samedi 22 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 20 avril 2023 – le soir

Eh oui, s’il y a un deuxième article à la même date, c’est qu’l y a eu une deuxième fessée. Il est publié un peu tard, mais l’ordinateur n’a pas été disponible hier pour écrire cette nouvelle punition.


Je crois que ma compagne était très fâchée après moi et qu’elle a voulu que je m’en rende compte. Elle y a réussi.
Nous avions passé l’après-midi à tondre la pelouse. Elle avait fait la petite partie avec la petite tondeuse électrique et moi le plus grand espace avec la grosse tondeuse. J’étais rentré à la maison le premier et j’avais rangé tout le matériel utilisé.

Il faut savoir, que pour ranger la grosse tondeuse, il faut passer par un portail en bois. Il ferme une grande partie du terrain avec une clôture afin que les chiens ne puissent pas aller sur la route, sur laquelle passent peu de voiture, mais il en passe tout de même. Ce n’est pas que les chiens cherchent à s’échapper, mais il suffirait qu’ils se prennent à courir après un autre animal et trouvant le portail ouvert, ils pourraient se retrouver sous les roues d’une voiture ou l’obliger à faire un écart… donc rien de bon. C’est pourquoi elle comme moi veillons toujours à ce que le portail soit fermé.

Ce soir-là, j’ai donc rentré la tondeuse, me disant que, dès qu’elle serait à sa place, j’allais revenir le fermer. Le laisser ouvert quelques minutes ne pose pas de souci. J’ai donc rangé la tondeuse à sa place après l’avoir nettoyée, j’en ai profité pour arroser les radis dans le jardin, puis remis à leur place quelques outils. Enfin, j’ai enlevé ma tenue de travail et je suis rentré prendre une douche. Les chiens étaient dans leur panier, dans le séjour, la porte fenêtre donnant sur la terrasse était ouverte. Il faisait encore assez chaud pour un mois d’avril. Je me suis donc déshabillé en je suis entré sous le jet d’eau.

J’ai entendu ma compagne rentrer alors que je me séchais. Elle a fait irruption dans la salle de bains.

« Tu as laissé le portail ouvert ! Et si les chiens étaient allés sur la route ? »

J’avais oublié le portail alors que ça ne m’arrive jamais.

« Tu finis de te sécher et tu vas prendre une fessée ! »

Que pouvais-je dire ? La faute était flagrante. Ma compagne attendait de moi que j’assume mes responsabilités comme un adulte et j’y avais encore failli. Il n’y avait qu’une punition qui pouvait solder ce compte.

J’ai fini de me sécher, j’ai enfilé mon pyjama et je me suis présenté devant ma compagne.

« Va m’attendre dans la chambre ! »

J’étais résigné à recevoir cette fessée que je savais amplement méritée. Je m’assis sur le lit mais je n’eus pas à attendre bien longtemps. Ma compagne arriva. Sa détermination et sa colère n’avaient pas diminuées.

« Va me chercher le martinet ! »

« Oh non, pas le martinet ! »

« Quoi ? C’est toi qui décides maintenant ? »

« Non ! »

Le martinet était dans un sac dans le placard où nous rangions nos affaires. Il n’y avait que peu de chemin à faire pour le trouver. C’est un martinet que j’ai fabriqué à la demande de ma compagne : un solide manche de bois que prolongent six lanières de cuir rond dont la longueur a été adaptée pour donner la fessée à plat ventre sur les genoux.

Je le tendis à ma compagne. Elle le posa à côté d’elle et elle me prit par le bras pour m’allonger sur sa cuisse gauche, mon torse reposant sur le lit.

« Laisser le portail ouvert, c’est une grosse bêtise. Tu vas avoir une grosse fessée. »

Sa main claqua mes fesses une première fois, puis une deuxième, de l’autre côté. Je sentais bien qu’elle voulait me faire sentir combien elle avait été déçue par mon manque d’attention. Sa main continua à s’abattre sur mes fesses aussi fortement qu’elle le pouvait. Je ne pouvais tenir longtemps à ce rythme là, mais ma compagne en avait décidé autrement. Lorsque mes fesses commencèrent à me cuire au-delà de ce je pouvais supporter, je tentais d’interposer ma main. Elle fut interceptée aussitôt et remontée dans mon dos. Je ne pouvais plus rien faire pour interrompre cette grêle de claques qui tombait sur mes fesses. Je gigotais sur le genou, je me tortillais, mais rien n’y faisait. La main de ma compagne trouvait sa cible à chaque fois et la cuisson de mes fesses devenait plus qu’insupportable.

La pause dans la fessée n’en marqua pas la fin. Ma compagne me releva.

« Donne-moi le martinet ! »

Je n’y attendais, mais c’est autre chose que d’y être confronté de façon imminente.

« Non, pas le martinet ! »

« Parce que c’est toi qui décides, maintenant ? »

« Non, non... »

Je n’eus pas plus d’une seconde d’hésitation. Je lui donnais le terrible instrument, en sachant les ravages qu’il allait faire sur mes fesses.

Je ne fus pas déçu. Les lanières de cuir cinglaient mon épiderme. Leur extrémité tombait sur le côté et c’est là que ça faisait le plus mal. Je ruais sur le genou de ma compagne, mais je n’avais plus rien pour interposer, mon bras étant toujours tenu dans mon dos.

Je ne sais combien de fois tombèrent les lanières du martinet. Je criais ma douleur, mais cela n’arrêtait pas ma compagne. Je la suppliais, mais rien n’y faisait. La fessée se poursuivait. Il y eut une courte pause.

« Laisseras-tu encore le portail ouvert ? »

« Non, non, je ferai attention ! »

Le martinet reprit son travail

« Tu es sûr que cela ne se reproduira plus ? »

« Non, plus jamais ! »

« J’aimerai en être aussi certaine que toi ! »

Le martinet recommença sa dans sur mes fesses et je l’accompagnais de cris marquant que je ne pouvais plus supporter cette fessée plus longtemps. Elle dura pourtant encore quelques instants. Je ne le crus pas quand ma compagne posa le martinet à côté d’elle.

Mes fesses étaient en feu, certainement marquées par l’application des lanières. Pour combien de temps ? Ma compagne ne me laissa pas le temps de m’interroger plus longtemps. Elle me prit par la main et m’entraîna derrière elle. Nous sortîmes de la chambre et elle choisit un coin dans le séjour où elle me mit. Ma culotte était toujours un peu en dessous de mes genoux.

« Les mains croisées dans le dos ! »

J’obéis à son ordre le plus rapidement possible. Ce n’était pas le moment de prendre une deuxième fessée.

« Si tu bouges… »

L’avertissement était inutile. Je savais ce que je risquais si je n’observais pas une immobilité la plus totale. Elle me laissa là, le nez dans le coin et la culotte baissée, pendant qu’elle préparait le dîner. Je me gardais bien de bouger. Heureusement il n’y avait qu’elle dans la pièce pour contempler ma si piteuse position.

Le lendemain matin, la peau de mes fesses était encore sensible. Ma compagne m’avait donné une grosse fessée, mais elle était totalement méritée.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

4 commentaires:

  1. Là, force est de constater qu’Huguette n’y est pas aller de main morte !
    Cela étant, je pense que vous n’êtes pas prêt de commettre la même erreur à l’avenir ; d’ou le caractère bienfaisant de la fessée.
    A la lecture de vos corrections au fil des jours, je ne peux m’empêcher de penser combien il faut bien se tenir en présence de votre compagne.
    Finalement ceci est très instructif, apprendre à bien se tenir en toutes circonstances.
    Voilà une performance qu’il convient de réussir, au risque d’avoir les fesses bien rouges durant de longues heures.
    Bien à vous, A.

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    1. Cher A,
      Je crois que vous avez bien compris la rigueur que ma compagne met dans mon éducation. Je ne suis, en effet, pas prêt de recommencer la même erreur.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bien fait pour toi. Ça te fera réfléchir...
      Au plaisir de te lire.
      Pascal .

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  2. Cher JLG.
    Cette sévérité tu sais je la comprends d’autant mieux que Marraine applique les mêmes méthodes en ce qui me concerne. Je reconnais que la fessée déculottée est une bonne méthode d’éducation pour de grands garçons comme nous. Avant de faire des bêtises ou de connaître des écarts la menace de la punition nous fait réfléchir. Tout écart sera sévèrement puni nous le savons et nos fesses vont en payer le prix fort.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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