mercredi 19 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 18 avril 2023

Si je n’avais pas protesté… sans doute la conclusion aurait été différente. Mais voilà, ce n’est pas ce qui s’est passé et il est difficile de remonter dans le temps pour changer les faits.

Ma compagne a encore dû se fâcher hier soir et me donner une fessée.


La soirée se terminait. J’étais dans notre lit, en pyjama (en fait, quand je dors, je ne porte que la veste du pyjama. Autrement, il fait trop chaud sous la couette) et j’attendais que ma compagne vienne se coucher à côté de moi après avoir pris sa douche. Tout s’était bien passé. Pas de fessée à l’horizon.

Ma compagne sorti de la salle de bains et fit un détour par les toilettes. Rien que de très normal. Ce qui le fut moins, c’est quand elle sortit. Encore que…

« Josip, qu’est-ce que c’est que ça ? »

Elle pointait son doigt vers l’intérieur des toilettes de sorte que je ne voyais rien.

« Quoi ? De quoi tu parles ? »

« Le rouleau de papier, pourquoi ne l’as-tu pas changé ? »

« Mais il n’était pas fini ! »

« Non, il restait une feuille ! »

La conversation était mal engagée pour moi, ou plus exactement pour mes fesses. Je le sentais bien.

« Et c’était sans doute à moi de le faire, poursuivit-elle ? C’est toi qui as été aux toilettes avant, tu n’aurais pas pu le faire ? »

« Oui, bon... »

Je n’ai pas pu aller plus loin.

« Lève-toi ! »

Je sortais du lit.

« Va le changer ! Et plus vite que ça ! »

Dans la tenue que j’avais adoptée pour me coucher, cela voulait dire passer à côté de ma compagne, donc avoir mes fesses nues à portée de sa main. Cela ne loupa pas. Je pris une bonne claque sur les fesses.

« Dépêche-toi ! »

Dans les toilettes, je pris un rouleau et je le mis à la place de celui qui était maintenant vide.

« Voilà, c’est fait ! »

Je me tournais vers ma compagne, avec peut-être une lueur de défi dans le regard.

« Bon, ce n’était pas si grave ! »

Ma compagne répondit par une grêle de claques qui tombèrent sur mes fesses nues.

« Pas si grave et tu ne pouvais pas être un peu attentif à ceux qui viendraient après toi ? A qui était-ce de le faire ? Quand cesseras-tu d’être aussi négligent ? »

« Aïe ! Mais je n’ai rien fait ! »

Je tournais mes fesses vers le mur pour éviter le feu que sa main y provoquait. Mes gesticulations l’empêchèrent sans doute de mener cette fessée à son terme comme elle le souhaitait.

« Mets le rouleau vide dans la poubelle ! »

« Mais non, pas dans celle-là. C’est dans celle du recyclage qu’il faut le mettre. »

Comme dit ma compagne, mes arguties l’agacent et mon attitude montrait peu de repentir. Et là, ce n’était pas le bon moment pour exercer mes talents.

« Va le mettre dans la bonne poubelle. Tu vas avoir une fessée. »

J’avais été trop loin dans la provocation. Maintenant il était trop tard. Je n’avais jamais vu ma compagne revenir sur une telle décision, une fois qu’elle l’avait prise.


J’allais déposer le rouleau dans la poubelle adéquat. Le temps que je pris pour faire l’aller-retour sembal trop long à ma compagne.

« Dépêche-toi ou je vais cherche le martinet ! »

J’avais effectivement un peu traîné, pas pressé de me retrouver face à ma compagne pour y recevoir une fessée. J’espérais trouver une idée géniale qui m’aurait épargné la correction. Hélas, il n’y en eut pas qui me vint à l’esprit. Je rentrais dans la chambre.

Ma compagne m’y attendait, assise sur le lit. Entre ses jambes écartées, il y avait la place que j’allais occuper durant les quelques minutes à venir. Elle était visiblement prête à exercer son devoir de correction. « Viens ici ! »

Ici, c’était debout entre ses deux pieds. Là où elle n’aurait plus qu’à me coucher sur sa cuisse gauche, avec mes fesses nues à portée de sa main. J’obéis. Ce n’était plus le moment de tenter quelques manœuvre que ce soit, au risque de voir intervenir le martinet dans notre conversation, ou plutôt dans celle que sa main allait avoir avec mes fesses.

