jeudi 7 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Mercredi 6 septembre 2023

J’avais réussi à passer toute une journée, le mardi, sans recevoir la fessée. C’était exceptionnel et dû à des circonstances particulières que je ne vous détaillerais pas. Ce n’était pas que ma compagne n’ait pas eu deux ou trois bonnes raisons de me baisser la culotte, mais le contexte ne s’y prêtait pas. Il n’y eut donc pas de fessée, bien que ma compagne m’en ait promis une.

Nous n’étions pas encore levés quand ma compagne me rappela mon oubli et la promesse qu’elle m’avait faite. Je n’avais pas vraiment espoir de passer à travers, mais ce rappel concrétisait l’attente d’une punition que la compagne différa un peu. Différé, certes, mais pas oublié.


Tout cela remonte à la semaine dernière, et même un peu plus.
« Quand iras-tu chez le coiffeur ? Tes cheveux sont trop longs. Il n’y a plus moyen de les peigner ! »
Cette litanie revenait de plus en plus souvent dans la bouche de ma compagne et j’y répondait par de l’inertie.
« Oui,oui, je vais y aller. Bientôt ! »
Mais bientôt n’arrivait jamais. Ma compagne a pris le taureau par les cornes dimanche dernier.
« Tu vas prendre tout de suite rendez-vous chez pour aller te faire couper les cheveux !
– Je ne peux pas, c’est dimanche. C’est fermé !
– Alors demain, sans faute !
– Ah non, pas demain. Ce sera lundi et il ne travaille pas !
– Ça t’arrange bien, n’est-ce pas ? »
Je mimais l’impuissance. Ce n’était vraiment pas de ma faute.
« Tu prendras rendez-vous mardi. Il sera bien ouvert ?
– Sans doute, probablement.
– Et si mardi soir, le rendez-vous n’est pas pris, tu auras une fessée ! »
De cette façon, elle s’assurait que je ne trouverai pas une excuse pour retarder encore ma visite chez le coiffeur. Une fessée ! Compte tenu de la nouvelle vigueur avec laquelle elle me punissait, cela faisait réfléchir. Je résolus donc de téléphoner dès que je le pourrai, dans la journée de mardi.


Seulement, mardi ne s’est pas déroulé comme je le prévoyais. Je n’ai pas du tout pensé à prendre le rendez-vous. Il était dix-huit heures cinquante quand ma compagne me dit.
« Tu n’as pas oublié quelques chose ? »
Rien ne me vint à l’esprit. Je haussais les épaules, montrant ainsi mon ignorance. Je ne voyais pas.
« Réfléchis bien, tu ne devais pas faire quelques chose aujourd’hui ? »
Présenté de façon aussi vague et sorti du contexte, cela ne me rappelait rien. Ce n’est que cinq minutes plus tard que le rendez-vous chez le coiffeur m’est venu à l’esprit. Une rapide consultation sur internet, ouf, il ne fermais qu’à dix-neuf heures. Il fallait faire vite. Un premier raté en composant le numéro, un deuxième essai… je tombais sur le répondeur. Dix-huit heures cinquante-sept. C’était déjà fermé. Je ne pouvais plus l’appeler que le lendemain matin. Quand la compagne revint, elle s’enquit des résultats de mes appels.
« Alors, c’est quand le rendez-vous ? »
J’ai hésité à mentir, mais je n’étais pas certain que ma compagne n’ait pas entendu la conversation ou plutôt l’absence de conversation. Un mensonge et c’était une double fessée. Si je téléphonais de bonne heure mercredi matin, je pourrai sans doute me faire couper les cheveux dans la journée. J’espérais que ma compagne en tienne compte et que la fessée ne soit pas trop sévère.
« Je suis tombé sur le répondeur. J’appellerai demain !
– Nous avions dit aujourd’hui, n’est-ce pas ?
– Oui, Maman, mais je vais appeler demain matin.
– Nous verrons cela à ce moment-là. »
« Nous avions dit aujourd’hui », c’était vite dit ! C’est surtout elle qui avait fixé le jour. Mis je ne pouvais prétendre que je n’étais pas au courant et engagé par la consigne qu’elle m’avait donnée. Cette histoire n’était pas très bien embarquée.


Ce matin, avant même de déjeuner, ma compagne m’avait rappelé mon oubli.
« C’est bien hier que tu devais prendre rendez-vous.
– Oui Maman,
– L’as-tu fait ?
– Non, mais je vais…
– Donc, tu ne l’as pas fait, m’interrompit-elle !
– Non Maman.
– Dis-moi, que t’avais-je promis si ce n’était pas fait en temps et en heure, comme tu t’étais engagé à le faire ? »
J’hésitais à répondre. Si je lui rappelais sa promesse, je me condamnais moi-même à recevoir une fessée. Mais que faire d’autre ? De toute façon, je savais bien que la punition était déjà décidée.
« Une fessée, répliquais-je d’une petite voix.
– Exactement ! Une fessée, et une grosse ! Tu ne croyais pas y échapper ?
– Non, Maman.
– Bien, nous verrons cela tout à l’heure. En attendant, tu vas prendre rendez-vous aujourd’hui.
– Oui Maman. »
J’ai pris rendez-vous dès le petit déjeuner terminé.
« C’est bien, me félicita ma compagne, mais cela ne t’évitera pas de recevoir une sérieuse fessée ! »


