Donner la fessée, une évidente marque d'attention

Certaines personnes s'étonnent de la demande faite dans l'article publié précédemment sur ce blog, qui proposait à d'autres adultes de venir donner la fessée à Josip, mon compagnon. Cela peut sembler surprenant, d'autant plus que les corrections que je lui administre sont très efficaces. Il pourrait en témoigner. Est-ce alors nécessaire de demander à d'autres personnes de venir faire ce que je fais déjà moi-même avec une pertinence réelle ?

D'autre part, il est possible de se demander comment Josip accepte-t-il d'être déculotté et fessé, entre autres punitions, par des personnes qu'il ne connait pas qu'elles soient de sexe masculin ou féminin ?

Donner la fessée déculottée est le moyen le plus efficace que j'ai trouvé pour maintenir Josip dans le droit chemin. Je n'ai pas eu à chercher bien loin. J'ai une vision assez traditionnelle de l'éducation et des moyens qu'un adulte responsable doit y utiliser. Je crois en l'efficacité de cette punition et face aux premiers comportements enfantins de Josip, lui administrer ma main sur les fesses nues jusqu'à les rendre toutes rouges, s'est imposé tout de suite. J'y ai pensé dès notre première rencontre.

Dès les premiers moments que nous avons passé ensemble, j'ai dû le recadrer. J'ai rapidement eu l'impression d'avoir en face de moi un adulte immature qui bénéficierait grandement d'une supervision attentive, pointilleuse qui ne laisserait rien passer. Après quelques allusions, face auxquelles il ne s'est pas montré rétif, et suite à une imprudence caractérisée, après lui avoir expliqué que la continuité de notre relation ne se ferait qu'après que je l'en aie sévèrement puni, j'ai pris ma décision.

Quelques claques sur le fond du pantalon, qu'il m'a laissé lui administrer sans manifester son désaccord avec conviction, je lui ai alors baissé la culotte sans qu'il s'y oppose, n'émettant que de faibles protestations. Il s'est retrouvé les fesses nues devant moi et j'ai eu alors le sentiment qu'il avait vraiment besoin de la correction que je projetais ce qui m'a renforcée dans ma résolution. Je voyais bien que sa pudeur d'adulte était mise à mal, mais je décidais de passer outre.

Il a alors reçu sa première fessée déculottée de ma part, à plat ventre en travers de mes genoux, forte, longue, cuisante. Il n'a rien objecté quand je lui ai, ensuite, intimé l'ordre d'aller au coin où il est resté, culotte baissée, jusqu'à ce que je lui donne l'autorisation d'en sortir.

Ce n'est que le lendemain que je lui ai fais part de la tournure que prendrait notre relation : je m'occuperai de lui, aussi attentivement que je le ferai pour un petit garçon, mais je le punirai également quand j'estimerai qu'il en aurait besoin. Ce serait alors la fessée déculottée que je lui donnerai quand et où je le déciderai, suffisamment sévèrement afin qu'il se souvienne de la de la faute pour laquelle je l'avais corrigé et de la punition qui en a découlé.

Il a faiblement regimbé, arguant de son âge et de l'inadaptation d'une fessée pour un adulte. Je lui ai répondu que, compte tenu de ce qui s'était passé la veille, la fessée déculottée me semblait, au contraire, tout à fait adaptée et que son âge n'avait rien à voir là-dedans. C'est sous la menace d'une nouvelle fessée déculottée qu'il s'est tu, puis qu'il a admis que j'avais raison.

Il s'est plaint plus ouvertement du traitement que je lui promettais alors que je m'apprêtais à lui donner une deuxième fessée, peu de jours après la première. Il a tenté de m'empêcher de le déculotter, mais il a vite renoncé face à ma ferme détermination. Depuis, bien qu'il proteste de son innocence bien souvent, il n'a jamais plus essayé de me faire obstacle quand je le déculotte pour le fesser.

Pour être encore plus clair, Josip aime qu'on s'occupe de lui, il aime pouvoir lâcher prise sur le contrôle qu'il a exercé sur lui durant toute sa vie. Par contre, je ne crois pas qu'il aime être puni, que ce soit par moi ou par quelqu'un d'autre, même s'il en comprend la nécessité. Je trouve cela bien normal de ne pas aimer les punitions. Je ne connais pas grand monde, enfant et encore moins adulte qui aime être réprimandé et encore moins recevoir la fessée déculottée, sauf à tomber dans le sado-masochisme, mais je n'en suis pas certaine car je dois avouer ma grande ignorance sur ce sujet. C'est, bien entendu, l'objet même d'une punition : imposer un désagrément, négligeant les desideratas de celui qui est corrigé, suffisamment important pour que cette personne regrette le plaisir qu'elle a eu à transgresser les règles, celles pour un adulte responsable, qu'il est censé respecter de son propre chef.

