mercredi 7 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 18

 Le temps au coin s’éternisait. S’il en jugeait par les bruits qu’il entendait, Annette travaillait sur la table de la salle à manger. Elle avait ainsi, du moins Philippe le croyait-il, une vue en permanence sur ses fesses. Pas question de bouger. Il savait comment cela aurait fini.

Annette s’était installée sur la table de la salle à manger, la pièce où elle avait mis Philippe au coin. Elle l’avait ainsi dans son champ de vision, même quand elle écrivait. Durant un bon quart d’heure, Philippe ne bougea par d’un poil. Annette était satisfaite de son obéissance. Il mettait beaucoup de bonne volonté pour montrer sa soumission aux ordres de sa baby-sitter.

Le premier quart d’heure passé, Annette constata qu’il était de plus en plus difficile pour Philippe de rester en position. Elle voyait les muscles de ses jambes se tendre pour rétablir son équilibre quand celui-ci paraissait menacé. Il ne bougeait pourtant quasiment pas, mais il avait de plus en plus de mal à garder son immobilité.

« Je vais l’y laisser encore un peu puis je le libèrerai. Il faut qu’il ait un mauvais souvenir de ce moment. »

 

Philippe n’y croyait plus quand il reçut l’ordre de venir se présenter devant sa baby-sitter. Il s’y rendit en montrant sa promptitude. Il se planta devant Mademoiselle Annette, les bras toujours croisés dans le dos. Ses attributs sexuels étaient bien visibles, à quelques dizaines de centimètres des yeux de sa baby-sitter, mais il avait compris que s’il en éprouvait une gêne, il était le seul.

« Es-tu enfin décidé à obéir ?

– Oui, Mademoiselle Annette !

– Ne te fais pas d’illusion, au moindre prétexte, ce sera une bonne fessée ! As-tu bien entendu ?

– Oh oui, Mademoiselle Annette ! »

Mademoiselle Annette jubilait. Elle n’avait plus de doute. Le ton de Philippe avait bien changé et il ne montrait plus aucun signe de rébellion. Cela demandait encore à être confirmé en particulier quand elle mettrait Philippe face à une fessée imminente.

« Bon, je vais te donner du travail à faire. »

Elle installa au bout de la table un petit tas de feuilles blanches et un stylo.

« Tu vas me faire une rédaction dans laquelle tu vas expliquer en quoi ton attitude d’hier soir était inadmissible. Tu as une heure. Je corrigerai ton devoir à ce moment-là. »

Philippe se dirigea immédiatement vers la chaise qui avait été prévue à son intention. Il s’y assit les fesses nues. Se tenir assis n’était pas agréable, mais il ne pouvait non plus dire que cela était insupportable. Apparemment, Mademoiselle Annette n’avait pas prévu de lui rendre sa culotte et son pantalon. Il faudrait se contenter de cette tenue. Incommodant, mais il pouvait s’y faire.

« Fais bien attention ! Je veux un devoir bien écrit et sans faute d’orthographe ! »

Il commença à rédiger.

Tout de suite, tenir le stylo lui parut malaisé. Il n’avait plus l’habitude. Il ne savait plus qu’écrire sur le clavier d’un ordinateur. Il dut contraindre son poignet à former des lettres manuscrites. C’était fastidieux ! Il butta sur un mot dès la troisième ligne : un t ou deux t ? Habituellement, son ordinateur corrigeait cela tout seul. Là, il fallait qu’il se débrouille.

« A la fin de ce mot il faut un s, non ? Ou un x ? »

Il fut très rapidement perdu et il résolut ses problèmes d’orthographe au hasard, n’ayant aucun repère pour trouver les bonnes solutions. Il s’arrêtait tous les deux ou trois mots, incertain, là sur un accord, ici sur un consonne qu’il fallait doubler ou pas, ou encore sur la conjugaison d’un verbe.

Le travail n’avançait pas vite et il fut surpris quand Mademoiselle Annette annonça la fin du temps qui lui était imparti.

« C’est fini, Philippe, apporte-moi ton travail !

– Mais, Mademoiselle, je n’ai pas fini !

– Il n’y a pas de mais qui tienne ! Fini ou pas, tu poses ton stylo et tu m’apporte tout de suite ce que tu as écrit. »

Argumenter plus avant, c’était désobéir à un ordre strict qui venait de lui être donné. Les conséquences en auraient été limpides. Il fut cependant accueilli avec une claque sur le haut de la cuisse.

« Quand je te dis de faire quelque chose, il n’y a pas de « mais ». La prochaine fois, ce sera la fessée ! »

Pour être certaine que le message fût bien compris, Philippe eut le droit à une autre claque.