Quelques minutes plus tard, l’ordre très redouté tomba.
« Vas dans la chambre, je t’y rejoins ! »
Ma compagne s’assit sur notre lit.
« Bien, nous avons donc une fessée au programme ! »
Elle défit la cordelette qui retenait mon bermuda sur mes hanches. Il tomba à mes pieds.
« Viens-ici ! »
Elle me plaça debout entre ses jambes. Sa main droite claqua le haut de ma cuisse gauche. Elle recommença. Très fort. Je ne pouvais éviter de tourner vers ma droite, comme entraîné par l’énergie que ma compagne déployait à frapper de toutes ses forces.
« Tu restes en place ! »
Elle me remit face à elle, mais rien n’y fit. Malgré mes efforts, je n’arrivais pas à tenir en place. Je n’en pouvais déjà plus.
« Bon, puisque c’est comme ça ! »
Elle me coucha à plat ventre sur sa cuisse gauche. C’était une position que je connaissais bien, l’une de celles qu’affectionnait ma compagne pour me donner la fessée. Placé ainsi, sa main tombait facilement sur mes fesses. Elle ne s’en priva pas.
Elle m’avait laissé ma culotte, mais sa main claquait le haut de mes cuisses, qui, elles, étaient dénudées. Avec la vigueur qu’elle mettait maintenant pour me punir, je criais rapidement, gigotant pour éviter que sa main ne retombe toujours au même endroit. Mes pieds battaient dans le vide. Mes cuisses furent très vite brûlantes et sans doute bien rouges.
Sa main remonta alors et c’est sur ma culotte que tombaient ses claques. Je les sentais, je ne peux pas dire le contraire, mais même quand elle mettait toute son énergie pour me fesser, cela ne faisait pas trop mal. J’avais cessé mes mouvements incontrôlés et je n’émettais plus de cris désespérés. Probablement que ma compagne s’en aperçut et cela ne lui convint pas. Ce n’étais plus la grosse fessée qu’elle m’avait promise. Elle baissa ma culotte.


Dès la première claque, je sentis la différence. Je repris aussitôt les hurlements et mes battements de pieds désespérés qu’avait provoqué la fessée sur le haut des cuisses.
« Tu arrêtes ça tout de suite ! »
J’essayais sincèrement de conserver la position dans laquelle elle m’avait mis, mais ma compagne n’avait pas recommencé la fessée depuis dix secondes que je reprenais mes gigotements affligés sur ses genoux et le balai désordonné de mes pieds.
« Je vois que tu as besoin d’une très grosse fessée pour apprendre à obéir ! »
Ce n’était pas de la désobéissance, mais cela pouvait être pris pour tel… si la fessée avait été moins sévère. « Mets-toi à genoux ! »
Mon buste reposait sur le lit et mes genoux reposaient sur le sol. Ma compagne me laissa quelques instants. Je sus tout de suite ce qu’elle faisait. Depuis deux jours, la règle avait été laissée sur le bord de la fenêtre.
« Non, criais-je !
– Et pourquoi non ? »
Ma compagne fit tomber la règle une bonne dizaine de fois sur mes fesses. Je criais de toutes mes forces. Cette fessée, donnée ainsi était vraiment insupportable, et pourtant il fallait bien qu’elle aille jusqu’au bout. La punition le voulait ainsi.
« Peut-être ne l’as-tu pas méritée ? »
Ma compagne n’attendait pas de réponse de ma part. Elle n’eut que les hurlements désespérés et je raidis tout mon corps, ce qui fit décoller mes genoux du sol.
La fessée dura ainsi sans que je puisse en estimer la durée. Après la règle, ma compagne reprit la fessée avec sa main nue. Ce n’était pas moins douloureux. Elle avait du mal à me maintenir en place. Je ne cherchais pourtant pas à fuir le lieu où ma compagne me punissait. Mais la fessée était tellement cuisante que je ne maîtrisais pas les mouvements de mon corps.
Quand elle cessa, j’étais épuisé.


« Lève-toi ! Tu vas aller au coin ! »
Elle récupéra mon bermuda que mes gesticulations avaient fait voler à quelques mètres de là et, la culotte toujours baissée, elle me conduisit dans la pièce où j’avais été mis en pénitence deux jours plus tôt.
« Va au coin, dit-elle en me désignant l’angle de la pièce que j’avais eu le temps d’explorer deux jours plus tôt. ! »
Je savais ce qu’elle attendait de moi. Je mis mon nez bien dans l’angle de la pièce et je croisais mes bras dans mon dos, prenant bien soin de remonter mon polo au-dessus de mes reins, dégageant ainsi mes fesses. Ma culotte était tombée sur mes chevilles et c’est ma compagne que détenait mon bermuda.
Comme la veille, j’eus le droit à un verre d’eau, température oblige. Cependant, je n’y restais pas longtemps.
« Viens avec moi. Ici je me t’aurai pas dans mon champ de vision ! »
Elle me conduisit dehors, devant la maison.
« Le nez contre le mur et je ne veux pas te voir bouger ! »
Je pris la pose qu’elle m’imposait. Ma compagne prit son téléphone et, autant que je puisse en juger, elle ne prêta plus d’attention à moi. Il était peu probable qu’on puisse me voir, placé ainsi au piquet, la culotte baissée, mais étant à l’extérieur j’avais la sensation d’être exposé à tous vents.
Je ne restais pas très longtemps au piquet, un peu moins de quinze minutes, mais c’était le temps dont ma compagne avait besoin pour régler ses affaires par téléphone.


