Nous finissions de manger. J’en étais presque à me dernière bouchée. Quand ma compagne est arrivée derrière moi, revenant de la cuisine.
« Lève-toi ! »
J’eus, tout d’abord, une réaction d’incompréhension durant quelques courtes secondes. Une fessée ? Mais pourquoi ? Je n’avais rien fait de mal ! Et puis l’évidence s’imposa avant même que ma compagne ne me donne l’explication : manger la bouche ouverte.
Ma compagne m’avait promis, à plusieurs reprises, de me faire passer cette mauvaise habitude. Jusque-là, je n’avais pris
qu’une seule fessée, peut-être deux pour ce motif. Mais elle m’avait annoncé que, dorénavant, ce serait la tolérance zéro pour cette façon de faire que ma compagne considérait comme très déplacé pour un adulte. J’étais d’accord avec elle.
Je ne me rendais pas vraiment compte quand je mâchais la bouche ouverte. Au début du repas, quand nous mangions ensemble, je faisais très attention à ne pas être pris dans ce travers. Puis, le repas avançant ma vigilance s’estompait et, souvent, je fermais la bouche prestement afin de ne pas subir les foudres de ma compagne. J’arrivais à maintenir mon attention tout le petit déjeuner, mais quand le repas durait plus longtemps, c’était plus difficile. Jusque à maintenant, elle ne m’avait jamais pris sur le fait ou bien elle faisait semblant de ne pas le remarquer. Je ne sais pas au juste.
Avait-elle décidé de devenir plus stricte sur ce sujet ? Je n’en sais rien, bien qu’elle me l’ait annoncé. Toujours est-il que cette fois-ci, elle m’avait pris en plein comportement interdit.
« Lève-toi ! »
Passé le moment de stupeur, j’obéis.
« Mais, que se passe-t-il ? Je n’ai rien fait ! »
« Rien ? Et manger la bouche ouverte, ce n’est rien ? »
Oui, elle avait raison, bien que je ne m’en sois pas rendu compte. Elle me prit par la main et je dus la suivre jusqu’à la chaise sur laquelle, souvent, elle me donne la fessée. Bien qu’elle ne soit pas loin de la table sur laquelle nous mangions, pas plus de trois ou quatre pas, cela me laissa le temps de prendre conscience que j’allais être une nouvelle fois puni.
Elle me plaça à sa droite, debout à son côté. Sans ajouter un mot de plus, elle me baissa la culotte de pyjama. Comme chaque soir après avoir pris ma douche, ma compagne a exigé que je me mette en pyjama. Comme, compte tenu de ses horaires de travail elle rentre tard, je suis prêt, tout de suite après manger, à aller me coucher. Je ne portais pas de culotte en dessous mon pantalon de pyjama. Une fois celui-ci baissé, j’étais donc prêt pour ma fessée déculottée.
Ma compagne me prit par le bras et elle me coucha en travers de ses genoux. J’étais en bonne position, mes fesses bien dégagées à portée de sa main.
« Je te promets que tu vas apprendre à manger la bouche fermée ! »
La claque qui tomba sur mes fesses résonna dans la pièce. Je ne pus retenir un petit cri. Si elle avait vraiment l’intention de me fesser à chaque fois que je mangeais bouche ouverte, mes fesses allaient rougir bien souvent. Je n’eus pas le temps de songer à ma future situation avant que la deuxième claque ne tombe. Ensuite, toute mon attention fut accaparée par la douleur que ma compagne entretenait sur mes fesses.
Il y eut une brève interruption. Juste le temps, pour elle, de s’assurer que je comprenais bien pourquoi elle avait dû me déculotter et me corriger.
Ce n’est que de sa main nue que ma compagne me fessa. Heureusement ! Quoique, la cuisson, sur le moment n’en est pas plus tolérable. A plusieurs reprises, je la suppliais.
« Aïe, Maman, aïe, ça fait mal ! »
Mais je n’osais jamais lui demander de stopper. En général, cela rallonge la durée de la fessée. Je ne psu m’empêcher d’interposer sa main quand la jonction entre mon dos et mes fesses furent l’objet de son attention. Pourtant, je sais que ma compagne n’aime pas quand j’essaye de me protéger les fesses. Mon bras droit remonté dans mon dos ne m’était plus d’aucune utilité. Quand ma compagne me couche en travers de ses genoux, la main gauche ne peut revenir en arrière. Elle est bloquée par le corps de ma compagne. Il aurait fallu que je me relève pour faire cesser la fessée. Je ne sais pas si, dans cette position, j’aurais pu le faire. De toute façon, je n’ai pas tenté. Ce serait une entorse grave à son droit de me donner la fessée. Cela me vaudrait sûrement une fessée bien plus sévère encore. Je dus donc attendre la fin de la correction sans que les mouvements de mes jambes, mes tortillements sur ses genoux ou mes cris de douleur n’influent sur la durée de la fessée que me donnait ma compagne.
Enfin, elle prit fin. Ma compagne me laissa couché en travers de ses genoux. C’est à ce moment-là qu’il fallait faire très attention. La moindre réponse insatisfaisante, la moindre attitude jugée défiante et je savais que la fessée reprendrait. J’en avais pourtant assez et mes fesses étaient en feu.
