samedi 18 novembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 15

Sœur Gabrielle n’en était pas à sa première fessée ; elle connaissait son affaire. Cela me fut confirmé quand je constatais que ses prévisions se réalisaient à la lettre. La douleur sur mes fesses s’était transformée en un tiraillement continuel. Ma main passée sur mes fesses confirma que si la température de ma peau avait retrouvé un niveau normal, il restait une raideur certaine. Comme à mon habitude, je m’assis pour sortir de mon lit. Ce n’était plus une souffrance vive comme hier soir, mais des élancements à l’endroit où mes fesses entraient en contact avec mon lit.

La douche, prise un peu froide me fit du bien, mais je dus redoubler de précaution avec ma serviette lorsqu’il fallut m’essuyer. Le premier pantalon que je passais était trop serré. J’avais l’impression que tissu rêche frottait sur la peau de mes fesses. Un deuxième, plus large, était plus facilement supportable.
Au petit déjeuner, mes fesses prirent contact pour la première fois, depuis la fessée, avec une chaise. Je réussis à retenir le cri, mais pas la grimace. D’un coup d’œil circulaire, je vérifiais que personne n’avait remarqué ma réaction. Sœur Gabrielle, deux tables plus loin, me surveillait et elle hocha la tête en un signe d’assentiment. A une table plus proche, Mathilde me regardait du coin de l’œil. Lorsque nos regards se croisèrent, chacun plongea dans son bol en rougissant.

Ma journée, assis sur une chaise en bois, fut difficile. Je ne pouvais pas rester dans la même position plus de quelques minutes. Chaque changement d’assise s’accompagnait d’élancements et j’avais du mal à dissimuler les rictus qu’ils provoquaient immanquablement. Je me fis un point d’honneur à ne rien changer à mes habitudes. Je faisais mes affaires dans mon coin pendant que la classe suivait son propre chemin.
Pauline et Antony continuaient leur long calvaire à chaque récréation. Je me fis la réflexion que mes fesses étaient loin d’être aussi marquées que les leurs. Ils finissaient chaque récréation sous le bras de leur professeure qui leur appliquait une pommade réparatrice.
Pendant la deuxième heure de cours, Sœur Thérèse m’interpella en plein cours.
« Vous semblez bien agité, Monsieur Fournier, vous vous comportez comme si la chaise sur laquelle vous êtes assis, avait quelque échardes irritantes. Vous perturbez le cours. »
Sœur Thérèse était-elle au courant de la punition que Sœur Gabrielle m’avait donnée hier soir ? Je tentais de me faire discret, mais je ne pouvais pas arrêter mes changements de position.

Ma confusion fut à son comble au cours de l’heure qui suivit. Sœur Thérèse continuait son cours d’histoire. A part moi qui gesticulais le plus discrètement possible dans le fond de la classe, tout le monde était concentré sur un devoir sur table. Sœur Thérèse, assise à son bureau, corrigeait des copies. Elle leva doucement la tête.
« Mademoiselle Marine, apportez-moi donc le papier que vous tentez de lire difficilement sous la table. J’espère que vous ne trichez pas. »
Sœur Thérèse n’avait pas monté le ton, mais la menace était claire.
« Oh non, ma Sœur, ce n’est pas ça.
– Laissez-moi en juger. Venez donc me donner cette missive. »
Marine se leva. On sentait bien à sa démarche que ses jambes la portaient à peine. Debout devant le bureau, elle remit à la religieuse un bout de feuille qui tenait au fond de sa main. Sœur Thérèse en prit connaissance.
« Effectivement, vous avez raison. Ce n’est pas avec le contenu de ce billet que vous allez faire des étincelles sur votre devoir. »
Sœur Thérèse se leva et lut tout haut son contenu.
« On dirait plutôt qu’Axel a pris une fessée. Il parait que c’est Sœur Gabrielle qui la lui a donnée. »
Elle me jeta un regard et poursuivit :
« Je dois dire que ce n’est pas trop mal observé, mais évidemment, je ne peux laisser passer cette légèreté. Où irions-nous si chacun pouvait à sa guise faire circuler sa prose durant les cours ? Qui plus est pendant un devoir sur table. Ne croyez-vous pas, Marine, que cela mérite une fessée ? »
Marine qui était déjà bien pâle devint livide lorsque le mot « fessée » fut prononcé par sa professeure. Elle savait maintenant qu’elle ne serait pas épargnée.
« Cependant, il ne serait pas juste que vous en soyez la seule bénéficiaire. Il serait bon que l’auteur d’un tel chef d’œuvre vienne bous rejoindre. »
Le silence se fit dans la classe. Chacun avait suspendu ses écrits pour suivre la scène qui se déroulait sous les yeux. Les élèves se regardaient, cherchant qui aurait ce malheureux honneur.
« Je crois, reprit Sœur Thérèse, que j’ai une bonne idée du nom du coupable. Vous remarquerez qu’avec cette appellation, selon nos règles de grammaire, il peut aussi bien s’agir d’un garçon que d’une fille. Je lui donne encore cinq secondes pour se dénoncer. Après, je me déplace pour aller le chercher. »
Chloé se leva et se rendit sur l’estrade.
« C’est donc vous la rédactrice de mot que vous avez si obligeamment fait passer à votre camarade ? 
– Oui, ma Sœur, répondit la jeune fille d’une voix étranglée. »
Nous venions d’assister un une phase fondamentale de la méthode disciplinaire à St Marie. La professeure avait amené la coupable à se dénoncer. Dans l’incertitude de ce que savait Sœur  Thérèse, Chloé avait préféré avouer sa responsabilité plutôt que de prendre le risque d’une fessée bien plus sévère. Une variante de « faute avouée est à moitié pardonnée » dans laquelle la « moitié pardonnée » est celle, hypothétique, qui aurait conduit la jeune fille à recevoir une double correction s’il s’était révélé que Sœur Thérèse connaissait effectivement la coupable.
Sœur Thérèse avait-elle réellement identifié qui était à l’origine de l’infraction ? Nul ne le saura jamais, mais il suffisait que, de temps en temps, l’auteur d’une infraction soit pris sur le fait et sévèrement puni pour rendre crédible toute injonction à se dénoncer. Chloé en était la victime.
L’étape suivante consistait à ce que la fautive soit consentante à sa propre correction. Une façon douce de demander, soi-même, à recevoir la fessée ou peu s’en faut.
«  Je vous félicite pour votre perspicacité, mais pas pour le moyen utilisé pour la faire connaitre. Vous conviendrez qu’il serait injuste que Marine soit fessée et pas vous.
– Oui ma Sœur.
– A la bonne heure ! Nous sommes donc tous du même avis. »
Le ton de Sœur Thérèse pouvait paraître enjoué, mais son visage démentait cette première impression.
« Relevez donc votre jupe Mesdemoiselles ! »
Les deux jeunes filles s’exécutèrent et Sœur Thérèse les déculotta aussitôt.
« Puis-je vous demander de patienter un peu au piquet ? Je vous en prie. »
Sœur Thérèse désignait le mur à côté du tableau. Il n’y eut pas besoin d’expliquer plus précisément à Marine et Chloé ce qu’on attendait d’elles. Le fruit de l’habitude.