« C’est bien entendu ?

– Aïe ! Oui Mademoiselle Annette ! »

Elle était restée assise à sa place et elle se plongea dans la copie que venait de lui donner son pupille. Philippe, debout à sa droite, les fesses toujours nues, attendait le verdict. Il ne tarda pas. Mademoiselle Annette fronça presque tout de suite les sourcils.

« Qu’est-ce que c’est que ce torchon illisible ?Tu crois, peut-être, que je vais accepter un devoir aussi mal écrit ? Si c’était un de mes élève qui avait osé me rendre un travail aussi bâclé, il aurait eu un zéro ! Tu n’as pas honte ? »

Philippe ne savait plus quelle contenance prendre. Mademoiselle Annette le grondait. Il ne savait plus si elle attendait des explications, des excuses ou s’il devait attendre la fin de la diatribe. La réponse vint toute seule.

« Eh bien, je crois qu’une fessée s’impose, non ? »

C’était une question de pure forme qui n’appelait pas de réponse. Mademoiselle Annette lui saisit le coude et elle l’obligea à se courber au-dessus de ses genoux jusqu’au moment où il perdit l’équilibre et qu’il dut s’allonger en travers des cuisses de sa baby-sitter. Mademoiselle Annette passa son bras entre ses deux jambe et ajusta sa position. La main de Mademoiselle Annette tomba aussitôt sur ses fesses. Ce n’était que la première claque d’une longue série qui fut appliquée également sur les deux hémisphères fessiers. Cela brûla dès le début.

Le buste de Philippe dépassait largement des cuisses de sa baby-sitter, bien qu’elle les eût largement écartées. Il dut se tenir aux pieds de la chaise pour maintenir son équilibre. De l’autre côté, ses pieds ne reposèrent pas longtemps sur le sol. La cuisson que Mademoiselle Annette avait fait naître sur ses fesses l’obligeait à des mouvements désordonnés des jambes.

Ce fut quand il commença à sangloter, ce qui arriva presque tout de suite, que Mademoiselle Annette sut qu’elle avait définitivement instauré son autorité sur le grand jeune homme qu’elle fessait. Bien que Philippe montrât tous les signes qu’une douleur intense s’installait sur ses fesses, il ne faisait pas un geste pour mettre fin à la correction, alors qu’il en avait physiquement les moyens.

Mademoiselle Annette n’avait pas eu besoin d’argumenter pour contraindre Philippe à recevoir sa correction. Il la recevait comme un dû, indispensable pour expier la piètre qualité de son travail. Non seulement il était légitime qu’on lui donnât la fessée, mais de plus la décision de sévir prise par Mademoiselle Annette ne se discutait plus. Mademoiselle Annette était maintenant certaine que son autorité était définitivement établie. Elle se reconcentra sur ce qu’elle faisait.

« Certes, ma légitimité à le punir, n’est plus contestée, mais il faut qu’il reçoive les fessées dont il a besoin, se dit-elle. Ce serait bien qu’il sente ses fesses brûlantes durant tout le temps où il va refaire son devoir. Je dois donc mettre un peu plus d’ardeur ! »

C’est ce qu’elle fit.

 

Philippe était de retour sur sa chaise. Le contact avec le paillage qui en constituait l’assise était très irritant. Ses fesses étaient en feu. Il savait, par expérience, que cela ne durerait pas très longtemps, dix minutes, quinze tout au plus, mais durant ce temps-là, il était plus qu’inconfortable de s’asseoir. Finalement, Philippe préférait le passer au coin, mais ce n’était pas lui qui décidait de ce genre de choses.

Mademoiselle Annette avait placé une feuille vierge devant lui.

« Tu me réécris tout cela, de façon lisible ! »

Il s’y était mis sans tarder, essuyant les larmes qui roulaient sur ces joues afin qu’elles ne mouillent pas le papier qui se trouvait en dessous. Former correctement les lettres lui demandait un effort qu’il ne pouvait pas relâcher un seul instant. Il devait contraindre son poignet et ses doigts pour effectuer ce travail délicat. Il n’en avait pas l’habitude, cela n’avançait pas, mais il devait reconnaître que le résultat était bien plus satisfaisant que pour la première version qu’il avait donnée à Mademoiselle Annette.

Il en vint à bout et ce n’était pas sans fierté du travail accompli, qu’il posa son stylo et annonça :

« Ça y est, Mademoiselle Annette, j’ai fini ! »

Ses fesses ne le lançaient plus. Tout juste restait-il une certaine raideur quand il changeait ses appuis sur la chaise. C’était tout de même le signe que les effets de ses précédentes punitions n’avaient pas totalement disparus.

