NB : Je ne l'avais pas
encore précisé mais les noms des personnes apparaissant dans récit ont été
modifiés cela va de soit
Une fois encore je me
réveille tôt. Forcément j'ai été mis au lit encore plus tôt que la veille.
J'attends encore un bon moment l'arrivée de Maman et j'ai très faim. Mon ventre
gargouille. Maman arrive à 7 heures. Tout se déroule comme hier matin. Sauf
qu'après l'infâme cuillère de foie de morue, mon petit déjeuner n'est composé
que d'un morceau de pain sec et d'un verre d'eau.
Après avoir terminé son café
et lu son journal, Maman me fait passer au WC et me fait ma toilette. Mais au
lieu de m'habiller comme le veut ce qui deviendra un rituel, elle me fait
enfiler un peignoir et me fais asseoir dans la cuisine. Elle fait elle-même les
corvées ménagère tandis que j'attends sagement.
A 8h00 on sonne à la
porte. Maman va ouvrir et revient accompagnée d'une femme d'une petite
trentaine d'année chargé d'un vanity-case et d'une table de massage. Je me lève
et je la salue d'un « bonjour Madame » auquel elle répond par un
simple bonjour.
- Entrez Céline je vous
en prie installez-vous. Vous aurez assez de place ?
- Oui, oui, ne vous
inquiétez pas Bernadette.
La femme déplie sa table
et sort son matériel. Je crois comprendre ce qu'elle vient faire. D'ailleurs Maman
me retire la sortie de bain et je me retrouve tout nu devant cette étrangère.
Elle m'approche d'elle en me tirant pas le bras
- Alors voilà Céline,
nous avons la chance que Paul ne soit pas trop velu, d'ailleurs fort
heureusement il n'a pas encore de barbe. Cependant, comme vous le voyez ses
poils pubiens sont beaucoup trop nombreux.
Elle me lève le bras et
poursuit.
– Là aussi sur les aisselles
c'est beaucoup trop fourni à mon gout,
Et enfin en me tournant
et en me faisant pivoter sous son bras elle ajoute.
– C'est également le cas
sur ses fesses et son anus. Je souhaite donc que vous épiliez tout ça.
L'esthéticienne semble
dans un premier temps septique.
– Oui mais il encore
jeune pour une épilation. Il a quoi 14 ans à peine. Vous ne voulez pas attendre
2 ans encore ?
– Ah mais il a 16 ans la
rassure Madame Tourelle
Si elle savait que j'en
ai même 20.
–Bien alors allonge-toi sur
le dos, me dit-elle en me montrant la table. Et place tes mains derrière la
tête.
Pendant qu'elle prépare
la cire, elles papotent ensemble de tout et de rien. Moi j'appréhende un peu.
Il parait que cela fait mal de se faire épiler.
Céline se montre très
douce, et l'épilation de mes aisselles se fait sans le moindre ressenti. Elle
s'attaque ensuite à pubis et à mes testicules. Je me concentre pour ne pas
avoir d'érection. Je pense que cela serait mal venu. La douleur se fait un peu
plus vive. Cependant je résiste en serrant un peu les dents. Maman semble
satisfaite du résultat. L'esthéticienne me tends une lotion apaisante à
m'appliquer sur la zone pubienne mais Maman prend le flacon et précise qu'elle
va le faire elle-même.
– Sinon ça sera mal fait
ajoute elle.
Puis je dois me mettre
sur le ventre et l'épilation de mes fesses et mon anus se fait également.
L'opération de la lotion se renouvelle aussi. Maman propose à Céline de prendre
un café. Elle accepte
- Je vous laisse ranger
votre matériel dit-elle en se dirigeant vers les chambres. Elle revient au bout
d'une minute à peine avec, en main, mes vêtements pour la journée. Elle
m'habille devant Céline comme si de rien n'était. Je sens que je deviens tout
rouge. J’ai honte d'être habillé comme un petit garçon. Cela se termine par
l'eau de Cologne bien sûr.
Pendant qu'elles prennent
le café, je dois aller faire mes devoirs de vacances à la grande table du
salon. Une fois l'esthéticienne partie, Maman me dit que maintenant il faut
s'occuper de ma tignasse. Elle décroche le téléphone et me prend un rendez-vous
pour l'après-midi même.
