vendredi 14 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 13 avril 2023

Il me faut reprendre l’écriture. Ma compagne m’a donné une nouvelle fessée en fin d’après-midi. Encore une, direz-vous, eh oui, encore une et celle-là, j’ai eu du mal à la supporter tellement elle a été cuisante.


J’étais allongé sur mon lit quand ma compagne est arrivée dans la chambre. Nous avons eu d’abord une conversation banale à propos de ce que nous avions fait depuis que nous nous étions quittés en début d’après-midi. Elle en est venue au sujet… qui a mal tourné pour moi.

« As-tu passé le coup de fil auquel tu t’étais engagé ? »

Cela faisait plusieurs jours que j’oubliais de téléphoner au moment où il le fallait. Ma compagne, le matin même, m’avait promis une fessée si j’oubliais. Généreusement, elle me le rappelait avant d’en arriver à sévir.

« Oui, je vais le faire. »

Ma compagne patienta quelques instants avant de reprendre.

« Josip, tu vas chercher ton téléphone tout de suite et tu appelles ! »

« Oui, oui, lui répondis-je »

Mais je ne bougeais pas d’un poil. Je connais pourtant bien ma compagne et je savais que je l’agaçais à remettre à plus tard quelque chose qui ne me prendrait que quelques minutes et qu’il fallait que je fasse de toute façon. C’est comme conserver un petit, tout petit, espace de décision propre qui n’est pas maîtrisé par ma compagne. C’est grisant de défier l’autorité qu’elle a sur moi. Mais il ne faut pas aller trop loin, sinon…

« Josip, tu te lèves tout de suite et tu passe ce coup de fil »

Maintenant, il y avait tous les signes de danger pour mes fesses.

« Voilà, voilà, j’y vais ! »

Cette fois-ci, je me levais. Il ne fallait pas pousser le bouchon plus loin.


Mais en passant devant elle, ma compagne m’arrêta.

« Une seconde ! Nous avons une petite chose à régler ! »

Elle me plaça bien face à elle et sans plus de commentaire, elle glissa ses pouces sous l’élastique de mon pantalon de survêtement. Ses intentions étaient limpides. Elle me baissait la culotte et il ne pouvait y avoir qu’une raison à cela à ce moment-là : une bonne fessée. J’avais été trop loin et maintenant mes fesses allaient en payer le prix.

« Non, Maman, non ! »

Mais mon pantalon était déjà descendu en dessous de mes genoux.

« Pas la fessée, s’il te plaît ! »

« Ah, parce que maintenant, c’est toi qui décide quand tu as besoin ou non d’une fessée ? »

Cette remarque ironique ne l’empêcha pas de me baisser la culotte.

« Non, Maman, mais... »

« Alors en place ! »

Elle me désignait son genou gauche et me saisissant par le bras, elle m’obligea à me coucher à plat ventre sur sa cuisse.

« Je vais t’apprendre à obéir du premier coup ! »

Sa main claqua sur mes fesses. Je poussais un cri, plus de résignation que de véritable douleur. Puis Maman entreprit de m’apprendre ma leçon : elle ne tolérerai pas que je n’obéisse pas la première fois où elle m’ordonnait de faire quelques chose. Sa main tombait sur mes fesses et sur le haut de mes cuisses. Bientôt mes cris ne furent plus que l’extériorisation de la cuisson qui embrasait mes fesses. Je n’en avais pourtant pas fini.


« Donne-moi un chausson ! »

La fessée avec un chausson, cela fait très mal, d’autant plus que si ma compagne retient la force qu’elle met avec un des instruments punitifs classiques, ce n’était pas le cas avec un chausson. Je déteste recevoir la fessée en général, mais encore plus quand ma compagne me la donne avec un chausson.

Je n’avais pourtant pas le choix. Désobéir pendant une fessée se traduit par une très très sérieuse fessée, je ne voulais pas en arriver là. Je pris l’une de ses pantoufles et je la lui tendis. La fessée rerprit, mais elle ne dura pas bien longtemps.

