Chapitre 4 / Bis
Sur le chemin du retour vers la
maison, Isabelle réfléchissait à ce qu’elle venait de voir et d’apprendre. La
fessée avait manifestement fait son effet. Paul avait quitté son air un peu
supérieur et semblait dorénavant plus attentif. Il ne s’était pas plaint et
avait accepté la punition, qui lui avait semblée très sévère, sans trop se
plaindre. On sentait pourtant bien à sa démarche hésitante qu’il avait mal aux
fesses et que la douleur était persistante. Au fond, la fessée pourrait bien
s’installer comme moyen de régler leurs disputes au sein du couple. Isabelle se
faisait assez bien à cette idée, sans être tout à fait certaine de pouvoir
déculotter et fesser son mari elle-même. Malgré sa première visite à l’Institut
F, elle ne se sentait pas encore très sure d’elle et capable de passer à l’acte.
Elle réfléchissait à tout cela
quand la sonnerie du téléphone de la maison l’amena à quitter ses pensées.
C’était la secrétaire du dentiste qui s’étonnait de ne pas voir Paul alors
qu’il avait rendez-vous depuis maintenant plus d’un quart d’heure. Un nouveau
retard sans doute, la secrétaire en avait hélas l’habitude. La méthode
professée à l’Institut F devait manifestement s’appliquer. Isabelle demanda à
Paul de le rejoindre dans le salon et après lui avoir exposé la situation elle
ajouta :
Je vais te fesser immédiatement puis tu iras vite chez le dentiste. A
ton retour tu seras à nouveau puni parce que ce n’est pas la première fois que
tu sème le bazar dans l’emploi du temps du dentiste. Déculotte-toi immédiatement.
Paul esquissa un sourire narquois
et, sans répondre, et évidemment sans obtempérer, quitta la pièce pour aller
chez le dentiste. Isabelle était furieuse mais incapable de réagir. Elle resta
sans voix, seule et un peu désespérée. Furieuse contre Paul qui s’était moqué
d’elle, mais furieuse contre elle-même parce qu’elle n’avait pas su s’imposer.
Mise en confiance par le rendez-vous du début d’après-midi, elle téléphona à
l’Institut F et il fut convenu d’un nouveau rendez-vous pour le jour même.
De retour de chez le dentiste,
Paul n’avait sans doute pas mesuré le désarroi causé à sa femme. Isabelle lui
indiqua que cela ne pouvait plus durer ainsi et que s’il refusait un nouveau
rendez-vous à l’Institut F et un changement complet de son attitude elle le
mettrait dehors de du domicile conjugal. L’effet sur Paul fut immédiat :
retour à l’Institut F et immédiatement.
Ils furent à nouveau reçus par la jolie Caroline que Paul trouvait d’ailleurs tout à fait à son goût malgré les motifs qui le conduisait dans son établissement. Elle prit immédiatement les choses en main.
Ils furent à nouveau reçus par la jolie Caroline que Paul trouvait d’ailleurs tout à fait à son goût malgré les motifs qui le conduisait dans son établissement. Elle prit immédiatement les choses en main.
Paul, vous n’avez manifestement pas bien compris la leçon administrée
tout à l’heure et vous n’êtes pas encore décidé à obéir aux injonctions
d’Isabelle. Vous allez en assumer les conséquences. Vous allez immédiatement
laisser Isabelle vous déculotter et vous fesser. A la moindre résistance,
j’interviendrai, et croyez-moi, sans la moindre complaisance. En prononçant
cette dernière phrase elle tripotait machinalement la grande règle en bois
posée sur le bureau. Paul compris qu’il ne fallait pas jouer avec le feu.
Assise sur la chaise installée
face au bureau, Isabelle s’attaqua, un peu maladroitement à la bouche de la
ceinture de Paul puis baissa le pantalon puis, sur ordre de Caroline le caleçon
(cul nu tout de suite avait dit
Caroline d’une voix qui ne souffrait pas de contestation). Paul hésitait à se
mettre en position sur ses genoux mais le bruit sec de la règle plate sur le
bureau le rappela à l’ordre.
La fessée administrée par
Isabelle était mesurée, indulgente, trop indulgente selon l’avis de Caroline
qui après avoir encouragé Isabelle à accélérer le rythme, pris Paul sur ses
genoux : je vais vous montrer ce
qu’est une vraie fessée dissuasive. Pas une succession de caresses. Et en
effet, Paul en mesura rapidement la différence. Le rythme, le bruit, la chaleur
rie n’était pareil. Et la couleur de ses fesses qu’il ne pouvait pas voir
témoignait pourtant d’une fessée sans concession. Il se mordait les lèvres pour
ne pas geindre. La fierté du mâle dont Caroline savait qu’elle viendrait
bientôt à bout.