Maman vérifie ensuite mon
travail
- Paul je t'ai expliqué
cette notion de mathématiques hier ... Tu te moques de moi ?
- Heu non Maman
- Si, puisque hier tu avais compris et que là
tout est faux
Je baisse les yeux. Je ne
sais pas quoi répondre. Je suis pourtant sûr d'avoir fait comme elle m'a dit.
Elle poursuit.
– Je ne peux tolérer de
telles étourderies je vais devoir te punir.
Elle me retire mes
brettelles, retire le bouton de la culotte courte et descend la fermeture
éclair avant de me la baisser jusqu'aux chevilles. Elle me baisse ensuite le
slip. Puis elle courbe sur son genou. Je me laisse faire, je sais que je n'ai
pas le choix. Sans qu'elle ait besoin de me le rappeler mes mains sont montées
automatiquement sur ma tête. Je me prépare à recevoir une nouvelle fessée. Elle
tient la règle en bois dans sa main.
Maman m'inflige une bonne
trentaine de coups sur mes fesses et mon postérieur. Elle alterne comme elle a
maintenant l'habitude, mes cuisses et mes fesses et insiste parfois sur un
endroit précis. La douleur est intense car elle ravive les coups précédemment
reçus. Je finis par pleurer.
Quand elle me redresse Maman
m'insiste à recommencer mes exercices avec plus de rigueur et d'attention. Ce
que je fais. La fessée a eu le mérite de me rafraîchir les idées en me
chauffant mon arrière train.
Puis Maman décida de me
faire faire une dictée. Catastrophe. A la correction elle ne dénombra pas moins
de 28 fautes.
- Hé bien c'est honteux
me dit-elle. La fessée de tout à l'heure ne t'a visiblement pas suffi. Tu poursuis
les étourderies et tu fais preuve d'un manque de concentration évident. C'est
inexcusable
Maman va chercher
elle-même la baguette de bois dans la cuisine. Il s'agit d’une baguette type
tuteur de plante. Je tremble à l'idée d'être une fois encore fouetté. Elle
m'ordonne de retirer ma culotte courte et mon slip et de les poser, pliés sur
la chaise.
J'obtempère je défais mes
bretelles et je retire ma culotte courte en toile, la replie et la pose sur la
chaise. J'en fais de même avec mon slip.
Maman me dit ensuite de me
mettre à genoux sur un prie-Dieu qu'elle
a approché d'un fauteuil. Elle me courbe et me place parfaitement. J'ai les
fesses tendues les mains agrippées à l’accoudoir et la tête enfouie dans
l'assise.
Paul je vais te donner 2
coups de baguettes par fautes. Tu as commis 28 fautes dans ta dictée. Je vais
donc t'administrer combien de coups ?
Je balbutie « 56, Maman !
- Très bien, tu comptes
les coups. Si tu te trompes ou si tu n'annonces pas clairement le numéro du
coup nous repartirons à zéro
Maman me fouetta avec
toujours autant de sévérité. Très vite je suis en larmes. Mes fesses me brûlent
et je sens une douleur vive m'envahir. Elle n'épargne ni mes cuisses ni mes
fesses, ni même le bas du dos. Je compte les coups en pleurant entre deux
hoquets. Mon supplice de l'attendrit guère. Elle va au bout de la punition
comme à son habitude.
Il est temps que la
correction se termine. Je crois que je n'aurai pas pu supporter un coup
supplémentaire. Maman me laisse en position, en pleurs. Je suis tétanisé, je ne
peux plus bouger. Elle va ranger l'instrument et revient. Elle me prend par
l'oreille et me traîne au coin dans la cuisine. Quand elle me lâche, je retombe
à genoux. Je suis toujours en pleurs. Je demande encore pardon. Maman m'ordonne
de rester les mains sur la tête le nez collé au mur.
J'ai mal. La douleur ne
parvient pas à s'effacer. Même si sens bien que cela chauffe un peu moins. Maman prépare son déjeuner. D'un coup la faim se
rappelle à moi, cela me permet d'oublier quelque peu la douleur.
Maman m'appelle j'ose
espérer que je vais manger. Je parviens à me relever difficilement. Je m'approche
d'elle.
- A genoux et reste dans
cette position les mains toujours sur la tête le temps que je prenne mon
déjeuner.