Cela n’était pas sans m’inquiéter. Les fessées devenaient bien plus sévères. Certes, elles avaient ainsi gagné en efficacité, mais j’avais du mal à les supporter. Les marques laissées précédemment par la règle avaient à peine eu le temps de s’estomper, que d’autres leur avaient succédé.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

41 commentaires:

  1. Bonjour JLG
    Je vois que ta compagne n’a rien perdu de son autorité et qu’elle n’hésite pas a te punir sévèrement lorsque c’est nécessaire. Une vraie fessée magistrale.
    Tu sais moi aussi, Marraine veille à mon éducation avec beaucoup d’attention. Elle ne laisse rien passer et au moindre écart c’est la fessée déculottée. Je ne discute pas son autorité, et c’est tout à fait normal. C’est elle qui décide. En tout cas elle me fesse de plus en plus souvent. Mon comportement de gamin immature et mes désobéissances imposent une bonne correction. La fessée à la main sur mes fesses et mes cuisses nues. Marraine lève très haut sa main et à la volée l’expédie sur mes fesses. Jusqu’à présent je n’ai pas connu la réglé plate, mais sait-on jamais… En tout cas elle décroche souvent le martinet. Pour les grosses bêtises la fessée à la main se poursuit au martinet. Une bonne fouettée… enfin « bonne », pas pour moi, mais efficace c’est sur. Ça cingle bien les fesses et les cuisses et en plus ça laisse des traces rouges.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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  2. Bonjour JLG Je suis un fervent lecteur de votre blog et je suis avec attention tes aventures de discipline domestique. Moi aussi je suis pris en charge par une dame qui n'est pas ma compagne qui applique la même méthode de correction la fessée déculottée. Je me permet plusieurs remarques suite à vos derniers récits :
    Graduation de la fessée: il est en effet souhaitable d'avoir une palette de correction assez large afin que la fessée reste une punition pour sanctionner une bétise en fonction de la gravité et que le puni ait des point s de repères sinon a quoi bon donner une fessée trop sévère ou pas assez. ainsi de mon coté pour des broutilles (oubli, petit retard, mauvaise réponse) il y a quelques claques sur le pantalon, pour une bêtise bétise (affaires qui trainent, oubli, retard significatif) une fessée rapide de quelques dizaines de claques sur la culotte, et pour une grosse bétise une fessée déculottée sur les genoux, longue et cuisante (insolence, mensonge, répétition de la meme bétise) et aussi le martinet fesses nues en travers du canapé ou du lit)
    education : comme toi la dame que j'appelle maman apllique une discipline stricte mais juste, autoritaire et aimante. Elle préfère me faire des calins et s'occuper de moi que de me punir. Ainsi j'ai un cadre bienveillant dans lequel elle peux sévir et la fessée est la dernière chose qu'elle emploi pour m'éduquer. Par contre quand elle donne la fessée c'est une vraie fessée très cuisante avec les fesses rouges et parfois je pleure.
    dans tes récits, on est parfois troublé quand tu parle de ta compagne que tu appelle maman, Quand l'appelle tu maman et quand tu dis ma compagne ?
    Fessée à l'extérieur : cela parait peu problable de pouvoir te déculotter et fesser en public, à l'extérieur, peu être y a t'il une part de fiction désirée. pour ma part cela m'a arrivé deux fois avec beaucoup de précaution une dans un parking désert et l'autre dans une forêt bien à l'abri des regards.

    comportement enfantin et régression : Je comprend que ta compagne te corrige pour des bétises de gamin mais j'ai du mal à croire que tu ne fasse pas un peu expres en tant qu'adulte de ne pas prendre de douche, laisser trainer tes affaires, avoir des culottes un peu sales. Moi en tant qu'adulte j'ai du mal à croire plausible de se prendre une fessée pour ne pas avoir pris sa douche ou avoir oublié d'acheter le pain lol. Ou Alors avec ta compagne vous avez des jeux regressifs ageplay ou la ou peux se lacher avec une attitude petit garçon qui mouille sa culotte, laisse trainer ses affaires éventuellement se retrouve puni en pull up etc....

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    1. Bonjour Thomas.
      Oui cela va de soi, la fessée doit être en proportion de la faute commise. Elle est punitive et donc éducative et pour cela elle doit être adaptée ou graduée en fonction des manquements sanctionnés. Mon commentaire ci-dessus pourrait permettre d’en douter, mais je suis tout a fait d’accord avec toi. Cela va d’une simple paire de claques bien senties sur la pantalon, à une fessée sur le slip, et enfin à la fessée déculottée à la main et au martinet. Là, il s’agit de la fessée magistrale, soit en travers des genoux, soit coincé sous le bras. Les fesses et les cuisses sont copieusement rougies et je peux te dire qu’on s’en souvient. Ce qui m’empêche pas de nouveaux écarts sanctionnés. C’est la fessée déculottée que je reçois le plus souvent en raison de mon comportement de gamin immature et parfois insolent qui mérite d’être corrigé.
      Pascal.

