lundi 10 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 9 avril 2023

Si je reprends la plume, vous savez que c’est pour répondre à l’obligation qui m’est faite de publier sur ce blog le récit détaillé et circonstancié des fessées que je reçois. Eh oui, j’ai reçu une nouvelle fessée hier soir. C’est ma compagne qui me l’a donnée.

Aurais-je pu l’éviter ? Je l’ai cru à un moment et puis non. Et puis à quoi cela sert-il de vouloir réécrire le passé ? J’ai reçu une grosse fessée et elle était méritée. Il n’y a rien à y redire. Ma compagne m’a corrigé alors qu’elle avait toutes les raisons pour le faire. Peut-être, une prochaine fois, pourrais-je éviter ce qui a mis de l’huile sur le feu et m’a conduit à plat ventre sur le genou de ma compagne ? Nul ne le sait.


J’avais mal commencé la soirée. En revenant dans la maison de ma compagne pour y dîner et y passer la nuit, j’avais oublié d’apporter le sac qui contenait les sous-vêtements nécessaires pour me changer ce matin. Il m’était difficile de refaire l’aller retour avant qu’elle ne rentre. J’aurai dû alors donner des explications sur mon retard et comme c’était le deuxième soir de suite, je ne pensais pas pouvoir couper à une fessée.

J’ai tenté ma chance. Dès son retour je lui ai avoué.

« J’ai un problème, j’ai oublié mes affaires pour demain. »

C’était quitte ou double. J’ai senti qu’elle a hésité. Allais-je me retrouver allongé en travers de ses genoux, la culotte à hauteur de mes genoux ? Fort heureusement non. Elle s’est contenté de me gronder. Je m’abstint de faire valoir les excuses que j’avais préparées. Elles auraient pu être contre-productives. Le repas se passa sans anicroche et je pensais que l’incident était oublié. Hélas…


« Monte dans ta chambre. Il est temps d’aller se coucher. »

Le repas était achevé, la cuisine rangée et comme il était assez tard, il était temps de se préparer pour la nuit. Rapidement, je fus en pyjama, la veste seulement. Quand je dors, je n’en mets pas la culotte, de sorte que j’étais nu en dessous de la ceinture. Les choses se sont gâtées quand ma compagne s’est aperçue que le fond de la culotte que je venais d’enlever, blanche comme il sied tous les week-ends, avait une couleur douteuse. Il y avait une vague trace brunâtre.

« Qu’est-ce que c’est que ça, me dit-elle en me montrant le sous-vêtement ? »

Mes manquements en matière de propreté ont vraiment le don d’agacer ma compagne. Elle considère, à juste titre, qu’à mon âge, je devrai pouvoir faire attention et que me laisser aller sur ce point est vraiment la conséquence d’un comportement immature.

La trace n’était pas importante. J’aurai certainement dû faire profil bas et, avec un peu de chance, l’incident aurait été clos. Inconsidérément, j’ai tenté d’argumenter.

« Mais c’est une trace ancienne. Elle était déjà là ce matin ! »

C’est vrai que je n’avais pas eu conscience, la journée durant, d’avoir fait preuve de négligence sur la question de la propreté de mes sous-vêtements. Je plaidais donc la bonne foie. Ce n’est pas comme cela que ma compagne l’entendit.

« Mais tu te permets de discuter ? »

Une claque atterrit sur ma cuisse.

« Non seulement tu oublies tes affaires pour demain, mais en plus tu fais le fier et tu discutes quand je te gronde ! »

Une nouvelle claque sur le haut de la cuisse. L’histoire des sous-vêtements oubliés venait de refaire surface et ma compagne le vit comme une circonstance aggravante à mon attitude du moment.

« Tu devrais t’excuser pour avoir oublié tes affaires et je n’est même pas entendu de demande de pardon ! »

Elle porta mon tee-shirt à son nez.

« Il ne sent pas bon et il va falloir que tu le remettes demain matin, et avec une culotte sale ! »

« Mais ce n’est pas de ma faute... »

« Et la faute de qui est-ce ? La mienne peut-être ? »

Je sais que je n’aurais pas dû tenter de me défendre, quitte à prendre une fessée qui n’était, de toute façon, pas imméritée. Cela aurait peut-être été un moindre mal.

« Tu vas prendre une fessée ! »

Rien dans la conclusion de ma compagne ne m’étonna.


Elle s’assit sur le lit.

« Mets-toi debout ! »

Je savais que le cycle était enclenché et que maintenant plus rien ne l’arrêterait avant de me retrouver avec des fesses cuisantes. Il valait mieux obéir, montrer ma bonne volonté pour tenter d’atténuer la correction qui s’annonçait. Je me levais. Elle me plaça entre ses deux pieds, puis elle me coucha sur sa cuisse gauche sans qu’un mot ne fut prononcé. La sentence était prononcée, il n’y avait plus qu’à l’appliquer.

Sa main s’abattit sur mes fesses, alternativement de chaque côté. Comme j’ai déjà eu l’occasion de vous en faire part, ma compagne n’a pas besoin d’un instrument punitif pour qu’une fessée produise l’effet qu’on attend d’elle. Rapidement, mes fesses me cuisirent, mais la punition ne s’arrêta pas pour autant. Malgré la douleur, je m’efforçais de ne pas interposer ma main droite. Je savais que ce serait une tentative vouée à l’échec qui ne ferait que renforcer la conviction de ma compagne que la fessée n’avait pas encore été assez sévère.


Quand l’échauffement de mes fesses commença à devenir sérieux, ma compagne cessa de me fesser et elle m’aida à me relever. Ce n’était pas pour signifier la fin de la correction. Je ne me faisais que peu d’illusion.

« Va chercher l’oreiller sur la chaise ! »

Je savais de quoi il était question et ce n’était pas une bonne nouvelle pour moi. Quand je lui ramenais le coussin, elle le posa par terre entre ses deux pieds.

