La stagiaire
Nadia était étudiante en seconde
année d’école de commerce. L’année ou le stage en entreprise est obligatoire,
mais si difficile à trouver. Volontaire et entreprenante, la jeune fille n’a
donc pas hésité à adresser force courriers et CV à des centaines d’entreprises
parisiennes, privilégiant les toutes petites entreprises. Elle savait,
d’expérience, que dans une PME on participait à toutes les tâches alors que le
risque était grand d’être préposée à la machine à café dans les couloirs d’un
mastodonte du CAC 40.
C’est ainsi qu’elle fut convoquée
un beau matin à l’Institut F, dans le XVIIème. Arrondissement de Paris. Elle
n’avait aucune idée de l’activité de cet établissement mais elle était si
contente d’avoir enfin une piste positive que c’est avec entrain qu’elle décida
d’honorer ce rendez-vous avec Caroline et Marie.
Les deux directrices de
l’Institut cherchaient justement quelqu’un pour les aider. Le créneau sur
lequel elles s’étaient lancées était manifestement porteur. Beaucoup de mamans
en proie à des difficultés avec leurs grands ados, beaucoup d’épouses
souhaitant fesser leur mari sans oser sauter le pas. Les rendez-vous
s’enchaiînaient et il était temps de passer à la vitesse supérieure. Le CV de
Nadia tombait donc à pic.
Malgré son enthousiasme et son
optimisme permanent, Nadia fut singulièrement décontenancée par la lecture de
la plaquette de présentation de l’Institut F qu’on lui avait remise à l’entrée
en attendant de la recevoir. F comme fessée… Voilà qui la troublait. Elle
craignait d’être tombée dans un bouge malsain, dans un établissement aux
contours licencieux, sulfureux et pour tout dire aux activités clairement
identifiées à caractère sexuelles. Les questions se bousculaient dans sa tête
et elle hésita à prendre ses jambes – fort jolies au demeurant – à son cou.
L’arrivée, dans la salle d’attente de Marie et de Caroline stoppa net cette
éventualité. L’aspect à la fois strict et élégant des deux jeunes directrices,
l’ambiance sobre des lieux commença à la rassurer. Les explications très précises
des deux directrices achevèrent de la convaincre : Nous administrons des punitions à la demande de parents ou de conjoints
qui nous délègue, l’espace d’un instant, leur fonction d’autorité pour régler
un problème comportemental ponctuel. La charte de notre maison est très précise
et les limites clairement définies. D’ailleurs, dans ce quartier, une activité
malsaine serait immédiatement contestée. Or nous croulons sous les rendez-vous.
Autant dire, avec un peu d’humour, que nous fessons à tour de bras.
Nadia restait perplexe sur le
contour de son job. Enfant, elle se souvenait très vaguement d’avoir reçu
quelques fessées, mais sans plus. Et depuis la fessée se limitaient à quelques
claques reçues ou données dans un cadre plutôt ludiques et excitantes. Jamais
pour punir. Elle ne voyait pas bien ce qu’elle pourrait apporter.
Rassurez-vous. Caroline et moi allons consacrer l’essentiel de notre
temps à notre clientèle, à fesser et à fouetter ceux qu’on nous amène pour les
remettre dans le droit chemin. Mais avoir une assistante va nous simplifier la
tâche. Il y a l’accueil pendant nos rendez-vous, l’explication des prestations,
la facturation. Evidemment, il importe que vous connaissiez bien nos
prestations puisque vous serez à l’accueil. Vous pourrez donc, selon les cas,
assister à certaines de nos séances pour vous faire une idée. Nadia avait
vu juste : dans une PME on était en général « multi taches ».
Elle accepta le job, qui commençait le jour même.
Nadia était naturellement
curieuse. Elle venant de passer plusieurs heures à l’accueil, guidant vers la
salle d’attente des mères de familles accompagnées de grands enfants ou de
maris à la mine contrite. Elle venait de raccompagner un jeune homme aux yeux
pleins de larmes et une jeune fille dont la démarche hésitante laissait
imaginer un postérieur douloureux. Elle aurait bien aimé en savoir plus sur ce
qui se passait derrière les lourdes portes capitonnées. L’occasion se présenta
assez vite, dès ce premier jour.