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    2. Bonjour Thomas,
      Toutes mes excuses pour le délai de réponse. J'ai été très pris ces jours derniers.
      Merci pour votre appréciation sur le blog. Depuis environ un an, j'ai légèrement modifié la ligne éditoriale. Je ne publie plus que des histoires réelles. Les tiennes peuvent y avoir une place si tu le souhaites... à condition qu'elles correspondent à la réalité.
      Je ne maîtrise pas la sévérité des fessées que ma compagne me donne. Il y a, bien sûr des claques sur le fond du pantalon, mais, celle-là, je ne les considère à peine comme une fessée. Quand je fais une bêtise, ma compagne me baisse toujours la culotte et la sévérité de la fessée est graduée en fonction de la faute commise. Si ma compagne me donne la fessée, c'est pour créer le souvenir, il faut donc que je la sente, des fesses rougies, un peu pour les petits écarts, beaucoup pour les bévues plus sérieuses et très sévères quand il y en a besoin. Cela dit, il n'y a pas de barème et cela dépend aussi de mon attitude générale à ce moment-là.
      C'est ma compagne qui a pris en charge mon éducation. Nous avons une relation filiale. A ces moments-là, je l'appelle Maman, ce qui revient dans mes récits publiés sur le blog.
      Il y a, bien sûr, une partie indéniable de régression et d'infantilisation dans les motifs de fessées que me donne ma compagne, Mais pas que. Parfois la fessée tombe sans que j'ai pu le prévoir. Cela fait partie des prérogatives maternelles de ma compagne.
      Enfin, en ce qui concerne les fessées en extérieur, tous les récits que j'en ai fait et que j'ai publiés sur le blog depuis le début mai 2022, sont tout à fait réels. Cela n'empêche pas ma compagne de prendre des précautions. Elle ne m'a jamais déculotté et fessé avec des témoins proches et jamais là où il pouvait y avoir des caméras (magasins, parkings...). Mais je sais qu'elle n'hésitera pas à le faire le jour où les circonstances le permettront. Cela reste donc, pour l'instant à la fois une menace effective et un fantasme. Je ne sais pas si cela se réalisera un jour.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. Bonjour, j adore votre blog.
      J'ai une question, esque vous avez publier votre rencontre avec madame , et votre premiere fessée donné par madame?

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  3. C'est quoi une bonne fessée ?
    voici le témoignage de ma première fessée reçue de la dame que j'appelle maman.

    Thomas c'est la fessée !
    Mais Maman je ne veux pas de fessée Je suis adulte je suis trop grand pour...

    La question n'est pas de savoir si tu la veux mais si tu la mérite. non ?

    Heu oui mais je...

    Voyons si je fais la liste de tes bêtises on a:
    De nombreux retards, tu te couche à 2h du mat et du coup tu as du mal à te lever.Tu n'es pas toujours poli et bien élevé. Beaucoup de chose à corriger donc tu mérites une bonne fessée maternelle !

    Je pali, je cherche mes mots, mais maman je ne suis plus un enfant vous ne pouvez pas me donner de fessées.

    Tu te comportes comme un vilain garçon irrespectueux et immature cela ne passe pas avec moi. Tu as besoin d'un cadre d'une main ferme pour t'éduquer. C'est mon rôle.

    Thomas tu vas avoir ma main sur les fesses pour toutes tes bêtises.

    Mais maman non
    Lève-toi et vient poser tes mains à plat sur mon bureau.

    Je me lève timidement et m'allonge le ventre sur la table. Maman se lève se place derrière moi.

    Pas le temps de réaliser clac clac une dizaine de fortes claques me frappe les fesses. Bien que protégé par mon jeans, je sens une légère cuisson et j’ai la honte de me prendre une petite fessée. aie aie ça fait mal.
    Tsst tu arrêtes tes gamineries ce n'est pas une vraie fessée.

    Elle me dégrafe le jeans, mais maman oh non, elle le fait glisser sur mes genoux. Je suis en culotte blanche, j'ai honte de me retrouver dans cette tenue.

    Elle ne tient pas compte de mon embarras elle me saisit le bras me fait pivoter pour me pencher contre son flanc. Son bras s'enroule sous mon ventre pour bien me maintenir penché ma culotte est collée contre sa hanche. Elle lève sa main bien haute et vient gifler mes fesses alternant gauche droite. Une série de 10 claques bien appuyée qui me cuisent vite les fesses. J'ai déjà un peu mal. La fessée sur la culotte c'est encore plus honteux et cuisant. Sa main experte continue à me distribuer des dizaines de claques aia aie aie ca fait mal, stop j'ai mal aux fesses Maman.
    Elle me conduit au coin debout.

    Tu es puni au coin, tu réfléchi à tes bêtises mains sur la tête si tu bouges je recommence.

    Je tente de soulager mes fesses en mettant mes mains. Grave erreur Maman me claque super fort chaque fesse 2 fois, je crie je hurle aie aie

    Interdiction de toucher tes fesses tu m'as compris?

    Heu oui Maman mais j'ai mal aux fesses.

    Oh toi mon garçon tu n'as pas encore pris de vraie fessée tu vas craindre ma main.


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  4. Vient ici vilain devant moi.

    Avec mon pantalon aux genoux j'ai une démarche ridicule.
    Maman je ne veux plus de fessée.

    C'est toi qui décides ?

    Non je ne crois pas. En position en travers de mes cuisses.
    Elle assise sur une chaise relevant sa robe elle me désigne ses jolies cuisses musclées gainées de bas.