« A genoux ici, dit-elle en désignant le sol ! »

Quoique je fasse, ma compagne serait arrivée à ses fins. Si j’avais tergiversé, je me serais retrouvé, malgré tous mes efforts, dans la position qu’elle souhaitait, mais cela aurait été avec quelques claques de plus sur mes fesses et une cuisson plus accentuée.

Je me mis à genoux, puis ma compagne courba le haut de mon torse sur son genou gauche, dégageant bien mes fesses. La correction pouvait reprendre. La main de ma compagne fit son office sur mes fesses et le haut de mes cuisses. J’avais du mal à rester dans la position qu’elle m’avait assignée. Je me tortillais sur sa cuisse, non pas pour me libérer de son emprise, mais instinctivement, au fur et à mesure que mes fesses s’échauffaient.

« Je vais t’apprendre à oublier tes affaires et après à faire le malin ! »


Je ne remarquais même pas quand elle se munit de ma pantoufle. Par contre, je perçus bien la différence avec sa main quand mon chausson claqua sur mes fesses. Je hurlais de douleur. Toutefois, la couleur de mes fesses, ou l’ampleur de mes cris ne devaient pas être assez explicites de mon repentir. La fessée continuait et dans sa main, la pantoufle transformait mes fesses en une fournaise. Ma compagne la manipulait sans retenue.

« Ose dire que cette fessée n’est pas méritée ! »

« Non, Maman, non ! »

Je n’arrivais plus à rester à genoux entre ses pieds. La douleur était trop forte et je ruais entre ses jambes, sans, pour autant, chercher à me libérer. Je retombais à chaque fois au même endroit, là où, sans peine, le chausson trouvait mes fesses.

« Es-tu sûr que tu as bien compris le leçon ? »

« Oui, Maman, oui, j’ai compris ! »

le chausson claque encore quatre ou cinq fois sur mes fesses, redonnant de la vigueur à mes cris et à ma gesticulation.

« Tu oublieras encore tes affaires ? »

« Non, Maman, non »

La fessée reprit pour quelques instants encore.

« Et tu feras attention à la propreté de ta culotte ? »

« Oui Maman, oui ! »

C’est avec la main que ma compagne acheva la fessée. Enfin, elle me libéra.

« Au lit ! Et je ne veux pas t’entendre ! »

Je me glissais sous la couette, tentant de me faire oublier. La douleur sur mes fesses, elle, se rappelait à mon bon souvenir sans discontinuer.

"Eh bien, tu les accumules, les fessées, toi en ce moment !"

Elle avait parfaitement raison.


Mes fesses me lançaient, mais je n’osaient pas m’en plaindre. Ma compagne me laissa seul quelques temps pour aller rendre sa douche. Quand elle revint, la crème apaisante qu’elle passa sur mes fesses ne suffit pas à en faire disparaître le feu. Heureusement, quand elle me prit dans ses bras, cela me consola un peu de la correction qu’elle m’avait donnée. Je m’endormis avec les fesses cuisantes.

Bien que la douleur se fut atténuée, elle n’a pas disparu ce matin. La peau me tire, me rappelant sans cesse la correction reçue la veille. Ma compagne s’en félicite, ainsi, je n’oublie pas pourquoi je ne suis retrouvé sur ses genoux. Dans la glace de la salle de bain, je vois bien que quand je pose un doigt sur mes fesses, la trace en reste présente pendant un cours instant et une brève rougeur entoure l’endroit où mon doigt s’est posé… comme après un coup de soleil.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

 La première réelle fessée racontée ici 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

64 commentaires:

  1. Oui ces fessées tu les mérites. On attend d’autres corrections méritées.

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    1. Bonjour Pascal,
      Je ne vois pas comment il n'y aurait plus de fessées. Il y aura donc certainement d'autres corrections publiées sur ce blog, puisque les rendre publique est une obligation qui m'est faite, et je peux vous assurer que ce n'est pas ma volonté.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. C’est ton coach qui te demande de rendre publiques tes corrections ?

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    1. Bonjour lecteur anonyme,
      Effectivement, c'est mon coach en accord avec ma compagne, qui a exigé que mes corrections soient rendues publiques sur le blog et sur Quora. Je dois également répondre sincèrement à tous les commentaires que je reçois, comme le vôtre. Si mes réponses ne sont pas jugées, que ce soit par ma compagne, mon coach ou mon interlocuteur sur le blog, suffisamment sincères ou précises ou si elles montrent une insolence ou un je-m'en-foutisme, j'en serai puni. Sans doute une fessée. Pour Quora, je ne suis pas encore arrivé à les publier.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG. Merci de votre sincérité. Nos expériences sont assez semblables. Ça doit être difficile d’avouer qu’on reçoit la fessée étant adulte. Votre compagne est vraiment sévère. J’avais beaucoup apprécié votre texte de l’an dernier et je l’ai souvent relu. Je soupçonne Marraine qui assure mon éducation de l’avoir lu en cachette et de s’en inspirer pour me donner l’éducation qui convient. Et dans cette éducation la fessée déculottée y est pour beaucoup. Pascal.

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    3. Pascal,
      Effectivement, ce n'est pas très facile d'avouer, étant adulte, qu'on reçoit encore la fessée déculottée quand une autre personne en décide. Cependant, tant que cela reste au sein d'un tout petit nombre de personnes, bien que ce soit gênant, cela passe. Ce qui me ferait encore plus honte, c'est d'être déculotté et fessé en public. Là, je crois que la mortification serait très grande.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Et tu crois que tu vas être déculotté et fessé en public par ta compagne ou ton coach... ce serait vraiment humiliant et peut-être efficace. Pascal.