« Tu m’as donné une pantoufle trop molle. C’est une des tiennes que je veux ! »

A la différence de ceux de ma compagne, mes chaussons ont une semelle semi-rigide, ce qui fait que quand elles arrivent sur mes fesses, la cuisson est bien plus importante.

« Mais tu en as déjà une ! »

La fessée reprit. Une dizaine de coups de chausson sur mes fesses. Même si la semelle en était souple, c’était une fessée à prendre en considération et de toute façon, puisque ma compagne en avait décidé ainsi, il fallait y passer. Je lui tendis l’un de mes chausson.

L’effet sur mes fesses fut immédiat. C’était insupportable et Ma compagne y allait de bon cœur, sans doute soucieuse non seulement de punir ma désobéissance initiale, mais aussi de me faire savoir qu’elle n’avait pas été dupe du choix que j’avais fait de lui donner le chausson le moins efficace pour une fessée.

Je crois que pendant un instant je ne me maîtrisait plus du tout. Je hurlais à chaque contact du chausson avec mes fesses et je battais des pieds dans tous les sens. Ces gesticulations désordonnées me firent glisser des genoux de ma compagne et je tombais par terre, à ses pieds.

« Reviens-ici tout de suite ! »

« Oui, Maman, mais pas le chausson, dis-je en reprenant ma place »

« Crois-tu que je vais te demander ton avis ? »

Le chausson reprit sa danse sur mes fesses et la cuisson qu’il provoquait ne faisait que se rajouter à celle qu’il avait déjà engendrée. Mes gesticulations reprirent de plus belle. Il aurait fallu que ma compagne m’immobilisât totalement pour que je demeure sur ses genoux. Sans que je l’aie prémédité, je retombais bien vite à ses pieds.


« Va chercher ton téléphone ! »

Je me relevais, tout heureux que la punition ne dure pas plus longtemps. J’avais l’impression que la fessée avait été écourtée et malgré cela, ma compagne y mettait fin. Il est vrai, que pour une désobéissance légère, j’avais reçu une grosse fessée qui me laissait les fesses sans doute toutes rouges, mais je ne ouvais pas le constater, et ce qui était certain, c’est qu’elles me brûlaient affreusement.

Je remontais ma culotte et mon pantalon bien que ma compagne ne m’y ait pas autorisé, mais il fallait passer devant une fenêtre et mes fesses nues risquaient d’y être aperçues. Ma compagne et moi sommes très attentifs à ce que mon statut de grand garçon fessé, ne soit pas connu des voisins.

Je revins avec le téléphone.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

17 commentaires:

  1. Bonjour JLG.
    Je vois que tu respecte fidèlement les prescriptions de ton coach. Félicitations. Encore une nouvelle fessée. Tu sais moi aussi je m’en suis pris une bonne lundi dernier par Marraine. C’est vrai que je lui avais desobei. Alors je peux te dire que ça n’a pas tardé. Dēs qu’elle s’en est apercu, elle me déculotte et je me suis retrouvé une nouvelle fois sur ses genoux cul nu pour une cuisante correction. Fesses et cuisses toutes rouges. J’ai pleuré et j’ai dû demander pardon à Marraine.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  2. Pascal,
    Respecter les directives de mon coach, sous la surveillance de ma compagne et la promesse d'une fessée déculottée quand mon coach viendra si mes récits ne sont pas sincères, c'est une des conditions de ma responsabilisation et une étape du coaching.
    Au plaisir de te lire,
    JLG.