En fin d’après-midi un jeune
homme prénommé Jérôme se présenta avec sa mère. Manifestement des habitués de
l’Institut. Il semblait très tendu et elle avait l’air furieux. Elle voulait un
rendez-vous immédiat pour régler un problème urgent. Jérôme venait d’avoir été
surpris à la sortie d’un commerce avec un objet dans sa poche… Un vol ! Nadia
put rendre compte à Marie et à Caroline qui terminaient toutes les deux un
rendez-vous.
Marie pris la direction des
opérations. Jérôme, je crois que, dans un
tel contexte, et puisque les corrections précédentes n’ont pas suffisamment
porté leurs fruits, nous allons devoir passer à un stade supérieur. Vous allez
être très sévèrement puni, par Caroline, par votre maman et pour finir par
moi. Vous serez puni devant tout le
monde, y compris devant Nadia, notre nouvelle collaboratrice.
Jérôme n’en menait pas large. Et
l’idée d’être ainsi puni et humilié devant une jolie jeune fille d’à peu près
son âge ajoutait à l’embarras. Mais il ne voyait pas comment s’en sortir
autrement qu’en faisant profil bas : oui
Madame
Prenant place au centre de la
pièce prévue pour les punitions, Marie pris la direction des opérations.
S’adressant à la maman de Jérôme : Madame,
je pense que c’est à vous, d’abord, d’administrer une bonne fessée à votre
fils. Installez-vous sur cette chaise
et surtout n’ayez aucune compassion pour ce voleur. Elle avait utilisé à
dessein ce terme, approprié pour la circonstance, pour mettre d’emblée le
curseur le plus haut possible.
Manifestement la mère de Jérôme avait progressé
en quelques semaines. D’un simple signe de la main, elle intima à Jérôme de
baisser son pantalon, puis de prendre la position adaptée en travers de genoux.
Jérôme, impressionné par l’ambiance et par tous ces regards posés sur lui
n’envisageant même pas la moindre contestation. Jamais on ne l’avait vu aussi
docile. Trois ou quatre claques sur le caleçon, puis il se retrouva très vite
cul nu. La main de sa mère était manifestement devenue efficace, leste. La
force était décuplée par la rage d’avoir un fils qui se comportait aussi mal.
La punition fut longue et intense. Les fesses mais aussi la parie haute des
cuisses devinrent vite uniformément rouges.
Les coups tombaient à toute vitesse, ne laissant pas à Jérôme le temps
de chercher à les éviter. Caroline, intérieurement, se disait qu’elle pourrait
presque embaucher cette nouvelle fesseuse si adroite !
Lorsque l’orage fut passé, Jérôme
fut prié de se relever et de se placer au centre de la pièce. Il sentait le
regard incrédule de Nadia sur lui. Nadia en effet stupéfaite, presque gênée
devant ce grand garçon nu, le sexe pendant et les fesses cramoisies devant
elle. Marie repris la direction de la séance.
Placez-vous en appui sur le cheval d’arçon, le dos bien cambré. Nous
allons maintenant passer aux choses sérieuses. Nadia, voulez-vous donner à
Caroline le gros martinet avec le manche rouge, s’il vous plaît. Nadia
sursauta, surprise de cette mise à contribution, certes modeste mais qui
l’impliquait pour la première fois. Elle prit l’objet désigné avec crainte,
comme si elle craignait pour ses propres fesses. Les lanières étaient fines et
probablement cinglantes. Marie se saisit du martinet et dès le premier coup
Jérôme eu l’impression que la douleur, que la morsure se répandait à travers
tout son corps. Cette fois encore le rythme de la fessée était rapide et à
chaque fois que Jérôme tentait un pas de côté, les lanières lui cinglaient les
cuisses encore plus douloureusement. Sur ses fesses déjà rougies par la fessée
administrée par sa mère, l’effet était dévastateur. Il se mit à pleurer, à
supplier… En vain. Nadia instinctivement s’était reculée pour observer. Elle
était partagée entre la pitié pour ce pauvre garçon et l’approbation de la
punition au regard de la faute commise. Un vol. Et elle avait compris, autant
que Jérôme, que la correction n’était pas terminée.