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    5. Pascal,
      Par mon coach, je ne sais pas, à moins que ce ne soit devant des personnes "averties". Mais ma compagne m'a assuré que quand les conditions seront réunies, elle n'hésitera pas à me déculotter et à me fesser en public. J'ai déjà pris quelques fessées en extérieur.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Donner la fessée en public c’est pas facile et c’est ce que je redoute. Mais dès qu’on est puni en extérieur on s’expose même si on est dans un lieu isolé à être vu, par un passant, un cycliste, une auto...c’est la honte. Pascal

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    7. Pascal,
      Je ne sais pas si donner la fessée en extérieur est facile ou pas. Ce que je sais, c'est que la recevoir est difficile. Etre exposé à être vu la culotte baissée en recevant une fessée, fait partie des risques. C'est effectivement la honte.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. Moi aussi ma Marraine m’à fessé plusieurs fois en extérieur. Dans son jardin (aux orties) et pendant des randos en campagne. Heureusement il n’y avait personne mais j’avais très honte et la crainte que quelqu’un nous voit alors que j’étais puni fesses a l’air. Je t’assure qu’on s’en souvient. Je sais qu’elle me fessera en public si je me montre insolent. Alors je fais attention...mais... Pascal.

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  4. Oui être fessé en extérieur c’est vraiment la honte et c’est ce qui rend la punition efficace, on se sent tout petit, sur les genoux, totalement soumis. C’est bien pire que la rougeur des fesses je t’assure. Je crois n’avoir jamais été vu culotte baissée recevant la fessée, mais je n’en suis pas totalement sûr...peut-être une fois un cycliste en vtt, je sais pas. En tout cas il arrive à Marraine de faire allusion à la fessée en présence de certaines personnes, la voisine notamment et d’autres personnes parfois. Je ne dis rien mais je deviens tout rouge. Pascal.

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    1. Pascal,
      Ma compagne pense que l'immédiateté de la fessée, quand elle est nécessaire, est prioritaire sur bien d'autres aspects, en particulier celui d'être vu, par un tiers, la culotte baissée et recevant une correction. Elle pense que les meilleures fessées sont celles qui sont administrées au plus près du moment où l'écart commis a été découvert.
      C'est pourquoi, je sais que j'ai déjà été vu les fesses nues se faisant rougir par la main de ma compagne. Heureusement, cela a été furtif ou de loin (voir ce qui a été raconté sur ce site dans l'article "qui adulte reçoit la fessée par punition"), mais elle m'a promis que si les circonstances le permettaient, elle n'hésiterait pas à me déculotter et à me fesser en présence d'autres personnes. Je sais que si ce sont des personnes qui sont déjà au courant que je reçois la fessée, cela ne se discutera même pas. La présence des ces personnes ne sera pas un obstacle. C'est plus délicat quand ce sont des personnes non averties et qui pourraient assister à la fessée déculottée donnée sous leurs yeux. Il ne faudrait pas tomber sous le coup de la loi, non pas celle qui interdit la fessée pour les enfants, ma compagne et moi ne sommes pas concernés par celle-là, mais celle qui réprime l'exhibitionnisme alors qu'une bonne fessée, même si ma culotte a été baissée en présence d'autres personnes, quand ma compagne me la donne, n'a rien à voir avec cela.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. Tu sais Marraine me gronde souvent et à juste titre mais elle me prévient pas non plus de la suite que je connais et elle n’hésite pas à m’administrer aussitôt la fessée dès qu’elle pense que je le mérite. C’est elle qui décide ayant seule la charge de m’éduquer selon ses méthodes. Elle le fait avec beaucoup de rigueur et je sais que c’est dans mon intérêt pour me faire filer droit. Je ne discute pas ses choix et encore moins ses méthodes. Je sais qu’elle me corrige en fonction des manquements commis. Tu sais elle a la main leste. Elle m’a déjà donné la fessée déculottée devant la voisine après avoir été insolent et ça elle ne l’admet pas. C’est la culotte baissée et la fessée immédiatement. Elle a même donné à la voisine la permission de me corriger si elle me prenait en faute. Certaines personnes savent comment je suis puni même si elle n’ont pas assisté à mes corrections, pour le moment... Lorsque nous faisons une petite rando elle n’hésite pas au besoin à me corriger séance tenante et se soucie peu de savoir s’il y a quelqu’un dans les parages. Jusqu’à présent j’ai eu de la chance, peut-être une cycliste sur son vtt m’a vu déculotté alors que Marraine me rougissait les fesses et je n’en suis pas sûr...tu sais dans ses moments là on pense surtout à protéger ses fesses et à attendre en pleurant que cesse la fessée. Mais il se pourrait bien qu’un jour je sois vu alors qu’elle me corrige en position sur ses genoux. C’est ce que je redoute mais je pense qu’un jour ça arrivera... après tout je sais que je le mérite.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    3. Pascal,
      La fessée déculottée devant la voisine ? Voilà qui mérite un récit détaillé et circonstancié.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    4. Oui je ferai le récit détaillé de ma fessée déculottée devant la voisine, c’est promis, mais ce ne sera pas le premier récit. Et toi as-tu été fessé devant d’autres personnes. Si c’est le cas je pense que tu sauras nous le dire comme tu en as désormais l’obligation...sous peine d’une nouvelle fessée.
      Pour l’instant il ne semble pas que beaucoup vivent la même expérience que la nôtre. Enfin on en voit pas d’échos ici. Ça m’étonne car beaucoup d’hommes auraient besoin de telles corrections en raison de leur immaturité. Je crois surtout que bien peu osent en parler. C’était aussi mon cas...comment avouer cela et reconnaître que l’on a besoin d’être corrigé alors qu’on est adulte, mais la lecture de ton texte de l’an dernier m’a décidé. J’étais content de voir que je n’étais pas le seul grand garçon à recevoir la fessée.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal,