« Apporte-moi cela ! »

Mademoiselle Annette n’eut pas besoin de regarder attentivement ce que lui donnait Philippe, pour savoir que le travail avait bien progressé. La feuille était remplie d’une écriture régulière avec des lettres bien mieux formées qu’avant et des mots régulièrement espacées. L’impression général était agréable et il était possible de lire, sans difficulté ce qui était écrit.

« Je vois que j’ai eu raison de te fesser. Dès que tu fais quelques efforts, on en voit le résultat. »

Philippe fut surpris d’être fier du compliment que Mademoiselle Annette venait de lui faire.

« Bon, je vais lire tout cela et voir ce que tu as réellement écrit. Remets ton pantalon et ta culotte, Annette désignait la chaise sur laquelle elle avait posé ces vêtements. Assieds-toi à ta place et tu y restes sage ! »

 

Dès qu’il eut regagné sa place, des froncements de sourcils de Mademoiselle Annette l’inquiétèrent. Elle prit son stylo et elle biffa la feuille qu’elle avait entre les mains. Aubout de trois traits rageurs déposés sur la feuille, elle leva les yeux vers Philippe.

« J’espère pour toi que ça ne va pas continuer comme cela ! »

Elle se replongea dans sa correction. Le stylo continua son œuvre au même rythme que précédemment. Philippe se tordit le cou pour voir ce qu’elle écrivait sur sa copie. La feuille était parsemée d’une bonne quinzaine de traits rouges dont il n’identifiait pas l’usage, mais à voir la mine sombre que faisait Mademoiselle Annette, cela ne devait pas être bon signe.

Quand Mademoiselle Annette reposa son stylo, c’était avec un geste de découragement.

« Mais ce n’est pas possible, dit-elle en secouant la tête. »

Elle soupira longuement, elle prit un petit temps de réflexion, puis elle se décida.

« Philippe, viens-ici ! »

Elle désignait le sol à sa droite. Philippe s’approcha suffisamment vite pour que cela ne pût pas lui être reproché, mais suffisamment lentement pour gagner une poignée de secondes. C’était un moyen terme pas très simple à trouver, mais l’air qu’avait pris Mademoiselle Annette ne lui disait rien qui vaille.

« Es-tu fier de toi ? »

Mademoiselle Annette désignait la copie sur la table. Philippe regarda ce que sa baby-sitter montrait du doigt. Il y avait bien plus d’une quinzaine de traits rouges qui soulignaient des mots ou des bouts de mots.

« Vingt-quatre ! Vingt-quatre fautes d’orthographe en deux pages ! Pas ou quasiment pas d’accords et quand il y en a, ils sont fantaisistes ; des conjugaisons qui semblent faites en hasard ; des lettres doubles qui manquent là où il en faut et en trop là où il n’en faut pas ! Crois-tu que je vais accepter cela ? »

Mademoiselle Annette semblait attendre une réponse. Philippe savait ce qu’il en coûtait de négliger ses exigences.

« Non Mademoiselle.

– Tu as raison. Je ne vais pas laisser les choses en l’état, mais comme je pense qu’il s’agit de négligences, d’inattentions de ta part, de manque de relecture, je crois qu’une sérieuse punition s’impose. »

Mademoiselle Annette fit sauter le bouton qui fermait la taille du pantalon de Philippe. Elle fit descendre la fermeture éclair de la braguette. Le pantalon s’affaissa légèrement sur le heut des fesses. Mademoiselle Annette l’accompagna jusqu’à ce qu’il soit arrivé à la hauteur des mollets.

« C’est la dernière fois que tu me rends un travail avec une telle floppée de fautes d’orthographe, dit-elle en baissant la culotte. ! »

Elle lui donna une forte claque sur le haut de la cuisse/

« Vingt-quatre fautes, je crois que ça mérite un peu plus que ma main ! »

Mademoiselle Annette se leva et elle sortit de la pièce. Quand elle revint, elle avait à la main une règle plate en bois qu’elle posa sur la table devant elle. C’était la copie conforme de celle que Maman Marianne avait déjà utilisée. Elle attrapa le bras de Philippe.

Mademoiselle Annette guida Philippe vers ses genoux. C’était fait fermement, mais sans nécessité de forcer. Philippe suivait les indications de sa baby-sitter. Il était conscient qu’il n’avait pas volé la fessée qui se préparait. Et puis, si Mademoiselle Annette en avait décidé ainsi, c’était certainement qu’il en avait besoin. Une boule s’était formée au creux de son ventre, mais il n’y avait rien à faire d’autre qu’accepter la punition dont sa baby-sitter avait décrétée.