    Ne m'oblige pas à venir te chercher sinon ca va barder sur tes fesses mon cher garçon.

    Devant son autorité et son insistance je n'ose désobéir

    Elle compte 2 et avant le 3, je suis allongé en travers de ses genoux.

    Elle me pousse en avant, mes mains touchent le sol mes jambes battent dans le vide c'est une position si infantilisante, cela rajoute à ma honte.

    Bien maintenant tu mérite une vraie fessée. Clac clac elle me fesse fort une bonne dizaine de claques sur ma culotte tendue. aie aie ca fait super mal. Maman est une redoutable fesseuse qui sait comment réchauffer un vilain postérieur force, vitesse, précision et variation.

    Bon une vraie fessée de vilain garçon c'est culotte baissée.

    Oh non j'essaye de mettre mes mains pour l'empêcher de me la baisser mais Maman me bloque le poignet de sa main gauche et de la droite me glisse la culotte sous les fesses.
    oh non la honte je suis cul nu sur les belles cuisses de maman et je vais prendre une fessée déculottée. J'ai le sentiment d' etre régressé a l’âge d'un petit garçon.

    Maman me caresse les fesses déjà un peu rouges.

    Hum il est temps de châtier un vilain postérieur, de rougir de jolies fesses de vilain.

    Quelques secondes de repis j'attends avec angoisse ma fessée.

    Quand on n'est pas sage clac clac je donne clac clac la fessée clac clac déculottée clac pour bien rougir tes fesses de vilain clac clac. Maman me donne une formidable fessée en claquant 10 fois la fesse droite puis la gauche avec un rythme soutenu. de grosses gifles appuyées sur chaque fesse qui me chauffe vite le postérieur. Elle me claque de plus en plus vite toujours au moins 10 fois la droite puis la gauche.La cuisson devient brulantes, elle me fesse fort en cadence me rougissant la totalité des fesses jusqu’aux cuisses. je gémit je me tortille je supplie pardon maman pardon je serai sage.

    oh oui clac clac tu seras bien sage clac clac quand tu auras les fesses couleur tomate. aie aie clac clac.
    Résister, ne pas pleurer, tenir mais non impossible maman me fesse longtemps et sa main me donne une fessée encore plus cuisante en giflant mes deux fesses en même temps une bonne vingtaine de fois.
    Déjà 5 minutes de fessée, des centaines de claques. j ai les larmes aux yeux. Je me sens si honteux d'être puni comme un gamin pourtant je sais que je l'ai mérité. maman me corrige pour m'aider à mieux grandir.

    Elle me reculotte et me conduit au coin.
    En silence, mains sur la tête, si tu bouge je te fesse encore plus fort.

    Je n'ose bouger je ne supporterai pas une autre fessée. j'ai honte je regarde mes pieds, j'ai reçu 3 fessées dont une magistrale déculottée bien longue. Je vois dans le miroir mes fesses sont uniformément rouges.

    Ce fut le début d'une longue série.
    La dame que j'appelle maman a une technique imparable pour faire monter la cuisson sur les fesses. A chaque fessée, j'ai mal aux fesses et je finit en larmes. Après heureusement j'ai droit au calin de réconfort maternel. Je reçois des fessées presque chaque semaine depuis 3 ans pour corriger mes mauvais comportements, mes bêtises. et elle a un redoutable martinet je l'ai souvent reçu fesses nues en travers du lit.
    Mais la c'est une autre histoire.

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  5. Bonjour cher amis du blog. Je pratique la discipline domestique avec mon mari. Nous sommes un couple quarantenaire de province et je fesse régulièrement mon mari qui a tendance à avoir besoin de ma main sur ses fesses pour éviter les bêtises et mieux obéir. Je le corrige avec un barème variant de quelques claques sur le fond de pantalon, une petite fessée penchée contre ma hanche de 20 fortes claques à une sérieuse fessée déculottée en travers de mes cuisses.

    Je suis autoritaire mais juste et si je dois donner une fessée à mon cher mari c'est qu'il la cherché, qu'il la mérite. Ma fessée est très cuisante, je prend mon temps pour déculotter et chauffer le vilain postérieur. Je le fesse fort et lentement au début pour bien claquer chaque fesse puis j'accélère les claques gauche droite pour cuire les fesses. Après, je fesse longtemps chaque fesse, cela devient très cuisant pour lui. Je le fesse pendant 3 à 5 minutes en cadence, variant les positions : allongé sur mes cuisses puis allongé sur ma cuisse gauche, jambes emprisonnées puis à nouveau allongé sur mes cuisses mais en avançant son buste pour que ses jambes ne touchent pas le sol. Je suis vigilante à bien surveiller la coloration de ses fesses et je guette les premières larmes, la demande de pardon, l'excuse que j'attend. La plupart du temps ma fessée se termine avec de gros sanglots et un fessier rouge, très rouge. Je guette le point de rupture celui ou mon mari polisson pleure tant il a mal aux fesses et je fini de le fesser très vite et très fort mais pas trop longtemps pour bien marquer la leçon. Il va au coin puni 10 minutes cul nu rougit et il sait maintenant ce qui l'attend s'il recommence ses bêtises!