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  5. Bonjour JLG.
    Je vois que nos expériences sont très proches et que tous les deux nous avons besoin d’une autorité ferme qui se traduit souvent entre autre par une fessée déculottée. Moi aussi j’en ai accepté le principe et je ne discute pas l’autorité de Marraine, je sais qu’elle m’est nécessaire. Je suis content que nos échanges puissent se poursuivre.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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    1. Pascal,
      De mon côté j'attends les récits de tes fessées, e particulier celle qui t'a été donnée devant la voisine.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. Oui t’inquiète pas. Je vois que tu as envie du récit de ma fessée devant la voisine. Et d’autres aussi car il y en a beaucoup...et toutes sont méritées. Tu ne vas plus avoir à attendre longtemps, promis.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    3. Pascal,
      C'est que... une fessée déculottée en présence de la voisine, cela me semble tellement improbable que j'ai envie d'en connaître les circonstances et les réactions des différents protagonistes. C'est habituellement plus présent dans les fictions que dans les récits réels (en fait quasiment jamais dans les récits réels).
      J'attends donc de savoir qui, quand, comment et où... et les autres éléments qui ont composé cet épisode.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    4. Récit d’une fessée reçue le 25 mars dernier. Bien sûr c’est Marraine qui me l’a administrée, c’est elle qui a la charge de mon éducation. Vendredi soir j’arrive chez Marraine, je rejoins ma chambre et pose mon sac sur le lit avant de descendre à la salle à manger. Pendant le repas je dois lui faire le compte-rendu de ce que j’ai fait depuis dimanche dernier. Elle veut tout savoir et surtout si j’ai fait des bêtises, enfin c’est elle qui en juge. Elle sait qu’elle doit me tenir de près. C’est vrai que je me comporte souvent comme un gamin. Mon compte-rendu doit être complet et surtout je ne dois tuen publier. Si elle a connaissance d’un oubli c’est le martinet tout de suite. Ce soir tout se passe bien et vers 11 heures je retrouve ma chambre.
      Le lendemain je me réveille vers 7 heures. J’ouvre la fenêtre, il fait très beau. Marraine se lève plus tard. Je vais profiter de ce beau temps pour faire un jogging ainsi que je le fais souvent. Aussitôt ma douche prise, j’enfile un petit short, un teeshirt et des baskets. A la cuisine je mets des gâteaux et une petite bouteille d’eau dans mon sac à dos et me voila dehors.
      Vers 10 heures je passe à la boulangerie pour acheter du pain et je rentre à la maison toujours en petites foulées. Dès la porte refermée, je m’aperçois que Marraine est de très mauvaise humeur et je ne vais pas tarder à en connaître la cause.
      « Dis-moi Pascal, tu as vu dans quel état tu as laissé ta chambre et la salle d’eau. »
      « Mais, Marraine... »
      « Il n’y a pas de mais... ton lit n’est pas fait, ton sac est ouvert, ton pantalon est en vrac sur le lit avec ton slip sale et je te dis pas l’état de la salle d’eau. Non mais tu te crois ou...? »
      Je deviens tout rouge comme un gamin pris en faute. Je sais que je vais être puni. Peut-être echapperais je à la fessée...peut-être. Marraine ne me passe rien. Je vais me justifier mais en fait j’aggrave mon cas.
      « Marraine, pardon, je vais tout ranger. »
      « Tu sais que tu dois obéir sans rechignier. Cent fois je t’ai dit de ranger tes affaires. Tu as déjà été puni pour ça. »
      « Marraine, je sais. Je recommencerai pas. Je vais ranger de suite »
      « Dis-moi je te trouve bien mal élevé. Tu réponds à Marraine, et depuis quand tu te permets ça. J’ai bien envie de te coller une fessée et elle sera bien méritée. »
      « Non Marraine, s’il te plaît. Pas la fessée. Pas la fessée. »
      En fait je sais que cette fessée je la mérite vraiment.
      « Tu vas ranger ta chambre tout de suite et je vais venir pour l’inspection. Allez plus vite que ça. Obéis... »
      Alors que j’arrive à l’escalier, clac clac, deux claques sonores atterrissent sur mes cuisses nues. Je me précipite dans ma chambre et la salle d’eau pour mettre de l’ordre...enfin en apparence. Dans la précipitation je fourre mes vêtements en désordre dans le placard et referme la porte. L’inspection s’avère désastreuse. C’était à prévoir. Marraine redescend au salon très en colère. Je sais que ça va barder, là c’est la fessée assurée. Je trouve que Marraine a été patiente d’habitude la correction est immédiate. Mais je ne perds rien pour attendre. Marraine prend une chaise et la place au milieu du salon, j’ai compris la suite.
      « Allez Pascal et plus vite que ça...maintenant c’est la fessée, »
      Marraine me prend par l’oreille et m’attire vigoureusement vers elle en se dirigeant vers la chaise ou elle prend place. En un instant elle baisse mon pantalon de survêt et mon slip et me bascule sur ses genoux. Mes pieds ne touchent plus le sol. Inutile de riposter. Marraine me tient fermement de la main gauche. De la main droite elle remonte mon teeshirt pour dégager les fesses. Et clac clac...sur une fessé sur l’autre. Et la fessée se poursuit pendant que Marraine continue à me gronder. Mon postérieur est en feu et mes cuisses ne sont pas en reste. Mes geremiades n’y changent rien et mes pleurs non plus. Quelle fessée. Lorsque je me relève en pleurs Marraine me demande de l’attendre. Ce n’est pas fini.
      Pasacal

