jeudi 16 novembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Jeudi 16 novembre 2023 – 10h10

Les petites fessées valent-elles d’être racontées comme les grosses ? Sans doute et ne croyez pas que s’il n’y a pas eu publication durant plus de deux mois, c’est parce que je n’ai pas pris de fessées. Certes, elles ont été moins fréquentes qu’à d’autres moments, mais c’est surtout parce que je ne prenais pas le temps de les écrire, mais également parce qu’un problème technique a freiné mais habitudes scripturales durant quelques semaines… mais je ne vous en dirai pas plus.

Il est vrai que l’annonce passée par ma compagne le 12 novembre a commencé à porter ses fruits. Il n’y a pas eu avalanches de propositions, mais deux cela fait tout de même plusieurs. La première n’a pas abouti. Nous n’avions pas la même philosophie concernant la fessée. Celle de notre interlocuteur était certainement respectable, mais elle ne correspondait pas à ce que ma compagne attendait. Vous avez dû vous en rendre compte à la lecture des échanges avec cette personne. La deuxième est en cours… mais elle semble bien partie. Je serai certainement amené à vous en reparler.

Ma compagne regrette cependant de ne pas avoir eu de proposition de la part de la gent féminine. Pas une seule, pour l’instant. Peut-être faut-il attendre encore un peu ? Peut-être ces dames n’osent-elles pas ou ne souhaitent-elles pas faire le pas ? Peut-être n’y a-t-il que très peu de femmes qui donnent la fessée ? Peut-être ne lisent-elles pas le blog ? Peut-être aurons-nous la réponse un jour.

Bref, ce jeudi, nous préparions le déjeuner de midi. Nous parlions recette pour les mets que nous avions prévus.
« Et il faudra mettre du fromage, déclara ma compagne.
– Du fromage ? N’importe quoi ! »
J’accompagnais cet avis définitif par un haussement d’épaule et mon ton était plus qu’ironique. Je vis tout de suite que j’étais allé trop loin. Ma compagne fronça les sourcils.
« Es-tu obligé d’être aussi insolent ? »
L’insolence. C’était un des motifs qui m’avait été signifié le matin même comme l’une des attitudes sur lesquelles ma compagne souhaitait mettre l’accent. Elle m’avait annoncé qu’elle n’hésiterait pas à me déculotter et à me fesser si je lui en donnais l’occasion. Je venais de le faire. Imprudence !

Comment me sortir de ce mauvais pas dans lequel je m’étais mis tout seul ? Je tentais la fuite. A grands pas, je me dirigeais vers la salle de bains. Je ne m’étais pas encore lavé les dents, c’était le moment de le faire. J’entendais, derrière moi, les pas de ma compagne qui me suivait sans dire un mot. La maison n’est pas très grande. J’arrivais vite dans la salle de bains. Plus d’échappatoire ! Je ne pus même pas fermer la porte, tentative bien vaine de me réfugier dans un sanctuaire, ce que la salle de bains n’était pas.
Ma compagne ne laissa pas la porte se fermer totalement et je n’osais pas la clore complètement. Il m’aurait fallu le faire de force et le retour de flamme aurait été terrible. Insister m’aurait certainement coûté une deuxième fessée, bien plus sévère que celle qui m’attendait.
« Ce n’est pas la peine de filer aussi vite ! Cela ne t’épargnera pas la fessée !
– Mais je dois me laver les dents !
– Bien entendu, mais ce sera après la fessée que je vais te flanquer ! »

Sans plus de commentaire, ma compagne me courba sous son bras. Elle me serra contre son flanc. Il ne me restait plus qu’à subir ma punition. Elle était inévitable depuis mon insolence et je n’avais fait qu’en retarder l’échéance de quelques courtes minutes.
Elle glissa son pouce sous l’élastique qui tenait mon survêtement autour de ma taille et sa seule main suffit pour le baisser sans avoir besoin de faire d’effort. Il est vrai que je ne faisais rien pour lui compliquer la tâche. Elle l’abandonna à hauteur de mes mollets. Ma culotte suivit aussitôt. Je la sentis descendre le long de mes cuisses promptement guidée par la main de ma compagne. Le déculottage était achevé, la fessée était encore à venir.

