lundi 4 septembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 2 septembre 2023 – 19h20

Durant tout le trajet qui nous ramenait à la maison, je ne pouvait m’empêcher de penser à la fessée qui m’y attendait. J’étais plongé dans mes pensées et ma compagne aussi, de sorte que le voyage fut assez silencieux.

Ma compagne m’avait promis une très grosse fessée et celles que j’avais reçues sur la grève n’en atténueraient pas la rigueur. Je n’avais pas de doute sur le déculottage et sur la cuisson qui embraserait mes fesses. Cela était habituel quand ma compagne me fessait. Je ruminais, par contre, plusieurs questions : où ma compagne allait-elle me fesser, à l’intérieur, à l’extérieur ? Me mettrait-elle ensuite au coin ou au piquet ? Serait-ce à l’intérieur ou à l’extérieur ? Le temps le permettait. Renforcerait-elle la fessée en utilisant un instrument correctif ? La plupart d’entre eux n’étaient pas à la maison. Lesquels pourraient-elle utiliser ? Le dos de la brosse, une baguette cueillie dans un arbre, la ceinture, les orties (il y en avait plein autour de la maison) ?
Plus le temps passait, plus nous nous rapprochions du lieu et du moment de ma prochaine correction. La voiture nous y conduisait inexorablement.


Le nœud qui m’oppressait les entrailles avait provoqué une envie de faire pipi. C’est la première chose que je fis en arrivant à la maison. Ma compagne m’attendait à la sortie des toilettes.
« Viens-ici ! »
Elle me prit par la main et m’entraîna à l’extérieur, juste devant la maison. Il y avait un banc. Elle s’y assit et entreprit aussitôt de dénouer le cordon qui retenait mon short sur ma ceinture. Elle n’eut plus, alors qu’à tirer sur le vêtement pour le faire descendre sur mes chevilles. Je sentais un petit courant d’air qui caressait le haut de mes cuisses et la jonction avec mes fesses, là où il n’y avait plus de vêtement pour les protéger.
Elle me prit le bras et m’obligea à me coucher à plat ventre en travers de ses genoux. Là, j’étais dans une position qui lui convenait à merveille pour me donner la fessée qu’elle m’avait promise. Mes fesses étaient idéalement disposées pour connaître la rigueur de sa main et elle pouvait tenir longtemps sans se fatiguer outre mesure.
Elle commença à me fesser. Une claque sur un côté des fesses, puis une autre sur l’autre côté. Tout de suite, je me rendis compte qu’au-delà de la position infantilisante et de sentir sa main tombant sur mes fesses, je n’avais pas vraiment mal, bien que les claques m’aient été assénées sans retenue. La culotte, non seulement atténuait le bruit de la claque sur mes fesses, mais de plus elle amortissait le cinglant de la fessée. Il y a un très grande écart entre une fessée sur la culotte et une fessée déculottée, mais si la finesse du tissu du sous-vêtement pourrait laisser croire que la différence serait petite. Il n’en est rien. Ma compagne m’avait laissé ma culotte et, outre le fait que c’est bien moins vexant que quand la culotte est baissée, il manquait le cinglant de la main claquant sur la peau nue, pour en faire une sévère correction. Je restais stoïque sans aucune difficulté. Bien sûr je recevais une fessée, mais elle n’avait rien d’insupportable. Ma compagne procédait rarement ainsi. Généralement, elle baissait ma culotte dès le début de la correction.


Cette clémence ne dura pas. Je sentis, au milieu de mes fesses, son doigt se glisser sous l’élastique de ma culotte. Je ne m’étais pas fait d’illusion. Une grosse fessée se devait d’être donnée sur les fesses nues. Je n’étais pas au bout de mes peines. Ma compagne baissa ma culotte jusqu’au milieu de mes cuisses. Le devant resta coincé quasiment à la même place, retenue par le frottement entre mon bassin et les genoux de ma compagne. Il n’y avait cependant plus de sous-vêtement pour protéger mes fesses. La main de ma compagne frappa une fois le sommet de mes fesses, d’un côté, puis de l’autre. Alors le rythme s’accéléra.
C’était autre chose que la première petite fessée sur la culotte. Le bruit que faisait la fessée était tout autre. Il participait largement à la sensation d’être puni. En claquant la peau de mes fesses, la main nue rajoutait maintenant un cinglant qui n’était pas présent jusqu’alors. Il m’était difficile de retenir complètement tous les cris qui naissaient au fond de ma gorge.
Les fessées que me donne ma compagne sont souvent longues et elles m’amènent très vite à un niveau de douleur insupportable, même si je n’ai pas d’autre choix que de les subir jusqu’au bout. Elle sait comment appliquer sa main sur mes fesses, de façon à y provoquer une fournaise qui commence dès que j’ai reçu quelques claques sur mon postérieur. Loin de moi l’idée de dire que je ne sentais pas cette fessée maintenant que ma compagne m’avait baissé la culotte. Mais c’était loin de la cuisson que j’avais ressenti la plupart du temps, y compris quand ma compagne n’utilisait que sa main.
Je criais un peu, mais pas à chaque fois que la main de ma compagne s’abattait sur mes fesses. Parfois, cela cinglait douloureusement mes fesses, pas pas tout le temps. Je ne savais pas si ma compagne avait décidé une relative clémence et qu’elle ne mettait pas toute son énergie à me donner cette fessée, ou si elle s’y employait mais n’obtenait pas le résultat escompté. J’avais ressenti la même cuisson relative quand ma compagne m’avait donné la fessée déculottée sur la plage, mais j’avais mis cela sur le compte de la brièveté de la correction. La présence de spectateurs, même lointains, suffisait pour en aggraver la portée. A la maison ce n’était plus le cas. J’étais surpris, mais je me gardais bien d’en faire part à ma compagne.