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    5. Suite. Non ce n’est pas fini... Marraine est allée dans la cuisine et revient avec le martinet. Ce martinet que je redoute tant. Je le vois toutes les fois que je passe dans la cuisine. Il n’est pas là que pour la décoration et je sais qu’il sert aussi à fesser le grand garçon que je suis. Marraine vigoureusement me prend par un bras.
      « Je vais t’apprendre à obéir moi...tiens, tiens et tiens... »
      Marraine lève la main et le martinet cingle mes fesses et mes cuisses déjà bien rouges. Une bonne fouettée au martinet. La fessée terminée je suis mis au coin sans pourvoir remonter mon pantalon, cul nu et en pleurs. Une quart d’heure plus tard Marraine me renvoie dans ma chambre. J’obéis dans demander mon reste craignant que le martinet n’entre à nouveau en action. Alors que je me dirige vers escalier deux paires de claques sur les fesses. Et le remonte dans ma chambre. Parcelle

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    6. Pascal,
      Intéressant, mais pour bien comprendre la véracité de la situation, il nous faudrait plus d'éléments sur le contexte. Comment en êtes-vous arrivé à confier votre éducation et la discipline qui va avec, à votre marraine ? Quels sont vos âges respectifs ? Etc. Tout ce qui pourrait appuyer le réel de la situation.
      Si vous ne souhaitez pas que ces éléments soient redus publics, il vous reste le courriel ou alors un commentaire que je m'engagerai à ne pas publier à condition que la non publication soit très explicite.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    7. Je n’ai rien à te cacher. J’ai un peu plus de la soixantaine et Marraine 56. J’entretenais ce fantasme depuis longtemps et je crois que c’est ton cas aussi. J’ai rencontré Marraine lors d’un voyage. Nous n’habitions pas très loin. J’ai senti que je pouvais lui parler et j’ai commencé à lui faire part de mon fantasme, d’abord à mot couvert et plus explicitement. Elle n’a pas trouvé ça extravagant et on est convenu d’en reparler ensemble. J’ai ensuite pris contact avec elle par mail comme on en avait convenu me montrant plus explicite. Je suis allé chez elle, et ayant fait volontairement une bêtise elle n’a dit que si elle osait elle me mettrait la fessée. C’est exactement ce que je voulais et je crois qu’elle l’avais compris. Je lui ai répondu que je la méritais et immédiatement elle m’a déculotté et fessé. D’un tiroir de son buffet elle a sorti même un martinet. Tu te rends compte... depuis elle a accepté de prendre en charge mon éducation et de me corriger lorsque j’en ai besoin. Je vais souvent chez elle et au moins tous les week-ends. Sa sévérité m’est nécessaire.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    8. Pascal,
      Comment avez-vous pu, la première fois, aborder la question de la fessée disciplinaire pour un adulte avec une autre personne que vous ne connaissiez presque pas ? Elle a dû vous encourager à aller plus loin, en ayant elle-même un penchant pour administrer la fessée (d'ailleurs la présence du martinet le laisse supposer). Cela m'intrigue. Je ne crois pas que j'oserai en parler, même à mots couverts. Parfois, il m'est arrivé de parler avec d'autres adultes de la fessée comme une punition pour les enfants, mais cela n'a jamais débouché sur la question des adultes. Une fois le sujet sur la table, je conçois bien qu'il est possible de devenir plus explicite.
      Encore une précision. Vous dites que vous n'habitiez pas très loin. Dans quelle région cela se passait-il ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    9. Tu sais aborder ce sujet n’a pas été facile. J’ai abordé le thème de la fessée en rigolant et je n’aurais sans doute pas insisté mais j’ai très vite compris que j’avais de l’écoute et cela m’a incité à aller plus loin avec Marraine. C’est vrai qu’elle avait un penchant pour administrer la fessée et le fait qu’elle avait un martinet le démontre. Ensuite dans nos échange par mail on est allé plus loin, éducation, corrections, fessées, martinet... Elle a très vite accepté de s’occuper de mon éducation. Quand à moi je l’ai charge de m’éduquer et de punir sévèrement chacun de mes écarts. C’est désormais elle seule qui décide des corrections que je mérite. C’est un accord qui nous convient à tous deux deux. Et vraiment j’ai besoin de cette sévérité pour contrer ma nature indolente et immature.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    10. Pascal,
      Te rappelles-tu le moment où, pour toi, tu as eu le sentiment que ta marraine était réceptive à l'idée de te donner la fessée, le moment où tu as décidé d'aller plus loin et d'être plus explicite. Quels sont les termes que tu as utilisés et quels sont ceux qu'elle a utilisés qui t'ont fait penser qu'il fallait aller plus loin ?
      Par ailleurs, tu n'as pas répondu à la question que je te posais dans mon précédent courriel (la région dans laquelle ça se passait).
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    11. Désolé je n’ai pas répondu à ta question. Tu crois que ça mérite une fessée déculottée...? Ça se passait en région toulousaine. Pour le reste je te réponds aujourd’hui...
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    12. Pascal,
      Etes-vous toujours en région toulousaine et habitant proche de chez ta marraine ?
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    13. Pour répondre à ta question, oui c’est toujours là cas.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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  6. Bonjour JLG.
    Je vais essayer d’être sincère et de répondre à ta question comme je m’y suis engagé. Avant de connaître Marraine il m’était arrivé d’évoquer avec d’autres adultes la fessée donnée aux enfants en guise de punition, mais cela n’était jamais allé plus loin. Lors d’un voyagé, tu sais, on est plus détendu, en principe. Au cours de ce voyage, au cours d’une visite, il y avait devant nous un groupe d’enfants et d’ados qui chahutaient bruyamment. Cela agissait beaucoup Marraine. J’ai alors cru bon de dire que certains mériteraient une bonne fessée déculottée. C’était un peu risqué mais sans conséquences et on aurait pu en rester là. Mais sur cette réflexion Marraine anodine Marraine a cru bon d’ajouter que cette fessée ils la mériteraient vraiment. Oui une bonne fessée dit-elle, et elle ajoutait qu’autrefois on aurait pas fait autant de manières pour déculotter un gamin, le mettre en travers des genoux et le fesser. Elle même disait y avoir goûter et concluant qu’une bonne fessée n’avait jamais fait de mal à personne. Je n’étendais pas laisser s’éteindre la conversation sur ce sujet et j’avais raison... à suivre.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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    1. Pascal,
      J'attends effectivement la suite. C'est un commencement qui éveille l'intérêt, mais nous n'en sommes pas encore à la fessée donnée à un adulte. Il ne s'agit là que d'enfants et d'ados. Evoquer la fessée déculottée comme une solution adéquat les concernant, n'est pas si exceptionnel que cela. Cela mène rarement à déculotter et fesser un adulte. Mais il y a une suite...
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. Oui il y aura une suite. L’essentiel c’est que ça éveille ton intérêt et j’essaye d’être aussi détaillé que possible comme tu le vois. J’ai eu de la chance parce que ce n’était pas facile. Merci de tes encouragements. Mais je suis tombé sur la bonne personne... J’espère que ce commentaire trouve bien sa place dans un commentaire du journal d’un grand garçon fessée. En tout cas je m’efforce d’être le plus précis possible comme tu me l’as demandé.
      Bien à toi et au plaisir de te lire.
      Pascal