En effet, se tenir à la frontière entre l'obéissance aux règles et leur dépassement est constitutif de l'apprentissage nécessaire pour devenir adulte et en accepter les responsabilités et les devoirs pour pouvoir bénéficier des droits attachés à cet âge. Il est nécessaire de jouer avec les limites, tout en ayant des personnes pour rappeler à l'ordre quand le seuil autorisé est franchi. C'est un processus d'éducation, certes dans sa vision traditionnelle quand leur dépassement se traduit par une bonne fessée déculottée, mais c'est ainsi que je le vois à l'instar de ce qu'ont pratiqué nombre de parents durant des siècles. Un adulte est censé prendre en compte de lui-même les règles sociales qui s'imposent à lui. A voir le comportement de nombre d'entre eux, j'ai des doutes sur l'effectivité de ce principe. la personne majeure devrait, durant son enfance, avoir passé cette période où il teste la résolution de l'adulte qui s'occupe de lui, à faire respecter les règles. Cela n'a visiblement pas été le cas pour Josip. Il doit encore être fermement guidé dans la plupart des moments de sa vie. J'ai bien peur que si on en faisait un recensement systématique, une grande partie des adultes entreraient dans cette catégorie.

Dans son "lâcher prise", Josip a besoin de personnes qui l'obligent à rester dans le droit chemin en le punissant à chaque fois qu'il s'en écarte. J'ai décidé que ce serait la fessée déculottée qui en serait le moyen privilégié et habituel et je dois avouer que cette méthode qui a fait ses preuves durant de nombreuses années, montre, encore une fois, sa très grande pertinence et son efficacité. Josip sait, et il ne s'en réjouit pas, que j'ai à toute légitimité pour lui baisser la culotter et le fesser aussi sévèrement que je le jugerai nécessaire, quel que soit l'endroit où cela se déroulera et les personnes présentes. La fessée est possible à tout moment, quand je le décide, que ce soit à main nue ce que je fais le plus souvent, mais j'utilise aussi des instruments punitifs, y compris les orties, quand j'estime que Josip en a besoin que nous soyons à la maison ou en dehors. J'ai aussi, à tout moment, la possibilité de demander à une autre personne que je choisis sans demander son avis à Josip, pour le punir, de le déculotter et de le fesser, entre autres punitions.

Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas de scénario préétabli. La fessée peut tomber à n'importe quel moment, si Josip me donne, "volontairement" ou pas, un motif pour le punir. Le terme "volontairement" est inexact. Il ne cherche jamais volontairement la fessée, mais il aime jouer avec les limites. Parfois, cela tombe du mauvais côté, ce qui lui vaut une bonne correction.

Sur le moment, il fait tout ce qu'il peut pour l'éviter, la plupart du temps ses efforts sont vains. A posteriori, il reconnait que toutes les fessées que je lui ai données était méritées et que ce n'était que justice, y compris quand elles ont été particulièrement sévères ou quand elles ont eu des témoins. Savoir qu'il peut être déculotté et fessé, où et quand je le déciderai, à tout moment, l'aide beaucoup à faire attention à son comportement et à ne pas aller trop loin dans le "lâcher prise".

Comme il n'est pas intimement persuadé qu'il est naturel de lui donner la fessée, compte tenu de son comportement et indépendamment de son âge, il est important qu'il puisse côtoyer, en plus de moi, d'autres personnes qui s'occuperont de lui. Cela lui sera salutaire, même s'il sait que ces personnes auront toute latitude pour lui baisser la culotte et le fesser. Cela fait partie des choses normales, compte tenu de la façon dont il agit le plus souvent. Son âge n'entrera pas en ligne de compte, bien qu'il soit majeur depuis longtemps. C'est ce que je veux lui démontrer.

J'ai donc besoin de trouver des personnes, homme ou femme, qui accepteraient de se lancer dans cet accompagnement éducatif en recourant à une réelle fermeté punitive : utilisant des instruments punitifs pour le punir des grosses bêtises ; laissant des marques sur les fesses quand il aura mérité une grosse fessée ; n'hésitant pas à avoir recours aux orties si nécessaire afin qu'il garde longtemps le souvenir de la fessée qu'il a reçue ; envisageant de le déculotter et de le fesser en dehors de la maison quand il en aura besoin. Cela fait partie de l'arsenal éducatif que j'utilise, des possibilités parmi lesquelles je choisis ce qui me paraît adéquat quand je le punis.