Je la supplie de me
laisser manger. Maman s'il vous plait j'ai faim pitié
- Hé bien tu n'avais qu'à
manger ce que je t'ai servi hier matin mon garçon. Maintenant tu prends ton mal
en patience.
Les larmes me viennent
aux yeux une nouvelle fois. Je reste à genoux sans bouger pendant qu'elle se
restaure. Quand elle va chercher son dessert dans le réfrigérateur, elle
m'installe un torchon devant moi. Elle y dépose un morceau de pain.
- Allez mange et ne me
met pas de miettes partout. Tu manges bien au-dessus du torchon sinon je serai
obligé de te punir encore une fois.
J'avale rapidement ce
pain sec qui me permet de combler très partiellement ma faim.
- Allez, relève-toi.
Prends le torchon et replie-le de manière à ce que les miettes ne tombent pas
et pose-le sur la table.
Je m'exécute et elle me
demande d'aller chercher mes habits. Maman me rhabille et m'ordonne d'aller
secouer le torchon à la terrasse de derrière puis de le ranger et de la
rejoindre dans la salle de bain.
Selon le rituel habituel
elle me brosse les dents. Puis nous descendons au garage. Maman retire sa
blouse qu'elle pend au porte manteau et après m'avoir installé à l'arrière de
la voiture nous partons.
Maman se dirige vers le
centre-ville, je reconnais la route que nous avions prise dimanche. Elle se
gare d'ailleurs non loin de la gare. Nous marchons environs 500 mètres puis
nous rentrons dans un salon de coiffure.
Aussitôt arrivés, la
coiffeuse, une femme d'une cinquantaine d'années, dans une blouse vert-pâle,
viens faire faire la bise à Madame Tourelle.
- Bonjour Bernadette ça
va bien ? Ah voici Paul donc. Elle m'embrasse à mon tour
- Bonjour Madame
- Alors tu es content
d'être arrivé ? M'interroge-t-elle ?
Surpris je réponds
timidement « Oui Madame »
- Je suis à vous dans 5
minutes. Installez-vous !
Elle repart s'occuper de
sa cliente. Maman et moi nous installons sur les 2 chaises à l'entrée. Maman
prend un magazine, quant à moi j'attends sagement à ses côtés en observant le
salon.
Le nom du salon est
« Pompadour. »Avec un mobilier comme dans un musée louis XV. Au bout
de 5 minutes à peine, la coiffeuse raccompagne la dame qui nous précède puis
reviens vers nous.
- Allez, à nous ! On
fait un shampoing me demande-t-elle ?
Je n'ai pas le temps de
répondre. Ma mère adoptive répond très vite pour moi.
– Bien entendu
Irène !
Je vais me dirige vers les
2 baquets qui sont face à nous. Elle me passe une serviette sur le cou qu'elle
coince dans ma chemise puis elle m'invite à m'installer.
C'est très agréable. Elle
est beaucoup plus douce que Madame Tourelle. De plus elle prend la peine de me
demander si la température de l'eau me convient. Mais ces bonnes intentions
vont vite disparaitre.
Après le shampoing, Je
dois passer sur l'un des 3 fauteuils face au un grand miroir au cadre doré.
Celui du milieu. Elle me noue une cape de coiffeuse autour du cou et me demande
- Comment on les coupe ?
Une fois encore Maman
répond à ma place.
– Tu les coupes court
s'il te plait Irène, raie de côté bien marquée à droite et tu laisses une mèche
devant.
- Très bien.
Les 2 femmes papotent. Maman
s'est assise sur le fauteuil à ma droite. La coiffeuse commence à me couper les
cheveux avec une paire de ciseaux. Jusqu'ici tout va bien. Cela ne dure pas car
elle passe ensuite à la tondeuse. Mais pas à la tondeuse électrique comme j'en
ai l'habitude mais une ancienne tondeuse manuelle. Elle explique d'ailleurs à Maman
qu'elle a horreur de ces nouvelles tondeuses électriques.
Elle me fait pencher la
tête sur le côté et commença par me tondre. Elle me redresse ensuite la tête et
me la penche en avant, le nez sur la cape. Elle est beaucoup moins douce que
tout à l'heure. Elle a surement compris que je n'avais pas mots à dire et elle ne
se soucie plus de ce que je peux penser. Je trouve que cela tire un peu et je
tente de bouger.
- Arrête de bouger me
dit-elle !