Une seconde plus tard, j’étais en position. Elle referma ses jambes sur les miennes, entravant toute possibilité de mouvement. C’était l’heure de la fessée promise. Ma compagne avait vraiment été très irritée par mon attitude. Elle me le fit savoir en appliquant longuement et vigoureusement, très vigoureusement sa main sur mes fesses. Je criais, je me tortillais sur son genou, mais la fessée alla à son terme, celui que ma compagne avait choisi.

Après avoir présenté mes excuses, j’eus le droit de me remettre dans mon lit.

Ce matin, mes fesses étaient encore légèrement rouges.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

14 commentaires:

  1. Dis-moi les fessées actuellement ça tombe comme la grêle chez toi. Et apparemment ça laisse de belles traces. Toujours aussi négligeant..
    Heureusement il y a ta compagne pour te faire filer droit. Et la fessée déculottée est la meilleure façon d’y parvenir.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  2. On sait combien Marraine ne me passe rien. Je sais dépendant qu’elle ne me corrige que dans mon intérêt et les punitions qu’elle m’administre je les mérite assurément. Les punitions me sont données dans un cadre privé et parfois et extérieur et cela de plus en plus souvent. Sont ces fessées que je redoute le plus de crainte d’être vu alors qu’elle m’administre la correction déculottée sur les genoux. Elle ne fait pas mystère à sa voisine de la façon dont elle me punit qui selon elle a fait ses preuves. Jusqu’à présent la voisine n’avait jamais assisté à une de mes punitions et je redoutais que cela se produise une jour. Cette voisine, je reconnais que je ne l’aimais pas beaucoup. Elle me faisait penser à une mégère. Et ce qui devait arriver arriva en janvier dernier un samedi soir où j’étais chez Marraine. J’étais allé faire des courses à sa demande. Vers cinq heures je rentre à la maison charge de provisions. Dès la porte franchie, je constate que la voisine est venue prendre le thé chez Marraine et cela m’agace. Je traverse la salle à manger sans dire un mot étant un peu contrarié. Marraine se lève d’un bon et me rejoint à la cuisine pour ranger les privions, tout au moins c’est ce que je pensais. En fait elle est très fâchée et me gronde vertement pour mon impolitesse. « Alors dis-moi, on passe sans dire bonjour. Pour qui te prends-tu mal élevé. » et je réponds « Tu as invité cette chouette ». Cette réponse excède Marraine. Je redoute le pire. «je vais t’apprendre la politesse. Viens ici tout de suite ». Elle me prend par l’oreille et m’attire dans le salon