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    3. Pascal,
      Nous sommes effectivement sur la bonne voie. Ce que tu racontes donne de la crédibilité à ton récit. Cela permet de comprendre le début du parcours qui t'a conduit à plat ventre sur les genoux de ta marraine, la culotte baissée.
      J'attends donc la suite.
      Au plaisir de te lire,
      JLG

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    4. Suite. La discution était bien engagée. Je lui avouais que moi aussi j’avais goûté à la fessée étant plus jeune et poussais même l’audace à dire qu’il n’y avait pas d’âge pour la recevoir lorsqu’elle était méritée. J’observais sa réaction, le sujet semblait ne pas la contrarier du tout. Dans le cas contraire on serait passé à autre chose. Mais son attitude m’incitait à poursuivre et à ne pas abandonner le sujet. Elle renchérit en m’approuvant sur le fait qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée. Je faisais part d’un certain scepticisme de convenance tout en affirmant que ça ferait du bien à certain grands garçons. Avait-elle déjà administré la fessée. Oui elle l’avait donné à des gamins lorsqu’elle était enseignante. Je lui demandais si elle avait puni de grands garçons. Non jamais, mais en confidence elle me confiait en avoir souvent eu envie. L’immaturité, la nonchalance et l’irresponsabilité de certains lui étaient insupportables et elle aurait eu envie de les punir mais ça ne se faisait pas. Pourtant ça leur ferait du bien concluait elle. La voie était peut-être ouverte. Je devais pousser plus avant. Que risquais- je...le ridicule...une paire de claques... je lui demandais tout de go ce qu’elle pensait de moi. La question ne parut pas l’étonner, c’était bon signe. Elle n’avait pas vraiment d’idée mais trouvait déjà que j’avais du mal à me plier aux règles au cours du voyage et à un minimum de discipline. Je lui demandais aussitôt ce qu’elle en pensait. Elle me trouvait sympathique mais mon indiscipline la gênait. Je lui demandais si c’était vrai. Oui, c’était gênant. Je lui demandais si elle me trouvait immature. Oui un peu comme les garçons dont elle parlait tout à l’heure. Je lui affirmais que pourtant j’avais été bien éduqué. Elle n’en doutait pas mais pensait que beaucoup avait été oublié, mais elle avait peur de me vexer en disant cela. Je la rassurais, non elle ne me vexait pas du tout, au contraire, j’avais besoin de savoir. Moi dit-elle j’aime l’ordre et la rigueur, alors vous savez... Et moi, alors vous pensez que j’aurais besoin d’une reprise en main. Et elle, ça c’est vous qui le dites et je ne peux pas vous démentir ça c’est sûr. Ce que je peux vous dire c’est que si j’avais autorité sur vous je vous ferais changer d’attitude. Et moi, vous savez il y aurait du travail.
      A suivre.
      Pascal

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    5. Pascal,
      Effectivement, je vois bien la direction que prend la conversation. Est-ce exagéré que de demander s'il est possible de décrire le cadre dans lequel a eu lieu cet échange ?
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    6. Le récit que tu viens de lire te permets déjà de voir la direction que pend la conversation. On en arrive progressivement à l’autorité, à la discipline et et moyen de les faire respecter. On a déjà parlé de la fessée mais il reste encore beaucoup de choses à préciser. Il reste encore une suite et je donnerai des infos sur le cadre de cet échange qui n’a rien d’extraordinaire. Tu vois je tiens à ce que mon récit soit très précis et détaillé. C’est ce sur tu veux je crois... Tu crois qu’il y a beaucoup de personnes qui attendent la suite...?
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    7. Pascal,
      Nous (surtout toi) sommes sur la bonne voie. Nous attendons que tu continues. Difficile de dire combien de personnes attendent la suite. Il y a environ 300 personnes qui ont consulté l'article. Ont-ils tous lu les commentaires ? Nul ne le sais !
      Au plaisir de te lire,
      JLG

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  7. C’est le récit tel que tu le souhaites dans ton journal d’un grand garçon fessé...?
    Pascal