Mon seul espoir reposait sur la passivité que j’avais adoptée alors qu’elle me baissait la culotte, dès que je m’étais rendu compte que la fessée était inéluctable. J’espérais que ma piètre tentative de me soustraire à la correction qu’elle avait décidée de m’administrer, ne serait pas retenue contre moi, aggravant automatiquement la punition.
Il y a toujours une légère contraction du corps de ma compagne qui précède d’une fraction de seconde le moment où sa main claque sur mes fesses pour la première fois. Sans doute anticipait-elle la réaction que j’aurai quand la fessée aurait commencé. Je poussais un cri. Quand ma compagne me donne la fessée, ce n’est jamais une partie de plaisir pour moi. La cuisson sur mes fesses est immédiate et assez forte pour que j’esquisse un mouvement pour me redresser.
« Penche-toi mieux que ça ! »
J’obéis le plus vite que je pus, tout en poussant un nouveau cri. La deuxième claque venait d’atterrir sur mes fesses, de l’autre côté. Elle était aussi forte que la première. Puis le rythme étant pris la main de ma compagne me claqua les fesses en un tempo bien soutenu, sans que la vigueur de la fessée en pâtit. Elle compléta la correction par quelques fessées administrées sur le haut de mes cuisses. Ce ne fut pas une longue fessée. Mon postérieur m’en cuisait tout de même.

Elle me relâcha enfin tout en continuant à me gronder.
« La prochaine fois tu seras moins insolent ! »
Elle m’avait laissé debout devant elle, mais ma culotte était toujours à hauteur de mes genoux, même un peu plus bas, elle avait glissé suite aux mouvements incontrôlés que j’avais fait avec mes jambes. Comme elle ne remonta pas ma culotte tout de suite, je craignais une deuxième fessée, tout en espérant en avoir fini avec cette punition.
Je me baissais et tentais de remettre ma culotte en place. Mal m’en pris !
« Depuis quand remontes-tu ta culotte tout seul, après une fessée, sans que je t’y ai autorisé ? »
Elle accompagna sa remontrance par une belle série de claque sur ma fesse gauche, celle qui était à portée de sa main droite. Elle avait pris la précaution, pour souligner sa réprimande, de ramener ma culotte à mi-cuisses. C’était donc sur ma peau nue que tombaient ses claques.
« Aïe ! Aïe ! »
Ce ne fut pas plus d’une dizaine de claques, mais le message qu’elles transmettaient était clair. Je la laissais me remonter ma culotte et mon pantalon.
« Va te laver les dents »

Bien que ce fut une petite fessée, au regard de bien d’autres que j’avais reçues auparavant, je sentis mes fesses brûler pendant de longues minutes.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

5 commentaires:

  1. Je crois qu'il y a peu de femmes qui donnent la fessée et celles qui la donnent le font dans un cadre domestique en privé à la maison. cela doit être compliqué de fesser un autre homme , d'oser le punir sans avoir un contrôle maternel naturel. Par contre je suis sur que beaucoup d'hommes en mal d'affection et de discipline rêveraient d'être pris en charge et puni comme JLG par une femme qui donne la fessée. JLG tu as de la chance d'être bien éduqué par Huguette même si parfois la fessée tu n'as pas envie de la recevoir.

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    1. Commentateur anonyme,
      Votre commentaire serait encore plus intéressant si nous savions d'où vous parlez. Etes-vous un homme ou une femme ? Recevez-vous la fessée ou la donnez-vous ? La fessée est-elle, pour vous, un fantasme ou êtes-vous passés à la réalité ?
      Enfin, vous voyez, des éléments qui permettraient de comprendre encore mieux ce que vous dites en nous permettant de comprendre votre réalité.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Si vous etes globe trotter, que vous aimez par dessus tout voyager et que vous souhaitiez surtout rencontrer enfin une femme qui donne la fessée à un homme, alors je vous conseillerai ni plus ni moins de vous rendre à l'étranger, surtout aux USA, au Canada, en Angleterre, en Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas ainsi qu' en Répblique Tchèque ou elles sont tout de meme plus nombreuse qu'en France ou elles sont vraiment une denrée rare malheureusement très difficile á trouver.

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  2. Oui je suis d'accord avec toi JLG a de la chance d'être pris en main par sa compagne maman mais parfois il n'a pas envie d'une fessée et il n'a pas le choix c'est le revers de la médaille

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  3. Chers commentateurs anonymes,
    Je crois que vous avez bien compris.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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