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    1. Bonjour Pascal,
      Tu es passé vite sur un moment qui me paraît essentiel : comment ta marraine a-t-elle mis au courant sa voisine de la façon dont elle te punissait. Ce n'est pas habituel de parler de ces choses, surtout quand il s'agit d'un adulte. Ce serait bien que tu détailles de quelle façon "elle ne fait pas mystère, à sa voisine, de la façon dont elle me punit". Comment s'y est-elle pris pour lui en parler la première fois ?
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. Suite. Tiré vigoureusement l’oreille je me retrouve tout rougissant face à la voisine. Marraine sans me lâcher l’oreille s’adresse à elle.
      « Vous voyez une ce mal élevé. Il ne dit même pas bonjour. Et en plus, vous ne l’avez pas entendu, il vous a manqué de respect en vous traitant de chouette, mais je vous assure qu’il va être puni. Et d’abord demande pardon. »
      Tenu par l’oreille, les joues cramoisies, je me tourne vers la voisine.
      «Pardon, Madame, excusez moi, je portais les courses. Pardon... »
      Marraine me tire encore plus fort l’oreille. «On ne dit pas je m’excuse, mais excusez-moi. Je te l’ai déjà fait remarquer. »
      «Oui pardon, Marraine, je sais et je recommencerai pas, pardon. »
      Je sais que mon attitude va être sanctionnée, Marraine ne va pas laisser passer ça. Et si je recevais la fessée. J’ai déjà honte d’être traité comme un gamin et je sais pourtant que je le mérite. La suite que je redoutais ne tarde pas.
      «Tu ne crois pas t’en tirer comme ça mon garçon, ça non. Je vais te coller une bonne fessée et reconnais que tu l’as méritée. »
      «Oui Marraine j’ai mérité la fessée, mais pardon, non pas la fessée , pas maintenant, s’il te plaît, pas la fessée. »
      J’ai beau essayer de me justifier je sais que cela n’aura aucun effet, la fessée je la mérite et je l’aurai. Sous le regard de la voisine, Marraine n’attire vers une chaise ou elle pend place et d’une geste sec elle baisse mon pantalon de survêt et mon slip avant de de basculer sur ses genoux. La fessée démarre en trombe sur mes fesses et mes cuisses. Les aller-retours s’accélèrent et mes jérémiades n’y changent rien. Marraine me gronde sans cesser de fesser vigoureusement. Clac clac clac... Mes fesses sont en feu. Cette fessée est interminable. J’ai honte mais je sais que cette fessée je l’ai méritée. Lorsque la correction se termine enfin Marraine remonte ma culotte et me demande de dire pardon a la voisine ce que je m’empresse de faire de crainte d’une nouvelle punition.
      «Et maintenant file dans ta chambre et plus vite que ça si tu ne veux pas goûter au martinet. Aujourd’hui tu accumule les bêtises alors tu sais ce qui peut t’arriver... »
      « Oui Marraine, oui le martinet... »
      «alors que je ne t’entende plus. »
      Et s’adressant à la voisine : « ce grand garçon a vraiment besoin d’être puni, alors s’il se comporte mal avec vous ou vous manque de respect, n’hésitez pas, je vous autorise à lui donner la fessée. »
      Cette dernière réflexion met ma honte à son comble. Je me dirige vers l’escalier et en un instant je suis dans ma chambre à plat ventre sur le lit.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    3. Josip, je reviens sur la cas de la voisine comme tu le souhaites. Marraine et la voisine étaient assez proches et se recevaient souvent. Aussi je la voyais de temps en temps à la maison. C’est vrai que je ne l’aimais pas beaucoup mais je devais l’accepter de bonne ou de mauvaise grâce. Je redoutais le moment où Marraine lui ferait des confidences sur sa façon de me punir parce que je savais que ce jour arriverait. Et en effet il est arrivé. Un jour que nous étions dans le jardin chacun de notre côté, moi dans le jardin de Marraine et la voisine dans le sien, les deux femmes se parlaient lorsque d’un geste maladroit, alors que j’aidais à arracher des herbes. je cassais une potiche en terre à laquelle Marraine tenait beaucoup. Elle m’a grondé devant la voisine. Et de mon côté je soutenais que ce n’était pas bien grave. Elle me promettait de me punir comme je le méritais. C’est à ce moment là qu’elle lui a indiqué comment elle me punissait. Sans autre forme de précaution elle lui a évoqué la fessée. La voisine n’en fut pas étonnée. De mon côté la tête basse, tout honteux je rentrais à la maison bien heureux de ne pas recevoir la fessée devant la voisine. Je n’ai rien perdu pour attendre.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    4. Pascal,
      Pour bien comprendre, il nous manque les mots qui ont été utilisés par ta marraine et les réactions de la voisine.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    5. Après que la potiche soit cassée par ma faute, Marraine m’a grondé sévèrement. Je me doutais de ce qui allait arriver. Je redoutais par-dessus tout de recevoir la fessée devant la voisine. Heureusement ça m’a pas été le cas, mais elle m’a fait bien honte.
      «Non seulement tu es maladroit mais tu n’écoutes rien de ce que je te dis. Je t’avais pourtant interdit de t’approcher de ce parterre. Je te l’avais interdit, oui ou non... »
      «oui Marraine, pardon, mais je ne l’ai pas fait exprès. »
      «il ne manquerai plus que ça que tu l’est fait exprès. Qu’est-ce que tu fais de mes interdictions. »
      «Pardon Marraine. pardon. »
      «Tu sais que tu vas être puni, ça je te le promets. »
      «Mais Marraine... »
      «Et il n’y a pas de mais qui tienne. »
      Et s’adressant à la voisine :
      «Oui il va être puni et je t’assure qu’il le mérite. Ça commence à bien faire aujourd’hui.
      Et la voisine de répondre en souriant :
      «Josette, vous connaissez l’expression, vaisselle cassée c’est la fessée... »
      Et Marraine de répondre aussitôt :
      «Et bien vous croyez pas aussi bien dire parce que sa fessée, je vous assure qu’il va se la recevoir. »
      «Alors comme ça vous lui donnez la fessée à ce grand garçon. »
      «Et comment que je la lui donne la fessée lorsqu’il la mérite. »
      «Si tout le monde faisait comme vous tout irait mieux je vous assure.
      Que de fessées qui se perdent et il n’y a pas d’âge pour le recevoir. Et une bonne fessée déculottée ça n’a jamais fait de mal à personne. »
      La voisine approuvait Marraine et en rajoutait même un peu pour ma plus grande confusion.
      J’étais rouge de honte et je suis vite rentré à la maison. Lorsque Marraine est arrivée un peu plus tard, elle a eu vite fait de me baisser la culotte et de me prendre sur ses genoux et de m’administrer la fessée déculottée que j’avais bien méritée.
      Pascal.