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    1. Bonjour Sandrine.
      Avec ma compagne nous pratiquons aussi la discipline domestique et je me retrouve dans tout ce que tu dis. Tu sais, moi comme ton mari, aussi je suis désobéissant et je fais beaucoup de bêtises. Un vrai gamin… C’est ma compagne que j’appelle aussi Marraine qui se charge de mon éducation. Elle tres sévère avec moi et ne me laisse rien passer, mais je sais que cette autorité m’est nécessaire. Nous sommes bien d’accord sur le fait que je dois lui obéir sans discuter. C’est elle qui décide si elle doit me corriger et de la sanction que je mérite en fonction de la faute commise. Des claques bien senties que le fond de la culotte parfois pour les fautes bénignes et la fessée culotte baissée le plus souvent. . De toute façon ce sont toujours mes fesses qui prennent. Marraine considère que la fessée déculottée et une sanction éprouvée et le moyen le plus efficace pour me faire obéir. Je suis souvent en travers de ses genoux culotte aux chevilles et je n’en mène pas large. Elle sait rougir mes fesses et mes cuisses avec application. La main très haute levée dès que je suis sur ses genoux et une volée de claques sur chaque fesse, la droite, la gauche et parfois les deux en même temps. Clac, clac, clac… aille aille ouille… elle fesse également mes cuisses. Les cuisses ça fait encore plus mal. Les aller-retours se répètent jusqu’à ce que je sanglote en demandant pardon. J’ai aussi droit parfois à la fessée au martinet… Je sais que je mérite ces fessées.
      Et chaque fois que je commets un écart je sais ce qui m’attend…
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    2. Bonjour Sandrine,
      Excusez-moi de cette réponse tardive. J'ai été très pris ces jours derniers et je voulais vous faire une réponse réfléchie et non et quelques secondes entre deux autres occupations.
      Vous savez, la difficulté, sur ce blog, c'est d'identifier ce qui est réel de ce qui est fantasme. Depuis que j'ai décidé de mettre l'accent sur les situations réelles en décrivant les fessées que je reçois effectivement, il y a plus de fantasmes en réponse à ces articles que de situations réellement vécues. De plus, il y a également plus de récits dont des hommes sont les auteurs que des femmes, et encore moins quand ce sont elles qui assument l'éducation ferme de leur conjoint. Votre témoignage semble appuyé sur une situation réelle et il est intéressant de noter que vous avez la charge de la discipline dans votre couple, sans que votre compagnon ait son mot à dire. Il y a de nombreuses similitudes avec la relation que nous avons mis en place au sein de notre couple. Ma compagne, comme vous, utilise la fessée déculottée pour me maintenir dans le droit chemin. C'est une situation que j'ai acceptée et elle n'en abuse pas mais y recourt sans hésiter quand elle le juge nécessaire. Les fessées que je reçois dépendent donc de mon comportement. Elles sont donc irrégulières, mais ç chaque fois cuisantes. Les longs moments que je passe au coin ne font que renforcer le message.
      J'aimerai en savoir plus sur la relation disciplinaire que vous avez mis en place dans votre couple. Cela peut se faire en continuant les échanges de commentaire ou par courriel. Dans ce dernier cas, cliquez sur le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page, juste sous l'image.
      J'espère avoir bientôt de vos nouvelles.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. Bonjour Jossip, comme toi mon mari a souvent un comportement immature et il manque à ses responsabilités. Il est un peu tête en l'air et souvent il manque les échéances administratives ce qui lui vaut quelques bonnes claques sur les fesses. La fessée dépend de son comportement parfois un mois sans fessées et parfois plusieurs par semaines. Tout à commencé par une discussion alors que nous étions mariés depuis 15 ans , mon mari Jacques avait un souvenir assez précis des fessées maternelles reçues dans son enfance. je lui ait dit en plaisantant au moins à cette époque tu était plus responsable pour éviter la fessée. Si j'étais ta maman je te corrigerai comme un vilain garçon pour toutes tes bêtises ou étourderies. Jacques à dit Oh mais tu oserais me punir comme maman, me donner une fessée, tu t'en crois capable.
      Oui Jacques il n'y a pas d'âge pour recevoir la fessée quand on se comporte comme un gamin. Mais ma chérie, je ne veux pas de fessée. Tu ne veux pas de fessées et moi je veux un mari qui fait ce qu'il doit faire sans avoir obligé de répéter dix fois les choses. La fessée tu ne la veux pas mais si tu l'a mérite, je fais quoi ? j'en ai marre de toutes nos disputes, si je te donnais la fessée on passerait vite à autre chose sans nous disputer non ? Oui tu as raison. je crois que je pourrais accepter que tu me corrige ma chérie. Ok Jacques mais la fessée n'est pas un jeu, si je dois te donner une fessée, j'irai jusqu'au bout et tu finiras déculotté, fesses rouges. j'ajoute que si tu accepte la première fessée tu ouvre le compteur et désormais cela sera ma discipline domestique, tu m'appelera maman quand je te punirai comme un ado de 12 ans. et la fessée planera tous les jours sur ta tête et si je dois te corriger je serai la seule à décider de te fesser cul nu sur mes cuisses. j'irai acheter un martinet à l'ancienne pour te fesser plus sévèrement . je te promet d'etre ferme, autoritaire et sévère dans la correction mais toujours juste, il y aura toujours un motif pour te corriger.
      Voila cela fait maintenant 6 ans que Sandrine applique la discipline domestique dans notre couple et je me suis habitué à être corrigé pour mes bêtises. La sévérité de la fessée dépend de mon comportement et de la gravité de ma faute. Plus de disputes ou d'enguelades, la fessée règle tout nos différents.

