dimanche 3 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 1er septembre 2023 – 21h50

« Tu ne publies plus sur le blog le récit des fessées que je te donne ? »


Il est vrai que je n’avais pas écrit, et encore moins mis à disposition des lecteurs la description des deux corrections reçues ce vendredi 1er septembre.

« Tu veux que je les publies ?

– Bien sûr, cela fait partie de la punition. »

Ma compagne reprenait à son compte cette partie de la punition, consistant à faire savoir le plus largement possible quand je recevais une fessée.

« Je tiens à ce que tout le monde sache comment je maintiens la discipline dans notre maison. »

Voilà donc le deuxième exposé de la reprise des corrections que ma compagne m’a donné. Il y en aura certainement d’autres.


La journée du vendredi se terminait. J’avais été toute la journée sous la menace d’une fessée. J’en étais parfaitement conscient. Pour me faire obéir ma compagne n’avait même pas besoin de me rappeler de quelle façon j’avais été puni le matin-même. J’avais fait très attention, bien que je ne me ressentisse plus de la fessée reçue en début de journée. Elle n’avait pas été suffisamment forte pour que mes fesses en porte encore les affres plusieurs heures plus tard. Cependant, elle était bien présente à mon esprit. Je savais que ma compagne n’hésiterait pas, si je l’avais mérité, à me déculotter pour me donner une fessée.

Nous avions fini de dîner. Tout était rangé. Il ne restait plus qu’une chose à faire, même s’il était encore tôt. Nous avions le temps. Il n’était pas encore l’heure de se coucher. Ma compagne devait s’absenter environ un quart d’heure. Avant de partir, elle me donna ses consignes :
« Tu refais correctement le lit et tu te prépares pour la douche. Je veux que ce soit fait quand je reviens ! Est-ce bien compris ?
– Oui Maman ! »
J’avais surtout compris que j’avais le temps et qu’en entendant la porte de la maison s’ouvrir et se refermer lors de son retour, j’avais largement le temps de tirer les draps du lit pour le rendre plus présentable et que me déshabiller pour la douche se ferait en un clin d’œil.
J’ai retiré mon pantalon pour gagner un peu de temps lors de mon déshabillage express et je me suis allongé sur le lit, mon livre en mains.

Je n’ai pas entendu la porte. Sans doute, ma compagne a-t-elle été volontairement discrète. Je n’ai entendu ses pas que lorsqu’elle s’est approchée de la chambre. Je me suis levé en catastrophe et je suis allé tirer sur le drap de l’autre côté du lit, puis j’ai rapidement replacé la couette. Le lit était présentable. Ma compagne était presque entrée dans la chambre. J’ai tout juste eu le temps de me recoucher.
« Que faisais-tu, m’interrogea ma compagne ? »
Je voyais bien qu’elle doutait de mon obéissance. Pour le lit, il n’y avait pas de problème, mais je n’étais pas prêt pour aller prendre ma douche.
« Rien, je lisais.
– Oui, mais juste avant, que faisais-tu ?
– Non rien, je t’assure. »
Je mentais mal. Je me rendais compte que ma compagne ne croyait rien des fables que je lui racontais, mais elle ne m’avait pas pris sur le fait. Elle abandonna donc ce terrain, pour en investir un autre, bien plus évident.

« Et tu penses être prêt pour la douche ? »
Là, il n’ y avait pas d’échappatoire. Je restais muet. La conclusion de ma compagne était attendue. Elle s’assit sur le bout du lit.
« Viens-ici ! »
Je savais ce qui m’attendait, mais j’avais aussi conscience que je ne pouvais m’y soustraire. Une désobéissance flagrante, cela méritait bien une bonne fessée déculottée. En mon for intérieur, j’en convenais.
Je me levais et lentement je fis le tour du lit. Je restais à deux pas de ma compagne. Elle m’attrapa le bras et me rapprocha d’elle. Je ne portais que ma culotte pour couvrir mes fesses. Elle me la baissa et la laissa à mi-cuisses, puis elle m’obligea à me coucher à plat ventre sur son genou gauche. J’étais ainsi parfaitement disposé pour que sa main droite enflamme mes fesses.
« Ose dire que je ne t’avais pas demandé de te préparer pour la douche !
– Non, Maman.
--Mais toi, tu préfères lire plutôt que d’obéir, c’est bien ça ?
– Non Maman, euh… oui... »