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  3. Bonjour Josip,
    Les fessées tombent régulièrement et au vu de tes récits il me vient une multitude de questions :

    Comment ça a commencé ? Ta fesseuse est elle devenue ta compagne ou bien cette dernière a un jour décidé de te fesser ? Quand on fait connaissance, tout va pour le mieux et point n'est question de discipline, tout au plus de concessions. Alors la première, après combien de temps d'union ?

    Qu'en est il aujourd'hui des démonstrations d'amour ? Non pas que veuille être indiscret, mais beaucoup d'anglo saxons qui disciplinent appliquent les 3C : Confront : mixe en évidence de la faute que l'on fait accepter
    Chastise : C'est la punition
    Confort : revient à consoler à exprimer le pardon et faire comprendre que l'on aime.

    Peut on garder un sentiment d'adulte responsable, une liberté de choix si les punitions tombent pour des futilités. Je comprends que l'on soit puni pour une dépense inconsidérée, une faute aussi grave que conduire en excès de vitesse sous l'emprise de l'alcool, mais pour ne pas changer le rouleau de papier toilettes, ça me dépasse.

    Ta compagne te demande la perfection, mais c'est une chose qui n'existe pas, alors est elle parfaite ? tout porte à croire que même belle personne elle peut avoir des défauts. Se laisserait elle discipliner par tes soins en cas de faute grave, et surtout le voudrais tu ?