Je n’en étais toutefois pas à la dernière étape. La fessée cessa. Ma compagne m’ordonna de me remettre debout et elle remonta ma culotte et mon bermuda.
« Va chercher la ceinture, m’enjoignit ma compagne. »
Il fallait pour cela marcher jusqu’à la chambre. Il n’y avait personne sur le chemin, bien évidemment, puisque que nous étions seuls chez nous. Remonter ma culotte était-ce obligé ? Cela n’aurait pas été la première fois où ma compagne m’aurait fait traverser la maison avec les fesses dénudées. Ce jour-là, elle en avait décidé autrement.

Je revins vers le banc avec la ceinture qui sert à tenir mon pantalon. Elle est en cuir et assez large pour qu’une correction donnée avec la ceinture soit à prendre en compte. Ma compagne baissa de nouveau mon bermuda et m’allongea à plat ventre en travers de ses genoux. La ceinture commença sa danse sur ma culotte.
Même au bout d’une dizaine de fois que je l’avais reçue sur mon postérieur, la cuisson n’était que relative. Ma compagne l’avait pliée en deux et c’est le milieu doublée que je recevais sur le sous-vêtement. Certes, je sentais quand ma compagne me l’appliquait sur les fesses, mais c’était loin d’être insupportable. Ce n’était qu’une fessée de très moyenne sévérité. Là encore, ma compagne ne comptait pas en rester là. Elle me baissa la culotte.
Elle recommença à m’administrer la ceinture doublée sur mes fesses maintenant nues. Effectivement, je sentais un peu plus la fessée, mais sans que ce soit le correction mémorable qu’elle m’avait promise. Je réagissais, mais assez peu. Ce n’était pas une fessée très sévère. Sans doute ma compagne s’en aperçut-elle. Elle enroula autour de sa main l’extrémité à laquelle était fixée la boucle afin d’avoir l’extrémité libre à la bonne longueur pour l’appliquer sur mes fesses. Ainsi, cela fait beaucoup plus mal et il est possible de laisser des marques sur les fesses. Je ne me rendis compte du changement que parce qu’il y eut une interruption, le temps que ma compagne enroule la ceinture autour de sa main et également parce que la cuisson sur mes fesses fut, dès la première application, plus forte.

Cependant, elle ne put pas faire donner à la ceinture sa pleine mesure. Manipuler cet instrument demande de prendre un peu d’élan avec un geste ample. Or, à chaque fois que ma compagne relevait le bras, l’extrémité de la ceinture heurtait le mur qui était derrière le banc. Cela en limitait les effets, ce qui n’était pas pour m’attrister. Je criais un peu plus souvent, mais pas trop. Ce n’était pas encore la fessée qu’elle m’avait annoncée, même si elle s’en rapprochait.


Quand la fessée cessa, ma compagne me remit sur mes pieds. Ce n’était, hélas pas encore, la fin de ma punition. En me tenant par le bras, elle me fit traverser la pelouse.
« Tu laisses ta culotte là où elle est, ordonna-t-elle. »
Elle me conduisit au pied d’un arbre et je la suivis, ma marche entravée par ma culotte et mon bermuda qui entouraient mes pieds.
« Les mains dans le dos ! »
La culotte baissée, le nez contre le tronc d’arbre et les mains croisées dans le dos, je n’avais plus aucun repère pour savoir si une personne passant sur la route pouvait me voir. Ma compagne me laissa là. Je ne savais plus quelles étaient ses intentions. Était-ce un temps de piquet en extérieur qu’elle m’infligeait ? La fessée était-elle finie ? J’eus bientôt la réponse.
J’entendis ma compagne se déplacer dans le jardin, sans que je puisse identifier ce qu’elle faisait. Elle revint près de moi et se plaça dans mon dos. Je sentis alors la piqûre des orties qu’elle avait été cueillir. Avec ces végétaux caressant mes fesses, je ne sentis rien les quatre ou cinq premières secondes, puis l’effet urticant se déploie et ne cesse plus. Je sais que la démangeaison persiste beaucoup plus longtemps qu’avec n’importe lequel des autres instruments punitifs. Ma compagne tenait là la fessée dont je ne pourrait que me souvenir. Toutefois, elle ne s’en trouva pas immédiatement satisfaite.
« Je trouve que tu ne réagis pas beaucoup. Sans doute les orties sont-elles trop avancées. Je vais en cueillir des plus fraîches. Tu ne bouges pas, je te surveille ! »

Quand elle revint, elle tenait une petite poignée d’orties qui venaient de repousser après avoir été coupées. Elle en frotta mes fesses relançant la brûlure qui les enflammait. Je dansais d’un pied sur l’autre, mais cela ne gênait pas la frottée aux orties. Je savais que j’en avais au moins jusqu’au lendemain matin à ressenti la démangeaison sur mes fesses. Heureusement que ma compagne n’avait cueilli que trois ou quatre brins d’orties. Si elle s’était munie d’une douzaine de végétaux, j’en avait certainement pour plus de vingt-quatre heure.

Finalement, ma compagne avait réussi à m’administrer une très sérieuse fessée, même si cela aurait pu être pire.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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