et comment il te passait toutes tes frasques, sans jamais t’en punir. C’est elle, m’a-t-elle dit, qui doit assurer l’autorité vis-à-vis de toi. Malheureusement elle se contente de te gronder de temps en temps, mais tu n’as pas les punitions dont tu as besoin ! Je vais corriger cela !

La culotte baissée

– Aïe ! Non, aïe ! Je vais le dire, aïe… à mon père, aïe !

– A ton père ? C’est une excellente idée ! Par la même occasion, tu lui diras de passer me voir. J’ai deux mots à lui dire sur la façon dont il élève sa fille. Je me demande même si une bonne fessée… mais je m’égare. En attendant que tu ailles te plaindre, je vais finir cette fessée, afin que tu prennes bien conscience de la bêtise que tu viens de faire, ce qui ne me semble pas le cas pour le moment, et que tu promettes sincèrement de ne plus recommencer et nous en sommes encore loin.

– Non, aïe ! Je vais être sage, aïe ! Mais arrêtez, aïe !

– Oh là, là, comme si une aussi petite fessée était suffisante. Non, pas question que je mette fin à la fessée aussi vite ! Si je veux que tu te souviennes de cette punition, il faut que je continue encore un bon moment. Et puis, nous n’avons pas encore éclairci la question de l’initiatrice de cette escapade. Es-tu toujours aussi certaine que ce ne serait pas toi ?

C'est la fessée déculottée

– Non, aïe ! Ce n’est pas, aïe ! Pas moi, aïe !

– Pas toi ? Mettons ! Qui a eu cette brillante idée, alors ?

– Je ne sais pas !

– Veux-tu me faire croire que tu as oublié le nom de la personne qui est l’instigatrice de cette excursion ou que tu ne sais plus comment cette inspiration saugrenue vous est venue ?

– Aïe ! Je ne sais plus, pour l’idée, aïe ! Je ne sais plus !

– Parions que cette fessée va t’aider à retrouver la mémoire. Tu me diras quand tu t’en rappelleras. En attendant, je vais accentuer un peu cette correction. Sans doute est-elle trop clémente pour que tu arrives à te remémorer comment l’idée vous est venue ? Il te faut une correction plus rigoureuse.

les fesses cuisantes

– Aïe, non ! C’est moi, Madame, c’est moi !

– C’est toi qui…

– Aïe ! C’est moi qui, aïe… ai eu l’idée, aïe… c’est moi !

– A la bonne heure ! Voilà une confession presque spontanée qui confirme ce que je pense de toi, petite peste. Tu as entraîné les autres et elles se sont laissé faire. Rien d’étonnant avec ces deux écervelées ! Elles ont donc largement mérité leur fessée et toi également. Je vais faire en sorte que la tienne soit un peu plus consistante que celles que tes deux acolytes ont reçues. C’est normal, non, puisque tu es à l’origine de la désobéissance, non ?

–Oui… non, aïe ! Pardon !

Fessée déculottée cuisante

– Relève-toi. Je crois que la fessée a porté ses fruits. Oh, mais j’y pense ! Si c’est toi, cela veut dire que tu m’as menti, tout à l’heure. N’est-ce pas ?

– Non… euh, oui !

– Sais-tu ce qui arrive aux grandes filles qui mentent dans cette maison ? Chloé ne t’en a jamais parlé ? Pourtant cela lui est arrivé plusieurs fois.

– Non ! Pardon Madame, pardon !

– J’ai bien peur que tu aies à souffrir une deuxième fessée avant que tu ne quittes cette maison et que je doive m’occuper d’extraire tous ces mensonges de ta bouche. Mais nous verrons cela plus tard. Bien évidemment, tu ne perds rien pour attendre !

Après la fessée

– Oui, Madame !

– Chloé le sait déjà, mais j’espère que vous avez compris, Gaétane et toi, que cette fessée n’est que la première d’une longue liste et je ne parle pas seulement de celle que tu vas avoir tout à l’heure pour le mensonge.

– Oh !

– Nous avons convenu, avec vos Mamans respectives, que vous êtes privées de sortie pendant un mois, pour commencer. Ensuite, nous verrons. Cela dépendra de beaucoup de facteurs : votre obéissance, vos résultats scolaires, votre comportement… et j’en passe ! Au cas où nous ne serions pas satisfaites de vous, nous repartirons pour un autre mois, voire plus. En attendant, plus de sorties le week-end et encore moins en semaine. Dès les cours terminés, vous rentrez faire vos devoirs à la maison. Et pas de détour ! A chaque incartade, ce sera la fessée. Est-ce bien compris ?

– Oui Madame.

– Il reste à régler la question du mercredi après-midi. Toutes les deux, comme votre Maman ne sera pas chez elle, vous viendrez ici, avec Chloé. Je vous ferai faire vos devoirs et je vous donnerai du travail supplémentaire si besoin. Et sachez que je n’hésiterai pas à baisser la culotte et à donner la fessée ! S’il le faut, vous ferez connaissance avec le martinet. Demandez à Chloé comment il laisse de belles marques rouges sur les fesses. Allez, toutes les trois le nez contre le mur et les mains sur la tête. Une bonne demi-heure de piquet, la culotte baissée et la jupe relevée, vous fera le plus grand bien.



Merci à...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo que les logiciels permettent de transformer en dessin. Pas mal, non ? Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

La Maman de Chloé n'hésite pas à donner la fessée déculottée

 
c'est la fessée déculottée une bonne fessée déculottée



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8 commentaires:

  1. La boucle est bouclée et par principe d'égalité, toutes fautives, toutes punies.

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    1. Caroline,
      L'équité respectée, une juste punition également répartie, qui, de plus, engage l'avenir en annonçant d'autres fessées… Tout cela a le mérite d'être clair.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Oui l'ai l'impression aussi que nous en sommes qu'au début...

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  3. Bonjour à vous,

    Petite question toute bête :
    "les maman se montrent-elles beaucoup plus sévères avec leurs filles ou leurs garçons ?
    Thèse, antithèse, conclusion . Vous avez deux heures ! ".
    Belle discussion, non ?
    Amicalement. Peter.

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    1. Peter Pan,
      Bien souvent les Mamans se sentent responsables de ce qui peut arriver à leur progéniture, y compris quand ils sont devenus grands et quel que soit leur âge. Si une bonne fessée peut les remettre dans le droit chemin, je trouve qu'elles ont raison de se montrer sévères. C'est leur devoir.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG,

      J'approuve tout à fait. Les ainés anticipent sur les éventuels problèmes liés à nos comportements. La fougue de la jeunesse donne souvent un sentiment de suffisance.
      Mais personnellement, mon caractère et ma physionomie me dictaient bien souvent la prudence.
      Amicalement. Peter.

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  4. La réponse en un seul mot : oui..lol

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  5. Bonjour Peter, et tout le monde,
    C'est peut être parce qu'il est plus facile de retrousser une jupe, que de descendre un pantalon. mais bon... C'est juste une hypothétique hypothèse...
    Euh, ça ne m'a pris que trois minutes. Il m'en reste encore cent dix sept pour creuser le sujet et trouver une réponse plus pertinente, avec thèse, antithèse, prothèse, conclusion.. je cherche.
    Cordialement
    Ramina

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