    Midivil

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    1. Bonjour Midvil,
      Je t'encourage à lire l'article "qui adulte reçoit des fessées par punition". La façon dont nous nous sommes rencontrés, avec ma compagne, y est décrite. Si tu souhaites des précisions, au-delà de ce qui y est décrit, et si cela ne risque pas de dévoiler notre identité ou d'être trop intrusif dans notre intimité, j'y répondrai.
      Avec ma compagne, nous avons également une vie de couple qui n'est pas racontée dans les articles, avec des moments de tendresse et d'intimité partagée.
      Je pense que tu as mal lu l'article concernant la fessée du mardi 18 avril. Ce n'est pas à cause du rouleau de papier que j'ai reçu la fessée, mais suite à mon attitude défiante, mes provocations et mon absence de reconnaissance de ma négligence. Du point de vue de mon éducation, ce sont des choses très importantes qui justifiaient largement la fessée que ma compagne m'a donnée.
      Ma compagne n'est évidemment pas parfaite, mais ce n'est pas le problème. Aucune personne en charge de l'éducation d'une autre, quels que soient leurs âges respectifs, n'est parfaite. Je ne sais pas si, à l'époque, tu l'as remarqué pour tes parents, mais c'est aussi valable pour eux. La psychanalyse explique ça très bien. Mais ma compagne a en charge de parfaire mon éducation et d'en éradiquer les principaux défauts qui ne cadrent pas avec mon âge. A ce titre, elle a le droit et le devoir de me punir pour me faire comprendre quand j'ai outrepassé les limites autorisées pour un adulte. Elle a choisi une méthode qui consiste à me mettre face à mes immaturités en me faisant déchoir, à ces moments-là, de mon statut d'adulte. C'est pourquoi elle me baisse la culotte quand elle estime que j'en ai besoin et qu'elle me donne la fessée. Je n'ai pas cette responsabilité vis à vis d'elle, il n'est donc pas question que je m'occupe de la discipline la concernant.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Bonjour Josip.
    Tu vois comment la voisine de Marraine a été informée de la façon dont elle me punissait, la fessée déculottée. Bien sûr ça m’a fait honte et j’ai eu l’impression qu’elle me regardait différemment quand je la recentrais. Je les sentais tout gamin. Et puis depuis j’ai été corrigé en sa présence et c’est ce que je redoutais depuis quelques temps. Elle me promet de plus en plus souvent de le déculotter et de me fesser en public. Bien sûr elle ne l’a pas encore fait mais il est rare qu’elle ne tienne pas ses promesses... dernièrement alors que nous étions au marché, une réflexion déplacé de ma part a été suivi d’une réponse cinglante «Si tu continues comme ça Pascal, je te colle une fessée. » quelques personnes ont entendu. Elle m’ont regardé bizarrement et moi, tout honteux, je regardais mes pieds...À notre retour à la maison inutile de te dire sur j’y ai eu droit.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  5. Voilà c’était à prévoir, j’étais prévenu, j’ai reçu une fessée déculottée par Marraine hier soir. Ça m’apprendra à désobéir. Ce matin j’avais encore les fesses rouges.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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    1. Pascal,
      Tu as parlé, à plusieurs reprises, de randonnées et de fessées déculottées à ces occasions. Est-ce à dire que vous marchez beaucoup ? Restez-vous dans votre région d'habitation ? Est-ce que ce sont des randonnées sur plusieurs jours ou ne durent elles qu'une journée ?
      Bref, il serait nécessaire que tu nous donne plus d'information sur ces randonnées et que tu racontes l'une de celles (y en a-t-il eu plusieurs) où ta marraine t'a donné une fessée déculottée en extérieur.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    2. Josip.
      Oui j’ai parlé de randonnées au cours desquelles Marraine m’a donné la fessée déculottée en extérieur. Ces randonnées nous les faisons dans notre région, elles durent en général une journée pas plus. Je te raconterai l’une d’entre elles de façon détaillée comme tu me le demandes. Tu sais ces fessées en extérieur je les redoutes, mais je n’ai pas le choix, c’est Marraine qui décide et elle ne me fesse jamais sans bonne raison. Dans ce cas la correction est immédiate. Dès la faute comme elle me baisse la culotte c’est humiliant mais efficace. Ça fait réfléchir je t’assure.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    3. Josip.
      Ce vendredi soir j’arrive chez Marraine et comme d’habitude je lui fais le compte-rendu de ma semaine, elle me pose aussi des questions. Rien de bien spécial, juste quelques les petites bêtises. Elle a jugé qu’il n’y avait rien qui mérite une fessée. J’étais plutôt rassuré. Le lendemain, comme il devait faire très beau Marraine avait décidé de faire une petite randonnée. Elle avait choisi un circuit bien connu de nous. Elle me recommandait surtout de préparer mon sac pour un départ à 8 heures. Le lendemain à l’heure dite, rien n’était prêt ce qui mit Marraine de mauvaise humeur. La journée commençait mal et déjà je me faisais gronder. Je savais que j’avais à préparer mon sac et je n’avais rien fait. Décidément je n’arrêtais pas de désobéir et j’étais irresponsable comme d’habitude. J’essayais en vain de trouver une excuse mais je savais que cela ne faisait qu’aggraver mon cas. Je méritais vraiment d’être corrigé et je m’attendais à recevoir la fessée. Mais non... Nous sommes donc partis. En cours de route je me suis permis deux ou trois réflexions du genre «Cette rendo on l’a déjà faite cent fois...on aurait pu faire autre chose. » Nous avons rencontré peu de monde, juste quelques marcheurs comme nous et quelques cyclistes en VTT. Après une bonne heure et demi de marche, nous faisons une halte pour grignoter et surtout pour boire mais Marraine s’aperçoit que mon sac est presque vide, seulement un sandwich et quelques gâteaux. Pas la moindre bouteille d’eau...tout oubliée à la maison. Son sac à elle est bourré à craqué. C’est elle qui doit me donner de l’eau. Après avoir bu et mangé elle se mit à nouveau à me gronder et je reconnais que c’était justifié. Maintenant c’était sur, elle allait me corriger et j’allais me prendre une bonne fessée. J’essayais de tergiverser et de trouver une excuse mais je savais qu’il n’y en avait pas, je le savais. La fessée déculottée en extérieur c’était ce que je redoutais par-dessus tout, avec le risque d’être vu par d’autres c’était la honte. Marraine me pend par Le Bras et me courbe sous son bras gauche en me baissant la culotte et le slip. Une fessée magistrale sur mes fesses et mes cuisses qui sont en feu. Au loin une vtt dans un chemin parallèle nous double. Je crois qu’il m’a vu recevoir la fessée mais je n’en suis pas sûr.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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