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    1. Pascal,
      Oui, c'est ce genre de récit qui témoigne de la réalité des adultes qui reçoivent la fessée... pourvu qu'ils soient réels.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. les tiens aussi sont réels il me semble...ça me fait plaisir de les lire car ils ressemblent à mon expérience... tu sais que je les attends avec toujours la même impatience.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    3. Pascal,
      J'ai réellement reçu chacune des fessées dont je publie le récit sur le blog depuis un peu moins d'une semaine. C'est une des conditions fixées par mon coach et approuvé par ma compagne pour m'aider à devenir plus responsable et plus mature.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    4. Moi aussi le récit que j’ai fait et les suivants sont bien réels et administrés par Marraine pour mon éducation et c’est vraiment nécessaire.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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  8. Bonjour JLG.
    Tu me dis que 300 personnes ont consulte l’article. C’est bien, non...
    Mais il y a peu de commentaires, c’est dommage.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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    1. Pascal,
      C'est comme ça sur les sites informatiques. Peu de personnes laissent des commentaires.
      J'ai dit que 300 personnes ont consulté la page. Je ne sais pas combien ont lu le commentaire en question.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. Peu importe après tout. Je pense quand même que quelques uns l’ont lu. Et puis il y aura d’autres consultations.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    3. Suite. Me faire changer d’attitude, c’était ce qu’avait dit Josette. La conversation allait dans la bonne direction et c’était déjà elle qui la menait tant elle paraissait autoritaire. Je lui avouais que j’étais plutôt indocile mais cela me l’impressionnait pas. Indocile et immature surtout répétait-elle sans plus de retenue mais je vous assure que je vous ferais changer de comportement, nous pouvez me croire. J’étais déjà sous sa coupe. Cette dame me faisait une forte impression, c’était un maîtresse femme. A côté d’elle je faisais figure de petit garçon. Elle m’aurait expédié deux taloches, ça me m’aurait pas fait plus d’effet. Me faire changer, ce mot tournait dans ma tête. Je voulais en savoir plus et j’insistais lourdement ce qui lui déplut. Comment me faire changer, me punirait elle...? J’insistais. Elle affirmait avoir sa méthode éprouvée mais ne voulait pas en dire plus. Ce n’était pas le lieu pour en parler et ça l’énervait. Plus tard ce serait différent mais pas ici, sinon elle se promettait de me donner la fessée devant tout le monde comme un insolent que j’étais. J’étais devenu tout rouge et je me tus. De ce sujet il ne fut plus question de la journée qui se passa sans problème. Elle était devenue plutôt sympa sans perdre son autorité. Le voyage touchait à sa fin le lendemain. Au cours d’une conversation elle m’appris qu’elle habitait près de chez moi, une dizaine de kilomètres. Nous échangeâmes nos adresse, numéro de tel et adresse mail. Je ne pu toutefois m’empêcher de revenir sur le sujet de mon immaturité. Cela ne l’a pas étonné cette fois. Oui elle me trouvait indiscipliné et immature et j’avais vraiment besoin d’être éduqué. Je lui demandais tout de go si une reprise en main s’imposait avec les punitions qui vont avec. Elle hocha la tête en signe d’approbation. On était de toute façon convenu de se revoir dès notre retour. A suivre.
      Pascal

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    4. Demain matin tu auras la fin de mon premier contact avec Marraine. Où nous avons convenu de la suite et de la façon dont elle allait me prendre en charge. Inutile de te dire que dès mon retour de voyage j’ai préparé un mail pour Josette et il y en a eu beaucoup d’autres.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal,

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    5. Bonjour Pascal,
      Où s'est tenue cette conversation ? Dans un précédent courriel, tu a parlé d'une conversation dans une file d'attente. Je suppose que ce n'est pas là que s'est déroulée, celle que tu évoques ci-dessus.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    6. Pascal,
      Je note que le prénom de ta marraine, c'est Josette. Cela fait très années 50 et il est tombé en désuétude depuis. En 1967, c'était déjà un prénom très rare.
      Au plaisir de te lire,
      JLG

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    7. Bonjour JLG.
      Marraine est en effet née en 1967. La réflexion sur les gamins chahuteurs s’est tenue dans la file d’attente, mais la suite c’est après la visite en ville, on était que tous les deux, c’était une après midi libre.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    8. Suite. Dès mon retour de voyage j’avais hâte de reprendre contact avec Josette. Notre conversation tournait en boucle dans ma tête. Je me précipitais sur mon ordi pour lui envoyer un mail. Nos échanges de mails par la suite furent très nombreux. Dans mon premier mail je revenais un peu sur notre conversation passée. Mais cette conversation avait été interrompue par elle de façon péremptoire et reprise sommairement le dernier jour, je craignais donc de la braquer et restais assez prudent. Sa réponse fut immédiate. Elle n’élevait rien sur ce qu’elle m’avait dit sur mon immaturité, et mon manque de discipline chronique et j’en passe. Je m’empressais de reconnaître qu’elle avait entièrement raison et que j’avais effectivement besoin d’une sévère reprise en main ce qu’elle confirmait aussitôt. Son message était clair, s’il ne tenait qu’à elle, elle trouverait des solutions pour me faire changer d’attitude, sans préciser comment elle allait s’y prendre. Je confirmais en avoir le plus grand besoin et lui demandais si elle allait me punir. Et oui c’était ça elle allait me punir, enfin si je le voulais bien. Elle croyais que ses propos avaient été assez clairs et que je l’avais compris. Elle me demandais de bien réfléchir ce que je fis pendant deux jours au moins. Un nouveau mail de la part lui faisait part de la réflexion, j’avais d’être vraiment éduqué. Elle me proposait alors de venir la voir chez elle ce que je fis dès le lendemain. Arrivé chez elle, je suis très bien accueilli et nous rentrons très vite dans le vif du sujet le tutoiement étant devenu de rigueur. Elle voulait bien se charger de moi mais elle posait ses conditions. Mon attitude nécessitait effectivement que je sois régulièrement puni lorsque je le méritais. Elle ne cachait pas que pour elle me corriger cela voulait dire m’administrer la fessée déculottée en travers de se genoux et bien sûr si nécessaire le martinet. Par ailleurs ce serait elle qui déciderait de tout et je devrais obéir immédiatement sous peine d’être fessé. Elle me demandait si elle avait été assez claire. Elle l’avait été en effet et je reconnaissais que c’était vraiment ce dont j’avais besoin. Par ailleurs je devais lui détailler tout ce que je ferais entre mes visites chez elle. C’était, compte tenu de mon immaturité, ce que je voulais être traité comme un gamin. Surtout je ne devrais rien contester de ses décisions prise dans mon intérêt. Les punitions ce serait elle et elle seule qui en déciderait. A suivre,
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    9. Pascal,
      Une fois arrivé à ce stade, je vois bien comment la fessée est devenue la méthode corrective par excellence pour corriger tes défauts.
      Je suis maintenant intéressé pour entendre comment ta marraine a décidé de te déculotter et de te fesser devant la voisine.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    10. Je vois que le récit de la fessée déculottée donnée devant la voisine t’intéresse. C’est moi qui t’en avait parlé. Et c’est vrai qu’elle fut sévère et humiliante mais justifiée. Ne t’inquiète pas maintenant que j’ai fini là première partie (les premiers contacts avec Marraine) je vais m’y mettre comme tu me l’as demandé.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    11. Pascal,
      Je dois avouer que je suis curieux des circonstances qui ont amené ta marraine à te déculotter et à te fesser devant une personne que tu rencontres certainement souvent.
      Cette situation ne m'est jamais arrivé et je ne voudrais pas y être confronté. Il y a, bien sûr la fessée elle-même et si j'ai bien compris, celles que te donne ta marraine ne sont pas une partie de plaisir. Il y a aussi d'avoir la culotte baissée devant une autre personne, je pense que la honte doit être à son comble. Mais il y a aussi les prochaines rencontres avec cette voisine et le regard qu'elle peut porter sur toi, maintenant qu'elle a pu constater comment tu étais puni. En plus, si j'ai bien compris, ta marraine lui a donné le droit de te déculotter et de te fesser quand elle pensera que tu l'as mérité.
      Au plaisir de te lire,
      JLG