Lorsque la correction administrée
par Caroline ris fin, Paul cru qu’il en avait terminé. Il n’était pas encore
familier avec les méthodes enseignées à l’Institut F. Caroline exigea que Paul
repris sa place sur les genoux de sa femme afin qu’elle montre qu’elle avait
bien compris. Et c’était manifestement le cas. Isabelle avait le sens de
l’observation et se montra d’une dextérité très améliorée. Paul encaissait avec
plus de difficulté, gigotant, se plaignant de plus en plus bruyamment. Il faut
dire que Caroline avait déjà préparé le terrain fessier !
Bien. Isabelle vous avez fait des progrès. Nous avons puni le refus
d’obéissance de Paul. Nous devons maintenant punir son retard chez le dentiste.
Et il s’agit d’une récidive. Vous avez eu 30 minutes de retard chez le
dentiste, vous aurez 30 coups de martinet. Et comme je vois que vous vous
apprêtez à protester j’en ajoute 10 immédiatement ! Penchez-vous en avant,
le torse sur le bureau. Pour l’exemple je donnerai les dix premiers, Isabelle
se chargera du reste. Et si je ne suis pas satisfaite, je reprendrai à zéro.
Jamais Paul n’aurait imaginé
ressentir une telle douleur. Les lanières fouettaient son derrière de manière
cinglante, laissant de grandes trainées rouges, irrégulières mais sur toute la
surface des fesses et le haut des cuisses. Au premier coup infligé sévèrement
par Caroline il eut l’impression de recevoir une décharge électrique. Il ne put
retenir un grand cri. Il serrait les bords du bureau pour s’interdire de
bouger, ayant perçu les conséquences d’un tel geste. Après 10 coups, très douloureux,
c’est Isabelle qui prit le manche du gros martinet. Les premiers coups
d’Isabelle étaient sensiblement plus soft, mais petit à petit le rythme et la
puissance de la correction témoignèrent du fait qu’Isabelle apprenait vite.
Paul suppliait mais encouragé du regard par Caroline, Isabelle restait – cette
fois – inflexible.
40 coups plus tard, Paul était
très secoué, en larmes, ne sachant plus quelle attitude adopter. Il était
vaincu, tellement vaincu que c’est presque spontanément qu’il avait rejoint le
coin sans attendre qu’on lui en donne l’ordre explicite. Il savait qu’il était
difficile de combattre les mauvaises habitudes mais il était bien décidé à
faire des efforts de ponctualité pour ne plus subir de telles punitions. Comme
Caroline l’avait pensé il était vaincu, momentanément peut-être mais c’était
une première victoire sur Paul, et aussi sur Isabelle. Poussant son avantage,
elle ajouta : la prochaine fois, je
proposerai à la secrétaire du dentiste de venir vous fesser ici. Après tout
c’est elle la principale victime de votre inattention.
Mais Caroline se montra plus
machiavélique encore. Sans doute fallait-il l’être pour avoir eu l’idée de
créer un tel Institut. Elle avait compris, à travers les regards échangés par
le couple, combien Paul aimait son épouse. Elle décida alors de toucher Paul
ailleurs que sur ses propres fesses.
Isabelle, en ne réagissant pas lorsque Paul a refusé de vous obéir, en
ne le punissant pas sur le champ, vous avez commis une faute. Pour cela vous
méritez un avertissement et en guise d’avertissement, je vais vous fesser. Pas
trop sévèrement, mais je dois vous punir pour vous dissuader de toute
indulgence à l’avenir. Vous allez donc vous déculotter et venir sur mes
genoux….
Isabelle, malgré le regard
bienveillant et le sourire en coin de Caroline était blême. Paul était lui dans
un état second. Il sentait bien qu’il était responsable de cette situation Il
proposa avec insistance, et malgré la douleur qui était déjà la sienne, de
recevoir la punition à sa place. Caroline venait ainsi de marquer un premier
point. Elle prit néanmoins délicatement le bras d’Isabelle, acheva de remonter
sa jupe et de baisser la jolie culotte en dentelle qui protégeait à peine les
fesses rondes et fermes qui s’offraient à elle. Non… pas cul nu…s’il vous plaît… mais de manière surprenante
c’est de Paul que venait cette plainte. C’est Paul qui souffrait plus encore
qu’Isabelle et qui regardait les fesses de sa femme comme si on allait abimer
ce qu’il avait, lui, de plus précieux.
La fessée administrée par
Caroline fut très indulgente. Mais, peu habituées et d’une jolie peau blanche,
les fesses d’Isabelle prirent quand même une jolie couleur rose puis un peu
rouge. Paul était au sommet de l’inquiétude. C’est lui qui pleurait tant il se
sentait responsable. Il s’en voulait maintenant terriblement. Désormais, il
serait certainement beaucoup plus attentif à ne pas être en retard, non plus
seulement pour épargner son propre fessier mais aussi, mais surtout pour éviter
que sa femme se retrouve dans une telle situation humiliante et douloureuse.
Isabelle avait parfaitement
compris l’intelligence de la démarche et se laissait faire. Elle trouvait même
la situation agréable, goutait le contact avec les cuisses de sa fesseuse et se
sentait somme toute assez excitée.
En une journée et après seulement
deux séances elle avait fait de multiples découvertes sur les bienfaits de la
fessée.
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