Elle l’installa à plat ventre en travers de ses genoux. La règle entra en action. Elle claquait sur les fesses, d’un côté puis de l’autre. Elle détachait chacun des coups qu’elle donnait en s’efforçant de donner le plus de vitesse possible au bout de la règle, quand elle frappait les fesses.

Les réactions de Philippe montraient l’efficacité de la correction. Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’il en montra tous les signes : cris et pleurs, gesticulation des jambes, tortillement sur les genoux de Mademoiselle Annette… La fessée faisait son effet, Philippe comprenait que son dilettantisme en matière d’orthographe était derrière lui. C’était encore un nouveau domaine où il allait devoir faire des progrès très rapidement, sous peine de fessées répétées.

Son épiderme changeait de couleur. La règle y traçait un long rectangle sombre qui barrait ses fesses, puis la couleur se diffusait lentement sur les tissus environnants pour revenir à un rouge qui fonçait toujours plus, plus la fessée durait.

 

Mademoiselle Annette comprenait la volonté de Madame Marianne d’éradiquer, chez ses deux grands enfants, les petites et les grandes mauvaises habitudes que sa fille et son gendre avaient prises. Elle voyait bien quel pouvait être son rôle dans cette rééducation.

En tant que jeune femme, voisine la plus proche, elle pouvait rendre service à Madame Marianne en gardant les deux jeunes gens que la pandémie avait ramenés sous la férule maternelle tout en répondant aux normes du confinement. Elle était maintenant certaine qu’ils répondraient positivement à son autorité. Ce ne seraient pas les deux ou trois fessées qu’il faudrait leur donner qui y changeraient quelque chose.

Mais elle pressentait également que ses compétence d’enseignante pourraient être mises à profit. Elle devait le vérifier pour Aurélie, mais il était clair que Philippe avait besoin de faire des efforts en français.

« Il faudra que je regarde également si c’est pareil dans les autres matières ! »

Elle se voyait bien profiter de leur relative oisiveté et de leur temps libre pour leur faire l’école. De plus, cela lui permettrait de ne pas perdre la main en continuant à enseigner, ce qui n’était pas négligeable.

Une partie de son attention veillait à ce que la fessée se poursuivît normalement et l’autre échafaudait un plan auquel, plus elle y pensait, plus il lui semblait indispensable. Elle devait faire mûrir encore un peu son projet, mais les bases étaient là.

« Holà ! Il faut que je me concentre sur la fessée ! Philippe en a besoin ! Je penserai à la suite plus tard ! »

Il raffermit sa prise sur la règle, examina les fesses qu’elle tenait sur ses genoux.

« Bien, le rouge progresse, mais là, c’est un peu plus pâle. Je dois y porter mes efforts. »

Elle fit tomber la règle sur le haut des fesses et y resta quelques instants. La teinte de l’épiderme se renforça. C’était ce qu’il fallait.

« Encore un peu, se dit-elle, ce n’est pas encore suffisant ! »



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 17


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

5 commentaires:

  1. Chers lecteurs,
    Toutes mes excuses pour la publication de ce matin. Il s'agissait du même épisode que celui qui avait été publié la semaine dernière. Cela n'a pas échappé au regard vigilant de plusieurs d'entre vous. Une erreur de numérotation des chapitres la semaine dernière en est la cause... mais j'en suis le principal responsable.
    Avec le bon chapitre ci-dessus, vous pouvez reprendre le fil du récit qui se poursuivra la semaine prochaine.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  2. je pense qu'il y a des fessées qui se perdent...je dis ça , je dis rien

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  3. Bonjour JLG,

    Vous êtes tout excusé, "Errare humanum est" comme dirait l'autre.
    Amicalement. Peter.

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  4. Bonjours JLG

    Il faut reconnaître que certains personnages des récits du blog se prennent de cuisantes fessées pour moins que ça !
    Mais bon... ce n'était pas bien grave. On a compris... Et les deux belles déculottées administrées par la charmante demoiselle Annette sur les fesses de Philippe, compensent largement. Sur toute la largeur du derrière même!
    Comme quoi les fautes d'Orthographe restent plus conséquentes que les erreurs de numérotation.
    Cordialement
    Ramina

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  5. Bonjour à tous,
    Je dois reconnaître qu'une fessée sanctionnant cet étourderie ne serait pas imméritée.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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