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    4. Bonjour Sandrine ?
      Oh là, je ne sais plus qui a écrit le commentaire ci-dessus. Le texte commence par une déclaration de Sandrine et finit par un paragraphe rédigé par Jacques, le mari, si j'en crois la situation qui est relatée.
      Qu'en est-il ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    5. Bonjour Sandrine, je viens de lire votre récit sur la fessée donné à votre mari. Vous avez quelle age vous et votre mari, donc maintenant la fessée c'est installé à la maison, vous lui donné à chaque bêtise ou bien vous attendez la fin de semaine pour mettre à jour la fessée?

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  6. ma methode d'education c'est toujours la meme gronder le petit en expliquant en quoi il a fait une betise et le mettre devant l'evidence que chaque betise a une consequence qui se traduit par une punition corrective marquante honteuse et cuisante la fessée.
    je gronde calmement mais avec fermeté et c'est moi qui décide de donner la fessée et elle est inévitable.

    j'aime les situations ou le puni est géné ne sais pas comment défendre il est pret à nier à mentir pour éviter la déculottée honteuse.

    Bien sur j'aime le puni qui demande pardon gemit ou dit non pas la fessée.

    j'aime que le puni m'avoue tout timide qu'il a fait une betise et il attend ma sanction.

    concernant les situations de régression j'aime donner la fessée pour sanctionner
    un puni qui n'a mis son pij ou pris son bain est sorti du lit au lieu de dormir a mouillé sa culotte etc.. des betises de petit pour lesquelles la fessée déculottée est mérité.

    Je ne donne jamais de fessée sans motif ou gratuite c'est une punition donc il doit y avoir une faute.

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  7. Cher Jossip j'espère que tu as eu une bonne fessée pour ne pas avoir répondu aux commentaires tu la mérite !

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  8. Oh oui et plus tu tarde à répondre plus ta compagne va te rougir les fesses. Tu l'a cherche ta bonne fessée maternelle. Si j'en crois la sévèrité de maman tu vas pouvoir vite nous raconter vu qu'elle surveille tes messages.
    Tu as peu etre la culotte baissée en ce moment.

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    1. Bonjour,
      La difficulté avec les commentaires anonymes, c'est qu'ils sont noyés dans l'ensemble des réactions et qu'ils s'entrecroisent. Il est possible, de signer son message, y compris avec un pseudonyme, juste avant de le publier afin que chacun puisse s'y retrouver.
      Sans doute ai-je mérité une bonne fessée déculottée, puisque vous le dites. Mais avant de me fesser, ma compagne voudrait savoir à quel commentaire je n'ai pas répondu, en sachant que je ne le fais que quand le commentaire me semble et en rapport direct avec l'article que j'ai écrit ou quand il s'agit d'un témoignage à propos d'une situation qui me paraît réelle.
      Au plaisir de vous lire.
      JLG.

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    2. Anonyme, vous êtes un homme ou une femme, ?

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  9. Ma première fessée au martinet
    un jour j'avais fait une bonne bourde j'avais oublié de sortir le lave vaisselle et j'avais mélanger les couverts propres et sales. Ma compagne que j'appelle maman m'a grondé très fort.
    Bon cette fois tu vas y avoir droit.
    Elle a sorti le martinet à 9 lanières en cuir .
    Elle m'a conduit dans la chambre.
    Dèculotte toi vite
    Non pas le martinet maman
    oh si tu vas voir tes fesses.
    elle m'a couché en travers du lit a surlevé mon ventre avec un cousin.
    cul nu!
    j'ai baissè mon pantalon et fait glisser ma culotte sous les fesses.
    Aux chevilles la culotte!
    Je vais t'apprendre à faire attention et slac slac elle m'a fouetté les fesses 15 fois chaque fesse ca m'a fait bien mal aux fesses j'ai crié supplier mais maman a encore donné 10 coups super fort. j'ai pleuré. Elle m'a donné une fessée rapide sur le lit. Maman est sévère et son martinet est redoutable de cuisson.

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  10. Pas de fessée depuis le 6 j'en doute Jossip ou maman est en vacances.

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    1. Bonjour commentateur anonyme,
      Ce serait plus pratique de savoir qui écrit afin de pouvoir faire le lien d'un commentaire à l'autre quand ils sont écrits par la même personne.
      Effectivement, pas de fessée depuis le 6 septembre. C'est ainsi. Les fessées que me donne ma compagne sont toujours motivées par mon comportement. Il n'y a jamais de fessées sans motif. C'est pourquoi elles sont irrégulières.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  11. Peu ou pas de témoignage de femme recevant la discipline domestique pourtant cela doit etre plus courant que l'inverse.

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    1. Bonjour commentateur anonyme,
      Effectivement, peu de témoignages de femmes recevant la fessée en matière de discipline. Toutefois, ce site raconte les situations où ce sont des mains féminines qui rougissent les fesses, qui, elles, peuvent être masculines ou féminines, ce qui en restreint volontairement le périmètre.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  12. Bonjour Josip.
    Oui je confirme le commentaire précédent avec lequel je suis tout a fait d’accord.
    Pascal.