La question n'est pas de savoir s'il en est d'accord ou pas. Dans le contexte éducatif dans lequel je suis et dans lequel nous serons, cette question est hors de propos. Demande-t-on à un enfant s'il est d'accord pour recevoir une fessée avant de la lui donner ? S'il peut choisir la personne qui le punira ? Que Josip ait la culotte baissée par les personnes qui s'occupent de lui, qu'il en reçoive la fessée où et quand elles le décideront quelles que soient les personnes présentes, qu'il ait les fesses marquées lors d'une punition, qu'il sente la brûlure des orties pendant plusieurs jours, qu'il soit mis au coin pour de longues minutes, qu'il soit contraint de demander pardon et de reconnaître ses fautes... sont des actes éducatifs qui font partie de sa vie,  et dont il a besoin. Ils l'aideront à devenir plus responsable.

Il sera nécessaire de ne jamais hésiter à le punir. Etant adulte, les mauvaises habitudes sont profondément ancrées dans son comportement. Les éradiquer demande de la promptitude et de la persévérance pour les personnes de son entourage. Une seule fessée n'y suffit pas. Souvent, c'est pour le même motif qu'il a besoin d'être corrigé plusieurs fois, mais c'est le lot de l'éducation : remettre cent fois l'ouvrage sur le métier.

Il reviendra donc, aux personnes qui s'occuperont de lui, de savoir quand telle ou telle punition sera pertinente puisque je leur délèguerai toute autorité sur Josip. Je ne crois pas que son avis ait une quelconque importance, puisqu'il a accepté, sans condition, ma tutelle permanente et ma supervision sur tous les moments de sa vie. et donc, par délégation, celles de toute autre personne que je désigne.

Disposer de toutes les prérogatives d'une Maman est au cœur de notre relation. Josip n'a pas choisi d'être déculotté et fessé là et où je le décide, d'être mis au coin pour de longues minutes, de devoir faire de pénibles punitions écrites... Mais il a souhaité que je m'occupe de lui comme le ferait une Maman attentionnée. C'est suite à ses désobéissances, ses imprudences, ses impolitesses et ses insolence, son travail parfois bâclé... que j'en ai conclu que le punir quand il l'a mérité, serait pertinent et que la fessée déculottée en serait la modalité principale, sans que son avis soit ni nécessaire ni recherché.

Il ne faut, en effet, pas s'attendre à ce que Josip soit ravi de voir arriver dans sa vie un autre adulte qui aura toute latitude pour le déculotter et le fesser. Il est même assez probable qu'il en appréhendera le moment avec une boule au ventre. Mais cela le mettra face à ses insuffisances et ce ne sera pas de gaité de cœur, comme souvent avec des adultes. Mais cet apprentissage de l'humilité lui sera très bénéfique.

Ne vous inquiétez pas, il ne se rebellera pas quand il sera face à l'imminence d'une fessée déculottée donnée par une autre personne que moi. Il sait que j'ai l'autorité suffisante pour qu'il n'ose pas remettre en cause mes décisions et que vous en disposez également. Il vous laissera lui baisser la culotte, même si ça lui coûtera, le mettre dans la position que vous aurez choisie, lui donner la fessée même si elle est très rigoureuse. Vous devrez sans doute le maintenir fermement en place quand il se tortillera de trop sur vos genoux ou sous votre coude, mais cela est normal quand une fessée échauffe fortement le postérieur. Quand ces mouvements vous importuneront, il sera nécessaire que vous expliquiez à Josip en quoi cela lui promet une autre fessée.

Au fond de lui-même, Josip sait qui si une autre personne prend le temps de le punir, c'est que ce qu'il fait et ce qu'il deviendra ne lui est pas indifférent. Ce sont des personnes qui prennent soin de lui et c'est, pour lui, l'avantage principal de la situation. Mais il n'est pas de circonstances qui n'aient que des avantages. Recevoir la fessée déculottée de la part des personnes qui s'occupent de lui en est un inconvénient, mais il faut en passer par là. Il en est conscient.

Huguette.

Quelques articles qui permettent de mieux comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

 

 Intéressé(e) pour contribuer à l'éducation de Josip ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin.