Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 12 avril 2023

C’est mon coach qui a demandé à ma compagne de me donner la fessée d’hier soir. Il faut dire que ma réponse était un peu cavalière. Il m’avait demandé de joindre une pièce-jointe à un message que je lui ai envoyé. J’ai oublié. Quand mon coach s’en est aperçu, il m’a demandé de réfléchir à quelle punition je devais avoir pour cet oubli. Je lui ai répondu qu’un si petit oubli ne pouvait nécessiter une punition, d’autant plus qu’il avait reçu la pièce-jointe que je venais de lui envoyer. Il n’a pas du tout apprécié ma réponse et cela s’est traduit par une demande à a compagne de me donner une fessée, ce qu’elle a fait.

Il était presque 21h00, après avoir rangé tout ce qu’il fallait pour le dîner, quand j’ai ouvert mes courriels. Il y en avait un, de mon coach, envoyé une petite demi-heure plus tôt, en réaction à celui que je lui avais adressé quelques heures auparavant :

Josip !

Je ne suis pas content. Tu sais pertinemment que ce n'est pas à toi de décider si tu dois être puni ni comment mais aux personnes ayant autorité sur toi, c'est à dire ta compagne et celles et ceux à qui ta compagne délègue une part d'autorité.

Le fait que tu n'aies pas joint le fichier annoncé dans un précédent message n'était pas une faute "grave" mais objectivement une négligence coupable vis-à-vis d'une grande personne ayant autorité sur toi et la marque d'une certaine désinvolture. A ce stade, ça ne méritait pas une punition "grave" mais une punition adaptée à un garçon comme toi pour que tu fasses l'effort d'obéir mieux (par exemple des lignes).

En te proposant de suggérer toi-même une punition, il ne s'agissant évidemment pas que tu en décides mais il s'agissait de te responsabiliser pour que - en tant qu'adulte fautif - tu puisses montrer que tu as pris conscience de ta négligence et que tu es prêt à être corrigé pour être incité à faire attention la prochaine fois et à ne pas recommencer.

Résultat : tu ne fais preuve d'aucune responsabilité, tu ne propose rien et tu "ne crois pas nécessaire d'être puni", bref tu désobéis.

Pour cette désobéissance, tu mérites une solide fessée déculottée et, comme Huguette le pense à juste titre, il faut décaler le moins possible la punition de la faute. Je propose donc si ce message est lu à temps qu'après le dîner ce soit fessée, coin et (pipi, les dents et) au lit. Une photo de toi les fesses bien rouges serait appréciée. Si le message n'est pas lu ce soir, la fessée peut être administrée demain.

Bernard

Ma compagne était, bien entendu, en copie de ce message. Il n’a pas fallu la supplier pour qu’elle lui renvoie un message marquant son acceptation :

Bonsoir Bernard 

Je comprends tout a fait votre mécontentement envers mon Josip. Il a a juste titre méritée une grosse fessée. Josip aura la fessée qu'il mérite ce soir après la douche. Demain il feras une punition écrite qu'il vous enverra.

Effectivement, il est préférable de décaler le moins possible la punition de la faute, mais il faut également qu'elle sot donnée par la personne à qui il a désobéi. C'est à dire vous.  Dés que vous en aurez la possibilité il serait préférable de venir à la maison  pour pouvoir vous aussi punir Josip. En avez-vous l'intention ?

Je vous souhaite une bonne soirée,

Au plaisir de converser à nouveau avec vous,

Huguette.

Ce message résume, en quelques mots, toute sa philosophie en ce qui concerne mon éducation : la fessée déculottée en punition de mes écarts, donnée au plus vite dès que la bêtise est constatée, par la personne envers qui j’ai commis la bévue qui me vaut une punition.

C’est pourquoi elle se faisait un devoir de me punir, non sans vérifier que mon coach qui avait décidé de son propre chef que j’avais mérité une fessée, contribuerait, lui aussi, physiquement, à la rectification de mes comportements.

Ce qui était annoncé arriva.

Cela ne s’est pas passé après la douche, mais avant. J’avais encore mon survêtement. Ma compagne avait installé une chaise dans la chambre, l’une de celles qui sert quand il s’agit de me corriger. Elle m’avait ordonné de préparer l’appareil photo en mode prise de vue automatique. Finalement, tout a été prêt.

« Josip, enlève ta veste de survêtement »

Je savais que c’était la première étape de la correction qui m’attendait. Je me suis cependant exécuté. Qu’aurais-je pu faire d’autre ?

« Viens-ici, maintenant ! »

Elle me désignait le sol à droite de la chaise sur laquelle elle avait pris place.

« Je vais t’apprendre à être insolent avec Bernard et à lui désobéir ! »

Tout en me grondant, elle baissa mon pantalon, le fit descendre sur mes chevilles.

« Je te fesserai tous les jours s’il le faut pour que tu comprennes que je veux que tu obéisses et que tu sois respectueux avec toutes les grandes personnes qui, elles, se comportent en adulte, ce qui est loin d’être ton cas. Et en particulier avec Bernard. »

Ma culotte avait suivi le chemin tracé par mon pantalon pendant cette réprimande. Encore une fois, ma compagne m’avait déculotté, faisant fi de la pudeur qui sied pourtant à un garçon de mon âge. Je ne savais plus comment me comporter, d’un côté redoutant la fessée à venir et cherchant à la retarder, mais impatient que cette situation infantilisante s’achève au plus vite. Je n’étais pourtant pas au bout de mes peines.

« Je compte sur lui pour qu’il vienne bientôt te l’expliquer avec sa main sur tes fesses. »

Sa main s’était refermée sur mon bras et elle m’attirait allongé à plat ventre en travers de ses genoux. Je suivis le mouvement qu’elle avait initié. D’une part, je savais que cette fessée était méritée, et d’autre part je n’y pouvais plus rien, la décision de me fesser ayant été prise, plus rien ne la ferait revenir sur sa résolution.

« Est-ce que tu as bien compris ? »

Une première claque tomba sur ma fesse. Elle me laissa alors le temps de répondre.

« Oui, Maman, oui ! »

« Je vais m’en assurer »

Une grêle de claques tomba alors sur mes fesses. Sa main frappait tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, puis elle revenait à son point de départ, non sans oublier, de temps en temps, le haut de mes cuisses. Peut-être deux dizaines de secondes, pas tellement plus, je restais silencieux ; serrant les dents. Puis, quand je commençais à manifester bruyamment la cuisson qui montait de mes fesses, je ne m’arrêtais plus.

La fessée continuant, l’échauffement devint quasi insupportable. Sans que je m’en aperçoive vraiment, mes jambes se tendaient et se pliaient et mes pieds battaient l’air, sans que cela eut un quelconque effet sur la punition qui suivait son cours.

Allongé en travers des genoux, je ne pouvais rien voir de ce que faisait ma compagne. Je n’en sentais que les cuisants effets sur mes fesses et le haut de mes cuisses. J’y reposais, parfaitement disposé pour la main de ma compagne trouve le chemin de mes fesses. Ma compagne me l’interdisant, et sous peine d’une plus deuxième fessée encore plus grosse que la première, je ne me débattais pas. Seules mes jambes gigotaient en tous sens, mais je ne cherchais pas à quitter la position disciplinaire infantilisante dans laquelle, sans grande difficulté, me maintenait ma compagne.

Cela fait partie de la stratégie punitive de ma compagne. Elle exige de moi que je la laisse me corriger comme elle l’estime nécessaire, y compris quand la fessée est très cuisante et quand elle me laisse des marques durables sur les fesses. C’est ainsi, pense-t-elle, que je reconnais sa légitimité à me punir et que je montre le bien-fondé de la méthode qu’elle utilise. Elle considère, qu’à chaque fois que j’ai un comportement ou une attitude immature ou irresponsable, je dois déchoir, le temps d’une punition du statut d’adulte et en perdre toutes les prérogatives.

J’ai senti un léger mouvement du corps de ma compagne, sans que je puisse me l’expliquer, avant que la spatule en bois prenne le relais de sa main. Le bruit, quand elle tombe sur mes fesses, en est plus sec et la cuisson qu’elle provoque en est plus intense. La fessée avec la spatule se poursuivit plusieurs minutes, avant que ma compagne ne s’empare de sa brosse à cheveux.

Je savais qu’elle avait l’intention d’utiliser ces deux instruments. Elle les avaient posés à portée de main. Elle n’a eu donc qu’à tendre le bras pour s’en saisir. Fort heureusement, elle n’a pas beaucoup insisté avec la brosse.

La fessée a ensuite continué à main nue, mais les effets de la spatule et de la brosse se faisaient encore sentir. J’ai été soulagé quand ma compagne m’a ordonné de me remettre debout.

« Va te mettre au piquet, là »

De son doigt, elle me désignait le mur tout proche de l’endroit où je venais de prendre une fessée.

« Les mains sur la tête ! »

Je connais bien la position, j’y ai déjà été mis bien souvent et elle n’a plus besoin de m’expliquer ce qu’elle attend de moi dans ces situations. Cependant, je ne m’attendais pas à ce que quelques dizaines de claques sur mes fesses toujours nues, viennent ponctuer ce moment. La cuisson de mes fesses, ravivées par ces claques supplémentaires m’obligea à quelques contorsions limitées par le bras de ma compagne qui tenait ma taille.

Enfin, elle me laissa finir mon temps de pénitence au piquet.

En fait, ce ne fut qu’une fessée d’une rigueur moyenne. Ma compagne m’a avoué ensuite, alors qu’elle envoyait une série de photos à mon coach, qu’elle ne se sentait pas si légitime que cela à me punir alors que la bévue que j’avais faite et l’insolence qui en a suivi le concernait plus directement lui qu’elle.

Cela augure de prochaines fessées données de la main de mon coach.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

La suivante 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.