Journal d’un grand garçon fessé – lundi 17 avril 2023

 Encore une fessée, direz-vous ! Oui, encore une fessée ce soir et qui plus est, elle m’a presque été donnée en public… si une présence par visio peut être lue de cette façon.

Dans le cadre du processus de coaching, ma compagne avait convenu avec Bernard d’un rendez-vous par visio aujourd’hui. Nous avons donc conversé avec lui pendant une demi-heure.

Auparavant, ma compagne m’avait fait remarquer plusieurs moments durant le repas pendant lesquels je mangeais la bouche ouverte. Mais elle n’avait pas conclu à la fessée immédiate et je me demandais bien pourquoi.

Elle m’avait aussi fait remarquer que, contrairement à ce qu’elle m’avait demandé, je ne m’étais pas rasé aujourd’hui.

Cela faisait deux raisons tout à fait légitime de me punir et ma compagne, à l’opposé de ce qu’elle pratique habituellement, ne m’avait ni déculotté, ni fessé. Etait-elle subitement devenue laxiste ? Je n’y croyais pas beaucoup, la suite m’a montré que je ne me trompais pas.

Ce n’est pas simple une première visio avec son coach tout en sachant que lors de notre prochaine rencontre il me baisserait la culotte et il me donnera une fessée. Il y en a déjà deux qui me sont promises : une à main nue et l’autre avec le martinet. Je ne savais pas trop quoi dire, d’autant plus qu’il expliquait ce qu’il exigeait de moi : devancer les demandes d’obéissance des personnes qui ont autorité sur moi, accepter de recevoir la fessée sans rechigner… et d’autres choses qui s’apparentent à celles-là et que je ne fait pas aujourd’hui.

C’est surtout ma compagne et lui qui ont échangé. Ils ont confirmé leur accord sur la façon de prendre en charge mes écarts, tout en remarquant la grande complémentarité de leurs méthodes.

« Tu sais qu’il y a de nombreux adultes qui ne reçoivent jamais la fessée. Ce n’est donc pas le but que tu sois fessé aussi souvent. »

Je me suis dit que c’était vrai, mais que parmi les nombreux adultes à qui on ne donne jamais la fessée, il y en a un bon nombre qui en auraient besoin.

Mon coach a annoncé qu’il se centrerait sur ma responsabilisation, tout en se laissant la possibilité d’intervenir et de me punir pour d’autres motifs.

« Ce qui serait bien, c’est que tu arrives, peut-être pas tout de suite, à une fessée par semaine. »

Une fessée par semaine ? Ce serait un rêve, mais est-ce possible ?

« Tu pourrai publier sur ton blog : cette semaine, je n’ai pas eu de fessée. »

A l’évidence, ce n’est pas pour tout de suite.

« Il serait même plus pertinent que ce soit toi qui demande à recevoir la fessée. »

Oui, vraiment, nous n’y sommes pas.

« Soyons claire, elle ser ait toujours déculottée et elle ferait aussi mal aux fesses, mais comme c’est toi qui l’a demandée, tu la supporterai mieux. »

« Je ne sais pas, Monsieur, ai-je répondu à son invite. »

C’est ce qu’il appelle l’obéissance dynamique. Et je ne sais toujours pas si cela est possible.

Enfin, une date probable pour sa venue a été fixée, même si celle-ci demande encore à être confirmée. Mon coach devrait passer à peu près deux jours à la maison, ce qui lui permettra de se faire une bonne idée du travail qu’il y a à faire.

Puis ma compagne a annoncé qu’elle avait eu plusieurs reproches à me faire dans la journée. Tout d’abord, a contrario de ce qu’elle m’avait demandé, je ne m’étais pas rasé. C’était encore une désobéissance, une de plus. Ensuite, elle tenait à me faire perdre l’habitude d’ouvrir la bouche lorsque je mangeais. Elle avait dû m’en faire la remarque à plusieurs reprises durant les repas et en particulier lors du dîner. Elle estimait que cela méritait une bonne fessée.

« Tout à fait justifié, a rajouté mon coach ! »

« Josip, lève-toi, a conclu ma compagne ! »

« Maintenant ? »

Je venais de prendre conscience que ma compagne envisageait, sans sourciller, de me déculotter et de me fesser alors que mon coach était encore en ligne.

« Oui, maintenant ! Et cesse de discuter ! »

Le rouge au front, je me suis levé. Tout autre réaction aurait entraîné une sanction plus lourde, j’en étais persuadé. S’il m’arrive de désobéir à ma compagne, ce n’est jamais ouvertement et jamais en présence d’une autre personne.