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  3. Je crois que pour se responsabiliser il n’y a pas plus efficace que la menace d’une bonne fessée déculottée. Et bien sûr si elle était administree en présence d’autres personnes ce serait encore mieux. Ça nous fait vraiment réfléchir avant de faire des bêtises et en tout cas ça nous incite à obéir sans rechignier. L’obéissance c’est ce que Marraine exige de moi et les manquements sont vite sanctionnés. C’est elle qui décide de tout et c’est pour mon éducation. Je doit bien me garder de discuter...sinon je sais ce qui m’attend. Malheureusement mon naturel immature nécessite beaucoup de rigueur et bien sûr d’être corrigé et de recevoir la fessée.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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    1. Pascal,
      Ma compagne pense que plus une fessée est donnée au plus près du moment où l'écart commis est constaté, plus elle est efficace. C'est pour cette raison qu'elle revendique le droit de me déculotter et de me la donner en présence d'autres personnes... quand c'est possible et hélas, comme elle le dit, ce n'est pas toujours faisable. Elle préfère me donner la fessée tout de suite et s'il y a d'autres personnes présentes, c'est tant pis pour moi.
      Par contre, elle ne cherche jamais particulièrement la présence d'autres personnes pour renforcer la honte que je pourrai en ressentir.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Tu sais la fessée donnée dès que la faute est commise est la plus efficace. Je crois que Marraine me la donnerait même en présence d’autres personnes. Pour l’instant elle ne me l’a donnée qu’en présence de la voisine. Mais je pense qu’elle n’hésitera pas à me la donner en présence d’autres personnes si elle le juge utile. Elle m’en menace. J’ai aussi reçu la fessée en extérieur et c’est là que je redouterai le plus d’être vu par des passant les fesses a l’air sur les genoux de Marraine recevant la fessée déculottée.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    3. Pascal,
      Pour ma part, je redoute beaucoup d'être déculotté et fessé devant d'autres personnes, surtout si elles ne sont pas averties de la façon dont ma compagne me discipline. Si c'est en extérieur, le risque est beaucoup plus grand, mais cela n'arrête pas ma compagne non plus.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    4. Oui moi aussi je redoute beaucoup d’être déculotté et fessé en public. Mais Marraine prétend que c’est la seule façon de me faire obéir si je continue a lui désobéir comme je le fais. Je fais pourtant des efforts pour ne pas me faire prendre mais le goût de l’interdit est trop fort comme tu t’en doutes.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    5. JLG.
      Je suis chez Marraine hier soir. Je lui ai détaillé l’emploi du temps de ma semaine. Aucune bêtises... j’espère pourvoir échapper à une punition. Marraine m’a demandé de l’aider dans le jardin.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    6. Dis mois tu est fessé à la main et aussi avec différents instruments et notamment, le redoutable martinet. Tu avais un martinet avant de connaître ta compagne ou c’est peut-être, elle qui en avait un. L’avez-vous acheté ensemble.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    7. Pascal,
      Ce n'est pas un martinet acheté, mais un que j'ai fabriqué, à la demande de ma compagne. En fait il y en a deux, un à 12 lanières rondes en cuir et l'autre n'en a que 6 de la même matière. C'est pourtant ce dernier qui est le plus redoutable.
      J'attends toujours les récits. Y a-t-il un problème ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    8. Non pas de problème je suis juste dérangé, pardon. Mais ça va arriver.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    9. Moi je n’ai pas eu besoin de m’occuper du martinet. Dès que j’ai rencontré Marraine et qu’elle m’a parlé des corrections auxquelles m’exposaient mes désobéissances et mes bêtises répétées il a été question de la correction essentielle, la fessée déculottée sur les genoux suivie de la mise au coin. Le suite a permis d’évoquer le martinet. Elle est tout de suite allé le chercher dans un tiroir du buffet. C’est un superbe martinet avec un manche en bois clair et six robustes lanières en cuir. Il était tout prêt à servir et Marraine l’agitait devant moi de façon suggestive. Je reconnais que cet instrument me faisait un peu peur, j’en avais mesuré l’efficacité lorsque j’étais ado et cela me rappelait de cuisants souvenirs.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    10. Bonjour JLG.
      Je vois que tu es équipé d’une solide paire de martinets et que tu as pu tester leurs avantages respectifs. Enfin si on peut dire...
      Sois sage.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    11. Pascal et JLG: une astuce pour arrêter vos fessuses de vous corriger puisque vous n’aimez pas la fessee : ça doit être dur car il faut être capable de supporter sans brocher. Faites semblant d’aimer avec des phrases comme « encore » ou j’aime me sentir sur tes genoux etc etc