La première claque tomba sur mes fesses. Je poussais un cri. J’en avais senti la morsure.
« Tu sais qu’à chaque fois que tu désobéis, c’est la fessée ! »
Elle n’attendait pas de réponse à sa dernière phrase. C’est elle qui prit ensuite l’initiative. Sa main s’abattit sur mes fesses, à droite puis à gauche, en un rythme régulier. A chaque fois le bruit était suivi de près par une onde de douleur qui parcourait mes fesses. Je n’avait pas le temps de récupérer que le même traitement était appliqué de l’autre côté.
« Je vais t’apprendre à obéir ! »
La fessée se poursuivait sans que je ne puisse faire quoi que ce soit pour y mettre fin… sans nier l’autorité qu’elle avait sur moi. Je restais en place, subissant la correction tout en extériorisant la cuisson qui s’était emparée de mes fesses. Quand je commençais à battre des jambes, je fus arrêté tout de suite.
« Non, pas de ça ! »
L’avertissement était clair. Soit je laissais ma compagne aller au bout du châtiment qu’elle avait jugé nécessaire de m’administrer, soit je prenais le risque qu’elle m’immobilise un peu plus, ce que je paierai alors par une plus grosse fessée. Je pris le parti de subir la fessée déculottée, en espérant qu’elle ne soit pas trop longue.
C’est quand elle se saisit de mon chausson pour me fesser que je dus faire un réel effort pour rester en place. Heureusement, cela ne dura pas. Elle voulait juste me montrer comment la fessée, si nécessaire, pouvait être bien plus vigoureuse, sans que cela ne lui pose aucun problème.


Quand ma compagne mit fin à la punition, elle m’ordonna de me lever. Elle acheva mon déshabillage alors que je me tenais debout devant elle.
« Tu vas à la douche, conclut-elle quand je fus nu comme un ver ! »
Je ne demandais pas mon reste et je filais vers la salle de bains, les fesses encore bien endolories.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

4 commentaires:

  1. J’aimerais bien être à votre place

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  2. Cher lecteur anonyme,
    Je pense que vous dites cela un peu vite. Quand mes fesses deviennent très cuisantes et que je sais que la fessée n'est pas finie, c'est moi qui préfèrerait, à ce moment-là, être à votre place. Mais je n'échangerais pas la mienne avec la vôtre quand ma compagne s'occupe de moi, qu'elle me cajole et me câline.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Oui la fessée ça fait réfléchir et il n’y a pas d’âge pour la recevoir. Beaucoup d’adultes en raison de leur comportement la méritent. Certains probablement en cachette la reçoivent et me s’en vantent pas… je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas en parler c’est un tabou stupide.

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    2. Bonjour commentateur anonyme,
      Si on ne parle pas de la fessée donnée aux adultes, c'est parce que, à mon avis, il s'agit d'une punition infantilisante.
      C'est une punition, or, il n'est pas habituel de punir un adulte. Seule la justice, en principe à ce pouvoir, mais qu'elle n'exerce que pour les infractions importantes. Il est généralement admis qu'un adulte sais se contrôler, qu'il n'est donc pas nécessaire de le punir. C'est un présupposé bien évidemment tout à fait discutable.
      D'autre part, la fessée à, de longue date, été réservée aux enfants qui étaient censés ne pas comprendre, par le langage seul, quand ils dépassaient ce qui leur était permis. Or, si ce n'est pas effectif pour la plupart des enfants, ça l'est pour certains adultes pour qui recevoir une fessée, c'est aussi recevoir un message on ne peut plus clair : les limites permises sont dépassées. Ce sont donc des adultes qui se comportent de façon immature, c'est pourquoi ils ont besoin d'une ou de plusieurs personnes qui les tiennent en mains. Il y a donc un caractère infantilisant, donc difficilement avouable. Baisser la culotte et fesser un adulte, c'est lui dire qu'il a perdu toutes ses prérogatives d'adulte, puisqu'il ne sait pas en assumer les contraintes.
      Et enfin, l'heure n'est plus à la fessée que ce soit pour les enfants ou pour les adultes, bien que cette méthode a démontré depuis longtemps son efficacité. Je peux vous assurer qu'après avoir reçu une fessée déculottée, je n'ai aucune envie de recommencer le même écart. Je ne crois pas que l'interdit qui frappe la fessée, au point de le faire figurer dans la loi, soit effectivement entré dans les mœurs. Elle doit encore, pour les enfants comme pour les adultes, se pratiquer au sein du cercle familial, mais elle n'en sort pas.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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