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    12. Oui la fessée de Marraine est très sévère et elle laisse mes fesses rouges. Je pense que pour toi ça doit être pareil. Devant d’autres personnes c’est pire bien sûr avec la honte,
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    13. Il me semble que la dernière partie du texte sur la première décintre avec Marraine ne figure pas dans les commentaires,
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    14. Pascal,
      Il manque une partie de ce que tu as écrit ? Je n'ai pourtant rien en attente de validation.
      Au plaisir de te lire,
      JLG

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    15. Il va falloir le réécrire. Il a dû y avoir un problème de validation.
      Au plaisir de te lire
      Pascal

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  9. La dernière partie du texte qui relate la première rencontre avec Marraine se prépare. Je vais de la faire parvenir très vite.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  10. bonjour JLG.
    Lors de cette première visite Marraine avait été très claire sur ses intentions. Elle acceptait de me prendre en charge mais je devais me plier à ses règles qui n’étaient pas négociables. Je lui manifestais mon accord. Dans ces conditions elle ne voulait plus que le l’appelle « Josette » mais « Marraine ». Cela me paraissait logique pour accomplir la mission que nous avions acceptée tous les deux. Marraine avait apporté du café et des gâteaux, mais avant mon départ elle voulait me montrer quelque chose. Il se dirigea vers le buffet, ouvrit un tiroir et en sortit un martinet qu’elle agitait de façon suggestive avant de le poser sur la table. Elle tenait à me le montrer. Mes yeux étaient rivés sur le martinet avec son manche en bois clair et ses six lanières en cuir brun. Elle affirmait sur un ton péremptoire que ces belles lanières allaient bientôt faire connaissance avec mes fesses. Je n’arrivais pas à détacher mon regard du martinet. J’étais troublé et déjà l’autorité naturelle de Marraine faisait grande impression sur moi. Dans l’émotion, et d’un geste malencontreux, je renversais une tasse à café dont le contenu se repentit sur la nappe. J’aurais dû me confondre en excuses mais aucun mot ne sortit de ma bouche. J’étais tétanisé. Mon silence ne fut pas de son goût. En plus d’être mal élevé j’étais maladroit. On allait commencer sans attendre a remettre bon ordre à tout ça. Il y avait du travail, inutile d’attendre. Marraine se leva, mît une chaise au milieu de la pièce et se dirigea vers moi en me grondant. J’allais voir ce que j’allais voir. Elle me prit par l’oreille et m’attira vers la chaise ou elle prit place. « Allez mon garçon. Tu vas être puni. Ici s’il te plaît » et comme je ne répondais rien elle me dit qu’il faudrait être un peu plus poli à l’avenir. « Alors je t’écoute. »
    « Oui Marraine, pardon. »
    « En attendant c’est la fessée »
    En un instant mon pantalon de survêt et mon slip furent descendus et elle me bascula sur ses genoux.
    « Allez en position et les mains dans le dos. »
    Elle remonta mon teeshirt et sans attendre une rafale de claques s’abattit sur les pauvres cuisses et sur mes cuisses. La cuisson de la fessée me faisait oublier la honte de ma position sur ses genoux. Cette première fessée fut longue et méthodique. Elle me grondait sans cesser le va-et-vient de la fessée. Lorsque je me relevais j’avais honte mais je savais la correction méritée. Pour cette fois elle me dispensait du coin et du martinet.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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  11. Je pense que tu as pu lire la fin du récit de ma première rencontre avec Marraine. Maintenant on va pourvoir passer à la suite si tu veux.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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    Réponses
    1. Bonjour,
      J'ai effectivement lu la fin de la première rencontre avec ta marraine. Je pense qu'on peut passer à la suite.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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  12. Oui maintenant la fessée déculottée devant la voisine.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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