Elle poursuit son travail
tout en parlant avec ma mère. Ça tire encore et je fais de nouveau un
mouvement. Cela agace Irène qui me dit sèchement
– Tu vas arrêter de
bouger, oui ?
Maman ajoute
– Paul c'est la dernière
fois.
Je me le tiens pour dis
et tente de résister.
- C'est assez court comme
ça Bernadette, interroge la coiffeuse ?
Maman passe la main et
lui demande de raccourcir encore un peu. La tondeuse et leur conversation
reprennent. J'esquisse encore un mouvement.
- Je vais finir par te
blesser me dit-elle.
Maman se lève.
– Attend Irène ! Il
va se tenir correctement.
En moins de temps qu'il
n'en faut pour le dire, elle me déculotte et me fait passer la cape par-dessus
la tête. Elle me claque vigoureusement les fesses et les cuisses et me
rhabille. La fessée a été rapide mais bien forte. En me rasseyant sur le
fauteuil, rouge de honte, je sens encore des picotements.
La coiffeuse ne réagit
pas plus que ça et les deux femmes parlent maintenant éducation. Je suis vexé
d'avoir été corrigé ainsi. Je pense qu'elle n’a pas eu le temps de voir que
j'étais sans poil.
Je ne bouge plus d'un
cil. Elle termine la coupe au ciseau.
- Cela te convient
Bernadette? Demande-t-elle à ma mère quand elle a terminé.
Maman donne son
approbation. Puis c'est à son tour de se faire coiffer. Pendant ce temps je
m'ennuie à mourir mais je me tiens correctement. Nous faisons ensuite des
courses au supermarché et nous rentrons tardivement.
De ce fait Maman me
douche directement et nous passons à table. Je suis ravi de pouvoir manger enfin.
Le repas ne me sied guère : concombres puis courgettes et kiwi. Il y'a
encore trois jours, je n'aurais rien avalé mais c'est énigmatique comme le
cerveau peut réagir. Je parviens à tout manger bien que je déteste tous ces
aliments. Maman m'en félicite d'ailleurs.
Après la vaisselle et les
corvées du soir je suis autorisé à regarder le journal télévisé avec elle. Je
suis installé confortablement ma tête sur ses genoux. J'apprécie ce moment de
tendresse et elle aussi je crois. Sitôt le générique terminé, Maman m'emmène au
WC puis me brosse les dents et me refait un câlin avant de dormir.
Le lendemain matin Maman
me réveille. Elle semble stressée. C'est le jour J. Nous avons rendez-vous à
9h00 au tribunal. Ce début de matinée se déroule comme d'habitude. Le seul
petit changement intervient au moment de m'habiller. Après m'avoir enfilé mon
slip; mon maillot de corps et une chemise blanche, Maman s'absente et revient
avec un costume gris avec lequel elle me vêtit. Je retrouve donc un pantalon
long pour ce jour spécial. Elle me noue ma cravate, eau de Cologne et en route
pour le tribunal.
Nous arrivons avec un peu
d'avance et nous retrouvons Maitre Marchand qui est l'avocat de Madame
Tourelle. Il est jeune environs 35 ans mais travaillait déjà avec feu Monsieur
Tourelle. J'apprends en suivant leur conversation qu'il s'occupe aussi des
"affaires" de ma mère adoptive. Pour lui le sujet du jour est une
formalité. Il parle plus d'un dossier concernant l'usine dont elle a héritée de
son mari. Je comprends qu'elle a à nommer un PDG mais qu'elle est la présidente
du conseil d'administration. Bref cela m'est totalement étranger et ils peuvent
parler chinois, ça ne changerai rien pour moi.
Notre affaire arrive enfin.
Je rentre d'abord seul dans le bureau de la
juge qui est accompagnée d'une greffière. Je réponds aux questions et
narre l'histoire que l'on a mise en place. Madame Tourelle s'est toujours
occupé de moi, mes parents ne se sont jamais préoccupés de ma vie ... Puis
c'est le tour de Madame d'être reçut seule. Puis nous rentrons ensemble dans le
bureau accompagnés de maitre Marchand.
La juge nous rend son
verdict. La demande est jugé recevable et favorable. On nous remet même un
livret de famille. Nous signons les papiers et partons en remerciant Madame le
juge.
Je suis dorénavant
officiellement le fils de Madame Tourelle
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