« Est-ce que tu as bien compris qu’on ne mange pas la bouche ouverte ? »
« Oui, Maman, j’ai compris ! »
« La prochaine fois, c’est le martinet ! »
« Oui, Maman ! »
Elle me releva. La fessée était finie. Elle remonta ma culotte de pyjama.
« Va finir de manger ! »
Je m’exécutais avec empressement.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
Qui adulte reçoit des fessées par punition
La première réelle fessée racontée ici
La précédente fessée
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Et comment gérer vous les douleurs entre deux fessées (vos fesses font-elles l’objet de soins particuliers) ? Quand vous recevez la fessée vos cris n'interpellent-ils pas vos voisins (après ils sont peut être au courant de votre relation) ? Pleurez-vous ? Avez-vous des fois des conversations où vous et votre compagne faites le point sur votre relation ? Monsieur J.
RépondreSupprimerCher Monsieur J,
RépondreSupprimerComme vous l'avez expliqué dans des commentaires précédents, vous n'avez jamais reçu la fessée. Si c'était le cas, vous sauriez qu'après une fessée donnée à main nue, aussi forte soit-elle, la douleur ne persiste pas bien longtemps. Quelques minutes après la fin de la correction, il n'y a plus de conséquences physiques, ne reste que le souvenir d'avoir été déculotté et fessé, ce qui est, vous en conviendrez surtout pour un adulte, déjà une bonne incitation à ne pas recommencer. La cuisson est très intense au moment de la correction, au point d'en être parfois, souvent, insupportable. Mais c'est la but recherché par ma compagne quand elle me fesse. Quand elle utilise un instrument pour me punir, la douleur est présente un peu plus longtemps. Cependant, au bout de quelques minutes, celle-ci devient plus une démangeaison sur les fesses qu'une réelle souffrance, y compris quand la fessée, avec la baguette ou le martinet par exemple, a laissé des marques sur mes fesses. Cela dure parfois tout une journée et cela me rappelle à chaque instant la fessée reçue. Parmi tous les supplétifs que ma compagne a utilisé, seules les orties ont le pouvoir de provoquer une réelle douleur qui perdure. Parfois plusieurs heures, parfois plusieurs jours en fonction de l'importance de la poignée d'orties qui a servi à me fesser et de l'insistance que ma compagne y a mis.
Je n'ai jamais pleuré ni pendant, ni après une fessée. Je suis un adulte et je ne pleure pas facilement. Par contre, je ne me rappelle pas une fessée donnée par ma compagne pendant laquelle je n'ai pas crié de douleur.
Il arrive fréquemment que ma compagne me passe une crème apaisante sur les fesses. Cela ne diminue pas considérablement les conséquences douloureuses de la fessée reçue, mais cela marque le pardon que m'accorde ma compagne pour la faute qui l'a amenée à sévir.
Je ne crois pas que mes voisins soient au courant que je reçois la fessée. Je ne l'espère pas. Nous habitons dans un pavillon et la distance avec les voisins, aidée par des doubles vitrages suffit à en atténuer le bruit. Nous faisons attention à ce que la fessée me soit donnée hors de leur vue et de leur possibilité d'entendre. Ma compagne n'a fait qu'une exception. Il s'est agi d'une fessée que j'ai reçue dans le jardin, mais les voisins n'étaient pas là.
Nous avons parfois des conversations sur l'éducation que me donne ma compagne et sur les fessées qui en découlent. Au début de notre relation, ma compagne s'interrogeait beaucoup sur les conséquences que de réelles fessées très douloureuses pourraient avoir sur notre relation. Je l'ai rassurée sur ce point. Savoir que je vais avoir la fessée quand je l'ai méritée, est un gage de sécurité pour moi. Cela me montre à quel point elle porte attention à mon comportement et qu'elle tient à moi. Je lui ai, à chaque fois, affirmé que si la fessée était justifiée, quelle que soit sa vigueur, quel que soit le lieu dans lequel elle m'était donnée et quelles que soient les personnes présentes, je ne lui en voudrai jamais. Je compte, au contraire, sur elle pour exercer fermement son autorité et je lui fais confiance pour choisir la punition appropriée à l'écart que j'ai commis. Je n'ai d'ailleurs jamais ressenti aucune animosité envers elle après avoir reçu une fessée. Etre attentive, à chaque instant, à la façon dont je me comporte, fait partie des charges qu'elle a acceptée. Je lui en reconnais la légitimité. Me donner la fessée quand je la mérite n'en est qu'une conséquence et je ne vois pas pourquoi je lui en voudrais. Cela fait partie de la normalité de notre relation.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Votre relation est vraiment saine, vous avez pensé à tout les tenants et les aboutissant, de toutes les manière que ce soit, ça se voit que votre compagne tiens à vous, et que vous tenez à elle.
SupprimerC'est profondément admirable.
Avoir une relation aussi équilibrée tout en ayant la possibilité de maintenir un équilibre disciplinaire certain.
ça me fais penser à une question, mais je vous la poserai si vous repassez par ici, ou par MP, ce sera sans doute plus direct.
Encore une fois je jalouse une telle relation, mais d'une certaine manière, je me dis que ça existe et qu'il est possible d'en trouver.
Très Cordialement
Lyna