« Il reste, reprit Sœur Thérèse, un mystère à éclaircir. Comment ce pli a-t-il pu franchir les deux rangs qui séparent nos deux demoiselles ? Il a dû lui falloir quelques mains complices. Je pense qu’il faudrait que ces âmes secourables nous rejoignent. »
Un garçon et une fille se levèrent, résignés à leur sort.
« Avons-nous tout le monde ? Plus personne ne se sent impliqué dans cette infraction caractérisée aux règles de St Marie ? »
Sœur Thérèse laissa un petit temps.
« Il va de soi que je me verrai contrainte d’aller chercher par l’oreille celui ou celle qui n’a pas le courage d’assumer ses actes. Il faudrait alors une double fessée pour punir cette double faute. Non … plus personne ? C’est votre dernier mot ? « 
Sœur Thérèse laissa vivre le silence pendant quelques instants.
« Bien, fit elle. »
Elle s’engagea dans l’allée entre les tables et marcha jusqu’à Ghislain. Elle le prit par l’oreille et le mit debout.
« Aïe, aïe, non ma sœur, ce n’est pas…
– Vous feriez mieux de vous taire avant d’ajouter le mensonge à vos autres écarts. J’ai parfaitement suivi le parcours de ce message depuis le début. Oserez-vous dire qu’il n’est pas passé entre vos mains ?
– Oui ma Sœur, euh, non ma Sœur … oh !
– Taisez-vous et suivez-moi, cela vaut mieux pour vous. »
Ghislain n’eut pas vraiment le choix. Il était assez grand, il dut donc suivre Sœur Thérèse, courbé en deux pour suivre son oreille que la religieuse tenait à hauteur de son épaule. Arrivé sur l’estrade, Sœur Thérèse défit elle-même son pantalon, puis elle le déculotta prestement.
« A genoux, dit-elle en lui montrant le sol à ses pieds. Vous êtes trop grand pour que je puisse vous prendre sous mon bras. »
La différence de taille était impressionnante. Ghislain avait presque deux têtes de plus que Sœur Thérèse. Elle aurait pu passer sous son épaule. Agenouillé, Ghislain était à la bonne hauteur pour être courbé sous le bras de Sœur Thérèse. Il reçut une vigoureuse fessée. Malgré sa taille, le jeune homme ne résista pas plus que tous les autres élèves. Il fondit rapidement en larmes ce qui n’arrêta pas sa punition. Les claques se succédaient à un rythme endiablé. Sœur Thérèse semblait infatigable.
Enfin, elle relâcha Ghislain une fois ses fesses d’un bel écarlate bien réparti. Elle le remit sur ses pieds en le tenant par l’oreille et le conduisit au coin. Là, il reçut encore une bonne fessée.
« Ne croyez pas, jeune homme, que j’en ai fini avec vous ! »
Elle reporta son attention sur les deux élèves, debout sur l’estrade. Ils avaient tous deux les yeux humides.
« Préparez-vous ! »
A tour de rôle, ils reçurent une fessée déculottée que les spectateurs jugèrent clémentes au regard de ce que Sœur Thérèse venait de montrer. Elle poursuivit la punition jusqu’à ce qu’ils furent tous les deux en sanglots.
« Encore envie de jouer les facteurs ?
Reniflant, entre deux sanglots ils réussirent à répondre.
« Non, ma Sœur.
– Reculottez-vous et aller finir votre devoir ! »
Tous deux, malgré la fessée reçue, se sentirent chanceux de la mansuétude de Sœur Thérèse : une petite fessée dont l’échauffement disparaîtrait en quelques minutes et pas de mise au piquet. Leur cas semblait bénin en comparaison avec celui des trois autres protagonistes.