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  13. Bonjour josip.
    Je m’efforce moi aussi de décrire avec précision la situation réelle de notre couple avec Marraine. C’est elle qui se charge de mon éducation et de corriger mes écarts. La punition est fonction de la faute commise mais elle ne la diffère jamais. C’est souvent la fessée déculottée. Nous sommes d’accord sur cette relation basée sur la tendresse mais aussi sur l’autorité et la rigueur. Cela m’est nécessaire et je l’accepte puisque c’est ainsi que nous en avons convenu. C’est elle qui décide et je sais que c’est dans mon intérêt. Il me suffit d’obéir si je ne veux pas être puni.
    Notre relation est très proche me semble-t-il de celle que tu vis avec ta compagne.
    J’aimerais que nous en parlions comme a l’a déjà fait.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  14. On peut le faire par mail si tu préfères. Tu me le dis…
    Pascal.

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  15. Mon adresse mail : pascalfc31@laposte.net.
    Pascal

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  16. Tu peux me contacter à cette adresse…
    Pascal

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  18. Bonjour JLG
    Moi je suis comme toi, immature et désobéissant, un vrai gamin. J’ai vraiment besoin que ma compagne s’occupe de mon éducation et elle à accepté de s’en occuper énergiquement. Je sais que je dois lui obéir sans rechigner. A défaut c’est une bonne fessée déculottée en travers de ses genoux. Elle est très autoritaire et sévère avec moi, elle ne laisse rien passer. C’est ce dont j’ai besoin. Je reçois aussi au besoin le martinet. Je sais qu’elle a raison. Au moindre écart, elle me corrige. C’est le seul moyen de me faire filer droit. Ça évite aussi de bouder pendant des heures et ça règle très vite les problèmes. Je me prends une bonne fessée déculottée et c’est tout, pas de discussion possible. Je sais que je l’ai méritée.
    Au plaisir de te lire.

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  19. Bonjour JLG
    Ce serait bien qu’on puisse échanger sur nos expériences qui sont assez similaires.
    Bien à toi.

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    1. Bonjour,
      Pourquoi pas si nos expériences sont similaires. Sachez, toutefois, que je ne suis intéressé que par les situations réelles, pas celles qui sont fantasmées et qu'il en est de même pour ma compagne. D'ailleurs, elle demandera rapidement à pouvoir échanger avec votre compagne.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG.
      Nos expériences sont vraiment similaires. C’est mon immaturité qui nécessite la prise en charge totale de mon éducation. J’ai vraiment besoin d’autorité et de fermeté. Ma compagne s’en charge avec sérieux. Elle sait ce qu’elle doit faire avec moi. Qu’elle doit me faire obéir et je ne dois pas contester ses décisions, je sais qu’elles sont dans mon intérêt. Toute désobéissance ou insolence est immédiatement sanctionnée d’une magistrate fessée. Je redoute la fessée mais je sais que je la mérite souvent. Il y a aussi un martinet chez nous et il n’est pas là que pour la décoration…
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    3. Cher Pascal,
      Nos expériences ne sont pas similaires. C'est pourquoi je ne réponds pas à vos invitations à échanger. Je l'ai fait tant qu'il y avait une possibilité que la situation que vous évoquez dans vos messages pouvait être réelle. Depuis que je suis convaincu qu'il n'en est rien, je ne prends plus le temps de vous répondre. En effet, comme vous n'avez pas de situation support réelle, nos échanges tournent rapidement en rond et votre surenchère (la voisine, la cousine...) n'y change rien.
      Nous avons cherché à entrer en contact avec votre marraine ? votre compagne ? et cela s'est révélé impossible. Je le comprends. Prendre contact téléphoniquement avec une personne qui n'existe pas, ce n'est pas simple !
      Je n'ai rien contre le fait que d'autres échangent avec vous sur la base de fantasme (c'est d'ailleurs quasi exclusivement ce qui figure dans les commentaires sur ce blog). Cela s'est déjà produit et j'ai publié ces commentaires. Mais je souhaite donner une orientation "réalité" au blog. Je mets donc en évidence ce qui me paraît relever de cette caractéristique.
      Continuer à écrire des commentaires, je les publierai, mais je ne prendrai plus le temps d'engager un échange avec vous.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  20. Bonjour Jospin.
    C’est dommage mais après tout c’est vous qui voyez.
    Bien à vous
    Pascal

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  21. Pardon « josip » faute de frappe, désolé.

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  22. Cher Pascal tes fantasme nous amusent, tu sais que le mensonge est un bon motif de correction tu mérite sûrement une bonne fessée, une vraie.

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    1. J’ai souvent été corrigé par Marraine pour lui avoir menti.
      Pascal

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  23. Il persiste le bougre, si c'était le cas tu aurais laisser Josip et Huguette contacter ton soit disant marraine vu que tu cherche sois disant à être puni par d'autres femmes. Sacré Pascal tu as le droit de fantasmer sur la fessée mais nous ne sommes pas dupes.

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    1. Anonyme. Je te trouve bien insolent. Tu sais, on administre la fessée déculottée pour bien moins que ça…

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  24. Cher anonyme ne t'inquiète pas pour moi la vraie fessée déculottée je me la prends régulièrement depuis des années donc je sais de quoi je parle et je detecte facilement les fantasmeurs. je n'ai rien contre mais les échanges non basés sur du vécu n'ont pas un grand intérêt et je rejoint JLG sur ce point donner à ce blog une certaine véracité c'est ce qui fait l'originalité et l'intérêt de ce blog.

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