En effet, Marie demanda alors à
Nadia de lui donner la canne en rotin. Elle avait l’air terrible ! Elle
l’était, au regard des longues traces qu’elle dessinait sur le postérieur
pourtant déjà très marqué de Jérôme. Ce
dernier avait à peine eu le temps de souffler et de passer ses mains sur son
derrière brulant : Vous allez
recevoir 20 coups de canne. Vous allez les compter et après chaque coup
prononcer la phrase suivante : je suis un sale petit voleur. Je promets de
ne plus recommencer. Et je vous déconseille de ne pas vous tromper. Au
milieu des pleurs, chacun cru distinguer un vague oui madame.
Recevoir 20 coups de canne est en
soit une punition sévère. Recevoir la canne après les deux sérieuses fessées
déjà administrées est une véritable correction. Mais Marie avait décidé de
marquer le coup, tant à cause de la récidive que pour tenir compte de la
gravité de la faute. Elle pensait qu’après une telle séance, Jérôme n’aurait
vraiment plus envie de prendre le risque de revenir. Aussi, elle administra les
20 coups avec sévérité malgré la couleur déjà impressionnante des fesses du
jeune homme. Chaque coup de canne laissait une trace qui serait manifestement
durable, et durablement douloureuse. A
chaque coup, Jérôme hurlait mais prenait soin de réciter fidèlement la phrase
imposée. Au vingtième coup, son corps tendu se relâcha d’un seul coup et il se
retrouva par terre, pleurant à chaude larme.
Nadia, voulez-vous faire relever ce garnement et le conduire au coin
s’il vous plaît. Puis vous allez prendre la règle en bois sur le bureau et vous
placer derrière lui. Au premier relâchement, au premier mouvement, vous lui
claquez sévèrement les fesses avec la règle. Nadia marqua un mouvement de
gêne et dit à mi-voix : Mais,
Madame, je ne peux pas… » Nadia, ne discutez pas, s’il vous plaît.
Nadia priait pour que Jérôme ne
bouge pas. Elle ne s’imaginait pas alourdir la peine et fesser un peu plus ce
derrière déjà très marqué et qu’elle devenait si douloureux. Par bonheur Jérôme
était vaincu et ne fit pas un geste pendant le quart d’heure de pénitence
imposé, à l’issue duquel, toujours cul nu, il eut à s’excuser auprès de sa mère
et à promettre de ne jamais recommencer. Après quoi, il eut le droit de quitter
les lieux.
Nadia venait de découvrir la
réalité de l’activité de son employeur. Au fond d’elle-même, elle en approuvait
le principe, même si elle savait qu’elle aurait du mal à y participer vraiment concrètement.
Mais au moment de fermer boutique, Caroline, d’une voix ferme et bienveillante
lui dit : Merci Nadia. Nous sommes
contentes de vous avoir comme assistante. Mais sachez que, devant une personne
qui doit être puni il ne faut jamais montrer la moindre faiblesse au sein de
notre équipe. Si vous deviez refuser ainsi d’administrer une fessée alors que
nous vous le demandons, sans doute serions-nous obligé de vous fesser à votre tour pour parfaire votre formation…
J'apprécie beaucoup ce raffinement, tant dans l'écriture du récit que dans l'atmosphère dégagée par l'Institut F.
RépondreSupprimerBravo!
Quelle est l'adresse exacte de l'institut F
RépondreSupprimerson tel
J'aimerais m'y présenter pour recevoir une sévère correction;
Je suis endurant et accepte les marques durables de paddle martinet et surtout la canne