« Venez ci, jeunes filles ! »
Les deux jeunes filles avaient la tête de condamnées se rendant à l’échafaud. Elles étaient au bord des larmes. Le temps passé le nez contre le mur leur avait laissé la possibilité d’anticiper ce qui allait leur arriver. En pensée, elles avaient déjà subi une bonne partie de leur punition qui était cependant encore à venir, une façon d’être corrigées deux fois à moindre énergie.
« Marine, je commence par vous. »
Sœur Thérèse ceintura la jeune fille, l’obligeant à se courber sous son bras. La position mettait les fesses de Marine en évidence, les plaçant à portée de main de Sœur Thérèse. Le sens de l’équité de Sœur Thérèse l’obligeait à punir l’élève qu’elle tenait sous son coude, plus sévèrement que les deux précédents. Nous nous doutions tous qu’elle voulait également garder des marges pour que la fessée des deux suivants soit encore plus dissuasive.
Marine reçut une longue et énergique fessée qu’elle accompagna des cris et supplications qui allaient avec. Je supputais sur le moment où, abandonnant toute fierté, elle fondrait en larmes. Cela ne tarda pas. Elle passait d’un pied sur l’autre, pliant ses jambes en un ballet réglé par le rythme des claques qu’elle recevait. Puis, vint le moment où la fessée ne faisait plus autant réagir la jeune fille qui pleurait maintenant continûment. Sœur Thérèse s’en tint là.
Quand Sœur Thérèse la relâcha, Marine resta comme hébétée, sans réaction.
« Retournez mettre votre nez contre le mur et faire étalage de votre splendide fessier coloré. »
Comme Marine n’obtempéra pas sur le champ, elle y fut encouragée par une formidable claque sur la cuisse.
« Ne vous inquiétez pas, je vous envoie de la compagnie sous peu. »
Elle se retourna vers Chloé. La jeune fille avait été aux premières loges pour assister à la punition de son amie. Sentant le regard de Sœur Thérèse se poser sur elle, elle fondit en larmes.
« Inutile de pleurer dès maintenant. Je vais vous donner très bientôt de très bonnes raisons de le faire. »
Sœur Thérèse installa une chaise au milieu de l’estrade. C’était le signe qu’une fessée magistrale était en préparation. Sœur Thérèse prit place et il suffit d’un geste pour que Chloé la rejoigne. Sœur Thérèse la repositionna plus commodément pour elle. Puis elle posa une main sur les fesses nues. D’un mouvement réflexe, Chloé crispa ses fesses.
« Ne soyez pas aussi impatiente, jeune fille. Vous allez avoir tout le temps nécessaire pour nous montrer votre danse fessière. »
Sœur Thérèse donnait de petites claques sur le postérieure de la jeune fille à plat ventre en travers de ses genoux.
« Ne croyez-vous pas, Chloé, que vous êtes directement responsable de tout ce qui vient de se passer ?
– Oui, ma Sœur.
– Il semble donc normal, puisque vous accepter d’en endosser la responsabilité, que vous soyez celle qui reçoive également la punition la plus magistrale. Qu’en dites-vous ?
– Oui, ma Sœur.
– Je m’en doutais. Je crois qu’il faut donc que je recoure à la règle, afin de ne pas vous décevoir.
– Oh, non, ma Sœur. Je vous demande pardon.
– Pourquoi non ? Si c’est ce dont vous avez besoin pour apprendre à ne pas recommencer à faire circuler vos avis manuscrits. Expliquez-moi !
– Pas la règle s’il vous plait ma Sœur.
– J’ai bien peur, ma petite, que ce ne soit pas à vous d’en décider, n’est-ce pas ?
– Oui ma Sœur. Pardon, ma Sœur, pardon.
– Hélas, Chloé, vous savez bien qu’ici, le pardon est accordé, mais après la punition. Rarement avant. »
Chloé se mit à gémir et à pleurer faiblement.
« Voulez-vous aller me chercher la règle, jeune fille ? »
Sœur Thérèse aida Chloé à se relever. La jeune fille prit la règle et après l’avoir remise à sa professeure, elle se coucha de nouveau sur ses genoux.
La fessée commença aussitôt. Je vis tout de suite que Sœur Thérèse avait décidé que Chloé n’oublierai pas de si vite cette correction. La règle tombait sur les fesses nues à un rythme soutenu. Il ne fallut que quelques instants pour que Chloé perde le contrôle de son corps. Elle se tortillait sur les genoux de Sœur Thérèse sans que cela ne gêne le déroulement de la fessée. Ses jambes gesticulaient dans tous les sens, laissant voir son anatomie intime. C’était alors la moindre de ses préoccupations. Sœur Thérèse la fessa jusqu’à ce qu’elle s’abandonne, épuisée. La règle ne provoquait plus qu’un tressaillement de sa peau. Ses pleurs s’écoulaient en continu. J’avais l’impression de voir ses fesses luire tellement elles étaient rouges.
Sœur Thérèse ne laissa que peu de temps à Chloé pour retrouver ses sens. Elle la remit debout et, d’une claque sur les fesses, la renvoya au coin.
Ce fut alors le tour de Ghislain. Sœur Thérèse le fit venir devant elle.
« Vous êtes bien grand pour que je vous prenne sur mes genoux. Sœur Gabrielle m’a montré une autre façon de faire. »
Elle ordonna à Ghislain de s’agenouiller entre ses pieds et le coucha sur sa cuisse gauche. Je reconnus la position que Sœur Gabrielle m’avait fait prendre.
« C’est une bonne position pour recevoir la fessée, n’est-ce pas Axel ? »
Je ne savais pas comment me sortir de cette situation. Il était préférable de répondre afin de ne pas attirer l’attention.
« Oui, ma Sœur. »
La règle fit le même travail sur les fesses de Ghislain que ce qu’elle avait fait sur celles de Chloé. Etre plus grand ne semblait pas rendre plus endurant vis-à-vis de la fessée. Comme Chloé l’avait fait, le grand garçon exprimait sa douleur en se tortillant sous le bras de Sœur Thérèse. Il reçut une fessée qui lui transforma les fesses en une douleur écarlate.