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    12. Bonjour lecteur anonyme,
      Je parlerai pour moi et laisserai Pascal, s'il le souhaite, faire sa propre réponse. Votre commentaire appelle plusieurs remarques :
      Tout d'abord, vous n'avez certainement jamais reçu une vraie fessée déculottée, que ce soit étant enfant et encore moins étant adulte. Faire semblant quand on a les fesses cuisantes et qu'on sait que la correction n'est pas finie, est une vue de l'esprit. Lorsque je suis à plat ventre en travers des genoux de ma compagne, j'ai bien autre chose à penser que de "faire semblant". C'est une option qui n'existe pas à ce moment-là. Si vous aviez reçu quelques réelles fessées, vous le sauriez.
      Ensuite, je ne pense pas qu'il soit pertinent que ma compagne cesse de me fesser quand je le mérite. Si elle le fait, c'est parce que je lui ai confié le soin rectifier tous les défauts que j'ai et qui sont inconvenants pour un adulte. C'est donc pour mon bien. Elle a déjà réussi à faire changer certains de mes travers et je ne voudrai pas y retomber. C'est elle qui a choisi de me donner la fessée quand j'en ai besoin, et je dois reconnaître que sa méthode a du bon... pas sur le moment, bien entendu, mais à moyen terme. Recevoir la fessée fait partie de ma vie, c'est grâce à l'autorité qu'elle a sur moi que mes comportements immatures sont "admis" par ma compagne qui a les moyens de les rectifier, en me donnant la fessée. Après une bonne fessée, et souvent un séjour au coin, elle peut passer à autre chose. Mes écarts ne restent pas à empoisonner notre vie de couple.
      Enfin, qui vous dit que je supporte la fessée sans broncher ? Ce qui ne se discute pas, c'est sa décision de me déculotter et de me fesser. Ensuite, pendant la fessée, je suis loin de la supporter sans broncher. J'ai beau essayer, je n'arrive pas à rester silencieux, ce qui est un vrai problème quand ma compagne me donne la fessée en extérieur.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    13. Bonjour lecteur anonyme.
      Ce serait bien que tu t’identifies par un pseudonyme. Cela permettrait de savoir à qui on répond sans perdre bien sûr l’anonymat. Tout d’abord merci pour ton commentaire. Pour le reste je m’associe aux remarques de JLG que je trouve aussi pertinentes que justifiées. Marraine m’administre la fessée lorsque c’est justifié et pour corriger les bêtises et mes écarts.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    14. Bonjour JLG,
      Pour moi la fessée n’est pas un jeu, c’est vraiment une méthode éducative et je constate qu’elle m’est nécessaire. Je mesure au fil du temps son efficacité réelle. Mes écarts, et ils sont nombreux, sont immédiatement sanctionnés et ça me fait réfléchir avant de recommencer. La récidive serait puni d’une nouvelle fessée déculottée cette fois beaucoup plus sévère et suivie du martinet. Ah ce redoutable martinet il me fait un peu peur mais il participe pour beaucoup à me faire prendre conscience de mes écarts et à les corriger. Il est dans un tiroir du buffet à portée de main et Marraine n’hésite pas à s’en servir pour mon plus grand bien. La fouettée ça laisse des traces sur les fesses et les cuisses et ça prolonge je t’assure l’effet bénéfique de la punition. C’est un peu la même chose, en pire, pour les orties. J’y ai eu droit aussi et je peux te dire qu’on s’en souvient. Je ne sais pas ce que tu en penses. En tout cas si Marraine me corrige, et c’est souvent le cas, c’est toujours à bon escient et dans mon intérêt. Il m’arrive de pleurer et de gigoter à plat ventre sur ses genoux et de vouloir protéger mes fesses avec les mains, mais elle a vite fait du mettre bon ordre. Je sais que ça ne sert à rien. Je ne sais pas s’il arrive a ta compagne de te donner une paire de gifle lorsque tu rechigne avant la fessée.
      Au plaisir de te lire,
      Pascal

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