Debout devant ma compagne, je tournais le dos à la caméra, donc à mon coach. Ma compagne me baissa le pantalon sans que je n’esquisse un geste. Puis elle glissa ses pouces sous l’élastique de ma culotte et elle la descendit à hauteur de mes genoux. Je n’en bougeais pas plus, tout juste une déglutition plus difficile au moment où ma culotte laissa apparaître mes fesses.

Je n’arrivais pas à intégrer réellement que mes fesses nues étaient à la vue d’une autre personne que ma compagne. Tournant le dos à l’écran, je ne les voyais pas. J’avais beau me dire que de toute façon, dans quelques semaines, mon coach aurait tout le loisir de contempler mes fesses, aussi bien le derrière que le devant, quand il me déculottera, ou qu’il me donnera la fessée ou quand il m’enverra au coin, cela ne me consolait pas d’être la culotte baissée à sa vue.

Pourtant, cela faisait partie des prérogatives incontestables de ma compagne, de me déculotter et de me fesser là et quand elle le jugeait nécessaire, quelles que soient les personnes présentes. Il va de soi que mon coach en visio ne représentait pas un obstacle pour me baisser la culotte. N’empêche, j’avais une boule au fond du ventre, de honte d’être vu dans cette tenue.

D’une certaine façon, ma compagne m’aida à franchir ce cap difficile. Elle m’allongea en travers de ses genoux, et ça, c’était une position que je connaissais bien et la présence de mon coach était moins prégnante.

Ce fut une simple fessée à main nue. Pas très forte, même s’il y eut quelques claques qui me firent plier la jambe, ce que ma compagne n’apprécia pas.

« Josip, ton pied ! »

Pourtant, mon pied était loin d’être sur la trajectoire de sa main et il me la gênait en rien pour me rougir les fesses. Mais ma compagne tient à ce que je la laisse me fesser sans y mettre d’obstacle, même quand la correction est au-delà de ce que je peux supporter.

Au regard de certaines fessées que j’ai reçu celle-là fut plutôt courte et de vigueur moyenne. Ma Compagne devait être aussi impressionnée par la présence de mon coach en visio. Autrement, comme d’habitude, la fessée aurait été bien plus cuisante.

« Relève-toi ! »

Je m’exécutais, prenant soin de tourner le dos à la caméra.

« Tourne-toi vers Bernard ! »

Maintenant, mon coach voyait mes fesses dans toute leur nudité. Il avait vu le derrière tout à l'heure, il voyait maintenant mes organes sexuels. Je ne pouvais plus plus cacher quoique ce soit. Ce n’est pas facile, quand on est adulte, de se trouver dans une situation où on montre, à un tiers, ses fesses et son sexe, contre son gré. Ma compagne faisait fi de ma pudeur d’adulte, ce qui se comprenait bien dans la situation dans laquelle je me trouvais. Plus aucune des prérogatives habituellement accordées à un adulte ne me concernaient. Mais ce n’en était pas plus facile. Je résistais à l'envie de dissimuler mon sexe en mettant mes mains devant. Je suis certain qu'un tel geste n'aurait pas été admis ni par ma compagne, ni par mon coach.

« Allons, nous t’attendons ! »

« Je vous demande pardon ! »

« Mais encore , »

« De ne pas m’être rasé et d’avoir ouvert la bouche en mangeant. »

« Et ? »

« Je ne le referai plus. »

« Sinon ? »

« Sinon j’aurai une autre fessée. »

« Bien, nous y voilà ! »

« Tu devrais avoir honte d’avoir reçu une fessée déculottée, rajouta mon coach !  J’espère que c’est le cas. »

« Oui Monsieur, j’ai honte. »

Ma compagne me rajusta.

« Reviens t’asseoir ici ! »

La conversation se poursuivit encore quelques minutes, non sans de longues admonestations de mon coach.

« tu te rends compte que tu as de la chance d’avoir ta compagne pour s’occuper de toi ? »

« Oui, Monsieur, dis-je en la regardant. »

Il fut convenu de se confirmer sa venue dans les jours qui viennent. Et il mit fin à la visio.

Mon destin était scellé. Quoiqu’il se passe maintenant, s’il venait effectivement nous visiter comme il l’avait promis, j’aurai la fessée déculottée de sa main puis il me mettra au coin et je me doute que ce ne sera pas une partie de plaisir.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.