Les trois punis passèrent la fin de l’heure au piquet, mains sur la tête, la culotte baissée laissait voir leurs fesses portant les traces de la règle pour deux d’entre eux. Cette fessée aurait des suites, ils le savaient. Dès le soir, quand il faudrait présenter son carnet et offrir ses fesses à la justice parentale. Mais également le jour où, rendant les copies à la rédaction interrompue, Sœur Thérèse constatera une note insuffisante et en châtierait les auteurs.

Tout cela était prévisible. Chacun des trois le savait. Aucun ne songeait à s’en plaindre. Ainsi allait la vie à Sainte Marie, là où les adultes, en corrigeant les enfants même lorsqu’ils étaient devenus grands, prenaient grand soin d’eux.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 14
Le prochain épisode ... chapitre 16

8 commentaires:

  1. La situation d'Axel à Ste-Marie commence à se normaliser en classe après l'avoir été dans la partie privatise où il partage son logement avec les autres laïcs.
    Il est évident que les élèves savent beaucoup de choses et se doutent du sort qui est réservé au personnel non religieux de l'établissement, donc d'Axel et de certaines de leurs professeures telle Mathilde.
    On en apprend un peu plus chaque semaine de la vie de cette institution.
    Un feuilleton très agréable à suivre!

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    1. Jeancla,
      Normaliser. C'est le mot adéquat. Peut-on imaginer dans ce monde où les situations doivent être claires afin que chacun joue le rôle qui lui a été assigné, que subsiste une ambiguïté comme le positionnement d'Axel ?
      La normalisation est en route.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Aah! j'aurais été sœur Thérèse, j'aurais sorti le martinet pour les malheureuses Mathilde et Chloé. Le martinet striant et mordant...
    Merci pour ces histoires, ne vous arrêter pas.

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    1. Bonjour Gege Bonn,
      Il semble, qu'à St Marie, l'instrument privilégié pour administrer les punitions en classe, soit la règle plate en bois. Elle a l'avantage d'être naturellement présente dans une classe et n'a rien à envier, pour peu qu'elle soit correctement appliquée sur les fesses d'un ou d'une contrevenant(e), à la morsure du martinet. Essayez, vous verrez !
      Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le sens de la justice est très développé à St Marie. Il est tout à fait justifié que Chloé soit punie plus sévèrement que Mathilde, étant donné qu'elle est l'auteure principale de la faute qui a amené la fessée. Donc, main nue pour l'une et règle pour l'autre.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG,
      Effectivement j'avais remarqué que Chloé méritait plus, du fait qu'elle était l'initiatrice du délit. Il est normal qu'elle prenne de la règle en plus.
      Dans une classe, la règle à toute sa place, comme une ceinture autours d'un pantalon, toujours disponible au cas ou.
      N'ayant jamais essayé la règle, je prends note de votre remarque, et j'essayerai !

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    3. Bonsoir Gege Bonn,
      Si vous trouvez une personne de sexe féminin qui accepte de manier la règle pour vous administrer une réelle fessée punitive, vous devriez pouvoir comparer avec un martinet tout aussi vigoureusement manié.
      Promettez-moi que vous nous en ferez le récit.
      Au plaisir de vous lire;
      JLG.

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    4. Bonsoir JLG,
      Pour moi ca marche à l'envers ! C'est moi qui administre à la personne de sexe féminin !
      Faire le récit : je ne suis pas très doué pour l'écriture, et de plus ce serai un homme qui administre une fessée à une femme, je ne suis pas sur que ce soit le type de récit le plus apprécié sur votre blog.
      Gege

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    5. Gege Bonn,
      Effectivement, ce ne serait pas du tout dans la ligne éditoriale du blog et je ne pourrais pas le publier.
      Pourtant, je serai surpris que vous soyez totalement irréprochable au point qu'il n'y ait pas besoin de vous fesser de temps en temps.
      Ai plaisir de vous lire,
      JLG.

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